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toulouse - Page 2

  • Un fic de la "mondaine" parle

    Spécialisé dans les affaires dites de mœurs. Proxénétisme, prostitution forcée, pédophilie. Il a fait tomber des réseaux de traites des Blanches.

    "Blanches est un terme très générique. Il y a aussi parmi les victimes des Noires, des Asiatiques, des métisses… Peu de Beurettes parce qu’elle sont très surveillées par les "grands frères". Sauf quand elles sont volontaires pour partir faire le djihad. Mais c’est une autre histoire".

    D’après les déclaration d’un célèbre criminologue médiatisé, les circuits auraient évolué. Les bordels de Buenos Aires ne sont plus à la mode comme dans les années trente, ni les palais des émirs du pétrole comme dans les années soixante.

    La plupart des filles qui voyagent ne sont ni droguées ni forcées. Elles ont un billet d’avion en bonne et due forme. Direction Abidjan ou Rio, Caracas ou Istanbul… La naïve qui se fait offrir des vacances de rêve par une gravure de mode et se retrouve coincée à l’étranger, battue et droguée, est de plus en plus rare. Plus fréquemment, elles sont déjà prostituées en France. On peut les considérer comme des travailleuses expatriées. Mais certaines peuvent avoir des surprises. Le luxueux penthouse à Bahia peut se transformer en taudis d’abattage à Manaos (ndlr : Amazonie)

    Il y a toujours derrière les filles un mac plus ou moins folklo qui organise le voyage?

    Le barbeau de Barbès à l’élégance tapageuse est un gagne-petit qui ne déborde pas de sa zone de confort, une rue, une place, un bar. Les organisations criminelles internationales préfèrent passer inaperçues. Fonctionnant comme des sociétés multinationales, elles proposent un grand choix de "marchandises" régulièrement renouvelées et livrables en un temps record. Et les stocks évoluent avec les goûts de leur temps. Chez certains, un tiers du "press book" présente des éphèbes invertis et des efféminés plus ou moins coupés. Comme pour les filles, le mannequinat donne une couverture légale à leurs activités.

    Mais…la malheureuse kidnappée, endormie et transbahutée dans une malle, ça ne se fait pratiquement plus, sauf au cinéma…

    Oui mais non… La rencontre peut être fortuite. Il y a des "chasseurs de culs", en fait des zonards toujours à l’affût de cibles potentielles… Parfois, il s’agit d’un véritable guet-apens. Un petit ami largué, qui a des accointances avec des voyous, se venge en vendant son ex à des trafiquants de chair humaine… À la marge, la "tradition" est maintenue par quelques racailles qui profitent de la fin des frontières en Europe pour approvisionner des bordels dans des États-voyous des Balkans.

    Exemples?

    L’auto-stoppeuse ou la promeneuse à qui un gentil garçon, plutôt mignon et bien mis de sa personne, offre un soda avec du GHB dedans.

    Ou propose de fumer avec lui un joint chargé de somnifère… Une fois dans les vapes, au besoin renforcées par une piqûre ou un tampon d’anesthésique, la fille est jetée dans un camion de transports internationaux au milieu d’un bric-à-brac hétéroclite, dissuasif en cas de rencontre avec la "volante" (police). Rare sauf dénonciation.

    Et là, le chauffeur dira qu’il n’était au courant de rien, bien entendu… Refrain classique. La remorque a été chargée en douce sur un parking pendant la pause déjeuner…

    Sinon, le scénario se réplique à l’identique. Direction la frontière italienne où on ne vérifie pas ce qui vient d’Europe, puis descente de la botte, destination: un port sur l’Adriatique. Bari, Brindisi ou plus petit. Embarquement du camion sur un ferry, ou de la victime sur un bateau de pêche. Toujours sans aucun contrôle.

    Et débarquement en Albanie où des flics et des douaniers peuvent être facilement achetés… Fin du voyage, une maison de passe dans des montages de plus de 2000 mètres, aux chemins mal carrossés. Parfois c’est une étape intermédiaire vers le Kosovo, où les islamo-mafieux locaux reçoivent la livraison.

    Le transfert peut se faire en une journée ou à peine plus. De Marseille à Tirana, il y a 1500 km, en comptant la traversée. Autant dire que lorsque les gendarmes, en France, commencent les recherches, près du lieu supposé de la disparition, vingt-quatre heures après le signalement, la victime est déjà cloîtrée sans argent ni papiers, à des centaines de kilomètres de là, dans un pays dont elle ne parle pas la langue.

    Outre le triple verrou de la corruption, de la langue et de la religion dans ces pays où les incroyantes sont traitées comme du bétail, leur docilité est acquise en faisant de ces malheureuses des junkies. Parce que les proxos sont aussi des narco-trafiquants. C’est mieux que les coups et les tortures à l’électricité, ça laisse moins de traces. Ils essaient de ne pas trop abîmer une "marchandise" dont les notables sont friands quand elle est en bon état.

    Et, pour celles qui ne sont pas enlevées un peu au hasard des rencontres et sont conduites à l’exil par la ruse? Les filles recrutées avec des faux contrats de travail obéissent parce qu’elles sont tenues par toutes sortes de chantages. À commencer par l’approvisionnement en drogues dures auxquelles on les a rendues dépendantes. Et il y a aussi les menaces. Sur leur famille restée au pays. Leur enfant le cas échéant. Et le vitriol pour la plus rebelle, afin de servir d’exemple aux autres…

    On dit que lorsqu’elles ont perdu leur fraîcheur, si elles ne meurent pas d’overdose avant, les macs en font des esclaves domestiques. Pour le ménage, la cuisine, le linge, les travaux des champs ou d’artisanat sous la surveillance d’un gynécée.

    Leur sort se rapproche alors de celui d’une femme indigène qui a cessé de plaire. Elles ont le cerveau tellement raboté par des années de soumission qu’elles sont complétement déconnectées. Ainsi, lors de l’agression contre la Serbie, la police militaire a découvert au Kosovo des femmes prostrées, abandonnées par leurs valeureux seigneurs et maîtres. Certaines avaient oublié leur nom et leur nationalité ou ne voulaient pas les dire. D’autres, un peu moins siphonnées, ont carrément refusé d’être rapatriées.

    Malgré les efforts des médias pour minimiser le phénomène, avec le peu qui filtre, on a l’impression d’assister depuis quelques années en France à une inflation du nombre des disparitions de jeunes femmes. Des personnes qu’on ne retrouve jamais. Peut-on les raccorder à la traite des Blanches ou serait-ce une légende urbaine qui s’ajoute aux actions criminelles?

    Les disparues peuvent être de jeunes fugueuses, qui ont voulu couper tout lien avec leur famille. Avec de la chance, elles se dilueront dans la masse pour mener une vie banale en Angleterre ou au Canada. Les plus hardies viseront l’Australie. Les moins chanceuses finiront dans la rue ou dans un squat avec le trottoir ou l’overdose au bout du chemin… Fugueuse ou pas, toute jeune femme appétissante est une proie facile dans un pays déliquescent, incapable de maintenir un minimum de cohésion sociale et d’ordre public.

    Est-ce que la probabilité de faire des mauvaises rencontres est plus importante que celle de se faire enlever? Les serial killers ne sont pas une spécialité des USA. Et à la différence des violeurs de banlieues qui organisent des tournantes dans les caves, les assassins passent inaperçus et font disparaître leurs victimes.

    Enterrées dans un sous-sol, jetées au fond d’un puits ou d’une mine désaffectée, ou laissées dans une masure abandonnée. Parfois, on retrouve des restes. Mais pour vraiment enquêter, on est trop dispersés… Une fois que l’affaire n’est plus à la une, on est submergés par une criminalité -croissant chaque jour- un peu plus.

    Ignorée par les pouvoirs publics.

    Excusée par les médias.

    Et tolérée par les juges. Autant pousser le rocher de Sisyphe. Ou vider le tonneau des Danaïdes.

    D'après un article de Christian Navis - https://fascismedefrance.blogspot.com/

  • ALERTE GENERALE!

    Ce n'est pas un poisson d'avril… hélas

    Un nouveau délit qui ne devrait pas faire l’unanimité. En effet, dans le projet de loi de "sécurisation de l’espace numérique" qui pourrait être adopté au début du mois d’avril, un nouvel élément a été intégré à l’article 5 bis. Selon les informations de Mediapart, il s’agit du " délit d’outrage en ligne ", sanctionné par une amende forfaitaire délictuelle. Cette procédure pourrait permettre de sanctionner des faits sans passer par un procès. Sera puni de 3 750 euros d’amende et d’un an d’emprisonnement "le fait […] de diffuser en ligne tout contenu qui soit porte atteinte à la dignité d’une personne ou présente à son égard un caractère injurieux, dégradant ou humiliant, soit créé à son encontre une situation intimidante, hostile ou offensante", explique le texte.

    La portée de ce texte est relativement large, car il semblerait que l’ensemble des outils de communication en ligne soit visé par l’article, c’est-à-dire les réseaux sociaux, les plateformes de partage de vidéos, mais aussi les messageries privées. En cas de partage d’un message offensant, dégradant, haineux sur Twitter par exemple ou dans une boucle privée WhatsApp, la personne qui l’a diffusé pourra être obligée de payer une amende.

    Toutefois, le Conseil constitutionnel pourrait mettre son veto à l’adoption définitive de ce texte en raison du caractère subjectif de la définition du délit. En effet, la plus haute juridiction administrative a déjà rappelé que des amendes forfaitaires délictuelles ne pouvaient s’appliquer qu’à des faits "aisément contestables".

    Le gouvernement craint d’ailleurs que l’article soit censuré. " Bien que nous partagions évidemment les objectifs, nous sommes beaucoup plus dubitatifs sur la sécurité juridique et constitutionnelle de la démarche", a précisé le cabinet de Marina Ferrari, secrétaire d’État chargée du Numérique, auprès de Tech&Co.

    https://www.valeursactuelles.com

  • Anglicismes, d'jeune, écriture inclusive: une destruction de la langue française !

    Nous vivons une drôle d’époque qui ne peut que nous choquer à tous les points de vue, dès lors que nous avons un minimum de sens commun.

    La langue française est issue d’une longue maturation et nous serions bien incapables de lire un texte en "vieux françois". Cette maturation continue au fil des années en incorporant quelques mots de plus, et aussi beaucoup d’inepties dus à cette mode angliciste, et l’intégration de mots issus des cités pour faire "d'jeune".

     

    Les anglicistes sont ceux qui se pensent modernes, urbains, mondialistes, et qui considèrent qu’il faut être au niveau d’une France européenne et non nationale. Pour eux, le franchouillard comme moi est un quasi imbécile, un témoin suranné. Si, en plus, il aime l’histoire, la littérature et se souvient de ses racines, c’est rédhibitoire.

    Ceux qui utilisent ces anglicismes doivent savoir qu’ils sont en réalité dans une œuvre de destruction du vocabulaire, de la langue française et qu’ils sont finalement les idiots utiles du système.

    Les "artistes" et autres parsèment leur vocabulaire d’expressions "d"'jeunes", issues de l’africain et de l’arabe des cités. Ils s’imaginent à la pointe de la modernité alors même qu’ils abaissent l’ensemble des niveaux du langage.

    S’y ajoute l’écriture inclusive.

    Ainsi, nous voyons à quel point notre langue est détruite, peu à peu, par ceux qui devraient la défendre ! Les intellectuels gauchistes nous parlent d’égalité des sexes et de "rendre visible les problèmes d’égalité qui viennent du langage" et les responsables politiques ne réagissent pas, les parlementaires, les élus municipaux défendent mollement la langue française. Pourtant, l’article 2 de la Constitution est clair !

    https://www.legifrance.gouv.fr/loda/id/JORFTEXT000000571356/

    Il y a des industriels, des banquiers qui obligent souvent leurs salariés à parler et à rédiger en anglais, à faire des rapports et suivre des réunions où la langue française est proscrite, y compris dans le quartier d’affaires de la Défense, en France.

    Dès 1975, la loi “Bas-Lauriol“ rend l’emploi du Français obligatoire dans différents domaines : audiovisuel et commerce, établissements publics, monde du travail. (source) En 1994, la loi “Toubon” renforce ce dispositif ! L’Académie Française considère l’écriture inclusive comme contre-productive, elle “offusque la démocratie du langage“.

    Je me souviens de mes batailles lors de réunions syndicales avec les directions de la RATP quand je demandais à ce qu’aucun anglicisme ne soit dans les accords salariaux et autres débats. Même mon syndicat, taxé de droite à l’époque, me disait que j’exagérais, c’est tout dire.

    Nos écrivains d’hier seraient choqués de voir cette volonté d’abaissement de la langue française au point que certains souhaiteraient revisiter leurs romans, leurs écrits divers. Que seraient Les Misérables, Les Contemplations, La Dame aux camélias, Une Vie, L’assommoir, Germinal en écriture inclusive, farcis d’anglicismes et de phrasés d'jeunes?

    La circulaire à Matignon en 2017 établit que “dans les textes réglementaires, le masculin est une forme neutre qu’il convient d’utiliser pour les termes susceptibles de s’appliquer aussi bien aux femmes qu’aux hommes” … “les textes qui désignent la personne titulaire de la fonction en cause doivent être accordés au genre de cette personne“. L’écriture inclusive ne doit pas être utilisée.

    S’ajoute aussi les genrés ! Eux demandent qu’ils ne soient pas traités en femme, ni en homme, mais en indéterminés. Le sexe n’est pas ce que vous avez entre les jambes mais il serait dans votre tête.

    Un vagin, un utérus ne détermine pas votre sexe. Pas plus que des testicules et un pénis. Ben voyons! Les hormones non plus puisqu’il suffit de quelques piqûres pour rétablir "cette injustice" de naissance.

    Vous n’avez pas de vagin? Qu’importe, un peu d’hormones femelles et la médecine va vous en donner un qui fera illusion. Il ne servira pas bien sûr, et toute forme de jouissance ou plaisir sexuel sera impossible, d’orgasme, hormis celle de regarder vos faux seins et cette imitation entre vos jambes dans le miroir.

    Vous n’avez pas de pénis? Qu’importe, avec des hormones mâles, un peu de chair prélevé sur votre bras, une opération chirurgicale, vous aurez un ersatz de pénis gonflable à l’air quand vous en aurez besoin pour faire jouir votre compagne ! Pas non plus de plaisir sexuel, d’orgasme!

    Une gamine de 11 ans, Alexia, bien formatée par son père, est dans ce délire. Alexia, dit "Il n’y a pas que des hommes et des femmes sur la terre (ben voyons!). J’ai déjà vu des personnes intersexes, et je comprends très bien ce que ça leur fait si on dit quelque chose qui leur déplaît". Ce vocabulaire est peu représentatif d’une jeune de 11 ans. Le formatage parental est évident.

    Je me demande à quel point les autorités sanitaires et familiales ne devraient pas se pencher sur le cas de cette famille. Dans le journal Le Point, elle précise: "L‘orthographe recommandée exclut les personnes qui ne sont ni “ils”, ni “elles " tandis que l’écriture inclusive permet de les inclure, du coup, elles sont mieux dans leur peau".

    Au secours!

    Pourtant, il existe un texte fort sur ce sujet. Il date de 1958. C’est la Constitution qui considère le français comme étant la langue de la nation France. Il est regrettable que les parlementaires, les autorités judiciaires, les pouvoirs politiques nationaux, régionaux, départementaux et municipaux soient incapables d’appliquer la loi fondamentale qu’est la Constitution.

    Gérard Brazon

    Perso: j'ai un transexuel dans mon entourage: "elle" prends des hormones féminines depuis des années (remboursées par la sécurité sociale) castration (remboursée par la sécurité sociale) et comme "madame" est dépressive depuis des années, "elle" perçoit l'AAH et tous les avantages sociaux qui vont avec!

  • Les ayatollahs verts sont déjà aux manettes !

    Le ministère de Christophe Béchu aura beau plaider le couac de com, lui l’expert ès marketing, la révélation tombe à pic.

    Dévoilé par Le Point, un document de France Stratégie, qui n’a jamais aussi mal porté son nom, explique noir sur blanc ce que nos petits hommes gris, aux propos arc-en-ciel, ont vraiment dans la tête.

    S’ils promettent monts et merveilles aux agriculteurs devant les caméras, ils leur réservent en coulisses du sang et des larmes:

    -50% de production de viande,

    -40% de maïs,

    -20% pour la vigne, entre autres scénarios de décroissance privilégiés.

    Vous voyez les ayatollahs verts faire du diabolo dans la rue ou jeter des pavés sur les forces de l’ordre? Ils sont en réalité cravatés, dans les administrations.

    Tandis qu’ils feront pousser leurs graines de chia sur les toits de leurs grises bâtisses, (et pour quel bilan carbone?), les paysans pourront disparaître en silence.

  • LE CHIFFRE DU JOUR

    15 150

    Soit le nombre de policiers blessés en 2023, selon les statistiques du ministère de l’Intérieur.

    Une augmentation de 4,1 % par rapport à l’année précédente.

    La première cause des blessures, plus de 40 par jour en moyenne, est l’agression par un tiers.

    Neuf policiers ont perdu la vie en service.