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toulouse - Page 6

  • Les journaleux du JDD sont les nouveaux Guignols de l’Info

    Il paraît que la démocratie serait en danger. Le pluralisme de la presse serait en péril. Ce que les journalistes et toute la gauche appelle “l’empire Bolloré” serait sur le point de mettre la main sur l’information. C’est encore pire que le passage d’Éric Zemmour à CNews. L’arrivée annoncée de Geoffroy Lejeune à la tête du Journal du Dimanche paraît avoir été un véritable séisme devant lequel l’ensemble des quatre vingts journalistes de l’hebdomadaire se serait mis en grève reconductible jusqu’à mercredi prochain.

    https://www.francetvinfo.fr/economie/medias/canal-i-tele-paris-match-avant-le-jdd-la-mainmise-de-vincent-bollore-sur-d-autres-medias-a-braque-de-nombreuses-redactions_5910392.html

    Jusqu’à ce jour, la presse bien pensante maîtrisait 95 % de l’information, où sous tous les airs, on pouvait insulter Éric Zemmour, vanter l’islam comme religion d’amour et de paix, ne parler que positivement de l’immigration, dénoncer les risques du réchauffement climatique, alerter sur la nécessité de se faire vacciner contre le Covid, encourager Zelensky et l’Otan à écraser la Russie de Poutine, caresser dans le sens du poil l’Union européenne et déverser matin, midi et soir la propagande du mondialisme.

    Le tout en étant gavé de subventions, les plus  fortes du monde, payées avec nos impôts, pour laver le cerveau de nos compatriotes, et compenser le fait que plus personne ne lit leurs journaux, que nous n’oserons appeler des torchons. Le tout avec des abattements fiscaux uniques dans le salariat de ce pays, histoire d’amadouer un peu plus les tenants de cette profession connue pour refuser tout professionnel qui pourrait voter Éric Zemmour ou Marine Le Pen, et pour comporter, dans les rédactions, environ 90 % des effectifs se vantant de voter à gauche.

    C’est dans ce contexte que la vaillante rédaction du Journal du Dimanche a donc décidé de se mettre en grève générale reconductible ; on ignore si ce mouvement sera insurrectionnel. Les valeureux plumitifs s’estiment violés par l’arrivée, voulue par leur employeur, Vincent Bolloré, celui qui signe leur chèque de fin de mois, de Geoffroy Lejeune à la tête de la rédaction.

    https://www.fdesouche.com/2023/06/25/geoffroy-lejeune-ecarte-de-valeurs-actuelles/

    Pourtant, toute la profession avait poussé des cris de joie à l’annonce du licenciement du jeune journaliste, directeur de la rédaction de Valeurs Actuelles, par son propriétaire, par ailleurs marchand d’armes dépendant de ses ventes avec l’État français, donc de ses bonnes relations avec Emmanuel Macron. De même qu’ils avaient réclamé, et obtenu, le licenciement de Robert Ménard ou d’Éric Zemmour, quand ils officiaient à LCI.

    Mais le boomerang leur est revenu en pleine figure, surtout que nombre de cadres de la rédaction de Valeurs Actuelles a décidé de démissionner et de suivre leur ancien chef.

    Donc, ils sont en grève. Défendent-ils le pluralisme de l’information ? Cela va être difficile à expliquer, dans un contexte où, au lieu de 95 %, le mondialisme ne sera plus défendu que dans 94 % des médias ? Défendent-ils le droit des salariés ? Il n’était pas menacé. Défendent-ils la démocratie ? Seuls les aveugles n’ont pas compris que les médias de propagande sont la béquille du système, qu’ils contribuent au lavage de cerveau massif des Français, et sont des armes de destruction massive de notre pays. Alors que veulent les journaleux du JDD ? La réponse est fort simple : encore davantage de sous !

    En effet, ces nantis bénéficient de deux autres avantages uniques dans le monde du travail : la clause de cession, et la clause de conscience. Elles peuvent se cumuler. Un journaleux peut ainsi bénéficier d’un mois de salaire par année d’ancienneté, mais par certaines magouilles, il peut largement gonfler cet acquis. Il est donc fréquent qu’un journaliste parte avec 100.000 euros d’indemnités, parfois davantage (cela peut monter à 400.000 euros !), et retrouve par ailleurs du travail immédiatement, dans une rédaction amie, pour récompense de ses loyaux services, avec le soutien des syndicats de journaleux et des sociétés de rédacteurs.

    Le tout payé par nos impôts, bien sûr. Cela n’empêche pas l’ensemble des rédactions, toute honte bue, de soutenir le combat jugé exemplaire des salariés du JDD, ni la ministre de la Culture de gémir au péril démocratique, ni l’ensemble de la gauche de hurler au putsch médiatique. Et ce sont les mêmes, bien sûr, qui tanceront les Gilets jaunes, et expliqueront aux Français qu’il leur faut faire des sacrifices, dans l’intérêt général, quand eux-mêmes se gavent et vivent fort bien du système.

    On n’a par ailleurs entendu aucun de ces plumitifs, qui se réclament des règles de la démocratie, évoquer la scandaleuse interdiction de rassemblement du Parti de la France devant le ministère de Darmanin, quand une manifestation de soutien à un islamiste a lieu sans problème dans le Nord.

    https://ripostelaique.com/la-manifestation-du-parti-de-la-france-vient-detre-interdite.html

    https://www.fdesouche.com/2023/06/25/hautmont-59-une-manifestation-organisee-en-soutien-a-un-imam-expulse-en-algerie-pour-apologie-du-terrorisme-abderrahim-sayah-etait-notamment-accuse-davoir-fourni-de-faux-papiers/

    De même qu’on ne les entend pas défendre la liberté de l’information quand le groupe Bolloré, de CNews à C8, se voit harcelé par l’Arcom, qui lui a déjà infligé 4 millions d’euros d’amende.

    Donc, que les journaleux qui ne sont pas contents de travailler avec Geoffroy Lejeune prennent leur chèque, dégagent, laissent la place à des vrais professionnels, venus de Valeurs Actuelles et d’ailleurs, et qu’ils aillent vendre leur soupe dans des rédactions amies, qui leur feront de la place.

    Que ces Guignols de l’Info version 2023 se fassent oublier, et que le JDD connaisse la même progression avec Geoffroy Lejeune que CNews avait connu avec la venue d’Éric Zemmour…

  • Réchauffisme

    Le réchauffisme est une secte perverse comme furent le trotskysme ou l’hitlérisme au siècle précédent. Avec ses gurus, son dogme, ses rites, ses officiants, ses adeptes, sa propagande pesante et son inquisition maniaque. Grotesque si elle n’était pas aussi nocive. Intolérante et agressive contre les blasphémateurs et les hérétiques.

    Parmi les victimes les plus connues de la vindicte réchauffiste

    Hendrik Tennekes viré du poste de directeur de la recherche de l’institut météorologique hollandais,

    Aksel Winn-Nielsen, ancien directeur de l’Organisation Météorologique Mondiale, éjecté,

    Suzan Crockford, docteur en zoologie, virée de l’université de Victoria, pour avoir révélé que les populations d’ours polaires augmentaient régulièrement.

    Les éminents universitaires italiens Alfonso Sutera et Antonio Speranza privés de tout crédit de recherche, coupables d’avoir contesté les fondements du prétendu réchauffement climatique anthropique.

    Mais aussi Peter Ridd, enseignant à la James Cook University Queensland renvoyé pour avoir attribué le dépérissement des coraux à la pollution marine liée aux rejets industriels et domestiques, au lieu de dénoncer comme unique cause le soi-disant réchauffement anthropique.

    Au procès, les attendus de la cour furent révélateurs: " Ridd a été victime de persécutions, de brimades, et d’un harcèlement hystérique jusque dans sa vie privée, sans autre reproche que d’avoir exprimé une théorie non conforme à ce que professaient ses collègues. "

    En 2022, selon l’Institut australien des sciences de la mer, la grande barrière de corail dont la disparition était annoncée à cause du réchauffement a atteint des niveaux de couverture inégalés depuis 36 ans. Bonne nouvelle pour les zékolos? Que nenni ! Entre chantages aux carrières et copinages politiques, ils ont exigé que les magazines et émissions axés sur l’environnement n’en parlent pas !

    Quant à la France, est-il utile de rappeler le tombereau d’injures déversé par les médias aux ordres sur Claude Allègre, médaille d’or du CNRS et membre de l’Académie des Sciences? Avec cet argument spécieux: "Il n’est pas climatologue!".

    Sans dire que les 2 patrons du GIEC de l’époque, le Français Jouzel et l’Indien Pachauri étaient l’un physicien atomiste, et l’autre ingénieur ferroviaire.

    En France le crétinisme et la soumission sont des vertus appréciées

    On est loin de l’esprit soixante-huitard pour qui le prof n’est pas là pour imposer ses théories que chacun doit apprendre par cœur. Ce sont les étudiants qui, en discutant, doivent analyser des données concrètes et en extraire des concepts. Avantage de la démarche: on apprend à peser le pour et le contre pour se forger une opinion, et à défendre son point de vue en argumentant.

    En France, l’enseignement secondaire et supérieur des 50 dernières années se sont ingéniés à diluer le sens critique, émasculer l’esprit frondeur, condamner le goût des discussions hors piste, et rejeter cet extraordinaire stimulus pour l’esprit qu’est la remise en cause des théories qu’on croit acquises pour en explorer de nouvelles. En dehors de la doxa fixée par le Nouvel Ordre Mondial et ses banksters, point de salut !

    La climatologie du GIEC est une variante de la pataphysique

    Loin de la pratique consistant à observer et répertorier des faits, puis à chercher des corrélations entre eux suggérant des tendances permettant d’en tirer une loi, avant d’en vérifier les tenants et aboutissants lors d’expérimentations renouvelables, en soumettant sa méthodologie à ses pairs… Méthode scientifique classique, hors physique quantique…

    Les gens du GIEC sélectionnent des statistiques, ou les truquent, et assènent des axiomes se renforçant les uns les autres, ne retenant que les données les confortant, en écartant, modifiant ou marginalisant celles incompatibles avec leurs conclusions prédéterminées ! Et ceci aboutit à un paradigme présenté comme irréfragable.

    Des voyants à la vue trouble

    L’évolution des climats dépend d’une multitude de paramètres, la plupart aléatoires, qu’on parvient à sérier séparément mais dont on a le plus grand mal a déterminer l’inter connectivité parce que celle-ci est conjoncturelle et imprévisible. Prétendre maîtriser l’ensemble de ces données, en les confiant à un ordinateur qui pratique des tris croisés et des extrapolations selon le programme qu’on lui a implémenté, témoigne d’une extraordinaire suffisance confinant à l’arrogance.

    La plus énorme erreur est de vouloir fixer des tendances s’appliquant partout de la même manière, avec une obsession maniaque: prédire et justifier le réchauffement global. Et une cécité ahurissante attribuant un rôle prépondérant au CO2 responsable de tous les maux !

    C’est tout simplement ascientifique car le principal gaz à effet de serre est la vapeur d’eau.

    H2O représente 2% de l’atmosphère soit 50 fois plus que le CO2 (= 0,04%)

    Or dans les modèles du GIEC, le CO2 vire à la folie obsessionnelle (la trogne agitée de Greta est contagieuse) alors que dans l’atmosphère il est mélangé à la vapeur d’eau qui possède de larges bandes d’absorption qui recouvrent en intensité et en fréquences celles du CO2 avec un ratio de 50 pour 1.

    C’est la vapeur d’eau qui absorbe par saturation la quasi-totalité de la chaleur, soit 90% des infra-rouges, le reste étant imputable à d’autres gaz comme l’ozone ou le méthane. Mais la chaleur ne s’accumule pas par additions successives !

    En outre, les " savants " du GIEC ignorent l’effet du gradient thermique vertical: l’air chaud monte et perd 2°C/1.000 pieds. Quand il fait 25°C au sol, il ne fait plus que 12° à 2000 m.

    Enfin le GIEC ne tient pas compte de l’accélération du cycle de l’eau qui se traduit du fait de la chaleur par un épaississement des couches nuageuses, avec pour effet d’accroître l’albédo de la terre et donc de renvoyer davantage de rayons solaires vers l’espace, diminuant ainsi l’effet de serre et le réchauffement tant redouté.

    Pour Richard Lindzen, professeur au MIT et physicien spécialiste de l’étude de l’atmosphère: " Il n’y a pas de consensus, unanime ou non, sur les tendances de long terme du climat et sur leurs causes (…) Nous ne sommes pas en position d’attribuer avec suffisamment de confiance les changements climatiques passés au dioxyde de carbone, ou de prédire ce que le climat sera dans le futur".

    Tandis que feu Frédérick Seitz, physicien en structure des matériaux et rayonnements ionisants, et président de l’Académie des Sciences des USA, disait:

    "Il n’existe aucune preuve scientifique convaincante indiquant que les émissions de dioxyde de carbone, de méthane ou d’autres gaz à effet de serre causent ou causeront, dans un avenir prévisible, un réchauffement catastrophique de l’atmosphère de la Terre et une rupture de son climat".

    Pied de nez au GIEC et à ses astrologues, des astrophysiciens se fiant à une baisse constante de l’activité solaire ont émis l’hypothèse qu’on pourrait connaître une période glaciaire de quelques siècles semblable à celle consécutive au "minimum de Maunder" à partir de 2030.

    Pensée magique contre paramètres de Milankovitch

    Les cycles climatiques courts (siècles) et intermédiaires (millénaires) sont fonction d’abord de l’activité solaire, à laquelle il convient d’ajouter pour les cycles longs une incidence plus marquée des variations d’orbite de la terre, des changements de son inclinaison et de son axe de rotation. Avec à la marge les grandes éruptions volcaniques.

    Ce sont les paramètres de Milankovitch validés par la science expérimentale:

    L’analyse des isotopes de l’oxygène dans les glaciers, la paléoclimatologie confirme les corrélations entre les éruptions et taches solaires et les ralentissements ou accélérations d’activité de notre étoile.

    La cyclo-stratigraphie entérine la théorie astronomique des climats, par l’analyse des cycles sédimentaires qui sont autant d’indicateurs dans les dépôts des sédiments marins carbonés, de l’influence de la précession, de l’obliquité et de l’excentricité.

    La dendrochronologie sur des périodes plus courtes de l’ordre de 10.000 ans, étudie des cernes des arbres y compris fossilisés, révélant la succession des période chaudes, froides, sèches, humides et leur durée.

    Mais qu’importe ! Les réchauffistes persuadés de savoir distinguer le Vrai du Faux, le Bien du Mal, comme leur simplette Greta voit et sent le CO2, se sont auto-investis de la mission sacrée de protéger l’espèce humaine contre ses propres erreurs. Ils annoncent des cataclysmes qui correspondent à des événements climatiques extrêmes comme on en a toujours connu, en taisant cette statistique qui donne à réfléchir: En 1931 3,7 millions de personnes sont mortes du fait de catastrophes naturelles. Pour 11.000 seulement en 2018. Alors qu’entre temps, la population mondiale a quadruplé.

    Pour les chamanes de la secte réchauffarde, tous ceux qui ne pensent pas comme eux sont dans le Faux et le Mal, et menacent la survie de l’humanité. Les réchauffistes ont donc un devoir impératif de museler tous ceux qui contestent leurs lubies. C’est une logique d’inquisiteur. De nazillon ou de stalinien. Ou de khmer rouge repeint en vert.

    Bien entendu cette attitude ne favorise pas un débat scientifique, que les réchauffistes esquivent en traitant par l’anathème et l’excommunication leurs contradicteurs. On ne discute pas avec le diable !

    Christian Navis

    https://climatorealist.blogspot.com

  • Relever la tête face à Pap Ndiaye

    C’est une attaque ultra violente, venue troubler la quiétude de ce beau dimanche de mai. Pap Ndiaye est l’invité de Francis Letellier sur France 3, et se voit interrogé à propos de la couverture de Valeurs actuelles qui le consacre "ministre de la destruction nationale". La couverture annonce la couleur: "Mixité forcée, propagande idéologique, islamisation, effondrement scolaire: SOS pour l’éducation de nos enfants". Accusations graves, il est vrai, simple relais de l’angoisse de centaines de milliers de parents méprisés par ce ministre en sursis.

     Il doit répondre. Que répond-il?  "Je ne lis pas la presse d'extrême droite". Notre couverture, sur son bilan accablant? "C'est pour moi un sujet de fierté", son "badge d'honneur". Comment, pourquoi ose-t-il? En raison de la "longue histoire" qui court "de Gringoire jusqu'à Valeurs actuelles".

    Gringoire donc, donc journal antisémite et collabo arrêté après la libération. Valeurs actuelles, journal conservateur interrompu pendant la guerre. Ils osent tout…

    Vous êtes nombreux à nous avoir écrit pour nous suggérer de porter plainte pour injure ou diffamation contre le ministre. Injure? Assurément. Diffamation? A tout le moins. Mais nous avons réfléchi cette semaine à la manière de relever la tête face à Pap Ndiaye. Car au fond, cette affaire vous concerne autant que nous.

    Qui est Pap Ndiaye? Un historien, certes. Un déconstructeur pur jus, surtout, adepte des pires thèses racialistes prêchées sous le vernis de la respectabilité, souvent depuis les États-Unis, où elles trouvent leur source. Un hypocrite de plus, qui vante les mérites d’une école qui s’effondre tout en protégeant ses enfants de celle-ci en les abritant dans la très chic et sélect école alsacienne de Paris. Un ministre incompétent - ou plutôt malfaisant - de plus, qui promeut l’aggravation des maux qui nous ont conduit à ce désastre.

    Certains l’ont remarqué, nous n’avions pas attaqué Pap Ndiaye au moment de sa nomination, car nous voulions éviter les procès d’intention et espérions un miracle. Un an plus tard, notre procès était étayé, sourcé, implacable. Entrisme islamique a l’école, baisse du niveau, insécurité, professeurs abandonnés, délires pédagogiques, propagande LGBT: tous les maux de l’école y étaient consignés.

    Le ministre aurait pu y répondre. Mais non. Il a décidé de faire comme font tous ceux qui fuient leur responsabilité: fermer les yeux. Et pour mieux accompagner sa dérobade, il nous accuse. Quand le ministre répond "extrême droite", c’est vous qu’il insulte. Comme tous ceux avant lui qui, depuis quarante ans, répondent « extrême droite » à qui ose pointer un problème. Sécurité, immigration, Europe, industrie, fiscalité, organisation du territoire, démocratie… Lamentez-vous et on vous répondra: "extrême droite".

    Pendant longtemps, cela a fonctionné. Vous baissiez la tête, culpabilisiez parfois. Eux sont restés aux affaires et ont continué, en toute impunité, à guider notre pays vers l’abîme.

    Le mérite de l’affaire Pap Ndiaye, c’est de nous faire réaliser qu’il est temps que cela cesse. Vous n’êtes pas d’extrême droite parce que vous êtes inquiets. Nous ne nous laisserons plus intimider, nous ne laisserons plus criminaliser l’inquiétude de tous ceux qui votent à droite de Sandrine Rousseau. Il est temps de relever la tête.

    Dans les jours qui viennent, Valeurs actuelles, puisque c’est son rôle de sonner le tocsin, annoncera une initiative de grande ampleur pour contraindre le ministre de l’éducation nationale à assumer son bilan. Nous relaierons ainsi l’inquiétude de millions de parents et mènerons un combat vital pour l’avenir de la France. Soyez présents, répondez à l’appel. Et ensemble, nous relèverons la tête face aux déconstructeurs.

    La honte doit changer de camp.

    Geoffroy Lejeune

    Directeur de la rédaction de Valeurs actuelles

    https://www.valeursactuelles.com

  • JE VOUS SOUHAITE UN JOLI MOIS DE MAI

    …. avec, comme il se doit, beaucoup, beaucoup de bonheur.

    Chantez!!!

    C’est une vielle chanson occitane et galante. Comme elle est occitane, elle a moultes variantes à proportion des variations de cette langue selon les régions. Et la variété se redouble évidemment quand on la traduit en français, selon les traducteurs et leur habileté.

     

    Voici le mois de mai

    Lles fleurs volent au vent (bis)

    Les fleurs volent au vent si jolie mignonne

    Les fleurs volent au vent si mignonnement

     

    Le fils du roi S'en va les ramassant (bis)

    S'en va les ramassant si jolie mignonne

    S'en va les ramassant si mignonnement

     

    Il en ramasse tant

    Qu'il en remplit ses gants (bis)

    Qu'il en remplit ses gants si jolie mignonne

    Qu'il en remplit ses gants si mignonnement

     

    A sa mie les porta

    Les donna en présent (bis)

    Les donna en présent si jolie mignonne

    Les donna en présent si mignonnement

     

    Tenez tenez, dit-il

    Tenez voici des gants (bis)

    Tenez voici des gants

    Si jolies mignonnes

    Tenez voici des gants

    Si mignonnement.

     

    Vous ne les mettrez guère

    Que quatre fois par an (bis)

    Que quatre fois par an

    Si jolies mignonnes

    Que quatre fois par an

     

    À Pâques à la Toussaint

    Noël et la Saint-Jean (bis)

    Noël et la Saint-Jean

    Si jolies mignonnes

    Noël et la Saint-Jean

    Si mignonnement.

     

  • Une blague de mon invention

    Comment économiser l'eau partout en France?

    Faire un décret pour interdire l'eau du pastis

    A Toulouse, dans les bars, quand on veut boire un pastis on commande: "un jaune" s'il vous plait!