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  • Les voyages forment les maladies...

    Quelles sont les maladies à transmission vectorielle importées en Europe par les voyageurs en provenance d’Afrique?

    La revue Eurosurveillance a publié récemment un article faisant le bilan des maladies à transmission vectorielles importées en Europe par les voyageurs en provenance d'Afrique entre 2015 et 2019.

    Cette étude a pris en compte les cas de chikungunya, fièvre hémorragique de Crimée-Congo (FHCC), dengue, paludisme, peste, fièvre de la vallée du Rift (FVR), encéphalite à tiques (TBE), infection par le virus du Nil occidental (VNO), fièvre jaune (FJ) et Zika (MZV) déclarés dans le système européen de surveillance (TESSy) auquel participent les 27 pays de l'union européenne, ainsi que l'Islande, le Liechtenstein, la Norvège et le Royaume-Uni.

    Le nombre de cas de chaque infection a été rapporté au nombre de voyageurs arrivés d'Afrique par avion pendant la période de l'étude (données de l'Association internationale du transport aérien) et exprimé en taux d'infection pour 100 000 voyageurs (TI). Les pays de provenance ont été identifiés et regroupés en 5 zones (Afrique de l'Ouest, Australe, du Nord, Centrale, et de l'Est).

    Au total, environ 125 millions de personnes sont arrivées par avion commercial d'Afrique en Europe de 2015 à 2019. Ces voyageurs arrivaient d'Afrique du Nord (79,3 millions, principalement du Maroc (31,1 millions)), d'Afrique de l'Est  (16,4 millions), d'Afrique de l'Ouest (15,4 millions) d'Afrique Australe (9,6 millions, principalement d'Afrique du Sud) et d'Afrique Centrale (4,2 millions).

    1. Paludisme

    Le paludisme est de loin la maladie à transmission vectorielle la plus fréquente chez les voyageurs en provenance d'Afrique, avec 34 235 cas (TI: 28,8). Sur la période d'étude le nombre de cas a constamment augmenté alors que le TI diminuait.

    Les cas arrivent essentiellement d'Afrique de l'Ouest (20 657 cas; TI: 140) dont 5 822 cas en provenance du Nigeria (TI: 202,7) et 4 550 de Côte d'Ivoire (TI: 404,7), d'Afrique Centrale (9 151 cas; TI: 140) dont 4 056 cas en provenance du Cameroun (TI: 425,9) et d'Afrique de l'Est (3 877 cas; TI: 24,3) dont 852 cas en provenance d'Ouganda (TI: 129,5) et 633 en provenance d'Erythrée (TI: 464,7).

    Les TI les plus importants concernent les voyageurs en provenance de République Centrafricaine (TI: 1608,5), du Sierra Leone (TI: 712,2), de Guinée Equatoriale (TI: 655,7), de Guinée (TI: 648,4), d'Erythrée (TI: 464,7), de Côte d'Ivoire (TI: 404,7) et de la République du Congo (TI: 252,6).

    L'espèce en cause est précisée dans 31 456 cas.

        Plasmodium falciparum représente 89% des cas (n=28 070), ce taux variant de 75% pour l'Afrique de l'Est à 92% pour l'Afrique de l'Ouest. Le nombre de cas a augmenté au cours de la période d'étude (5 015 en 2015 contre 6 140 en 2019).

    ovale représente 5,8% des cas (n=1817), le nombre de cas étant resté stable sur 5 ans. L'infection a été contractée essentiellement en Afrique de l'Ouest (1 035 cas) et Centrale (573 cas).

    vivax représente 2,3% des cas (n=719). Le nombre de cas a décru passant de 249 en 2015 à 60 en 2019. L'infection était contractée en Afrique de l'Est (472 cas) et de l'Ouest (144 cas).

    malariae représente 2,5% des cas (n=798), le nombre de cas étant resté stable dans le temps. L'infection a été contractée essentiellement en Afrique de l'Ouest (363 cas) et Centrale (310 cas).

    Au cours des 5 années, en Afrique de l'Est, le nombre de cas d'infections P. vivax a diminué de 83%, passant de 198 à 33 cas, alors que les infections à P. falciparum ont augmenté de 74%, passant de 377 cas en 2015 à 657 cas en 2019. Pour l'Afrique du Nord, avec 93% des cas originaires du Soudan, un changement comparable dans la distribution des espèces de Plasmodium a été noté.

     

    Soixante-cinq pour cent des cas étaient des hommes et l'âge moyen au moment de l'infection était de 37 ans. Parmi les cas dont l'issue a été précisée (47%), le taux de létalité était inférieur à 1%. Parmi les cas pour lesquels le pays de résidence était précisé (57%), 88% étaient des résidents européens et 11% des résidents africains, principalement d'Afrique de l'Ouest et d'Afrique centrale.

    Géographiquement, la variation des TI dans les régions correspond à l'incidence de la maladie estimée par l'Organisation mondiale de la santé. Sur la période étudiée, si le nombre de cas a augmenté, la probabilité d'infection a diminué. Cette évolution peut s'expliquer par les efforts de luttes déployés dans les pays africains en particulier dans les zones les plus développées qui sont préférentiellement fréquentées par les touristes, et une meilleure adhésion à la prophylaxie. Le paludisme est l'infection qui touche proportionnellement le plus de résidents africains, probablement du fait d'un moindre respect des règles de prophylaxie. Les données disponibles ne permettaient pas d'évaluer la chimioprophylaxie.

    1. Dengue, chikungunya et Zika

    La dengue était la deuxième maladie à transmission vectorielle signalée avec 956 cas (TI: 0,8). Deux pics de cas et de TI ont été observés, en 2017 (n = 239; TI: 1,0) et en 2019 (n = 374; TIR: 1,4). Les voyageurs infectés sont arrivés de 41 pays africains, principalement d'Afrique de l'Est (n = 505; TIR: 3,2) dont la Réunion (156 cas; TI: 5,2), les Seychelles (92 cas; TI: 9,1) le Kenya (78 cas; TI: 3,2) et la Tanzanie (68 cas; TI: 4,5), et d'Afrique de l'Ouest (n = 311; TIR: 2,1) dont la Côte d'Ivoire (111 cas; TI: 9,9). Malgré le faible nombre de cas en Afrique centrale, le TI était comparable à celui de l'Afrique de l'Ouest (TI: 2,3). Les TI les plus élevés concernaient le Lesotho (TIR: 107,9), mais l'intervalle de confiance du TI était large, la Somalie (TIR: 16,6) et le Burkina Faso (TIR: 14,8). Les TI pouvaient varier selon les années.

    Entre 2015 et 2019, 161 cas (TIR: 0,1) de chikungunya ont été recensés. Le nombre annuel de cas et le TI étaient les plus élevés en 2016 (n = 35; TIR: 0,2), 2018 (n = 40; TIR = 0,2) et 2019 (n = 57; TIR: 0,2). Les voyageurs infectés sont arrivés de 20 pays africains, principalement d'Afrique de l'Est (n = 84; TI: 0,6) dont 34 cas du Kenya (TI: 1,4) et 29 de Somalie (TIR: 15,0), d'Afrique centrale (n = 48; TI: 1,2) dont 17 cas provenant de la République du Congo (TI: 4) et 12 de République Démocratique du Congo (RDC) (TI: 3,8) et 10 de Guinée Equatoriale (TI: 5,9),  et d'Afrique de l'Ouest (n = 26; TI: 0,2). Les pics les plus importants du nombre de cas et des TI ont été observés en Somalie en 2016 (TI: 65,0), au Kenya en 2018 (TIR: 5,1), en République du Congo et en RDC en 2019 (TI: 22,6 et 15,6, respectivement). Parmi les cas dont le pays de résidence a été signalé (45/161), 98% étaient des résidents européens.

    Il y a eu 16 cas de Zika qui ont été infectés en Angola (n = 4), au Cameroun (n = 4), au Burkina Faso (n = 2), au Cap Vert (n = 2), en Côte d'Ivoire (n = 1), au Kenya (n = 1), au Nigeria (n = 1) et au Sénégal (n = 1). La moitié des cas (n = 8) étaient des femmes et l'âge moyen au moment de l'infection était de 42 ans. Aucun cas de Zika chez les femmes enceintes ou de décès n'a été signalé. Le lieu de résidence a été signalé pour 15 cas; tous étaient des résidents européens.

    Concernant la dengue et le chikungunya, le nombre de cas et les TI paraissent refléter la circulation de ces virus, notamment dans les zones touristiques (en effet, plusieurs épidémies décrites dans des pays en zones non touristiques n'ont pas été associées à une augmentation des cas importés). Les cas importés de Zika sont rares et ont été acquis dans des pays où le virus est connu comme circulant. Malgré sa rareté, compte tenu des risques liés à l'infection chez la femme enceinte, l'évaluation du risque Zika ne doit cependant pas être négligée chez le voyageur de rendant en Afrique.

    1. Autres maladies à transmission vectorielle importées

    Il y a eu neuf cas confirmés importés d'infection par le virus du Nil Occidental: cinq en provenance de Tunisie et un en provenance d'Algérie (2018), de Djibouti (2019), d'Égypte (2016) et d'Afrique du Sud (2017). Cinq des cas étaient des hommes et l'âge moyen au moment de l'infection était de 65 ans. Un cas mortel a été signalé. Le lieu de résidence a été signalé pour cinq cas et tous étaient des résidents européens. Ces cas sont tous liés à des pays où la circulation du virus a été identifiée et la moyenne d'âge élevée est en accord avec le fait que la maladie touche plus gravement les personnes âgées.

    Il y avait quatre cas importés de fièvre de la vallée du Rift, tous originaires d'Afrique de l'Ouest: trois du Mali (dont 2 cas chez des militaires français) et un du Ghana. Tous les cas étaient des hommes et l'âge moyen au moment de l'infection était de 32 ans. Les quatre cas étaient des résidents européens. Aucun décès n'a été signalé.

    En 2018, un cas confirmé de fièvre jaune a été signalé. Il concernait d'un homme de 26 ans non vacciné qui avait voyagé au Sénégal et en Gambie où la vaccination n'est pas obligatoire pour les voyageurs à l'entrée.

    Pour la FHCC, la TBE et la peste, cette étude n'a trouvé aucun cas chez les voyageurs en provenance d'Afrique au cours de la période analysée.

    1. Conclusions:

    Le nombre de cas et donc les TI présentés dans cette étude sont probablement sous-estimés pour plusieurs raisons: un sous-diagnostic des formes bénignes, l'absence de prise en compte des infections déclarées au cours du voyage, une sous-déclaration en particulier des formes sans gravité, la non prise en compte des voyageurs utilisant un moyen de transport autre que l'avion.

    Les points à retenir pour les voyageurs sont les suivants:

        la protection personnelle anti-vectorielle est incontournable pour les voyageurs se rendant en Afrique;

        la mise en place d'une chimioprophylaxie du paludisme conforme aux recommandations doit être prescrite à tous la voyageurs se rendant en zone d'endémicité du paludisme, y compris aux voyageurs originaires de ces zones;

        la vaccination contre la fièvre jaune, en l'absence de contre-indication, doit être mise en œuvre conformément aux recommandations de l'OMS chez tous les voyageurs âgés de 9 mois ou plus se rendant en zone d'endémie;

        le risque d'arbovirose ne doit pas être méconnu des voyageurs se rendant en Afrique.

    Source: Eurosurveillance

    Auteur: Patrick GEROME

  • Des grillons au repas : la dérive

    Et voilà que de nouveaux ingrédients sont autorisés dans la composition des pains: poudre d’Acheta domesticus (grillons) partiellement dégraissés. Ce joli cadeau de nos instances européennes pour permettre une alimentation plus écocompatible n’est probablement pas vraiment adaptée à nos organismes qui bien qu’étant omnivores nous fera renouer avec les belles époques de famine où le peuple mangeait des racines et des rats…

    Plus grave ! Depuis plusieurs années les professionnels de la boulangerie se sont ingéniés à éliminer tous les numéros E autorisés et soumis à déclaration comme les propionates, acidifiants, conservateurs, émulsifiants qui faisaient tache sur les étiquettes.

    Pour obtenir des produits clean label les ingrédientistes ont élaboré une machine de guerre pour produire des pains à mie bien alvéolée et des croûtes bien dorées. Pour le goût ils inventent des poudres de perlimpinpin et faux levains qui colorent et aromatisent lesdit pains qui bientôt n’auront plus de pain que le nom…

    Le secret: les enzymes

    Pour qu’une pâte devienne pain on peut agir sur deux composantes de la farine : l’amidon et le gluten. Le premier qui est un sucre source de CO2 qui agit sur le "gonflement" de la pâte et le deuxième qui devient la structure permettant de retenir la production gazeuse du premier. Un peu comme un ballon : l’enveloppe permet de retenir l’air insufflé.

    Les pains modernes ont donc soit ajouté du gluten au mélange en corrigeant par des émulsifiants (E471-E472 par exemple) soit corrigé l’activité enzymatique. Cette dernière est dépendante de la qualité du blé qui contient naturellement des enzymes (alpha, beta amylases par exemple) mais de qualité variable car dépendantes des sols, de la technique de culture, de la pluviosité, du climat etc.

     

    Donc nos petits chimistes bricoleurs ont cultivé des enzymes fongiques OGM à forte activité. De plus, ils ont également bricolé des enzymes bactériennes qui ont la particularité de résister à la chaleur et donc ne sont pas tuées pendant la cuisson du pain. Ces dernières vont donc se retrouver dans nos estomacs avec des conséquences encore non identifiées.

    LE MONDE DU LAIT ET DES FROMAGES notamment pasteurisés utilise cette technique des enzymes depuis bien longtemps et il n’est pas étonnant que nous n’ayons plus aucun fromage français dans le top ten mondial…

    De MEME LES VIGNERONS s’amusent également à bricoler des enzymes…

    Les allergies alimentaires ont de beaux jours devant elles…

    Le scandale dans toute cette affaire c’est que nos penseurs européens (et français) ne songent pas un instant à obliger les fabricants à déclarer les enzymes entrant dans la composition de leurs produits.

    Douce France, ta culture gastronomique avec tous ces produits de terroir et de tradition fout le camp et tant pis pour la santé !

    Des grillons pour les gueux et des côtes de boeuf pour nos élus. Ça permet de limiter l’élevage de ruminants péteurs

    Le monde devient fou. On s’active à interchanger les " genres », maintenant on veut modifier le système alimentaire. La Re-création est en marche. L’Homme veut devenir dieu.

     

  • Comment certains rackettent les commerçants de banlieue

    Alors, dans cette banlieue pauvre, comment se passaient les tentatives de racket dans le café de mes parents?

    Vous aviez plusieurs Arabes qui entraient dans le café, des jeunes, ils allaient s’asseoir et commandaient des consommations. Puis, au bout de quelque temps, ils commençaient à s’engueuler entre eux. Très fort. Agressivement. Histoire de déranger et d’effrayer le plus possible les autres clients présents. Puis ils déclenchaient une bagarre, entre eux uniquement. Très intelligemment ils n’agressaient jamais les autres clients, jamais (car il ne faut jamais agresser quelqu’un qui pourrait porter plainte contre vous). Durant cette bagarre, ils renversaient leur table, cassaient leurs verres, etc. Mes parents n’avaient même pas le temps d’intervenir que d’autres Arabes, des adultes cette fois-là, entraient aussitôt dans le café pour mettre fin à cette dispute entre eux.

    " Foutez le camp, bande de petits cons! Ne dérangez pas les honnêtes gens! Laissez-les tranquilles!! Allez, ouste, dehors! " À mes parents: " Excusez-les pour le dérangement occasionné, ce ne sont que des petits cons, mais on garde un œil sur eux, pour qu’ils n’emmerdent pas les gens. Dites-nous combien on vous doit pour les consommations et les verres cassés. On vous paye tout de suite. "

    Ils payaient et ils partaient. Quelques jours passaient, puis les jeunes Arabes revenaient ; et à nouveau, cris, bagarre, verres cassés, etc. Et à nouveau les adultes débarquaient pour les chasser et imposer le calme. Quand mes parents les avaient repérés et les foutaient dehors dès leur entrée, c’étaient d’autres jeunes Arabes qui prenaient le relais. Et rebelote.

    Et puis un jour… les Arabes adultes arrivaient, seuls. Et ils tenaient à mes parents ce type discours: " On voit bien que les jeunes de la cité qui viennent chez vous vous dérangent, et dérangent vos clients par la même occasion. On est les premiers désolés, vous savez. En plus, vos habitués, ne voulant plus être dérangés, et par peur, ne viennent plus chez vous. Du coup vous perdez de la clientèle et du chiffre d’affaires. C’est triste. Mais rassurez-vous, on va prendre les choses en main pour qu’ils ne dérangent plus les honnêtes gens comme vous! On va créer une association d’insertion, pour s’occuper d’eux et les remettre dans le droit chemin. Si on vient vous voir, c’est justement parce que nous cherchons à créer un partenariat efficace avec les commerçants du quartier, afin de mettre en place un système de mécénat constructif et généreux pour aider ces jeunes, en participant au financement de notre association. "

    Jamais n’étaient prononcés les mots: racket, menace, extorsion. Mais toujours les mots: solidarité, entraide, générosité. La manière d’agir, le vocabulaire employé, le tempo, tout était d’une intelligence et d’une subtilité incroyables.

    En sous-texte, le message était clair: si vous voulez la paix et ne pas finir ruinés, il faut payer!

    Mais devant un tribunal, c’était inattaquable. Aucune preuve. Rien que des personnes altruistes cherchant à aider les autres, et cherchant des fonds pour leur association d’insertion tout en surveillant les " jeunes " pour qu’ils n’embêtent pas les commerçants.

    Et le plus fort est que ce mode opératoire était répété dans les autres cafés! On y voyait les mêmes " jeunes ", les mêmes bagarres, les mêmes adultes venant instaurer le calme, etc.

    C’est-y pas beau l’ingéniosité!?

    Mais mes parents n’ont jamais cédé. Alors ce furent les représailles habituelles: innombrables agressions, coups, bagarres, voiture brûlée, menaces de mort, menaces de viol, coup de feu tiré sur la devanture du café, etc. Et puis " ils " revenaient " officiellement " pour demander si on ne voulait toujours pas faire preuve de générosité en aidant " les plus défavorisés " via une participation au financement de leur association… Mais mes parents ont toujours refusé de payer ; on a toujours pris ça à la rigolade.

    Que faire d’autre? Puisque notre société, inversant les rôles, nous expliquait que nos " agresseurs " étaient des " victimes ", et que nous " agressés " étions " coupables "! Grâce à ce redoutable inversement de valeurs, les coupables sont devenus des victimes et les victimes des coupables. Formidable! Surtout formidable manipulation de cette gôôche aujourd’hui exécrée jusqu’à la haine pour ça par bon nombre de Blancs pauvres de banlieue qui ne lui pardonneront jamais!! et qui ne rêvent que d’une chose: se venger!!!

    Quand dans une société où les gens ne rêvent plus " de vivre en paix ", mais rêvent " de tuer les traîtres et d’éliminer leurs ennemis ", il y a, comme qui dirait, un léger problème d’avenir en perspective…

    Cependant les islamo-racailles n’avaient pas renoncé au racket pour autant. Cela était resté ancré au fond de leur cerveau, comme une " idée à améliorer ". Jusqu’au jour où ils ont enfin trouvé la solution, le Saint Graal: ne plus racketter les commerçants, mais racketter l’État français!

    Bien plus rentable ; on passe de quelques milliers d’euros à des milliards d’euros!! Là on ne rigole plus, on joue dans la cour des grands. Pour caricaturer, ils ont créé des associations bidon et mis la pression pour faire " payer la paix sociale " à la France. Et pour cela, ils ont su s’y prendre avec maestria!!!

    Un jour, se saisissant d’un prétexte futile, un début d’émeute éclate et quelques voitures sont brûlées par les " jeunes " de la cité. Accourent alors journalistes et politiques qui se mettent aussitôt à faire ce qu’ils savent faire le mieux: ramper ventre à terre devant les racailles, et leur trouver toutes les excuses du monde… Devant les caméras, les adultes arabes lancent officiellement des " appels au calme ", clamant que la violence n’est pas la solution, que seul le dialogue compte. Bref, comme d’habitude, le discours habituel. Après leur déclaration rassurante, ils viennent prendre un café chez nous. Là, dans l’arrière-salle du café, dans un lieu calme et discret, ma mère entend ces mêmes adultes arabes enguirlander des jeunes arabes: " Mais qu’est-ce que vous foutez!? Vous croyez que c’est en brûlant quelques voitures seulement qu’on va toucher des subventions, il faut en brûler 10 fois plus et tout casser, bon sang!! Alors vous y retournez, et vous mettez le paquet cette fois-ci!!! "

    Voilà " d’où je parle " pour me foutre de la gueule des gauchistes. Je parle d’un endroit où les minorités ethniques, justement soutenues et encouragées par les gauchistes, avaient compris que les politiques français, généreux, parce que lâches, récompensaient la délinquance et tout en même temps muselaient impitoyablement leurs victimes blanches en les traitant de sales racistes et d’ordures de fascistes.

    Existe-t-il plus beau moyen d’inciter tous les jeunes arabes et noirs à devenir délinquants!?

    Les gens de gôôches… des manipulateurs de génie!

    Quantité de gamins arabes et noirs, destinés à devenir des gens bien, ont pour leur plus grand malheur croisé des gens de gôôche sur leur chemin, puis, les écoutant, sont devenus des délinquants avec entrain.

    Dans Vois sur ton chemin, une des chansons principales du film Les Choristes, les paroles sont les suivantes:

    Vois sur ton chemin

    Gamins oubliés égarés

    Donne-leur la main

    Pour les mener

    Vers d’autres lendemains.

    Eh bien, bon nombre d’ordures de politiques, de salopes journalistiques et de traîtres d’intellectuels et de professeurs de gôôche, ont pris d’un côté la main des enfants noirs et arabes pour les emmener sur le chemin de la délinquance et de la haine de la France ; et de l’autre côté, la main des enfants blancs pour les emmener sur le chemin de la repentance, de la honte de soi, et de la haine de la France.

    Quand certains de ces soixante-huitards de merde n’ont pas pris des enfants par la main… pour carrément les emmener dans leur lit… afin de les violer.

    Pour avoir endoctriné tous les enfants de la France et détruit leurs vies, la place de tous ces gens est de se retrouver devant un tribunal populaire pour haute trahison envers les enfants de la nation!

  • Quand ceci sera mis en route…

    Quand ceci sera mis en route…

    vous pourrez commencer à faire vos valises!

     

    B.R.R.D (Bank Recovery and Resolution Directive

    Question : En quoi consiste la B.R.R.D (Bank Recovery and Resolution Directive)? Pourriez-vous m'expliquer en quoi consiste la B.R.R.D pour Bank Recovery and Resolution Directive, résolution adoptée par ordonnance le 20 août 2015 (tiens comme par hasard en pleine période de vacances)?

    En juin 2012, le Conseil européen a décidé qu'il fallait travailler à mettre au point un cadre commun ordonné de résolution des crises bancaires qui limiterait au maximum le coût pour les citoyens. Beaucoup de personnes se sont indignées contre cette loi, qui prévoit notamment dans certains cas de mettre les déposants à contribution. Mais de notre côté, on ne comprend pas trop ce qu'on lui reproche.

    Il faut bien comprendre qu'actuellement, en cas de faillite d'une banque, les déposants perdent la totalité de leur épargne. Il y a quand même une garantie de 100 000 euros mais dans la pratique, on sait qu'elle était difficilement applicable, notamment en cas de crise "systémique", c'est à dire qui toucherait toutes les banques par ricochet

    Le nouveau mécanisme, appliqué à partir du 1er janvier 2016 doit permettre de mieux garantir l'épargne des déposants. En cas de faillite d'une banque, les 100 000 euros seront toujours garantis et au delà, l'instrument de renflouement interne prévu par la directive contraindrait les actionnaires et les détenteurs d'obligations à encaisser les premiers coups. Les dépôts non garantis (plus de 100 000 euros) seraient touchés en dernier et dans de nombreux cas après l'intervention du fonds de résolution financé par la banque et du système national de garantie de dépôt du pays où se trouve la banque, dans le but de stabiliser la banque. Les plus petits déposants seraient dans tous les cas explicitement exclus du renflouement interne.

    Quand on voit ce qu'il s'est passé à Chypre, où une banque a fait faillite, on voit que la garantie des 100.000 euros s'est bien appliquée. Au delà, il y a eu en effet un prélèvement de 47%. 53% de ces dépôts ont donc pu être préservés. C'est déjà pas mal. Et la directive européenne est censée permettre d'améliorer encore ce taux.

    Bien sûr, cela peut paraître choquant que les épargnants puissent perdre de l'argent. On est en droit d'espérer de l'État qu'il agisse pour garantir cet épargne. Peut être d'ailleurs que l'État français agirait en cas de faillite d'une banque française...

    Toujours est il que la directive européenne a été instaurée pour améliorer cette situation. Avant la directive, l'épargne des déposants était loin d'être garantie. Avec cette directive, il y a du mieux même si on peut espérer encore plus...

    Source:

  • Fraude fiscale et immigration

    Les chiffres incroyables du magistrat Prats

    Charles Prats, ex-magistrat de la délégation nationale de la lutte contre la fraude au ministère du Budget, ancien juge d’instruction, ancien inspecteur à la direction nationale du renseignement et des enquêtes douanières, toujours magistrat du siège (Cour d’Appel) et membre du conseil scientifique de la formation et de la recherche stratégique, a affirmé, et en a apporté les preuves, en présentant un document officiel du ministère de Bercy: "économie.gouv.fr", qu’il y avait 18 millions de gens nés à l’étranger qui sont titulaires d’un numéro de sécurité sociale en France.

    Sur ce chiffre, déjà suffisamment impressionnant, 10%, soit 1,8 million sont des numéros frauduleux destinés à récupérer des prestations sociales et cela représente un pillage de la "Sécu" d’environ 13 milliards d’euros annuellement.

    80% de ces faux documents, soit environ 1,4 million, sont des fraudeurs d’origines algérienne, marocaine, malienne, congolaise, etc.

    Selon Charles Prats, cette fraude organisée pourrait même atteindre les 20 milliards.

    On se demande à quoi servent ces "intelligences numériques" qui gèrent nos budgets sociaux en général et la Sécurité sociale en particulier et, bien entendu, les ministres et les technocrates en charge de ces services.

    Quand prendra-t-on la décision de délivrer un numéro unique par citoyen, décerné à vie, pour tous les documents administratifs et d’identité, comme cela est pratiqué en Espagne notamment et limite considérablement les fraudes ?   

    Les statistiques, publiées par le ministère de l’Intérieur, nous informent que les demandes d’asile sont en progression constante depuis 2017, selon l’OFPRA (Office français de protection des réfugiés et apatrides).

    La France est le deuxième pays d’Europe choisi par ces demandeurs, derrière l’Allemagne (près de 200 000 dossiers enregistrés).

    Environ 150 000 demandes d’asile ont été déposées chez nous, un chiffre encore jamais atteint.

    Selon les statistiques : 65 000 en 2013/2014, 70 000 en 2015, 87 000 en 2016, 108 000 en 2017, 122 743 en 2019

    À ces chiffres s’ajoutent plus de 35 000 demandeurs d’asile venant d’un autre pays européen (Allemagne, Italie, Espagne, etc. qui leur refusent tout simplement l’asile sollicité).

    Il est à noter une très forte progression de demandeurs en provenance d’Afghanistan, de Géorgie, de Guinée et de Côte d’Ivoire.

    36% environ de ces demandeurs d’asile obtiennent ce statut de réfugiés alors qu’ils arrivent de pays qui ne sont pas en guerre.

    Les expulsions des étrangers en situation irrégulière atteignent rarement les 10% de reconduites à la frontière.

    Dans le grand débat d’enfumage proposé par le président de la République a été évoqué, mais seulement évoqué, l’idée d’établir des quotas. Il est vrai que cette solution est approuvée par 60% des Français, selon un sondage Odoxa: "En matière d’immigration, une fois nos obligations d’asile remplies, souhaitez-vous que nous puissions nous fixer des objectifs annuels définis par le Parlement ?".

    Vous pouvez être assurés qu’il n’en sera plus question lors de la compilation des dizaines de revendications retenues puis mises "au placard".

    Le président de la République, Emmanuel Macron, aurait tout intérêt à mettre ce sujet très actuel dans la priorité des revendications des citoyens français car l’immigration clandestine ne cessera pas demain, ni dans les prochaines années, elle est devenue irréversible!

    La loi sur l’immigration (qui va être présentée à l’Assemblée nationale dans les prochains jours et devrait être une loi "contre" l’immigration et qui, je l’espère, sera rejetée par Les Républicains, le RN et une partie des "Macronistes") n’apportera rien de nouveau : les entrées illégales ne diminueront guère, bien au contraire, les OQTF continueront à " vivre chez nous ", les délinquants étrangers ne seront pas expulsés, les récidivistes binationaux "resteront Français" et nos frontières resteront largement ouvertes, ainsi que nos "poches" afin que notre "humanisme" (largement subventionné) porte "aides et assistance" bien davantage aux "étrangers" qu’aux "nationaux" qui, sans doute, méritent leur "misère" et doivent être punis puisque Français!

    Manuel Gomez

  • Ce que vous devez savoir sur l'Ukraine

    Whitney : remettre les pendules à l'heure

    On se demande juste si quelqu'un à Washington réalise ce qu'il a fait ?

    Écrit par Mike Whitney,

    Le 16 février 2022, une semaine entière avant que Poutine n'envoie des troupes de combat en Ukraine, l'armée ukrainienne a commencé le bombardement intensif de la zone (dans l'est de l'Ukraine) occupée principalement par des Russes de souche .

    Des responsables de la Mission d'observation de l'Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe (OSCE) se trouvaient à proximité à ce moment-là et ont enregistré le bombardement au fur et à mesure qu'il se déroulait. Ce que l'OSCE a découvert, c'est que le bombardement s'est considérablement intensifié au cours de la semaine jusqu'à ce qu'il atteigne un pic le 19 février, lorsqu'un total de 2 026 frappes d'artillerie ont été enregistrées. Gardez à l'esprit que l'armée ukrainienne bombardait en fait des zones civiles le long de la ligne de contact qui étaient occupées par d'autres Ukrainiens.

    Nous tenons à souligner que les responsables de l'OSCE opéraient dans le cadre de leur capacité professionnelle en recueillant des preuves de première main des bombardements dans la région. Ce que leurs données montrent, c'est que les forces ukrainiennes bombardaient et tuaient leur propre peuple. Tout cela a été documenté et n'a pas été contesté .

    Ainsi, la question que nous devons tous nous poser est la suivante : le bombardement et le massacre de son propre peuple sont-ils un « acte de guerre » ?

    Nous pensons que oui. Et si nous avons raison, alors nous devons logiquement supposer que la guerre a commencé avant l'invasion russe (qui a été lancée une semaine complète plus tard ). Nous devons également supposer que la prétendue « agression non provoquée » de la Russie n'était pas du tout sans provocation, mais était la réponse humanitaire appropriée au meurtre délibéré de civils. Pour affirmer que l'invasion russe n'a pas été « provoquée », il faudrait dire que tirer plus de 4 000 obus d'artillerie sur des villes et des quartiers où vivent des femmes et des enfants n'est pas une provocation ? Qui défendra ce point de vue ?

    Personne, parce que c'est absurde. Le meurtre de civils dans le Donbass était une provocation claire, une provocation qui visait à pousser la Russie dans une guerre . Et - comme nous l'avons dit plus tôt - l'OSCE avait des observateurs sur le terrain qui ont fourni une documentation complète sur le bombardement tel qu'il a eu lieu, ce qui est aussi proche que possible d'un témoignage oculaire à toute épreuve.

    Ceci, bien sûr, est une rupture majeure avec le «récit officiel» qui identifie la Russie comme l'auteur des hostilités. Mais, comme nous l'avons montré, ce n'est tout simplement pas le cas. Le récit officiel est faux . Même ainsi, vous ne serez peut-être pas surpris d'apprendre que la plupart des grands médias ont complètement omis toute couverture des activités d'enquête de l'OSCE dans l'est de l'Ukraine. La seule exception a été Reuters qui a publié un compte rendu délibérément opaque publié le 18 février intitulé "La Russie s'alarme de la forte augmentation des bombardements du Donbass".

    Et voici quelque chose d'autre qui est généralement exclu de la couverture sélective des médias. Avant que Poutine n'envoie ses chars de l'autre côté de la frontière avec l'Ukraine, il a invoqué l'article 51 des Nations Unies qui fournit une justification légale à une intervention militaire . Bien sûr, les États-Unis l'ont fait à de nombreuses reprises pour fournir une feuille de vigne de légitimité à leurs nombreuses interventions militaires. Mais, dans ce cas, vous pouvez voir où la soi-disant responsabilité de protéger (R2P) pourrait en fait être justifiée, après tout, selon la plupart des estimations, l'armée ukrainienne a tué plus de 14 000 Russes de souche depuis le coup d'État soutenu par les États-Unis il y a 8 ans. . S'il y a jamais eu une situation dans laquelle une opération militaire défensive pouvait se justifier, c'était bien celle-là . Mais cela n'explique toujours pas complètement pourquoi Poutine a invoqué l'article 51 de l'ONU. Pour cela, nous nous tournons vers l'ancien inspecteur en armement Scott Ritter, qui l'a expliqué ainsi :

    Le président russe Vladimir Poutine, citant l'article 51 comme son autorité, a ordonné ce qu'il a appelé une "opération militaire spéciale"….

        en vertu de l'article 51, il ne peut y avoir aucun doute quant à la légitimité de l'affirmation de la Russie selon laquelle la population russophone du Donbass a été soumise à un bombardement brutal qui a duré huit ans et tué des milliers de personnes ... De plus, la Russie prétend avoir des preuves documentaires que l'armée ukrainienne se préparait à une incursion militaire massive dans le Donbass qui a été préemptée par «l'opération militaire spéciale» dirigée par la Russie. [Les chiffres de l'OSCE montrent une augmentation des bombardements gouvernementaux de la région dans les jours précédant l'arrivée de la Russie.]

        ..L'essentiel est que la Russie a présenté une revendication fondée sur la doctrine de l'autodéfense collective anticipée, conçue à l'origine par les États-Unis et l'OTAN, telle qu'elle s'applique à l'article 51 qui repose sur des faits et non sur de la fiction.

        Alors qu'il pourrait être à la mode pour les personnes, les organisations et les gouvernements occidentaux d'accepter la conclusion irréfléchie que l'intervention militaire de la Russie constitue une violation gratuite de la Charte des Nations Unies et, en tant que telle, constitue une guerre d'agression illégale, l'inconfortable la vérité est que, de toutes les affirmations concernant la légalité de la préemption en vertu de l'article 51 de la Charte des Nations Unies, la justification de la Russie pour envahir l'Ukraine repose sur un fondement juridique solide . ("La Russie, l'Ukraine et le droit de la guerre : crime d'agression", Consortium News)

    Traduction par une amie: l'article parle ensuite par ex, de la trahison de l'accord de MINSK....

    https://www.zerohedge.com/geopolitical/whitney-setting-record-straight-stuff-you-should-know-about-ukraine