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  • Climato-sceptique: yeeeeessssss!

    La prédiction climatologique sert bien les médias

    Le premier n’est pas scientifique, mais concerne plutôt le traitement médiatique et politique du sujet. Il faut savoir qu’il existe une énorme distance entre ce que vous entendez dans les médias et ce que contiennent réellement les différents rapports du GIEC (je parle de la partie scientifique, et non le " résumé pour décideurs ", qui est un document politique, et le seul réellement lu).

    Alors que Le Figaro publie un article agrémenté de photos trafiquées du Mont St Michel entouré de palmiers, il faut savoir que la position officielle du GIEC, finalement assez prudente, consiste seulement à affirmer que les émissions de CO2 d’origine humaine devraient provoquer un accroissement de température moyenne de surface de la Terre compris entre 1,5°C et 4,5°C à l’horizon 2100 par rapport à la période pré-industrielle. On voit donc l’incertitude énorme qui règne. Par exemple, si on prend la fourchette basse (et il y aurait de bonnes raisons à cela, cf. la suite), cela voudrait dire environ +0,5°C en 2100 par rapport à aujourd’hui. Pas de quoi fouetter un chat. Il est d’ailleurs remarquable que la même imprécision régnait déjà à mon époque en 2001 et que rien ne s’est amélioré depuis.

    Par ailleurs, le GIEC est bien incapable de projeter quoi que ce soit de crédible à des échelles régionales (vous pouvez donc oublier les palmiers au Mont St Michel), ni de démontrer un quelconque impact négatif de ce changement hypothétique, que ce soit en termes d’accroissement d’événements extrêmes, de montée des eaux, d’agriculture, etc. Il faut bien garder à l’esprit que tous ces impacts supposés sont essentiellement de la fabrication médiatique élaborée à partir de simples "possibilités" évoquées dans la partie scientifique des rapports du GIEC, mais certainement pas démontrées et encore moins observées pour le moment.

    Concernant les autres points, scientifiques cette fois, en voici un résumé :

    Le climat a commencé à se réchauffer à partir de la fin du XVIIe siècle (sortie du "petit âge glaciaire"), bien avant les émissions de CO2 par les énergies fossiles. Le réchauffement observé actuellement ne montre pas d’anomalie particulière par rapport à l’historique des 3 derniers siècles, qui a connu des accélérations et des ralentissements importants. Une première forte accélération a eu lieu au début du XVIIIe, et une deuxième au début du XXe (toutes deux alors que le CO2 d’origine humaine ne pouvait pas être blâmé). Une troisième a repris vers 1980, avec une tendance actuelle observée d’environ +0,13°C/décade, qui reste sensiblement plus faible que les prédictions.

    L’accroissement du CO2 atmosphérique n’a eu pour l’instant – dans le monde réel et non celui des modèles — que des effets positifs : verdissement généralisé de la planète, accroissement massif de la productivité agricole.

    L’impact du CO2 d’origine humaine sur l’énergie entrante dans le système climatique (le fameux "effet de serre anthropique") n’est que de 1 à 2 % du total des flux énergétiques, qui sont eux-mêmes connus avec une précision bien moindre que 1 à 2 %. Il est donc impossible de savoir si l’impact du CO2 n’est pas noyé dans des facteurs plus importants que l’on ne maîtrise pas.

    Les modèles numériques de climat – qui, je le rappelle, constituent l’unique base sur laquelle se fondent les prédictions apocalyptiques dont on nous abreuve — affichent en moyenne une sensibilité à l’accroissement du CO2 au minimum du double de la réalité observée jusqu’à maintenant. Dit autrement, cela signifie que l’on peut au minimum diviser par 2 les projections de température données par le GIEC.

    Plus grave encore, les modèles de climat sont par construction incapables de reproduire la variabilité naturelle de long terme du climat, qui est pourtant massive. On aboutit donc au raisonnement circulaire suivant : on construit un modèle complètement irréaliste dont le climat est stable par construction, on le perturbe par du CO2 d’origine humaine, le modèle réchauffe, et on utilise cela comme preuve que le CO2 d’origine humaine est le seul facteur pouvant expliquer le réchauffement du climat !

    Où est la fonte des glaces?

    Dans les observations réelles, il n’y a pour l’instant nulle trace des prédictions apocalyptiques qui nous sont données à longueur de médias : pas d’accroissement statistique des canicules, ni des tempêtes, ni des ouragans, ni des inondations, ni des sécheresses, ni des incendies de forêts, ni du niveau de la mer à un rythme anormal (le rythme de montée est stable depuis le XIXe siècle).

    La glace arctique a pas mal diminué depuis plusieurs années, mais elle était à un niveau bien plus faible encore il y a 1000 et 2000 ans, et ce sans intervention humaine. Par ailleurs les prédictions sur la fin des ours polaires (médiatisées par Al Gore et son " inconvenient movie ") ne se vérifient absolument pas : ils s’adaptent très bien.

    À l’opposé, l’Antarctique est très stable, et a même atteint un record de couverture de glace en 2016 (à noter que ce contraste Arctique/Antarctique est un autre élément que les modèles de climat sont totalement incapables d’expliquer)

    L’acidification des océans par le CO2 est très faible et ne détruit pas la vie marine (il se pourrait même que le CO2 soit bénéfique, comme pour les plantes terrestres)

    Comme on le voit, le climato-scepticisme ne consiste pas à nier un réchauffement ou nier un fait quel qu’il soit. Au contraire, il se base sur une analyse sans complaisance des faits et un rejet des spéculations non fondées, notamment issues de la modélisation numérique, qui est le principal talon d’Achille de l’ensemble.

    Comme le dit Roy Spencer, "des affirmations extraordinaires nécessitent des preuves extraordinaires". Et l’extraordinaire des affirmations se situe du côté du GIEC, pas du côté des sceptiques. Quant à l’extraordinaire des preuves, on attend toujours.

    Toute critique est sceptique

    Enfin, il faut noter que toute réponse politique à ce sujet se doit de prendre en compte tous les aspects, négatifs comme positifs, pour pouvoir faire une véritable analyse coût/bénéfice de toute mesure qui serait prise. Il va de soi que l’alarmisme actuel passe totalement à côté de ce simple bon sens.

    Pour finir, je réalise qu’après un tel spoiler, beaucoup pourraient être découragés d’acheter et de lire ce livre. J’espère que ce ne sera pas le cas, car d’une part il n’est pas cher et relativement court, et d’autre part il développe tous ces arguments de manière bien plus claire et complète que je ne puis le faire ici.

    Il vous fournira également les armes intellectuelles indispensables pour ne plus tomber dans le panneau de l’alarmisme obligatoire que l’on nous sert chaque jour dans un seul but : nous taxer et nous contrôler toujours plus pour un " bien commun " qui n’en a que le nom.

    Par Bruno Spagnoli

    Après des études scientifiques (Ecole Polytechnique, doctorat) et plusieurs années dans la finance de marché, Bruno Spagnoli est devenu entrepreneur en 2013. Passionné depuis longtemps par les questions de philosophie politique et d'économie, il se définit comme un libéral-conservateur.

    Pourtant, tout le monde sait que les ours polaires sont en danger extrême, eux qui sont passés d’une grosse population de 5 000 individus en 1950 à une petite poignée de 20 000 ours en 2012 (et le comptage en cours actuellement pourrait aboutir à une dégringolade catastrophique autour de 27 000 à 32 000 ours polaires).

    Pourtant, tout le monde sait que la Terre perd chaque jour des milliards d’hectares de forêts et que non, non, elle ne verdit pas, voyons enfin.

    Pourtant, tout le monde sait que les catastrophes naturelles font évidemment des victimes de plus en plus nombreuses puisqu’on est passé de seulement 210 000 en 1950 à presque 70 000 en 2010 soit une baisse de 67 % en 60 ans (alors que la population mondiale a triplé) ce qui est le signe clair que la situation empire, n’est-ce pas.

    Et quand bien même le rapport du GIEC de 2014 indiquait qu’il n’y a pas eu d’augmentation de tempêtes, de tornades, d’inondations ou de sécheresse depuis 30 ans, il est impossible de nier que les catastrophes climatiques sont toujours plus coûteuses puisqu’en rapport avec le PIB mondial et depuis 1990, les pertes économiques liées aux catastrophes naturelles ont diminué de 17%! C’est scandaleux!

    Devant ces évidences pourtant évidentes, ces dangers toujours plus prégnants, la liste des hystéries réchauffistes actions conscientisées s’agrandit heureusement chaque jour.

    Allez, remuez-vous le popotin: allez manifester pour la planète comme ces jours-ci!

    contrepoints.org

  • Enquête autour d’un viol entre élèves de maternelle

    Une "main courante" a été déposée auprès du commissariat après les faits dont aurait été victime une fillette de 4 ans, scolarisée dans le XIIIe arrondissement de Paris.

    Sur le fond, les faits sont graves, dérangeants, mais sur la forme, rien ne dit qu’ils pourraient être matérialisés juridiquement. Encore moins qu’ils donneront lieu à des poursuites. Et pour cause. Cette affaire de " viol en réunion ", dont vient d’être saisie la brigade des mineurs de Paris, implique des enfants âgés de… 4 ans seulement, scolarisés en moyenne section de maternelle. On est donc là aux confins du droit, et de l’éducation.

    Les faits ont éclaté au grand jour en début de semaine, lorsqu’une personne s’est rendue au commissariat du XIIIe arrondissement pour y déposer une "main courante“. D’après ses dires, une fillette de 4 ans a été victime de " viol ". Des faits qui remonteraient à mi-septembre, et auraient eu lieu dans la cour d’une école maternelle du même arrondissement, où est scolarisée la fillette. Celle-ci aurait été isolée par trois camarades sous une structure de jeu, lesquels lui auraient retiré ses vêtements avant de pratiquer une " pénétration digitale ".

    Le même type de faits aurait eu lieu à deux reprises, au cours de l’année scolaire précédente. La fillette aurait alors été victime de deux autres camarades. Avertie de ce qu’il se serait produit mi-septembre, la directrice de l’établissement aurait déconseillé aux parents de porter plainte.

    "Ce type d’actes n’est pas exceptionnel"

    Désormais sur la place publique, ces actes ont provoqué un vif émoi au sein de la communauté scolaire, et particulièrement des parents d’élèves". Une réunion aura lieu très prochainement, sous l’égide de la mairie du XIIIe, au sein de l’école, annonce Jérôme Coumet, le maire (PS) de l’arrondissement. Un pédopsychiatre sera présent, afin de mettre les mots de professionnels sur ce qu’il s’est produit". " Il faut entendre l’inquiétude des parents, la prendre au sérieux, note un autre élu parisien sous couvert d’anonymat. Mais il faut aussi aborder cette question avec sagesse, et se garder de faire des projections d’adultes sur des actes d’enfants".

    " Ce type d’actes n’est pas fréquent, mais pas exceptionnel non plus, relève pour sa part Michèle Créoff, vice-présidente du Conseil national de protection de l’enfance (CNPE). On est à l’âge des premiers émois. A un stade de développement où la curiosité émerge, notamment au niveau sensoriel et sexuel". Techniquement, s’il n’existe pas d’immunité pénale liée à l’âge, " les parquets, dans la pratique, n’engagent bien évidemment pas de poursuites contre des enfants aussi petits", précise un policier spécialisé.

    Déposer plainte pour qu’une enquête sociale soit ouverte

    Cela étant, ce type de comportements pose question". Là, on n’est pas dans une histoire de touche-pipi entre deux bambins, relève ce même policier. Il y a plusieurs enfants impliqués, et une violence exercée envers cette petite victime". Michèle Créoff ne dit pas autre chose". Là où il y a problème, c’est quand on a affaire à un phénomène de groupe, dans une forme de surenchère émotionnelle. Il faut alors comprendre comment un groupe d’enfants, aussi jeunes, peut en abuser un autre sans qu’il n’y ait eu de prise de conscience du milieu éducatif ou parental".

    C’est pour cela que ce policier préconise qu’" en pareil cas, une plainte soit systématiquement déposée ". Sous l’égide du parquet, un juge des enfants est alors généralement saisi. Le magistrat a la possibilité d’ordonner une enquête sociale en milieu ouvert. L’audition des parents, mais aussi des enseignants ou intervenants, doit permettre une levée de doute. Et de vérifier qu’à travers ces pratiques, les enfants, victimes comme auteurs, n’ont pas reproduit des gestes qu’un adulte aurait pu leur faire subir, ou dont ils auraient été par inadvertance les témoins.

    http://www.leparisien.fr/paris-75/enquete-autour-d-un-viol-entre-eleves-de-maternelle-10-10-2018-7916028.php

     

    Désolée, jamais vu de gamine de 4 ans violée par 3 de ses camarades avant l’invasion musulmane

    Et ils essaient de nous faire croire que ce serait sinon normal du moins pas vraiment étonnant. Il faut lire l’article du Parisien ci-dessous en se maîtrisant pour ne pas aller fiche des pains à répétition, à défaut d’enfermer les fautifs sans boire ni manger dans un cul-de-basse-fosse jusqu’à ce que mort s’ensuive.

    1 pain à la directrice de l’école :  ils étaient où les enseignants pensant que 3 autres gamins de 4ans la déshabillaient et la pénétraient avec leurs doigts? Et pas qu’une fois, c’était déjà arrivé 2 fois l’année précédente ! 3 fautes graves, défaut de surveillance. Ils étaient où les enseignants? En train de boire le café en tapant sur Marine Le Pen?

    1  pain supplémentaire à la directrice de l’école pour avoir conseillé aux parents de ne pas aller porter plainte, des fois qu’on dénonce son incompétence, des fois qu’on stigmatise les violeurs?

    1 un pain aux violeurs, qu’ils aient 4 ans n’empêche pas qu’ils savaient ce qu’ils faisaient, qu’ils savaient qu’ils usaient de violence, qu’ils savaient que ce qu’ils faisaient était interdit.

    1 pain à tous les Taubira et Belloubette qui ont décidé que les mineurs étaient irresponsables et pouvaient donc tuer sans en payer le prix.

    1 pain à Jérôme Coumet, maire socialiste du XIIIème qui n’a pas d’autre solution qu’une réunion avec un pédopsychiâtre. Pour enfumer les parents, les rassurer, leur faire croire que ce n’est pas grave, que ce n’est qu’une espèce de "touche-pipi"?

    2 pains à l’autre élu parisien qui tient à garder l’anonymat (tiens donc!)  pour faire croire que ce serait normal, que les parents feraient  des projections d’adultes sur des actes d’enfants.

    3 pains à Michèle Créoff, vice-présidente du Conseil national de protection de l’enfance (CNPE) qui relativise clairement les choses, tout cela serait presque normal, quoi, c’est vrai, à 4 ans on se demande comment sont faites les filles, on découvre la sexualité…  Vous attendez encore beaucoup de choses du CNPE vous?  Même si  elle corrige un peu sa première réaction en ciblant les parents et en s’interrogeant sur le phénomène de groupe, elle a tout de même relativisé les choses dans un premier temps. Impardonnable. Il est vrai qu’il y a toute une génération Cohn Bendit qui considère que les enfants ont droit à la même sexualité que les adultes.

    4 pains aux journaleux, enquêteurs, spécialistes, juges…. qui vont enquêter pour savoir si les petits violeurs ont assisté à des choses de ce genre chez eux, s’ils ont eux-mêmes été violés. C’est bien. Mais très insuffisant, ils vont même vérifier si la victime n’aurait pas été l’instigatrice du viol… Et ils vont se contenter de cela, se gardant bien de poser les questions qui fâchent :

    Personne ne parle des origines de la victime, ni de celles des petits violeurs. Quelles sont-elles?

    Même pas une plainte, seulement une main courante?????

     

  • Nous sommes gouvernés par des fous…

    et jugés par des enragés : la preuve

    Nous observons depuis de nombreuses années une inversion des valeurs dans le fonctionnement des préfectures, de la police et de la justice de notre pays, issue d’une politisation bien pensante et gauchiste, ouvertement hostile au bon sens, au légitime, à ceux qui travaillent et à ceux qui défendent la République et notre civilisation.

    Les exemples sont si nombreux qu’on ne saurait prétendre en établir la liste exhaustive, mais nous pouvons citer quelques exemples :

    À Montpellier, des gauchistes n’ayant aucune autorisation pour pénétrer dans une université occupent celle-ci, détruisant du matériel et empêchant professeurs et étudiants de travailler. Pas d’intervention policière. Ils sont délogés sans ménagement par un groupe non identifié. Le travail peut reprendre et les dégâts seront réparés aux frais de la collectivité. Alors douze policiers sont mobilisés à temps plein durant tout l’été pour identifier les auteurs de l’évacuation. Après quoi il y a des interpellations aux scénarios rocambolesques relevant plus du western que de la nécessité.

    Dans le même temps, la télévision nous montre des policiers interpellant le dangereux automobiliste entrant à 62km/h au lieu de 50 dans l’agglomération (jadis la limitation générale était à 60, avec par endroits 45 ou même 40). Dans le même temps aussi, les racailles d’importation agressent à tout-va dans les rues de Montpellier, frappant, volant, violant, détruisant… Que sont donc les priorités dans l’utilisation de la police et de la justice?

    Un passant est agressé par deux individus au bord du canal de l’Ourcq à Paris. Il se défend, l’un des agresseurs s’enfuit et l’autre tombe à l’eau. Le passant tente vainement de le sauver de la noyade. Et c’est lui qui est inculpé pour la mort de son agresseur. N’aurait-il pas mieux fait de passer son chemin et de ne rien dire?

     Un gendarme gifle un individu qui importune son épouse. Il est sanctionné par la Gendarmerie, muté, puis jugé et condamné pour un geste qui aurait jadis été considéré comme justifié et salutaire. Quel message est ainsi envoyé aux forces de l’ordre et aux voyous?

     Des Identitaires occupent les locaux de SOS-Méditerrannée pour dénoncer sa complicité avec les passeurs et autres pourvoyeurs de délinquance, de désordre international et de morts collectives. C’est eux que la police arrête plutôt que les malfaiteurs. Et 48 heures de garde-à-vue alors qu’ils n’ont rien fait de mal. Pourquoi donc l’Aquarius n’est-il pas encore saisi pour activités illégales et absence de pavillon?

    Chacun peut observer que ces interventions, inculpations et procès sont ceux non pas des malfaiteurs et de l’illégalité, mais ceux de qui réagit à l’inacceptable. Dignité, Bien commun, légitime défense, respect de la loi républicaine, défense de la Patrie et autres considérations objectives, tout ce qui fonde notre civilisation et la République se voit attaqué, réprimé, sanctionné par l’administration préfectorale, la police et la justice. Tout cela est aussi dévalorisé, dénigré, renié par les médias de la propagande gouvernementale qui ne sont plus depuis longtemps des sources d’informations objectives et neutres.

     

  • Blague du jour!

    Le pouvoir d’achat va se redresser sur un rythme jamais atteint !

    C’est un moment, “7e compagnie".

    Nicolas Beytout, directeur du journal L’Opinion, donne son avis sur l’actualité de la semaine et pour lui, les nouvelles sont excellentes, la conjoncture merveilleuse, et tout va mieux que bien.

    Tellement bien que les pauvres couillons sans doute un peu abrutis que vous êtes (il faut dire que vous passez votre temps à vous plaindre et à ne pas savoir traverser les rues) ne se rendent même pas compte que leur pouvoir d’achat augmente.

    Oui, oui.

    Ça augmente.

    Peut-être le salaire du Beytout, mais pour vous, c’est wallou, (c’était pour les rimes).

    Accrochez-vous, en dessous, vous avez le lien pour aller écouter cette lumière fayote de l’action de notre Jupiterminé de l’Élysée. Voilà ce qu’il dit:

    "Après un premier semestre décevant, la croissance va rebondir au deuxième semestre pour atteindre 1,6% au total. Après la baisse du pouvoir d’achat au premier semestre, celui-ci va nettement se redresser au deuxième semestre, et sur un rythme jamais atteint".

    Et de préciser: "Alors ce que je regrette, c’est que ces bonnes nouvelles ne perfusent pas, comme on dit. Prenons l’exemple du pouvoir d’achat. L’Insee explique que le fort rebond du pouvoir d’achat en cette fin d’année n’aura pas tous les effets escomptés. Pourquoi? Parce que le déclencheur psychologique n’est pas là.

    Tout le monde a en tête que le pouvoir d’achat a baissé au premier semestre. Et c’est vrai. Mais personne n’a encore vraiment intégré qu’il doit progresser cet automne, avec la baisse des cotisations salariales, et la suppression d’une partie de la taxe d’habitation. Et donc, malgré l’inflation, malgré la hausse de nombreuses petites taxes, ce qu’il restera dans la poche des Français sera plus important que ce que chacun d’entre nous anticipe. Anticipation, c’est le mot-clé. Et comme les Français n’ont pas intégré cette hausse de leur pouvoir d’achat qui est en train d’arriver, ils n’ont pas l’intention de desserrer les cordons de leur bourse, pas l’intention de consommer davantage. Or, ce moteur de la consommation, c’est plus de 50 % de la performance de notre économie. Une consommation plate, atone, sans relief, c’est une croissance décevante".

    Et comment est-ce que cette anticipation peut être corrigée ?

    "Alors, on peut toujours espérer que les Français, qui se plaignent trop comme vient de le dire Emmanuel Macron, arrêtent de geindre, etc.".

    Voilà, c’était le moment 7e compagnie, car, comme le dit l’excellentissime voix off dans le générique du film La 7e compagnie, "les hommes de la 7e compagnie sur le terrain avaient, eux, une appréciation quelque peu différente de la réalité"…

    Beytout et le président voient le pouvoir d’achat en hausse. Nous, nous voyons que des porte-monnaie qui se "vidoient" et des soldes de comptes qui rougeoient.

    Charles SANNAT