Depuis mon passage sur LCI, dans la grande confrontation Zemmour/Cohn-Bendit sur LCI, j’ai été insultée par des voisins de mon village.
Il y a un mois, j’ai été conviée sur le plateau de LCI pour participer, parmi six intervenants, à la grande confrontation entre Éric Zemmour et Daniel Cohn-Bendit sur le thème de l’Europe. La rédaction de LCI m’avait contactée pour intervenir sur le thème de l’immigration.
Il y a plus de trois ans, le 13 novembre 2015, j’ai été confrontée à l’attentat du Bataclan car je vivais depuis dix ans dans l’immeuble de l’administration du Bataclan, juste à côté de la salle de concerts. Le soir de l’attaque, je me suis retrouvée seule face à un jeune homme décédé dans le bureau du Bataclan, à des scènes de chaos sur les trottoirs et à des images terribles de victimes grièvement blessées qui sont décédées dans les cours d’immeubles avoisinant le Bataclan.
Après ce drame, j’ai décidé de quitter mon quartier endeuillé du 11e arrondissement de Paris pour déménager dans un petit village du Pas-de-Calais. La vie est certes plus agréable et calme mais nous vivons par ailleurs la réalité des migrants qui se déplacent dans toutes les petites gares de la région et qui sont logés dans de nombreuses villes du Nord de la France.
Lors du débat sur LCI, j’ai voulu exprimer une vérité sur la signature islamique de l’attentat du Bataclan et mon inquiétude face à l’islamisation galopante de la France. J’ai évoqué notamment le développement du halal, les conversions à l’islam à travers les couples franco-musulmans et la prolifération de voiles islamiques sur notre territoire français. J’ai insisté sur le fait que cette immigration musulmane est un danger pour la cohésion de la Nation et la paix civile dans notre pays.
Cette grande confrontation sur LCI a battu des records d’audience, l’émission a enregistré six fois plus de téléspectateurs que d’habitude, devançant ainsi toutes les chaînes d’informations nationales.
De retour dans mon village du Pas-de-Calais, j’ai appris que de nombreux voisins ont suivi ce débat télévisé et certains m’ont félicitée pour ma franchise et mes prises de position à l’antenne. Toutefois, comme partout en France, la population de mon village est divisée d’un point de vue politique. De nombreux habitants sont sur une ligne gauchiste, refusant d’admettre le processus d’islamisation et la menace islamiste qui progresse chaque jour dans notre pays.
J’en ai personnellement fait l’expérience au lendemain du débat sur LCI en recevant des messages d’insultes sur ma page Facebook de la part de voisins de mon village. Une voisine a notamment condamné mes propos pendant l’émission, considérant que ma prestation télévisée était " pitoyable " car j’avais osé faire un amalgame entre tous les musulmans. D’autres personnes de mon voisinage ont condamné mes positions en faveur d’Éric Zemmour ou du Rassemblement National. En quelques jours, mon nom a circulé dans mon village et je me suis retrouvée face à des inconnus qui multipliaient les propos malveillants à mon encontre sur Facebook. Aucune de ces personnes n’a eu un mot de soutien pour les victimes du Bataclan, bien au contraire, ils ont insisté sur le fait que cette attaque terroriste n’avait rien à voir avec les musulmans.
Face à ces hostilités, j’ai été contrainte de faire une déposition auprès de la gendarmerie de mon village. Je sais que ma réputation est désormais ternie auprès de certaines personnes de mon entourage. Malgré tout, je ne regrette pas d’avoir pris la parole sur le plateau de LCI pour alerter l’opinion publique sur la montée de l’islam en France et pour honorer la mémoire des victimes du Bataclan qui ont tellement souffert.
Caroline-Christa Bernard
Il y a un jeune homme que j’aime beaucoup: châtain aux yeux bleus et mèche rebelle: Geoffroy Lejeune, 28 ans, directeur de la rédaction de Valeurs actuelles. Je ne le connais pas, si on me demandait, je préférerais qu’il se coupe les cheveux, mais c’est une remarque de bonne femme. En plus, personne ne me l’a demandé, mon avis.
Je l’apprécie encore plus depuis que j’ai découvert ce lien:
http://www.fdesouche.com/1224469-geoffroy-lejeune-evoque-la-remigration-il-y-a-des-gens-qui-sont-francais-aujourdhui-qui-devraient-retourner-dans-leur-pays-dorigine
" Il y a des gens qui possèdent la carte d’identité et qui ne partagent rien de la France. " @geoffroylejeune pic.twitter.com/ZT1D0fQXVK
— Damien Rieu (@DamienRieu) June 18, 2019
https://twitter.com/i/status/1140883710658699264
Bravo, petit! En voici les termes exacts:
" Il y a des gens qui sont Français aujourd’hui qui devraient retourner dans leur pays d’origine ". Vite, vite, jeune homme. Il y a urgence.
La seule frontière qui compte aujourd’hui, c’est celle qui sépare les remplacistes des anti-remplacistes, ou réfractaires, ou résistants, ou dissidents (du remplacisme). D’un côté de cette frontière, il y tous ceux (les mauvais) qui consentent au Grand Remplacement, voire le promeuvent (les vraiment méchants), ou l’incarnent (les infâmes), ou qui le nient (les pathétiques); de l’autre il y a ceux qui le refusent de tout leur être, de toute leur chair, de toute leur âme. (moi, moi, moi!!)
D’un côté, il y a ceux qui acceptent le changement de peuple et de civilisation, soit parce qu’ils en nient l’existence (les gros lâches), soit parce qu’ils n’en sont pas dérangés (les sales capitalistes), soit parce qu’il sert leurs intérêts (les vendus); de l’autre il y ceux qui aimeraient mieux mourir que de s’y résigner. (moi, moi, moi!!).
D’un côté, il y a ceux pour qui l’occupation étrangère de notre pays n’est pas un problème, soit parce qu’ils ne la voient pas (les aveugles), soit parce qu’ils la jugent normale (les cons), inévitable (les ignorants), bien dans l’ordre des choses (les cathos); et de l’autre il y a ceux qui ne l’accepteront jamais. (moi, moi, moi!!).
Il y a ceux que la colonisation de la France et de l’Europe laisse de marbre (est-ce possible?), ceux qui s’en réjouissent (salauds!), ceux qui ne s’en avisent pas (ceux qui ne lisent pas le journal), ou qui ne songent pas à la nommer de la sorte (les rampants); et il y a ceux qu’elle obsède comme un horrible cauchemar et qui n’ont qu’une hâte, s’en réveiller. (Comment saviez-vous ce qui m’obsède? On s’est déjà rencontrés?).
On le voit, cette frontière concerne l’être, l’être même de notre patrie et de notre civilisation, et celui de chacun d’entre nous: leur existence, leur survie, leur persévérance dans l’être ou leur dissolution dans l’autre, dans le remplacement, dans le néant, l’ethnocide, le génocide par substitution, tels que les annoncent l’immigration de masse et l’islamisation méthodique de notre continent.
La frontière n’est seulement politique, et pourtant tous les partis politiques sont du même côté d’elle, celui du remplacisme, des remplacistes et du Grand Remplacement: soit qu’ils s’en félicitent (les plus extrémistes), par antiracisme absolu (tiens, j’en connais même un!) ou par servilité impatient aux intérêts de l’hyper-classe (c’est quoi, ce bazar?); soit qu’il le nient (les plus bêtes ou les plus fourbes); soit qu’ils l’organisent (les collabos); soit enfin qu’ils s’en accommodent (les feignants), ou en le disant certains jours et en le niant le lendemain (les fluctuants) — un pas en avant, deux pas en arrière — (les danseurs-étoile).
Ceux-là ne peuvent pas rompre tout à fait avec le remplacisme, même s’ils le critiquent, parce que le remplacisme c’est le système, c’est le pouvoir, ce sont les places, c’est l’argent, c’est l’accès aux médias, ce sont les médias eux-mêmes, dont il importe peu de connaître l’opinion politique mais beaucoup de savoir à qui ils appartiennent et d’où vient leur financement; car leur véritable opinion c’est celle-ci: le remplacisme global, l’immigration de masse, l’accroissement des besoins par la croissance démographique, les usines de fabrication de la MHI, la Matière Humaine Indifférenciée.
Un constat: le Grand Remplacement est le seul problème sérieux, qui rend secondaires tous les autres, même les plus graves, et qui empêchera toujours de leur trouver une solution. (Parfois, je me demande même comment il est possible que des politiques se réunissent pour parler d’AUTRE CHOSE. Un peu comme si vous mettiez à jouer à la crapette dans votre maison en feu).
Et la seule solution, que ce soit à l’insécurité ou à la surpopulation carcérale, au déséquilibre des comptes sociaux ou à l’artificalisation galopante, à la sécession des " quartiers " ou au réensauvagement de l’espèce, à l’hébétude hyper-violente, à l’expansion du totalitarisme islamique, c’est la remigration, la décolonisation, la libération du territoire. (Excellent choix!!!).
Dans ces conditions pourquoi songer à une liste aux élections européennes? Nous n’avons pas un sou, nous n’avons aucun accès aux médias, c’est l’adversaire qui établit les règles du jeu et qui les fait appliquer. Nous partons vaincus d’avance, nous n’avons rien à faire sur un terrain qui n’est pas le nôtre et où tout est prévu pour nous perdre, puisque nous nommons seuls ce qui ne doit absolument pas être nommé et que les électeurs sont formatés dès l’enfance, par l’école, à ne pas voir, à ne pas entendre et à ne pas comprendre. Ces élections sont européennes, et c’est l’Europe entière et sa civilisation qui sont menacées de mort.
L’Europe, il ne faut pas la quitter, il faut s’en emparer avec nos alliés et en chasser les traîtres, pour la reconstruire; il ne faut pas en sortir, il faut en sortir l’Afrique! Pour réveiller nos concitoyens hébétés, drogués, manipulés, nous devons saisir toutes les occasions qui se présentent, nous afficher partout et ne laisser passer aucune chance, même légale, même électorale, d’interrompre l’ethnocide en cours et d’attirer sur lui l’attention.
Ce n’est pas parce qu’un combat menace de ne pas aboutir qu’il ne faut pas l’entreprendre. Avec toujours la même exigence: œuvrer au rassemblement de tous les Français, de tous les Européens, toutes sensibilités politiques confondues, pour affronter ensemble les périls de ce temps.
Nous disposons d’une arme formidable, que les autres, par définition, n’ont pas: la vérité. On l’a vue renverser des murailles, et défaire d’un coup des systèmes presque aussi redoutables que celui auquel nous avons affaire, et comme lui construits sur le mensonge.
Vous l’aurez peut-être remarqué, je n’ai pas rédigé seule ce texte, je m’en suis largement inspirée et y ai ajouté quelques remarques plus personnelles.
https://aucoeurdunationalisme.blogspot.com/2019/05/renaud-camus-et-karim-ouchikh.html
⦁ Pas eu le temps de tout faire, il faut bien que mes abricots se transforment en confiture!
Face au mondialisme, la Dissidence Française propose l’organisation sans délai d’une politique de remigration, c’est-à-dire d’inversion des flux migratoires, par 8 mesures immédiates et concrètes:
⦁ le rétablissement permanent des contrôles aux frontières;
⦁ l’instauration immédiate de la préférence nationale;
⦁ l’expulsion systématique des clandestins et délinquants étrangers ou binationaux;
⦁ l’abolition du droit d’asile et du regroupement familial;
⦁ la suppression de l’A.T.A., de l’A.M.E. et des allocations destinées aux clandestins et demandeurs d’asile;
⦁ la réforme du code de la nationalité, impliquant l’abolition du droit du sol et la réintroduction de la prééminence du droit du sang pour l’acquisition de la nationalité française;
⦁ la dissolution des associations immigrationnistes ou communautaristes et l’application des peines concernant l’aide au séjour irrégulier et l’emploi de travailleurs clandestins;
⦁ l’interdiction des financements publics ou étrangers des mosquées et l’interdiction des associations liés aux réseaux islamistes internationaux.
Réalité du Grand Remplacement et nécessité de la remigration
Pour la France, les Français d’abord.
Anne Schubert