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Humain? - Page 284

  • Salopards!

    Autriche: la police conseille aux blondes de se teindre en brunes pour ne pas se faire agresser

    Une étudiante attaquée par quatre hommes à la Gare de l’Ouest, à Vienne, affirme que la police l’en a rendue responsable à cause de ses cheveux blonds, ses vêtements sexy alors qu’elle attendait son train.

    "Après l’attaque, ils [la police] m’ont dit que les femmes ne doivent pas être seules dans les rues après huit heures du soir. Ils m’ont donné un autre conseil, que je colore mes cheveux en noir et que je ne m’habille pas de manière aussi provocatrice. Indirectement, cela signifie que je suis partiellement responsable de ce qui m’est arrivé. C’est une insulte", a confié Sabina, jeune fille de 20 ans dont on ne connaît que le prénom, au journal autrichien Heute.

    Sabina attendait son train dans la gare principale de Vienne quand elle a été attaquée par quatre hommes, des Afghans, comme elle affirme. D’abord un homme s’est approché d’elle et lui a touché ses cheveux blonds. "Il m’a fait savoir qu’il n’y avait pas ou très peu de femmes blondes dans sa culture", explique la jeune femme. Après qu’elle lui a dit de la laisser, il est parti, avant de revenir un peu plus tard avec trois autres hommes qui ont volé son sac à main et ses cartes de crédit. Ils l’ont ensuite battue jusqu’à la faire tomber par terre avant de prendre la fuite, tout cela sous l’œil impassible de témoins qui n’ont pas bronché, a déploré la jeune fille.

    https://francais.rt.com/international/20211-police-autrichienne-conseille-blondes-se

     

     

     

  • Salopards!

    La belle démocratie à la gauchiasse!

     

    Viols et agressions sexuelles à Nuit Debout

    À Nuit Debout comme ailleurs, les femmes se font agresser, insulter, emmerder. Remarques sexistes et mains aux fesses sont monnaie courante. La commission Féminismes lutte depuis des semaines pour imposer des bonnes pratiques et chasser les relous.

    Déséquilibre de la parole en faveur des hommes, remarques sexistes, mains aux fesses, agressions sexuelles en tous genres: sur la place de la République, les militantes féministes du mouvement Nuit Debout se battent quotidiennement contre cette violence. Nuit Debout n’est pas un repère de prédateurs sexuels, et la place de la République n’est pas la place Tahrir en Egypte. Mais, comme dans tout lieu public, comme dans le métro où toutes les femmes ont subi du harcèlement sexuel, les participantes sont régulièrement confrontées à la misogynie.

    Nuit Debout est face à ses contradictions, celles d’un mouvement de gauche progressiste, au sein duquel des commissions féministes sont actives, mais qui n’abrite pas moins de nombreux actes sexistes.

    Dans le rapport à la parole: les commissions non mixtes sont décriées, mais il a fallu presque un mois pour que dans les lieux mixtes soit acté le principe d’une parité dans les prises de parole, pas encore totalement atteinte dans les faits, selon plusieurs observateurs actifs du mouvement.

    Il arrive que des insultes fusent. Ludivine raconte par exemple cette anecdote, d’un "antifa" qui la prend à partie. "Il a fini par me dire qu’il allait "me baiser", que j’étais une "mal-baisée".

    Dans la violence physique: une militante explique à Slate.fr avoir dû se battre contre un homme "se collant à (elle) de tout son corps", une autre se souvient d’un type "mimant ostensiblement une fellation" qui est ensuite "parti en se marrant". Les mains aux fesses dans le noir sont monnaie courante, comme l’ont vécu Simone, étudiante (nous avons changé son prénom) ou Fatima Benomar, cofondatrice du collectif Les effronté-e-s, qui participent toutes les deux à la "commission Féminismes" qui squatte la place depuis plusieurs semaines.

    Fatima Benomar se souvient également d’un homme ayant plongé brutalement les mains dans ses longs cheveux bouclés, en criant "j’adore vos cheveux". "Dès que le soir commence à tomber, ça s’alcoolise et cela se mélange entre la population de Nuit Debout et d’autres personnes qui ne connaissent pas les fondamentaux du mouvement", regrette-t-elle.

    Au moins un viol a aussi été évoqué: plusieurs personnes interrogées par Slate.fr en ont entendu le récit lors d’une réunion non-mixte de la commission Féminismes, et leurs témoignages concordent. Le récit de ce viol est par ailleurs relaté dans deux posts du blog de la commission Féminismes, dont l’un a été supprimé. Ainsi que dans un article du site Reporterre.

     

    DISSOLUTION! ... et plus vite que ça!

     

     

     

  • Mais, enfin.... ce n'est pas possible!!!!!!!! ils sont pire que fous!

    Il faut faire quelque chose! que les parents et grands parents envahissent les écoles et protestent!!!!!

    Il en va de l'avenir de vos enfants!

    Faites suivre, faites passer: c'est plus ébouriffant, c'est à pleurer.....

     

    " Sa va dps samedi ? G1 truc a te dir jcroi kon devré fer 1 brek… "

    Manuel scolaire 5ème, 4ème, 3ème, éditions Nathan.

    Voilà, la réforme du collège devient concrète.

    Cette semaine, les enseignants découvrent, effarés, les manuels scolaires conformes aux injonctions ministérielles, préparés dans l’improvisation totale pour la rentrée prochaine. C’est un cours de maths remplacé par un sondage dans la classe sur les discriminations. C’est la littérature et la langue françaises sacrifiée pour des "punchlines" et des SMS. C’est l’immense aventure des sciences qui s’achève dans une curiosité morbide pour la mort de Claude François dans sa baignoire.

    Immense tristesse, immense colère aussi. J’ai la rage au fond du cœur de voir ce délire devenir réalité, avec la collaboration honteuse d’éditeurs serviles et lâches, dans le silence des médias et dans la passivité générale – si l’on excepte la complicité coupable de l’enseignement privé.

    Tous ceux qui coopèrent à cette immense dévastation, à ce mensonge, à ce délire, j’espère qu’ils ont un peu honte, au fond d’eux mêmes. Et j’espère, envers et contre tout, que cette réforme n’ira pas jusqu’au bout. Parce que ce n’est pas possible… Ils n’ont pas le droit. Nous n’avons pas le droit.

    L’école n’a qu’une seule mission : élever les élèves qui lui sont confiés. Chacun d’entre eux porte en lui quelque chose d’exceptionnel, et chacun d’entre eux a droit au meilleur de ce que nous avons reçu. De quel droit allons-nous priver les générations qui viennent de la beauté, de la grandeur, de l’intelligence ? De quel droit condamnons-nous ces enfants à ne plus rien comprendre de leur propre histoire, de leur langue, de leur culture ? Quand la conjugaison est remplacée par l’approximative " impression " des temps, quand toute la maîtrise de la langue consiste à faire de bonnes vannes et à casser avec sa copine, qu’espérons-nous faire grandir chez nos élèves ?

    Le manuel "Le livre scolaire", ici reproduit, comporte une phrase de Abd Al Malik qui résume à elle seule toute cette réforme du collège: "A force de vouloir se faire rue, on est devenu caniveau“.

    Voilà à quoi ressemble une civilisation qui meurt.

    Je voudrais crier partout ma tristesse pour ces enfants qu’on sacrifie… Qui ne trouveront à l’école que ipads, des SMS et des anecdotes people – tout ce qu’ils connaissent déjà en fait, bien mieux que nous, d’ailleurs, et ils nous trouveront bien ridicules de vouloir leur apprendre le "swag“"

    Je voudrais crier ma tristesse pour ces gamins condamnés à la pauvreté culturelle par l’école, le lieu même qui aurait dû être pour eux le chemin de l’évasion vers ce qu’il y a d’universel, d’intemporel – les grands textes, les grandes œuvres, les grandes découvertes, tout ce qui fait grandir le cœur, tout ce qui élargit le regard… Pour ces talents qu’en chacun d’eux nous condamnons à la médiocrité.

    Quand j’avais sept ou huit ans, mon grand-père m’a offert l’Anthologie de la poésie française, de Georges Pompidou, et il m’a dit: "Si tu veux être heureux dans la vie, il faut apprendre deux vers par jour“. Je l’ai fait. Il avait raison. J’ai découvert un savoir, une saveur de la vie que je ne soupçonnais pas, que le quotidien ne donne pas. Je n’ai pas tout compris bien sûr – pas tout entier, pas tout de suite… Mais c’était beau. C’était grand. Et finalement, c’est tout simplement que ce qu’il y a de beau, de grand, se dépose dans un cœur d’enfant pour l’enrichir, par le cœur. Mais qui maintenant aura encore la chance d’apprendre un peu de poésie – par cœur?

    Maintenant que le sujet des manuels de littérature, c’est: "jcroi kon devré fer 1 brek… "

    Voilà à quoi ressemble une génération qui renonce à transmettre.

    J’ai tant de tristesse au cœur…

    Pourquoi ne nous réveillons-nous pas?

    http://www.fxbellamy.fr/blog/2016/04/30/jcroi-kon-devre-fer-1-brek/

     

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  • Copier les Corses?... bonne idée

    Mayotte : les expulsions d’étrangers par les natifs de l’île se multiplient

    C’est un phénomène qui n’étonne plus personne ou presque à Mayotte [101ème département français], les expulsions d’étrangers : expulsions faites par les natifs de l’île, excédés par l’immigration clandestine, immigration qui serait selon certains, à l’origine de tous les maux du département. Une chose est sûre la cohabitation devient de plus en plus difficile.

    www.fdesouche.com

     

     

     

  • La chienlit

     Au cours de cette énième "journée d’action" de la "convergence des luttes", 78 fonctionnaires de police et gendarmes ont été blessés, dont au moins trois grièvement, dont un qui finira peut-être en fauteuil roulant. Ayant reçu la mission d’assurer la sécurité des manifestants en faisant preuve de toute la retenue souhaitable, ils ont stoïquement fait le job avec les résultats que l’on sait. Curieusement, les minorités irresponsables étaient présentes partout, que ce soit à Paris, à Nantes ou ailleurs, en tête comme en queue de cortège. Où sont passés les gros bras de la CGT d’antan ?  Poser la question est y répondre… Bref, ils ont tous été touchés dans leur chair par des jets de bouteilles, de lourds morceaux de parpaings et de plaques de macadam dont des hectomètres carrés seront à refaire à vos frais… Des armes létales par destination…

    Bien sûr, cette journée s’est conclue as usual par une déclaration du ministre de l’intérieur laissant entendre quecépabien, par une crispation de mâchoire de Manu-chose (de plus en plus chose) et – comme d’hab’ quand ça gêne – par un silence assourdissant du côté de ce qui sert de chef de l’Etat.

    Comme il fallait s’y attendre et par la force des choses, on recense aussi quelques blessés parmi les "manifestants". Compte tenu de la violence observée, leur nombre limité peut d’ailleurs être porté au crédit du professionnalisme (et du stoïcisme) des forces de l’ordre.

    Bien sûr, l’annonce qu’un policier grièvement blessé à la tête se trouvait en situation "d’urgence absolue" ayant ému l’acuraba de base, il fallait pouvoir changer la Une. On a donc vite trouvé à Nantes un étudiant de 20 ans ayant perdu un œil dans l’affaire. Pour s’être trouvé sur la trajectoire d’un tir de flash-ball dans le contexte d’une situation de violence au contact où la Police en vient à utiliser ce type d’arme, le brave garçon devait être dans les premiers rangs et aurait dû savoir que tout peut y arriver à ses risques et périls. Mais c’est vrai qu’il faisait partie était entouré par des irresponsables... Certes, ce genre d’arme et de munition offre une puissance d’arrêt à courte distance équivalente à celle d’un cal. 38 spécial. Mais ces balles de 28 gr. de caoutchouc faites pour s’écraser à l’impact n’ont jusqu’alors occasionné en dix ans qu’un seul mort (en Belgique, impact au thorax sur un manifestant souffrant probablement déjà d’insuffisance cardiaque) et une dizaine de blessés (dont un œil perdu) Faute-à-pas-de-chance, donc. Mais, bien entendu, le Ministère a illico annoncé qu’une enquête était diligentée par l’IGPN…

    On en reparlera sûrement.

    http://leplouc-emissaire.blogspot.fr

  • Attention: danger immédiat!

    HISTOIRE DU PETIT EMMANUEL

    Le petit Emmanuel déménage à la campagne et achète un âne à  un vieux fermier pour 100 euros.

    > > > -Le fermier doit livrer l'âne le lendemain, mais justement le lendemain : 

    > > > -Désolé fiston, mais j'ai une mauvaise nouvelle : l'âne est mort.

    > > > -Bien alors, rendez-moi mon argent.  

    > > > -Je ne peux pas faire ça. J'ai déjà tout dépensé... 

    > > > -OK alors, vous n'avez qu'à m'apporter l'âne.

    > > > -Qu'est-ce que tu vas faire avec un âne mort?

    > > > -Je vais le faire gagner par un tirage au sort à une tombola..

    > > > -Tu ne peux pas faire tirer un âne mort comme lot !

    > > > -Certainement que je peux. Je ne dirai à personne qu'il est  mort.

    > > >

    > > > -Dans sa situation, le fermier se dit qu'il ne peut pas vraiment refuser.

    > > > -Il amène donc l'âne au petit Emmanuel 

    > > > - Un mois plus tard, il revient voir le petit Emmanuel:

    > > > - Qu'est devenu mon âne mort ?

    > > > - Je l'ai fait tirer au sort. J'ai vendu 500 billets à 2 euros: ça m'a fait... une recette de 1.000 euros !! 

    > > > - Et personne ne s'est plaint ? 

    > > > - Seulement le gars qui a gagné. Mais je lui ai rendu ses 2 euros et il n’a pas fait d'histoire! 

    > > > - Emmanuel a vieilli et est devenu ministre des finances de la France.

    > > > - Et pour gagner plus, il s'est toujours entouré d'ânes et continue à entuber tout le monde....!