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Humain? - Page 288

  • Attention: ma note est très vulgaire, ne pas lire à vos enfants!

    Vulgaire. Oui, je revendique.... on ne sait plus à quel saint se vouer dans cette mer-de gauchiasserie médiacratique dans laquelle on nous enfonce chaque minute qui passe... alors, un peu plus, un peu moins.....

    Liberté d'expression vs “si les cons étaient satellisés, on aurait du monde autour de la lune!

    Par contre, je demande aux Grenoblois s'ils sont dotés de plus de deux neurones pour avoir voté pour cette municipalité de conn..ds. En attendant, payez vos impôts locaux à votre roitelet municipal, bande de rigolots!...

     

    Moins de 15 jours après l'assassinat de deux policiers à Magnanville, la mairie EELV de Grenoble a sponsorisé à hauteur de 25 000 euros une " fresque " représentant 2 policiers en train de bastonner une Marianne à terre tenant ce qu'il reste d'un drapeau français. Le créateur a appelé son "oeuvre": L'Etat matraquant la liberté ! Naturellement, et on le comprend, une polémique s'en suivit. Le maire de Grenoble, entendu sur RMC, a déclaré que c'était ça aussi la liberté d'expression et que nul ne pouvait l'entraver. A aucun moment cet abruti forcément congénital (parce qu'à ce niveau, on ne voit pas comment c'est possible d'être aussi con ) n'a compris que ce n'était pas le dessin en lui-même qui choquait mais bien son indécence dans le contexte actuel. La fresque a été taguée la nuit dernière; réaction de l'artiste:  "Les esprits faibles suivent leur berger: la stupidité. C'est justement en période de troubles que la liberté d'expression doit servir de boussole".

    Et pendant que tout le monde a les yeux rivés sur ses écrans pour le foot ou le Brexit, très discrètement, le gouvernement vient de décider de la création d'une nouvelle taxe afin d'aider les régions, la taxe spéciale d'équipement régional. A priori, celle-ci sera prélevée sur le foncier des entreprises et des ménages et devrait rapporter 600 millions d'euros dès 2017. Président avait promis qu'il n'y aurait plus de nouveaux impôts; promesse tenue donc, juste de nouvelles taxes.

    Faudrait demander à Flamby et toute sa gauchiasserie réunie quand est-ce qu'ils vont cesser de fumer la moquette de l’Élysée et de Matignon?

     

    http://corto74.blogspot.fr/2016/06/ainsi-va-la-vie-en-socialie-49_28.html

     

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    Concernant le mec qui a tagué cette merde absolue, j'aimerais qu'il m'explique si, la nuit, il se touche-pipi afin de remplir de foutre le vide sidéral de sa cervelle!...

    Je ne m'excuse pas de ne pas demander pardon aux collets-montés! Il arrive un moment où, trop c'est bien plus que trop aberrant l'insignifiance mentale de ces élites merdiques!...

     

     

  • Réponse salée du berger à la bergère

    Vote pro-Brexit: les Anglais sont-ils vraiment idiots?

    Sur le mode humoristique, un florilège des marques de mépris envers les pro-Brexit dans les médias.

    Le Brexit n’a pas l’air de plaire à ceux qui sont au pouvoir. Ils envoient leurs meilleurs chiens de garde pour expliquer que le referendum britannique n’est rien d’autre qu’un triomphe de la bêtise contre l’intelligence, une victoire épouvantable des cons sur les gens éclairés et capables de décider. Une tripotée d’amis qui se tiennent par la barbichette depuis des années pour capter les médias à leur profit et s’y auto-congratuler en infligeant au pays leurs idées toxiques (et lucratives) enrage de voir que les Anglais n’ont pas fait comme on leur avait dit de faire. Et les noms d’oiseaux fleurissent.

    En hommage à tous ces cons auxquels je suis fier d’appartenir, je voulais aujourd’hui présenter une anthologie des meilleures marques de mépris et adresser une rapide réponse forcément très conne à leurs arguments forcément très intelligents.

    Médaille d’or à BHL

    Pour redonner du sens à une situation où la nomenklatura française a perdu le nord, le troisième quotidien le plus subventionné de France: Le Monde, a appelé à la rescousse le plus brillant (et le plus désintéressé) philosophe de notre époque, Bernard-Henri Lévy, qui a écrit:

    "Ce Brexit, c’est la victoire, non du peuple, mais du populisme. (…)

    C’est la victoire, autrement dit, du souverainisme le plus rance et du nationalisme le plus bête.

    C’est la victoire de l’Angleterre moisie sur l’Angleterre ouverte sur le monde et à l’écoute de son glorieux passé.

    C’est la défaite de l’autre devant la boursouflure du moi, et du complexe devant la dictature du simple. (…)

    C’est la victoire des casseurs et des gauchistes débiles, des fachos et hooligans avinés et embiérés, des rebelles analphabètes et des néo-nationalistes à sueurs froides et front de bœuf. (…)

    Ce sera, toujours, la victoire de l’ignorance sur le savoir.

    Ce sera, chaque fois, la victoire du petit sur le grand, et de la crétinerie sur l’esprit“.

    J’en passe et des meilleures, ce texte étant la longue répétition de la même phrase sous toutes ses formes: les cons ont battu les génies.

    Je suis heureux d’avoir lu ce très grand texte de BHL (et je me félicite que le contribuable file 13 millions d’euros au Monde pour publier ce texte plein de reconnaissance pour les "cons"), grâce auquel j’ai compris pourquoi je n’aurais jamais eu l’agrégation de philosophie si je l’avais tentée, et grâce auquel je sais enfin pourquoi certains passent en boucle à la télévision pour y exposer leurs idées. Ils sont intelligents, et moi je suis con. Je suis un rebelle analphabète, voire un hooligan embiéré, en pleine boursouflure du moi. Ceux qui, comme BHL, sont contre le Brexit et pour le Remain appartiennent en revanche à "l’esprit", au "complexe". Moi qui suis soumis à la "dictature du simple", je ne peux pas comprendre leur raisonnement.

    C’est d’ailleurs parce que je suis très con que je ne suis convaincu par aucun des brillants arguments de BHL.

    Médaille d’argent à Quatremer

    Sous la plume d’un Jean Quatremer qui nous a habitués à mieux sur Libération (sixième quotidien le plus aidé de France), on lira des considérations d’une ironie facile sur le choix des Britanniques.

    "Amis Anglais et Gallois, merci, du fond du cœur. Vous avez su résister à tous les arguments, des plus rationnels aux plus apocalyptiques, de ceux qui militaient pour le "remain." (…) Vous avez pris le risque de diviser pour longtemps votre société entre, d’une part, jeunes, diplômés et urbains, massivement "remain", et, d’autre part, vieux, peu diplômés et ruraux, massivement "leave", une fracture sociale pour longtemps béante. "

     

    Vouloir le Brexit, ce n’est évidemment pas poser la question du fonctionnement de l’Union Européenne et de sa rationalité économique. C’est seulement appartenir à la catégorie peu ragoûtante des "vieux, peu diplômés et ruraux". On continue:

    " Votre sursaut churchillien restera dans l’histoire! Car vous savez ce qui vous attend: après la Seconde Guerre mondiale, vous vous êtes enfoncés dans la dépression économique au point que le FMI a dû voler à votre secours, comme une vulgaire Grèce. Votre PIB, lors de votre adhésion en 1973, était l’un des plus bas de la CEE, et c’est pour cela que vous avez rejoint un projet qui vous répugnait".

    Bien entendu, l’appauvrissement de la Grande-Bretagne en 1973 n’a rien à voir avec son excès de réglementation et tient uniquement à son absence de la Communauté Européenne à l’époque. Et le retour de la Grande-Bretagne à la prospérité ne doit rien aux réformes lancées par Margaret Thatcher, mais doit tout à sa simple adhésion à l’Union.

    Là encore, nous les cons, nous n’avons rien compris et nous devrions nous élever vers la lumière en acceptant sans coup férir une argumentation émise avec beaucoup de finesse par des gens beaucoup plus intelligents que nous.

    Médaille de bronze à Jacques Attali

    Comme toujours en phase de stress, les bobos du Monde convoquent tous leurs meilleurs amis des salons parisiens pour expliquer ce qu’il faut penser. Plus subtil que BHL, Attali s’est senti obligé d’ouvrir le débat de façon drôlatique, et avec un total manque de clairvoyance (puisqu’il prédisait la victoire du Remain au matin du referendum):

    "J’ai toujours pensé que les Britanniques rejetteraient le "Brexit". La sortie de l’Union européenne serait un suicide pour le Royaume-Uni. Il existe, dans l’histoire, des cas où des nations se sont suicidées, mais je ne crois pas que ce soit la tentation des Britanniques“.

    On mesure là encore les dégâts que l’influence exercée par Attali peut provoquer sur les politiques français. Les partisans du Leave justifient en effet leur position par leur volonté de préserver leur État-nation face au système communautaire. Réponse d’Attali: vouloir survivre, c’est être suicidaire. La mécanique de renversement des évidences à l’œuvre chez BHL est ici aussi en marche. Simplement, elle se fait plus discrète, moins directement insultante.

    Au passage, on notera que dans cet entretien du 23 juin au matin où Attali prédisait la victoire du Remain, il se livrait à une autre prédiction tout aussi fiable:

    "Depuis longtemps, je prédis que la troisième guerre mondiale, si rien ne change, est pour 2025-2030. Tout semble se mettre en place“.

    Irma Attali.

    Prix spécial du jury à Slate

    Puisque je parle d’Attali, je ne voulais pas manquer une occasion de parler de l’un des médias dont il est actionnaire (comme beaucoup d’autres adeptes ou acteurs du gouvernement profond): Slate. Ce pure player a mené une campagne hostile au Brexit dont l’argumentation essentielle a reposé sur la logique exposée ci-dessus: d’un côté la lumière, de l’autre l’obscurité.

    Je prends au hasard quelques articles:

    Vote pro-Brexit

    Réactions au vote pro-Brexit

    Bravo, Slate, pour cette brillante contribution à l’intelligence contre la toxicité des populistes idiots que nous sommes.

    En tant que con fini pleinement assumé, je voulais ajouter un seul point sur ce constat. Manifestement, les partisans de la construction communautaire qui prétend être l’Europe s’obstinent à ne pas voir que le referendum britannique a d’abord consacré un rejet de l’arrogance, et une hostilité profonde à cette confiscation de la démocratie par une élite avaricieuse qui prétend la faire fonctionner seule, et qui attend qu’on lui dise "merci" avec le sourire.

    Par Éric Verhaeghe.Contrepoint.org

     

  • La barbarie sera TOUJOURS ce qu'elle a été!

    Toulon: "Marche en short" après l’agression d’une jeune femme

    Une centaine de personnes se sont rassemblée samedi à Toulon, dans le Var, pour une "marche en short" après l’agression d’une jeune femme de 18 ans, Maud Vallet, agressée le 13 juin dernier alors qu’elle portait un short.

    'Tous en short, liberté, respecte moi", était-il inscrit sur les pancartes des manifestants, hommes et femmes, qui ont défilé vêtus pour la plupart de shorts. "Nous voulons dénoncer un fait de société et porter l’égalité des femmes", a indiqué Cécile Muschotti, organisatrice de la manifestation et ex-colistière de la tête de liste PS aux régionales, Christophe Castaner

    Texte de Maud Vallet publié sur son compte facebok:

    "Bonjour, je suis une salope".

    Je suis en colère ce soir.

    Nous sommes en 2016 et je viens de me faire agresser parce que je portais un short. Oui, un short. UN PUTAIN DE SHORT

    Nous sommes en 2016 et un groupe de 5 FILLES m’a insulté, menacé, craché dessus dans un bus sans que jamais personne n’intervienne, malgré leurs hurlements et les miens. Elles n’ont visiblement pas apprécié tous les arguments que j’ai sorti en faveur de l’égalité homme-femme et de la liberté de disposer de son propre corps puisqu’elles m’ont suivie pour me frapper lorsque je suis sortie du bus et ne sont parties qu’après qu’un homme que j’ai interpellé ait attendu avec moi qu’elles s’en aillent (au bout de 15 minutes, vous captez le délire ?) [...]

    Maintenant j’ai la très agréable impression d’avoir fait un bond de quelques siècles en arrière.

    Nous sommes en 2016 et malgré ce qu’en disent certains, le combat féministe est bien loin du compte. [...]

    Le Figaro

  • Regardez cette photo. Elle vous fait rire? non, tremblez plutôt!

    En ouvrant la porte des toilettes, le 16 juin dernier, Stacey Feely est tombée sur sa fille de 3 ans en train de mener un étrange bal: la petite était debout sur la lunette des toilettes, une main posée contre le mur pour ne pas tomber. Dans un premier temps, la mère de famille domiciliée dans le Michigan a trouvé cette scène plutôt rigolote et l'a immortalisée. Mais quand la blondinette a expliqué à sa maman les raisons d'un tel manège, son sourire a rapidement disparu. "Au moment où elle m'a dit ce qu'elle était en train de faire, j'ai craqué", explique l'Américaine à BuzzFeed.

    En fait, la petite fille était en train de répéter un exercice que l'on venait de lui enseigner à la garderie: comment réagir lorsqu'un tireur fait irruption dans l'école et comment se comporter si l'on est coincé dans les toilettes. Stacey raconte qu'elle a été horrifiée de constater que son enfant de 3 ans apprenait déjà ce genre de choses. "À ce moment-là, ma fille de 3 ans a perdu toute son innocence", déplore-t-elle. Bouleversée par cette prise de conscience, la mère de famille s'est connectée sur Facebook et a publié un texte poignant à l'intention des défenseurs des armes à feu aux États-Unis.

    De nombreuses réactions

    "Politiciens, regardez. Ceci est votre enfant, vos enfants, vos petits-enfants, vos arrière-petits-enfants et les futures générations à venir (...) Ils ont à peine 3 ans et se cacheront dans les WC en se tenant debout sur les toilettes. Qu'est-ce qui sera le plus dur pour eux? Essayer de rester silencieux pendant un long moment ou essayer de garder l'équilibre?", écrit Stacey. L'Américaine estime que sa photo devrait motiver les gens à lutter pour que la loi change et que leurs enfants ne grandissent pas en apprenant à avoir peur à l'école. "Personne ne pense que le contrôle des armes sera à 100% un contrôle des crimes. Mais peut-être que cela aidera dans 1%, 2%, 50% des cas? Qui le saura si on n'essaie pas?", se demande Stacey.

    La publication de la mère de famille a provoqué des réactions aussi nombreuses que contrastées. Beaucoup d'internautes ont été choqués d'apprendre que de si jeunes enfants apprenaient déjà comment se comporter en cas de fusillade, tandis que d'autres ont reproché à Stacey d'être à côté de la plaque:" C'est dommage que vous accusiez les armes au lieu des gens qui les utilisent. Dans la plupart des cas, les armes utilisées pour ces crimes horribles ont été obtenues de manière légale", a notamment écrit une certaine Jennifer. Stacey avoue qu'elle ne pensait pas que sa publication provoquerait un tel engouement. "Nous avons tous une voix, il faut l'utiliser. Si une photo peut aider à réveiller les gens (...) alors je continuerai à m'exprimer et à la partager", explique-t-elle.

     

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  • Retour à la barbarie du bas/Moyen-âge*

    Comme il y a mille ans, notre continent est confronté au problème identitaire. Certains ont décidé de le nier. D’autres d’en faire le cheval de bataille de leur campagne.

    Dans son merveilleux Bilan de l’histoire, René Grousset avait défini le haut Moyen Âge comme une période liée au déclin de l’Empire romain d’Occident et marquée par la baisse de la démographie, d’importants phénomènes migratoires, avec notamment l’invasion du sud de l’Europe par l’islam et le morcellement des empires, se traduisant par un violent affrontement des identités. Curieusement, il y a quelques années, l’essayiste Alain Minc a produit un livre intitulé le Nouveau Moyen Âge. Ouvrage ô combien prémonitoire dans lequel il laissait envisager l’arrêt et le refus de la notion de progrès, et la fin de l’ordre. Aussi bien l’ordre du monde, résultant des traités de Westphalie, du congrès de Vienne et des accords de Yalta, que l’ordre propre au bon fonctionnement de chaque État-nation.

    Ces deux visions émanant de deux personnages très différents nous conduisent à la même conclusion : nous voici aujourd’hui à l’aube d’un nouveau Moyen Âge. Tous les ingrédients sont malheureusement réunis pour que nous renouions avec cette période sombre de notre histoire : la fin de l’Occident, la montée d’un islam conquérant, une démographie faible, des phénomènes migratoires incontrôlés et dangereux, la défiance généralisée envers le progrès, et une forme de désordre mondial, européen, national et sociétal.

    Tout cela peut paraître bien théorique. Mais l’actualité de ces derniers jours est un concentré de tous ces phénomènes. La montée en puissance de cet islam conquérant à travers l’épouvantable attentat qui a frappé Orlando, aux États-Unis, aussitôt revendiqué par les forces obscures de Dae’ch, et l’assassinat de deux policiers français par un djihadiste. L’afflux ininterrompu de migrants venant de l’autre côté de la Méditerranée. Selon les données communiquées par le Haut Commissariat pour les réfugiés : au cours des cinq premiers mois de l’année, 203 981 personnes ont déjà effectué la traversée. Près des trois quarts d’entre elles sont parties depuis la Turquie vers la Grèce avant la fin mars, et quelque 46 714 d’entre elles ont effectué la traversée vers l’Italie.

    Et puis cette installation du désordre à un point que nous n’avons jamais connu en France depuis des épisodes de guerre. Il y a toujours eu des manifestations syndicales. Mais désormais elles sont toutes infiltrées par des jeunes dont le seul but est de détruire et de casser. Et le spectacle donné par les hooligans et certains supporters de l’Euro de foot au cours du week-end dernier, ajouté à l’impéritie des pouvoirs publics, n’avait rien à envier aux hordes de brigands qui infestaient les forêts il y a mille ans. Jules Ferry disait que " l’ordre est la condition du progrès ". Ne nous étonnons donc pas si ce retour de la sauvagerie, de la violence gratuite et de comportements bestiaux s’accompagne chez nos concitoyens d’une méfiance accrue à l’égard de toute forme de progrès.

    Ce n’est pas non plus un hasard si l’explosion des empires — y compris peut-être bientôt de l’Union européenne avec le Brexit —, si l’arrivée incontrôlée de migrants ne voulant pas s’assimiler et si l’absence d’autorité à la tête de nos très molles démocraties davantage gouvernées par l’opinion que par les convictions posent la question principale du moment : celle de l’identité. Dans ces colonnes, Édouard Balladur avait annoncé il y a quelques semaines que la prochaine élection présidentielle se jouerait sur ce seul facteur et non sur les programmes économiques, qui se ressemblent tous. Le message a été bien reçu par François Fillon, qui ne cesse de rappeler les racines chrétiennes de la France, et par Nicolas Sarkozy, qui a largement pointé du doigt le malaise identitaire de nos compatriotes lors d’un important discours effectué il y a une semaine.

    Cette question identitaire n’est pas que française. On la voit surgir en Autriche, en Allemagne, en Grande-Bretagne, surtout depuis que le maire de Londres est musulman, en Espagne avec le problème catalan, en Belgique, en Italie, et même aux États-Unis où elle explique en partie le succès de Trump lors des primaires. Contrairement à ce qu’Alain Juppé — chantre de l’identité heureuse, curieux concept assez éloigné de ce que vivent nos concitoyens — avance, l’identité n’est pas un repli sur soi. C’est d’abord et avant tout la volonté de retrouver le destin de notre futur commun et de ne pas l’abandonner à des technocrates bruxellois, à des fédéralistes européens ou à des apôtres du “vivre-ensemble” avec un islam qui n’est pas compatible avec la République. Pour avoir sombré dans un vaste renoncement, l’Empire romain a plongé l’Europe dans l’obscurité d’un Moyen Âge tourmenté et violent. Le général de Gaulle, dont le père était professeur d’histoire, répétait que "les grands pays le sont pour l’avoir voulu". Mais le voulons-nous encore?

    Valeurs Actuelles

     

    *Bas Moyen-âge: après la Gaule romaine et les rois Fainéants (300) jusqu'à l'avènement de l'amour courtois (vers 1100 – 1200) et l'intronisation des Rois de France à la Basilique St Denis. N'oubliez pas le baptême de Clovis qui a pérennisé la chrétienté en France

    La Bas Moyen-âge est encore le temps des invasions Barbares qui ravagent, détruisent, pillent, massacrent tout et tous. L'âge de l'obscurantisme: celui qu'on veut nous forcer à adopter.

    NDLR: ci-dessus, ces quelques phrases sont un raccourci rapide de cette époque.  La France, deux fois millénaire: origines chrétiennes avérées.

    Notre beau pays possède une à deux églises (et plus) par commune, sans parler des calvaires à chaque carrefour où le voyageur s'arrêtait pour prier avant de poursuivre son chemin.

    Ce n'est pas parce que j'ai cessé de prier depuis l'âge de 12 ans que je méconnais l'âme de Ma France, mon Pays Éternel.

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    avertissement: FRANCE ÉTERNELLE VIVRA ÉTERNELLEMENT COMME ELLE L'A TOUJOURS FAIT, SANS PERDRE SON ÂME

    c'est écrit dans La Marseillaise:

    ... Contre nous de la tyrannie,

    l'étendard sanglant est levé

    entendez-vous dans nos campagnes,

    mugir ces féroces soldats,

    qui viennent jusque dans nos bras

    égorger nos fils et nos compagnes

    Aux armes citoyens!...

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  • Hommage: moi, j'aime la police, l'armée et les sapeurs-pompiers!

     

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