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Humain? - Page 285

  • .... tandis que d'autres guignols.....

    Quand Michel Sapin fait "claquer l’élastique de la culotte" d’une journaliste

    Dans leur livre l’Elysée Off, deux journalistes racontent les coulisses pas toujours très distinguées du Château mais aussi les blagounettes de certains ministres!

    En mai 2015, une tribune publiée dans Libération met le feu aux poudres… et fait trembler l’Etat. Et pour cause, des femmes journalistes politiques dénoncent le sexisme dont elles sont trop souvent victimes, à l’instar des femmes politiques qui comme Chantal Jouanno, Barbara Pompili, Anne Hidalgo , Najat Vallaud-Belkacem, Myriam El Khomri ou encore NKM ont subi des attaques misogynes, ou frôlé le harcèlement…

    Dans leur livre l’Elysée Off, Aziz Zemouri et Stéphanie Marteau lèvent un coin du voile sur l’Elysée, haut lieu de drague… Parmi les hauts personnages de l’Etat, il est un membre du gouvernement qui ne fait pas non plus dans la dentelle: Michel Sapin . C’est en tous cas ce que les deux journalistes racontent dans leur livre: "Ne vous avisez pas de ramasser un stylo devant lui, sous peine qu’il ne puisse "retenir sa main en murmurant: "Ah ! mais qu’est-ce que vous me montrez la?" "Ou qu’il ne vous fasse" claquer l’élastique de la culotte " si vous portez un pantalon taille basse, comme à une journaliste lors du Forum économique de Davos!

    Un geste qui révoltera bien sûr la principale intéressée, mais qu’assume le cabinet du ministre des Finances. "C’était une blague potache", justifie l’un. "Il ne comprend pas la tournure qu’a prise l’affaire", défend même sa chargée de communication. Reste que, pour un haut représentant de l’Etat, pareille plaisanterie semble bien trop culottée! Les dessous de la politique ne sont pas très distingués…

    Closer depuis Fdesouche

  • C'est ça, c'est ça, la France.....

    Gennevilliers (92) : la jeune fille a été agressée car elle portait une robe (MàJ)

    Il est 19 heures, lundi, et Nadia* attend son tramway en face du quartier du Luth. Un petit groupe d’adolescents s’approche d’elle. Ils lui parlent de sa tenue — la jeune fille porte une jupe — mais le différent ne va pas plus loin et les jeunes poursuivent leur chemin. « Même si cela ne se traduit pas par des violences ce sont déjà des pressions », estime Patrice Leclerc.

    Tirée par les cheveux hors du tramway

    Arrivent alors, quelques minutes plus tard, trois filles peu ou prou du même âge qu’elle. A leur tour, elles lui parlent de sa jupe. Le ton est nettement moins cordial. Les quatre jeunes femmes montent dans le tramway qui arrive. Le trio continue à faire une fixation sur la jupe. La situation s’envenime. La meneuse fait descendre sa victime en la tirant par les cheveux à l’arrêt suivant, dans le quartier du Village, la traite de « p… » et commence à la frapper.

    Nadia essuie alors une avalanche de coups de poing et de pieds. La plus énervée de ses agresseuses, un véritable colosse, lui assène un dernier coup de genou qui la met KO. Elle s’effondre au sol. Dans les cris et la confusion, des passants interviennent et font fuir le groupe de jeunes filles violentes. Prévenus, les sapeurs-pompiers évacuent Nadia à l’hôpital. C’est là qu’elle reprendra conscience après quelques heures de coma. Les médecins lui délivreront une ITT de quatre jours. Nadia a déposé plainte.

    La plus violente des agresseuses s’est rendue

    Alors qu’elle dîne dans un fast-food un peu plus tard dans la soirée, celle qui a porté les coups, âgée de 19 ans, apprend que sa victime est mal en point. Avec une des deux autres filles, elle se rend alors au commissariat où elle est placée en garde à vue. Elle devait être jugée mercredi en comparution immédiate mais l’audience a été renvoyée au 17 mai prochain.

    Selon les premiers éléments de l’enquête, l’agression n’aurait pas un fond religieux. Le trio ne portait pas de signe distinctif et aucune n’a évoqué une quelconque religion. Il ne s’agit pas non plus d’un règlement de comptes : Nadia ne les connaissait pas et n’habite pas le même quartier.

    (…) Le Parisien par Fdesouche

  • Comme les cheveux d'Eléonore....

    Les "indemnités spéciales" de 80 parlementaires font polémique

    L'Association pour une démocratie directe s'interroge sur des primes versées aux parlementaires les plus capés et réclame le remboursement des sommes perçues depuis 2012.

    Le combat pour une plus grande transparence de la vie politique semble avoir encore de beaux jours devant lui. Selon les informations de l'Association pour une démocratie directe, 80 élus de l'Assemblée et du Sénat occupant des fonctions particulières, percevraient pour un total de 1.5 millions d'euros d'indemnités, dites "spéciales" ou de "fonction", en plus de leur traitement habituel. Des sommes non imposables, dont la destination n'est pas contrôlée, et qui viennent donc s'ajouter aux indemnités "de base", dont le plafond prévu par la loi et fixé autour de 7100 euros brut par mois pour les députés comme pour les sénateurs.

    Parmi les 80 élus des deux chambres désignés par l'association, on trouve les présidents du palais Bourbon et du palais du Luxembourg, mais aussi les questeurs, les présidents de groupe ou de commission parlementaire. Au total, les "indemnités spéciales" versées culmineraient au total chaque année à plus d'un million d'euros pour l'Assemblée et 500.000 euros pour le Sénat. Dans le détail, les indemnités de fonction s'élèveraient à 7000 euros pour le président de l'Assemblée et du Sénat, et 4 à 5000 euros pour les questeurs. Dans un courrier adressé ce mardi à Claude Bartolone et Gérard Larcher, Hervé Lebreton, président de l'Association pour une démocratie directe, exige le remboursement des "sommes perçues au-delà des montants prévus par la loi, durant les quatre dernières années".

    Il dénonce le fait que ces indemnités soient décidées à discrétion par les bureaux de l'Assemblée et du Sénat, dans lesquelles siègent certains des principaux bénéficiaires. "Comme ça, tout va bien, ils peuvent faire ce qu'ils veulent entre eux", critique-t-il auprès du Scan. Il fonde son accusation d'illégalité de cette pratique sur la loi organique de 1958, qui fixe le cadre de la rémunération des élus. "La loi se suffit à elle-même. Il n'y a aucune raison d'accorder une indemnisation supplémentaire aux hauts cadres élus de l'Assemblée, dans la mesure où en France, être élu n'est pas un métier, mais un engagement. On ne parle d'ailleurs pas de salaire, mais d'indemnité. Si leur fonction nécessite plus de moyens que ceux de l'élu moyen, c'est possible, mais ça ne peut pas prendre la forme d'indemnités en plus. Nous proposons que ces surcroîts de dépenses soient pris en charge par l'Assemblée a posteriori et sur présentation de factures", explique-t-il.

    Un enjeu "de démocratie" selon René Dosière

    Des arguments battus en brèche par le député PS René Dosière, scrutateur infatigable de la dépense publique. "C'est une fausse polémique. Il y a une confusion entre ce qui relève du domaine de la loi et ce qui relève de l'autonomie financière des institutions vis-à-vis du pouvoir exécutif, qui est un des piliers de notre démocratie", tranche-t-il, soupçonnant un "antiparlementarisme primaire de l'association". "Les chambres parlementaires n'ont jamais caché l'existence de ces sommes. La loi fixe le montant des indemnités des élus, par ailleurs l'Assemblée fixe le montant qu'elle juge nécessaire à l'exercice d'une fonction. Il n'y a pas en rendre compte à l'exécutif sans quoi se crée un risque de dépendance qui menace la séparation des pouvoirs", poursuit le député de l'Aisne.

    Contacté par le Scan le bureau du président du Sénat Gérard Larcher indique n'avoir pas encore reçu le courrier de l'Association pour une démocratie directe, et qu'il répondra directement à ses auteurs. Les services de l'Assemblée n'ont, eux, pas donné suite à notre demande. Par ailleurs plusieurs députés et sénateurs contactés n'ont pas répondu à nos sollicitations, dans le contexte des vacances parlementaires

    Lu ici

     

  • Ordures!

    Des sites web de plusieurs paroisses piratés par un groupe tunisien

    Les sites internet des paroisses des Martres-de-Veyre et d’Ambert ont été victimes d’un piratage, le week-end dernier. Une bannière à caractère djihadiste a remplacé la page d’accueil. L’information a été révélée par nos confrère de France Bleu Pays d’Auvergne ce mardi soir.

    Le curé d’Ambert, Pierre Tézenas, responsable de la paroisse Saint-Jean-François-Régis en Livradois-Forez, a appris le piratage du site de la communauté samedi soir.

     " Un monsieur qui se rendait à la messe m’a informé que le site de la paroisse était piraté et qu’apparaissaient des écritures islamiques, explique le curé. J’ai immédiatement prévenu le webmaster qui a fait le nécessaire pour que la page d’accueil de la paroisse soit rétablie rapidement. Dans la soirée tout était rentré dans l’ordre.

     À quelques kilomètres de là, aux Martres-de-Veyre, le même scénario se jouait sur le site de la paroisse Saint-Romain du Val d’Allier. Là encore, très vite, le gestionnaire du site web a fait en sorte de faire disparaître les écritures signées par " Tunisian fallaga team ". (…)

    lamontagne.fr

     

    Le site de la paroisse de Rethel attaqué par des pirates tunisiens.

    Une vague de cyber-attaques s’était déjà produite en janvier 2015. Cette fois, ce sont les sites des paroisses catholiques qui sont visés. On signale des attaques à Nantes, en Loire-Atlantique, et Rethel dans les Ardennes.

     Juste après les attentats de Charlie Hebdo, les membres d’un groupe de hackers baptisé " Tunisian Fallaga Team " avait déjà fait parler de lui en piratant une centaine de sites internet sur le territoire français.

    Ce week-end, ils se sont attaqués aux pages web de plusieurs paroisses nantaises. Comme le signalent ce mardi matin nos collègues de France Bleu Champagne Ardenne, ils s’en sont également pris à celle de la paroisse de Rethel dans les Ardennes. (…)

     lunion.fr

     

     

  • On va devoir s'habituer à avoir peur de notre ombre...

    Chocques (62) : un groupe de 20 migrants impliqué dans une agression sur une aire de repos de l’A26

    De l’avis d’un gendarme, « c’est une agression très très rare ». Jeudi soir, vers 23 h 45, un groupe d’une vingtaine de migrants a agressé trois personnes, sur l’aire de repos de la Grande Bucaille, sur l’autoroute A 26 : le conducteur d’une camionnette, qui s’était arrêté là pour téléphoner, ainsi qu’un couple originaire de Norrent-Fontes, qui revenait d’Arras.

    D’après nos sources, le groupe s’en serait pris à la camionnette d’abord, puis aux occupants de cette Clio. Armés de pierres et de bâtons, les agresseurs ont asséné des coups et brisé les vitres du véhicule. L’un des garçons du couple s’est alors réfugié dans les toilettes de cette aire, avec le conducteur de la camionnette, pour avertir les gendarmes. Entre-temps, son compagnon, à l’extérieur, a été sérieusement blessé.

    Mauvais endroit, mauvais moment

    Les premiers éléments de l’enquête tendent à penser que les victimes « étaient au mauvais endroit, au mauvais moment ». Cette aire d’autoroute étant située à deux kilomètres du petit camp de migrants de Chocques (une vingtaine de personnes tout au plus), ceux-ci tentent souvent d’embarquer dans les camions depuis le parking.

    D’après certains témoignages, il semblerait qu’un groupe violent de passeurs ou de migrants même, terrorise les exilés de Chocques. Dans ce contexte migratoire très tendu, des luttes sont en effet observées pour la maîtrise des points de passage. « La pression monte », constate une bénévole de l’association Terre d’errance, qui vient en soutien aux exilés. Plusieurs bagarres auraient ainsi éclaté, depuis le début de l’année, ce qui n’est pas confirmé.

    Il se pourrait donc que les trois victimes de l’aire de l’A26 aient été confondues avec des membres de ce groupe violent qui sévirait dans la région, et que certains exilés aient voulu se venger, attaquer pour se défendre. C’est, pour l’heure, l’hypothèse privilégiée. Le peloton autoroutier de Béthune a ouvert une enquête.

     (…) La Voix du Nord

    11/04/16

    L’information est à prendre avec beaucoup de précautions, mais les faits sont confirmés : un jeune homme originaire de Norrent-Fontes a été agressé jeudi soir vers 23h30, sur l’aire de repos de la Grande bucaille à Chocques, entre Lillers et Béthune. Il a été sérieusement blessé à la tête. Sorti de l’hôpital vendredi, il a été à nouveau hospitalisé dimanche. La victime dit avoir été agressée par des migrants.

    Une enquête de la gendarmerie est en cours. Jeudi soir, un homme de 22 ans a été agressé sur l’aire de la Grande Bucaille à Chocques. Il aurait d’abord été témoin d’une première agression d’un homme, par un groupe d’une quinzaine de migrants selon ses déclarations, avant d’être lui-même pris à partie par les agresseurs. Il s’est alors réfugié dans sa voiture. Les vitres du véhicule ont été brisées, à coup de bâtons et de pierres, les mêmes armes qui ont été utilisées contre lui lorsqu’il a tenté de se mettre à l’abri dans un camion. Son compagnon, qui se trouvait aux toilettes, a appelé les secours. À l’arrivée de la gendarmerie, les agresseurs n’étaient plus sur place.

    L’Avenir de l’Artois