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Humain? - Page 285

  • La garce du Poitou-Charentes

    Ségolène Royal, la "princesse" du Poitou-Charentes

    Patrick Guilloton, ancien journaliste à "Sud-Ouest", a suivi Ségolène Royal pendant plus de dix ans. Il la raconte dans un livre, "La Princesse Royal".

    On connaît la Ségolène Royal "national ", celle qui appelle à "d'autres victoires" un soir de défaite à la présidentielle, celle qui vante les "Désirs d'avenir", celle qui vise le perchoir de l'Assemblée nationale avant d'être élue députée. On connaît un peu moins l'élue régionale du Poitou-Charentes. La vie de Ségolène Royal dans sa circonscription de Melle, puis à Poitiers, siège de la région, est pourtant tout aussi mouvementée. Son ascension ne fut pas vraiment un chemin de roses. À Poitiers, à Melle ou à La Rochelle comme à Paris, les méthodes sont les mêmes: improvisations, passage en force, petits arrangements avec la vérité, mais aussi une capacité hors norme à aller de l'avant. Dans un livre très à charge, aux allures de pamphlet, Patrick Guilloton, ancien journaliste à Sud-Ouest, raconte vingt ans de "ségolénades" en Poitou-Charentes, ce fameux "laboratoire" où toutes les expériences ne furent pas concluantes. En voici dix exemples.

    Élue en 2004 à la tête du Poitou-Charentes, Ségolène Royal veut réduire l'influence du FN. Elle décide de relever le seuil pour constituer un groupe (avec moyens afférents) de trois à six élus. "Six années plus tard, cette affaire est néanmoins revenue sur le tapis", rappelle Patrick Guilloton. En 2010, Ségolène Royal a fait élire trois centristes pour constituer sa majorité. Mais trois élus centristes, c'est trop peu pour constituer un groupe. Elle fait donc machine arrière, et fait de nouveau modifier le règlement intérieur afin de "ramener le nombre d'élus à trois pour permettre à un parti (...) de constituer un groupe".

    L'invité-surprise

    Après la première élection de Ségolène Royal à la région, plusieurs cadres quittent la collectivité. C'est le cas d'une attachée de presse. Lors d'un déjeuner avec plusieurs journalistes, à Poitiers, Ségolène Royal explique les raisons du départ de cette collaboratrice, "ses inquiétudes, ses espoirs pour la suite". "Tout cela, raconte Patrick Guilloton, en étant la seule autour de la table à ignorer que, juste face à elle, le responsable de diverses publications agricoles de la région n'est autre que le compagnon – et père des deux grandes filles – de l'ex-contractuelle dont elle se permet de révéler, en long, en large et même au-delà, les prétendus états d'âme“.

    Longuet à l'aide de Royal

    Comme elle l'avait fait avec les poids lourds (Valls, Rebsamen...) qui l'entouraient après la présidentielle de 2007, Ségolène Royal veut améliorer le management de ses troupes régionales. Entre démissions et évictions, tout ne tourne pas très rond au conseil régional. Elle fait donc appel à un cabinet de conseil aux managers, Cesar Consulting. Un conseiller régional se rebiffe: "Un marché de gré à gré de 89 000 euros a été signé... puisqu'à partir de 90 000 euros un appel d'offres est nécessaire. C'est une honte, de l'argent fichu en l'air. Car tout le monde connaît, ici, la cause de tout ce cirque. Il y en a une, une seule. C'est elle“. Le cabinet, spécialisé en gestion de crise, s'avérera être dirigé par Gérard Longuet, sénateur Les Républicains marqué à droite de la droite.

    La voiture fantôme

    Avant l'élection de 2004, Ségolène Royal promet que, si elle est élue, elle réduira les dépenses et chassera les signes d'apparat. Elle vise notamment la belle Renault Vel Satis utilisée par la présidente d'alors, Élisabeth Morin. Élue, Ségolène Royal roule donc dans une Renault Laguna, plus modeste. Pour raconter la suite, il faut descendre au cinquième sous-sol du conseil régional: "C'est là (...), sous une bâche grise, qu'intrigué on aperçoit une voiture. En soulevant la bâche, les habitués de la boutique comprennent immédiatement. Cette automobile est la Vel Satis utilisée comme voiture de fonction par Élisabeth Morin. "Le concessionnaire qui a loué la berline a en effet exigé que le contrat aille à son terme. La région a donc dû payer deux locations à la fois. Et conserver deux véhicules. Fidèle à sa promesse, Ségolène Royal refuse de rouler dans la plus luxueuse des deux, quitte à payer double!

    De la première à la seconde... classe

     "Lorsqu'elle quitte son costume de députée, elle saute dans le TGV en direction du Poitou-Charentes, descend toujours du train par le wagon de seconde après avoir voyagé en première. C'est l'une de ses habitudes les mieux ancrées, des centaines de Poitevins ont repéré le manège; autre marotte, interdiction absolue aux photographes de la mitrailler lorsqu'elle est à table“.

    Mauvaise opération

    À la fin des années 90, le parc du Futuroscope, près de Poitiers, va mal. Le conseil régional, présidé par la droite, vient à son secours en apportant "une bouffée d'oxygène de 10 millions d'euros, soit 100 000 actions d'une valeur de 100 euros chacune". Dix mois après son élection, Ségolène Royal décide de vendre cette participation. En 2006, "la Caisse des dépôts se port(e) acquéreur – dans le but de revendre ensuite à un investisseur privé – au prix de... 4,25 euros par action. Dans cette affaire, difficile de dire que l'argent des contribuables a été judicieusement placé puisque plus de 9,5 millions d'euros sont partis en fumée". La Futuroscope est, depuis, redevenu "une entreprise rentable. Aux dernières nouvelles, le cap des 2 millions de visiteurs et des 100 millions de chiffre d'affaires devrait être franchi en 2017".

    Le cadeau perdu de Martine Aubry

    En 2009, une grande opération de rabibochage est montée à Rezé, en banlieue nantaise, entre la patronne du PS, Martine Aubry, et Ségolène Royal. Les deux femmes ne s'aiment pas, surtout depuis l'empoignade du congrès de Reims. Sur la scène, après le meeting et les embrassades, Aubry offre à sa rivale un cadeau, une statuette africaine. L'échange se veut sincère et émouvant. "Deux-trois semaines plus tard, à Poitiers (...), un grand amateur d'art africain (...) demande à Ségolène Royal ce qu'elle a fait de la statuette de bois offerte à Nantes. La réponse fuse; le ton, l'expression de son visage sont encore plus explicites que ses paroles: "Je n'en sais strictement rien“.

    De bien curieux représentants

    En 2010, réélue à la tête de la région, Ségolène Royal décide de nommer des "représentants de Mme la présidente" un peu partout. L'idée n'est pas nouvelle, sauf que 18 "représentants" sur 62 ne sont même pas conseillers régionaux... L'opposition s'en émeut, au point qu'elle quitte une séance qui, quelques semaines plus tard, est consacrée à cette initiative. En mesure de rétorsion, Ségolène Royal ampute les indemnités des conseillers régionaux de droite de 450 euros environ "pour les punir de leur absence (...) Aussitôt, le tribunal administratif est saisi. Il n'aura pas à se prononcer: en fin d'année, la Princesse reverse tout ce qu'elle avait retiré".

    Mauvaise intuition

    En 2012, la guerre est déclarée avec le socialiste Olivier Falorni qui s'est déclaré candidat aux législatives dans la circonscription de La Rochelle, réservée par le PS à Ségolène Royal. Elle en discute avec Patrick Guilloton lors d'un déjeuner en avril. Il raconte: "À six jours du premier tour de la présidentielle, Ségolène Royal pense que François sera élu. Ce qui amène chez elle une certitude: À La Rochelle, Falorni n'ira pas au bout. François élu, nous lui proposerons quelque chose. Une inspection générale, quelque chose comme ça. "Quelques semaines plus tard, elle sera largement battue par son rival, dissident du PS. Elle pensait pourtant que, même s'il se présentait, elle l'écraserait. Après une présidentielle gagnée, un dissident, ça ne fait jamais plus de 5 %. Il gagnera avec quelque 60 % des voix.

    Qui connaît monsieur Gabart?

    En 2012, le Picto-Charentais François Gabart remporte le Vendée Globe. Quelques jours avant la fin de la course, lors d'un repas avec des journalistes, Ségolène Royal est interrogée sur l'enfant du pays. L'un lui demande si elle compte se rendre aux Sables-d'Olonne, le port d'arrivée. Visiblement, la question la prend au dépourvu. "Que vouliez-vous que j'aille y faire? " demande-t-elle. Les journalistes lui apprennent que Gabart est un enfant du pays, né à Angoulême. Aussitôt, elle fait rédiger un communiqué de la région, qui tombe dès la ligne d'arrivée franchie. Et lance un plan Voile, parrainé par François Gabart! Lors du lancement du plan, quelques semaines plus tard, son rival Jean-François Fountaine se confie à quelques invités: "Vous connaissez le nom de la personnalité politique ayant enterré, il y a peu, le plan Voile? Ségolène Royal“.

    La Princesse Royal de Patrick Guilloton, Cherche-Midi, 331 pages, 19 euros.

     

     

  • Destitution d'Hollande! Dehors!

    Révélations d'assassinats ciblés par drone : la destitution de Hollande évoquée par un député

    Le député (LR) Pierre Lellouche a estimé que la question de la destitution du président de la République était posée, en raison des confidences de celui-ci à des journalistes au sujet d'assassinats de djihadistes par la France durant son mandat.

    François Hollande peut-il être déchu de sa fonction de chef d'Etat pour avoir dévoilé aux auteurs de l'ouvrage Un président ne devrait pas dire ça, ses ordres d'assassinat par drone d'au moins quatre personnes, dans le cadre de la lutte contre le terrorisme islamiste? C'est en tout cas ce que semble penser le député Pierre Lellouche (Les Républicains) qui, lors d'un débat à l'Assemblée nationale sur les opérations extérieures de la France, le mercredi 19 octobre, a estimé que "la question de l'application de l'article 68 [était] désormais posée".

    Cet article de la Constitution indique notamment que le président de la République peut être destitué "en cas de manquement à ses devoirs manifestement incompatible avec l'exercice de son mandat" – or, pour l'élu parisien, l'actuel locataire de l'Elysée a "violé ouvertement l'obligation de secret".

    "Comment peut-on imaginer, monsieur le Premier ministre, que le président de la République, chef des armées, s'installe dans le rôle de commentateur en temps réel de décisions les plus secrètes en matière d'emploi de la force [...]?", a lancé le député de droite à Manuel Valls, sans pour autant dénoncer les assassinats de djihadistes eux-mêmes.

    Hollande, passible de jugement par la Cour pénale internationale?

    Mardi 18 octobre, ce sont précisément ces assassinats que l'ex-leader du Front de Gauche Jean-Luc Mélenchon avait pris pour cible, lors d'une émission diffusée sur RMC et BFM TV. "J'espère [que François Hollande] va démentir ce qu'il y a dans le livre qui lui est consacré où il reconnaît des assassinats ciblés", avait déclaré le candidat à l'élection présidentielle, avant de souligner que ce type de décision relevait selon lui de la Cour pénal internationale.

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    La loi organique n° 2014-1392 du 24 novembre 2014 portant application de l’article 68 de la Constitution est parue au Journal officiel le 25.

    La procédure de destitution peut être déclenchée " en cas de manquement [du chef de l’État] à ses devoirs manifestement incompatible avec l’exercice de son mandat ". Elle peut porter sur le comportement politique mais aussi privé du président, à condition que ses actes aient porté atteinte à la dignité de sa fonction. Elle pourrait être déclenchée en dehors de toute infraction pénale et constitue une sanction politique, et non pénale, du président.

    Elle est prononcée par la Haute Cour, qui se substitue à la Haute Cour de justice. La procédure peut être déclenchée par l’Assemblée nationale ou le Sénat en adoptant à la majorité des deux tiers de leurs membres une proposition de réunion de la Haute Cour. La seconde assemblée doit ensuite se prononcer dans les quinze jours. Si elle n’adopte pas cette proposition, la procédure est alors terminée.

    La Haute Cour doit ensuite se prononcer dans un délai d’un mois. Elle est présidée par le président de l’Assemblée nationale. Les votes s’effectuent à bulletins secrets. La délégation de vote est impossible. La majorité des deux tiers des membres de la Haute Cour est nécessaire pour prononcer la destitution du président. Pendant la durée de la procédure, le chef de l’État continue d’exercer ses fonctions. Il n’y a pas d’intérim.

     

  • Ils ne le savent pas encore....

    Désormais, c'est la guerre civile en FRANCE

    Faites des conserves! achetez des bouteilles d'eau!

    Allez sur les sites de survivalisme pour apprendre....

    achetez des armes pour vous protéger!!!

     

     

  • Partition: Français, vas-tu laisser ton pays se faire dépecer?

    “COMMENT PEUT-ON ÉVITER LA PARTITION? CAR C’EST QUAND MÊME ÇA QUI EST EN TRAIN DE SE PRODUIRE: LA PARTITION" .

    J’implore chaque citoyen français capable de comprendre ce que signifient les mots de lire et de relire ces quelques là. Ils sont effroyables de lucidité.

    Le démembrement de la France, plus ancienne nation constituée d’Europe, est en train de se produire, et c’est le Président de la République Française qui s’en fait ici le lanceur d’alerte.

    C’est exactement comme si, au début de l’offensive allemande en Mai 1940 voire, deux ans auparavant, après la Conférence de Munich, le Président de l’époque avait dit: " Comment peut-on éviter la ligne de démarcation? Car c’est tout de même ça qui est en train de se produire, la démarcation? "

    Et cela s’est produit. Par deux fois, la France a été dépecée, ou partitionnée pour causer "tendance": au Traité de Brétigny du 8 Mai 1360, qui en offrait l’essentiel à l’Angleterre, puis le 22 Juin  1940, pour une sujétion promise au vainqueur allemand.

    C’est tout.

    Français, écoute bien ceci: pour la troisième fois de sa longue histoire, notre patrie est déclarée en cours d’équarrissage, cette fois par celui-là même sont le rôle suprême est de l’en protéger. Peux-tu encore dormir tranquille, auprès de ta femme et de tes enfants, dès lors que tu sais la perspective de devoir voisiner, sur ton propre sol, avec des alter egos soudain dotés de territoires, de frontières, d’armements, d’un désir permanent de guerre et de la volonté d’y triompher?

    Français, mon ami, mon frère de sang, de cœur, de mémoire ou de rencontre, entends-tu bien ce qui t’est dit là? PARTITION ! Sais-tu ce que cela a signifié, il n’y a pas si longtemps que cela, pour les Libanais rayés de la carte par les découpages successifs qui ont fait de leur pays un puzzle sanglant aux morceaux éparpillés, impossibles désormais à recoller?

    Vois-tu que l’on te promet cela? Que derrière l’interrogation sur la parade se profile l’acceptation du "traité de paix" qui fera de toi, en maints et maints endroits, un étranger sur ta propre terre?

    C’est une monstruosité.

    Inacceptable.

    Maintenant, tu sais. Alors, par pitié pour ce que tu es encore, lève toi et dis non, simplement non, à ce qui est purement et simplement le projet de débarrasser à très court terme la planète de ton encombrante présence.

    Jean Sobieski

    http://ripostelaique.com/partition-francais-vas-tu-laisser-ton-pays-se-faire-depecer.html

  • Cela s'appelle: la France à l'envers!

    La police ne trouve rien de mieux que de bousculer Nadine MORANO!

    Le port du voile intégral est interdit en France. Qu'à cela ne tienne, Rachid Nekkaz qui n'approuve pas cette loi française en a fait son combat contre la France.

    Il revendique depuis des années de contourner cette loi en payant personnellement les amendes des femmes condamnées pour avoir porté une tenue interdite sur le territoire français.

    Il a se vante d'avoir déjà réglé près de 1200 amendes et dépensé près de 230 000 euros.

    Profitant du laxisme des autorités françaises et même de leur bienveillance, il contribue à développer le port du voile intégral et à inciter à violer nos lois.

    J'ai lancé une pétition qui a déjà reçu plus de 10 000 signatures pour qu'il soit expulsé du territoire et que ses comptes bancaires soient bloqués. Rappelons qu'il s'enorgueillit d'avoir rejeté la nationalité française.

    Conforme à son attitude de provocation, il m'a informée qu'il viendrait à Toul où je réside pour régler une amende. Prudent, il est venu sans femme portant le voile intégral...

    Il a tenté la même opération dans la ville de Bernard Cazeneuve à Cherbourg, mais s'est retrouvé étonnament en garde à vue.

    Je suis allée à sa rencontre à la Trésorerie de Toul accompagnée d'une dizaine de militants informés par la presse de sa venue.

    Pendant 20 minutes de conversation stérile, j'ai tenté de le dissuader de persévérer à inciter à la violation de nos lois.

    Quel ne fut pas mon étonnement quand à 5 minutes de la fermeture de la trésorerie, c'est la police qui est intervenue pour qu'il puisse aller payer l'amende de la contrevenante.

    Sur ordre du Préfet de Meurthe-et-Moselle (ancien collaborateur de Manuel Valls), quel choc d'entendre la police venue en nombre faire état de sommation, me bousculer en arrivant par surprise, pour permettre à Rachid Nekkaz d'entrer dans la trésorerie...

    Drapeau algérien autour du cou, Rachid Nekkaz est entré, sous protection policière dans la trésorerie de Toul. Quelle honte !

    On attendrait des autorités la même réactivité pour verbaliser les femmes en burqa et mettre de l'ordre à la Grande Borne.

    La police régulièrement attaquée par les islamistes en vient à être forcée de les protéger ! Je soutiens la police et je suis triste des ordres absurdes qu'elle peut recevoir.

    Voilà l'Etat de droit ! Le voile intégral est une publicité pour l'Islam radical que nous devons combattre en France. Pourtant il prolifère nourri par la lâcheté du gouvernement.

    Français réveillez-vous, Cazeneuve n'assure pas votre protection mais bien celle des ennemis de la France !

    https://www.youtube.com/watch?v=5m_888p24U4&feature=youtu.be

     

    https://www.youtube.com/watch?v=PJwEEUdzOIU&feature=youtu.be

  • Ce n'est pas Juppé qu'il nous faut! LA PREUVE!

    Ali Juppé veut plein de migrants pour repeupler et re-dynamiser nos campagnes!

    C’est dans la deuxième partie de son entretien avec Ruth Elkrief, à partir de la minute 4

    Première partie

    http://www.bfmtv.com/mediaplayer/video/alain-juppe-face-a-ruth-elkrief-12-875105.html

    Seconde partie

    http://www.bfmtv.com/mediaplayer/video/alain-juppe-face-a-ruth-elkrief-22-875089.html

    Il se paye ouvertement notre tête.

    Son programme prévoit de sauver et développer le monde rural en plein désarroi. Et comme il faut repeupler les campagnes pour y ramener écoles et autres services publics, cela sera fait grâce aux migrants.

    CQFD.

    Cet imbécile ne sait sans doute pas qu’il y a des milliers de Franciliens  qui mènent une vie horrible, passant des heures chaque jour dans les transports en commun toujours en retard, vivant dans l’insécurité en banlieue qui rêvent de s’installer dans des petits villages afin que leurs enfants vivent en sécurité et avec une vraie qualité de vie.

    Or, il se trouve que dans ces petits villages… il n’y a pas d’emploi.

    Sans emploi, on ne peut pas vivre, dans un petit village. Sans emploi on nourrit comment les enfants qui vont permettre d’ouvrir à nouveau l’école?

    Mais ce qui est vrai des Français ne le serait pas des migrants? Et pour quelle belle et bonne raison, Ali Juppé?  Parce que vous savez pertinemment que l’immense majorité de ces gens-là ne sont pas employables et qu’ils resteront A NOTRE CHARGE, avec une pension de réfugié, un RSA et les allocations reçues pour les multiples enfants qu’ils ne manqueront pas de faire à de pauvres filles, sans se soucier de leurs autres épouses restées au pays sous les bombes. En attendant de faire venir ces autres épouses, d’ailleurs.

    Il est vrai que de multiples écoles vont pouvoir ouvrir à nouveau avec ce système… mais ça va coûter très cher au village et à la France. D’autant qu’avec l’apport de musulmans, c’est notre art de vivre, notre patrimoine et notre culture qui vont disparaître. Re-dynamiser nos villages? Non, Juppé veut les dynamiter.

    Quant au reste… Chez Ali rien de nouveau.

    Problèmes avec l’islam? Super Ali va tout résoudre avec son « code de la laïcité » que LES religions devront respecter. Exactement comme sont respectés sans doute la Charte de la laïcité à l’école et dans les hôpitaux. La Main d’Ali Juppé sur le papier affiché et la face de la France sera changée…

    Non respect de l’égalité hommes-femmes? Super Ali va résoudre cela avec sa baguette magique: il lui suffit de dire en fronçant le nez "toutes les religions doivent respecter l’égalité hommes et femmes" pour que les femmes musulmanes soient libres, épanouies, et que les non musulmanes soient bien considérées…. Jamais Ali Juppé ne met l’islam à part… Ça étonne quelqu’un?

    Le salon de la femme musulmane? Super Ali ne répond pas à la question pourtant répétée… Super Ali ne pense pas. Super Ali ne pense rien de la femme musulmane. Il assène je suis contre le communautarisme et pour la diversité. Nous voilà sauvés… D’autant qu’on a appris quelque chose d’important: la diversité n’a de sens que si on va vers l’unité…  Unité avec son grand ami Tarek Oubrou?

    Pour le reste, gloubi-boulga habituel: il est criminel d’attaquer l’Europe, il faut juste l’améliorer (vous reprendrez bien un petit peu de délocalisations, d’amendes pour avoir aidé nos agriculteurs et autres PME en détresse, de directives imbéciles, de Tafta, d’immigration et de droit des minorités…), son ennemi majeur c’est le FN (ben tiens, on ne s’en doutait pas) et son credo est « je suis patriote« . Mince alors, cela ne nous avait pas sauté aux yeux. Et il paraît que le regroupement familial ce n’est pas un problème, étant insignifiant (il ne doit pas se balader souvent à Paris ou Marseille, entre autres). Quant aux lendemains qui chantent qu’il nous prépare dans les entreprises… Retraite à 65 ans, 39 heures payées 39 (encore moins d’emplois pour nos jeunes et nos chômeurs, sans parler des immigrés légaux qui continuent d’arriver ; mais c’est pas grave, ils auront le RSA…).

    Naturellement il a réitéré sa crainte de guerre de civilisation. Si il arrive au pouvoir, tireurs sportifs et chasseurs, vous pourrez planquer vos armes, ça va être encore plus chaud qu’avec Hollande-Cazeneuve. Je ne veux pas de guerre de civilisation, je ne veux pas de guerre des cultures. Comme la méthode Coué risque de ne pas fonctionner, Ali Juppé va nous casser la tête. J’ai bien dit la tête, pas les pieds.

    http://resistancerepublicaine.eu/2016/09/30/juppe-est-pret-a-negocier-avec-oubrou-lislamisation-rampante-pour-echapper-a-la-guerre-civile/

    Collusion de Juppé avec les islamistes: un membre de son équipe accuse.

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    Amine Elbahi a annoncé retirer son soutien à la candidature d’Alain Juppé. Le jeune garçon ne pèse pas lourd dans l’appareil LR, mais il incarne un symbole fort: Amine s’est en effet engagé en politique après que sa sœur soit partie en Syrie.

    J’ai beaucoup réfléchi ces derniers temps concernant mon engagement dans le cadre de la primaire de la droite et du centre. En 2014, j’avais été l’un des premiers à répondre à l’appel au rassemblement voulu par Alain Juppé qui a été le premier à déposer sa candidature à la primaire de la droite et du centre.

    Le temps est venu pour moi de réfléchir quant au projet que nous voulons réellement présenter aux Français. Mes valeurs, mes convictions et ma loyauté vis-à-vis de ma famille politique restent intactes.

    La primaire est un renouveau des pratiques politiques et doit permettre de réunir des femmes et des hommes qui se reconnaissent dans les idées défendues par la droite et le centre. La crise politique qui touche notre pays ne doit pas permettre la remise en question du clivage entre la gauche et la droite. Je crois encore au clivage. Le clivage est nécessaire dans notre démocratie.

    “Je vous annonce mon départ de l’équipe d’Alain Juppé car je ne me sens plus en adéquation avec ses idées et ses positions. Je reste attaché au candidat pour qui je me suis beaucoup battu mais rester à ses côtés serait renier mes convictions“.

    Nous ne pouvons plus affirmer d’un côté combattre le salafisme et de l’autre travailler à leurs côtés, notamment l’UOIF, présidée par Amar Lasfar et dont les dirigeants sont Tareq Obrou, Hassan Iquouissen ou encore Ahmed Miktar, qui prône comme Rachid Abou Houdeyfa un islam politique incompatible avec les valeurs de la République.

    La société française vit une crise identitaire sans précédent. La France ne peut se satisfaire d’une « identité heureuse » à l’heure où la crise profite aux salafistes et permet la radicalisation des esprits.

    Malgré leur papier d’identité, leur culture, leur histoire, de nombreux jeunes ne se sentent pas Français. Le repli identitaire va de soi. Qui peut croire que la religion n’a aucune influence dans les quartiers abandonnés de la République? Les débats imposés par les salafistes prennent en otages les millions de musulmans français et perturbent le débat politique qui doit se tenir.

    Les récents événements qui ont frappé notre pays en son cœur doivent nous permettre de nous réunir. La République est défiée. Je crois au combat républicain et à un sursaut citoyen!

    Je me laisse le temps de la réflexion pour choisir le candidat qui réunira la plus grande part de mes convictions. Mon choix dépendra du candidat qui:

    Affirmera clairement vouloir éradiquer le salafisme et anéantir les recruteurs de Daech dans nos villes, parce qu’en tant que citoyen engagé contre la radicalisation aux côtés de nombreuses familles et de la Brigade des Mères, nous nous battons pour remettre nos quartiers au cœur de la République.

    Agira aux côtés des forces de l’ordre pour faire revenir l’autorité de l’État et la sécurité des Français parce que la ville de Roubaix, dont je suis originaire, est la plus grande zone de sécurité prioritaire du pays.

    Exprimera des propositions concrètes pour réaffirmer l’autorité du professeur et ramener la mixité sociale dans nos écoles, parce qu’en tant que Réserviste de l’Éducation Nationale, je me bats au quotidien pour la réussite de tous.

    Je soutiendrai le candidat favorable à une véritable politique de prise en charge et d’accompagnement des familles parce qu’en France, 13000 enfants handicapés se trouvent sans solution éducative, dont mon petit frère.

    Je garde un excellent souvenir de mes déplacements, des personnes rencontrées et remercie l’ensemble des militants pour leur reconnaissance.

    Mon adversaire reste la politique laxiste de François Hollande et du gouvernement. Mon ennemi déclaré est le Front National!

    Amine Elbahi.