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Humain? - Page 283

  • Les raisins de la colère anti-flic

    En ce jour de manifestation des policiers contre la "haine anti-flic", France Inter proposait ce matin une intéressante conversation (1) entre la commissaire de police Céline Berthon, du Syndicat des commissaires de la police nationale (SCPN), et Fabien Jobard, chercheur au CNRS et spécialiste de la sociologie de la police (2).

    Le discours nécessairement pro-police de Mme Berthon mettait en avant la neutralité politique de la police, qui avec ses moyens limités doit faire face à des bandes de casseurs très équipés infiltrant les mouvements sociaux (Nuit Debout) et les manifestations a priori pacifiques. Elle insiste sur le fait que les actions de la police sont déterminées par les ordres des politiques (préfet et au-delà) qui gèrent la situation en temps réel. Cette exception culturelle française de la gestion politicienne de l’action policière fut pointée par Mr Jobard qui rappela que, dans les pays anglo-saxons, c’est la police elle-même qui gère l’action et prend les décisions en matière d’intervention lors des manifestations. Autrement dit, c’est bien cette particularité de la gestion policière à la française qui permet l’instrumentalisation à visées politiques, instrumentalisation récemment dénoncée par certains policiers eux-mêmes: lire cet entretien avec Alexandre Langlois dans l’Humanité du 4 mai (3) intitulé " Tout est mis en place pour que ça dégénère".

    Extrait: Prenons l’exemple du 9 avril. En fin de journée, nous savons qu’un groupe de casseurs dangereux vient d’arriver gare du Nord pour aller perturber Nuit debout, à République. Une compagnie de CRS se trouve sur leur passage, prête à intervenir. Mais l’ordre leur est donné par la préfecture de se pousser dans une rue adjacente ! Les collègues leur signalent l’imminence de l’arrivée du groupe de casseurs. Mais ordre leur est confirmé de les laisser gagner place de la République, avec les conséquences que l’on connaît ! Par contre, quand il s’est agi d’aller protéger le domicile privé de Manuel Valls, ce soir-là, cette fois les ordres ont été clairs…

    Fabien Jobard précise que les casseurs ne sont pas plus nombreux ni plus équipés qu’auparavant, bien au contraire citant des exemples des années 70 et 80 où les manifestants, les sidérurgistes en l’occurrence, étaient eux effectivement équipés et bien plus dangereux que les jeunes cagoulés d’aujourd’hui. Il invalide ainsi l’argument policier d’une augmentation de la violence desdits casseurs pour justifier leur propre violence. Il enfonce le clou en mentionnant l’énorme effectif policier dédié au contrôle social en France: 30 000 gendarmes mobiles et CRS uniquement destinés au maintien de l’ordre, plus les compagnies d’intervention de la préfecture de police, les brigades d’intervention de voie publique, les BAC, bref la plus importante force de ce type en Europe. Et malgré cela la police s’estime en difficulté face aux manifestants, dénonçant le support implicite voir explicite des manifestants lambda avec la frange des casseurs.

    Pour Fabien Jobard, ce rapprochement entre les manifestants classiques et les extrémistes est simplement le résultat de la mauvaise gestion, volontaire ou non, des manifestations par la police. Le fait de gazer tout le monde, de faire des nasses qui prennent au piège les familles totalement vulnérables au même titre que les éléments durs, l’absence totale de dialogue et d’explication des actions policières auprès des publics concernés, induit et nourri ce mouvement anti-flic.

    Je doute que ce soit accidentel. Un régime autoritaire aux abois tel le régime Hollande-Valls a besoin de mettre en avant l’ennemi intérieur pour justifier l’omniprésence policière dont il a besoin pour se maintenir au pouvoir. La vache à lait terroriste lui a permis de tirer le maximum de l’état d’urgence, mais y ajouter voir y assimiler la majorité des manifestants ne peut pas faire de mal et se réalise via une logique imparable: la prédation policière fait peur et vise à faire rester chez lui le manifestant traditionnel qui n’a aucune envie de se retrouver otage d’une zone de guerre, augmentant de ce fait la proportion de jeunes qui veulent bien en découdre, confortant ainsi la thèse manifestants = casseurs.

    J’ignore si les flics sont dupes, mais en tout cas certains semblent se rendre compte où peut mener une telle politique: à un moment donné ça risque de se passer plus mal pour eux que pour ceux d’en face.

    Notes:

    (1) http://www.franceinter.fr/emission-le-79-celine-berthon-et-fabien-jobard

    (2) http://www.laviedesidees.fr/_Jobard-Fabien_.html

    (3) http://www.humanite.fr/tout-est-mis-en-place-pour-que-ca-degenere-606373

  • Ben oui, l'intégration chez nous, pas plus compliquée que ça!

     

     

  • Refaiseurs d'histoire: Arrêtez de dire n'importe quoi!

    Je tombe des nues: ils veulent refaire l'histoire de France! mais, qui tu est, toi qui donne des leçons à la France!!!!! où était ton grand-père à cette époque?

    Les miens y étaient.

    Chaque famille française....

    j'ai dit: CHAQUE FAMILLE

    a subi des douleurs et des pertes ignobles durant cette guerre, laissant à tout jamais des plaies saignantes ouvertes!

     

    STOP LA REPENTANCE DES IDIOTS!

    STOP LE MAQUILLAGE ET LA MANIPULATION!!!

     

    C'est pas dans nos mœurs de nous prosterner par terre, le cul levé!

     

    La France n’a pas gagné la Première guerre mondiale grâce à l’Afrique et aux Africains

    Dans la grande entreprise de réécriture de l’histoire de France par les partisans du "grand remplacement", la Première Guerre mondiale, et plus particulièrement la bataille de Verdun, constitue un argument de poids. Son résumé est clair: les Africains ayant permis la victoire française, leurs descendants ont donc des droits sur nous.

    Voilà qui explique pourquoi ces ardents défenseurs du "vivre ensemble" que sont MM. Samuel Hazard, maire socialiste de Verdun, et Joseph Zimet, à la ville époux de Madame Rama Yade, et en charge de la Mission du centenaire de la Grande Guerre, ont voulu mettre le sacrifice de millions de Poilus au service de leur idéologie.

    Laissons donc parler les chiffres[1]:

    1) Effectifs français (métropolitains et coloniaux)

     Durant le premier conflit mondial, 7,8 millions de Français furent mobilisés, soit 20% de la population française totale.

    Parmi ces 7,8 millions de Français, figuraient 73.000 Français d’Algérie, soit environ 20% de la population "pied-noir".

    Les pertes françaises furent de 1.300 000 morts, soit 16,67% des effectifs.

    Les pertes des Français d’Algérie furent de 12.000 morts, soit 16,44% des effectifs.

    2) Effectifs africains

    L’Afrique fournit dans son ensemble 407.000 hommes, soit 5,22 % de l’effectif global de l’armée française.

    Sur ces 407.000 hommes, 218.000 étaient des "indigènes" originaires du Maroc, d’Algérie et de Tunisie, soit 2% de la population de ces trois pays.

    Sur ces 218.000 hommes, on comptait 178.000 Algériens, soit 2,28 % de tous les effectifs français.

    L’Afrique noire fournit quant à elle, 189.000 hommes, soit 1,6% de la population totale et 2,42% des effectifs français.

    Les pertes des unités nord africaines furent de 35.900 hommes, soit 16,47% des effectifs.

    Sur ces 35.900 morts, 23.000 étaient Algériens. Les pertes algériennes atteignirent donc 17.98 % des effectifs mobilisés ou engagés.

    Les chiffres des pertes au sein des unités composées d’Africains sud-sahariens sont imprécis. L’estimation haute est de 35.000 morts, soit 18,51% des effectifs; l’estimation basse est de 30 000 morts, soit 15.87%.

    Pour importants qu’ils soient, ces chiffres contredisent donc l’idée-reçue de "chair à canon" africaine. D’ailleurs, en 1917, aucune mutinerie ne se produisit dans les régiments coloniaux, qu’ils fussent composés d’Européens ou d’Africains.

    Des Africains ont donc courageusement et même héroïquement participé aux combats de la "Grande Guerre". Gloire à eux.

    Cependant, compte tenu des effectifs engagés, il est faux de prétendre qu’ils ont permis à la France de remporter la victoire. Un seul exemple: le 2° Corps colonial engagé à Verdun en 1916 était composé de 16 régiments. Les 2/3 d’entre eux étaient formés de Français mobilisés, dont 10 régiments de Zouaves composés très majoritairement de Français d’Algérie, et du RICM (Régiment d’infanterie coloniale du Maroc), unité alors très majoritairement européenne.

    Autre idée-reçue utilisée par l’idéologie dominante: ce serait grâce aux ressources de l’Afrique que la France fut capable de soutenir l’effort de guerre.

    Cette affirmation est également fausse car, durant tout le conflit, si la France importa six millions de tonnes de marchandises diverses de son Empire, elle en importa 170 millions du reste du monde.

    Conclusion: durant la guerre de 1914-1918, l’Afrique fournit à la France 3,5% de toutes ses importations et 5,22 % de ses soldats. Ces chiffres sont respectables et il n’est naturellement pas question de les négliger. Mais prétendre qu’ils furent déterminants est un mensonge doublé d’une manipulation.

    Bernard Lugan

    13/05/2016

    [1] Les références de ces chiffres sont données dans mon livre Histoire de l’Afrique du Nord des origines à nos jours. Le Rocher, en librairie le 2 juin 2016.

    http://bernardlugan

  • RENNES: LA VÉRITÉ

    Commune française située dans l'Ouest de la France. C'est le chef-lieu du département d’Ille-et-Vilaine et de la région Bretagne. Rennes compte 211 373 habitants intra-muros en 2013, ce qui fait d'elle la première ville de la région Bretagne, la deuxième ville du Grand Ouest et la onzième commune la plus peuplée de France en nombre d'habitants. L'unité urbaine est peuplée de 322 247 habitants en 2013 et son aire urbaine, qui comprend 700 675 habitants en 2013, est la dixième au niveau national. Rennes est le siège d'une métropole de 426 502 habitants (2013), faisant ainsi partie des 11 grandes métropoles françaises de droit commun (depuis janvier 2015).

    Bref et vous l'aurez compris, Rennes est une grande ville dans laquelle vivent des tas de gens, une ville dans laquelle, normalement, il doit faire bon vivre. Sauf que... Sauf que, comme Nantes, elle est infestée par quelques dizaines de morpions d'extrême-gauche, des antifas, des no borders, des zadistes en tournée nationale, des blacks blocs et autres parasites. En gros, 500 gusses qui prennent un malin plaisir, régulièrement, dès que l'occasion se présente de mettre le bronx, de casser tout ce qu'il est possible de casser et de semer la désolation autant qu'ils suscitent la consternation parmi les habitants.

    14 manifestations contre la loi travail cette année, autant d'opportunités pour ces excités d'affronter les forces de l'ordre, d'en découdre.

    Et des habitants qui n'en peuvent plus, et des finances publiques qui paient les dégâts, et des commerçants qui n'ont plus que les yeux pour pleurer en constatant les dégâts et en attendant la prochaine augmentation de leurs primes d'assurance, sans compter les pertes de chiffres d'affaires.

    Et un Préfet qui après avoir autorisé 13 manifestations qui ont toutes dégénérées interdit la quatorzième avec un mot d'ordre: Que les habitants restent chez eux cet après-midi !

    500 connards prennent en otage le centre-ville de la onzième commune de France en nombre d'habitants et le Préfet de demander aux habitants de rester chez eux ! Non, mais allo quoi? On marche sur la tête.

    La République ne serait donc pas capable d'assurer la sécurité de 322 000 habitants menacée par 500 connards? Euh... Y a comme un problème, là.

    Sauf à considérer que les autorités, délibérément ou pas, ne se donnent pas les moyens de maintenir l'ordre et la sécurité pour tous... Et bien voyez-vous, je crois dur comme fer qu'effectivement ils ne se donnent pas les moyens de protéger Rennes. Pourquoi?

    Vous verrez que ce soir les autorités se féliciteront du nombre record d'interpellation: 8? 12? 20?

    Vous verrez qu'on nous annoncera, allez, 10 ou 20 gardes à vue, 3 à 4 comparutions immédiates et que d'ici un mois ou deux, on aura oublié et qu'aucun journaliste ne sera capable de nous dire si oui ou crotte un seul de ces connards a été condamné à de la prison ferme, encore moins si incarcération il y a eu.

    Ce matin, François Hollande déclarait: "Aucune violence ne doit être acceptée". Violence, il y a eu. Son Préfet a déclaré: "On ne les laissera pas manifester, cette manifestation n'aura pas lieu. On fera respecter la loi, on fera respecter l'état de droit". Manifestation, il y a eu, les casseurs ont manifesté et loi et état de droit n'ont pas été respectés.

    Le même a martelé: "La ville de Rennes n'a pas vocation à devenir un champ de bataille de casseurs violents" et la ville de Rennes, hier soir et cet après-midi a bien été un champ de bataille.

    500 à 700 casseurs qu'on assurait ne pas laisser manifester ont affronté 7 compagnies de CRS (soit +/- 1000 pax), 4 canons à eau et deux hélicoptères, sans compter les voltigeurs en civils...

    A Rennes, aujourd'hui, l'Etat a encore failli. A Nantes et à Toulouse aussi.

    Et comme d'habitude, le Sinistre Cazeneuve ne devrait pas tarder à pointer son museau devant le micro et les caméras convoquées pour rendre hommage aux forces de l'ordre et nous assurer que tout sera fait pour que les coupables soient poursuivis et sévèrement condamnés.

    Addendum de 18h33: Itélé annonce 15 interpellations

     

    http://corto74

    Lisez les commentaires: édifiants

  • Coquins-copains en gauchiasserie

    Décret sur mesure pour un proche de Hollande

    L’annonce tient en trois lignes dans le compte-rendu du conseil des ministres de ce mercredi 11 mai. Le patron de la Direction générale de la sécurité extérieure (DGSE), Bernard Bajolet, est prolongé à son poste « dans la limite d’une année, à compter du 21 mai 2016″. Il est donc certain de rester aux commandes des services de renseignements extérieurs jusqu’à la présidentielle de 2017… alors qu’il était atteint par la limite d’âge.

    Bernard Bajolet, ambassadeur de son état. Les deux hommes se connaissent depuis bien longtemps. (…)

    Le problème, c’est que Bernard Bajolet allait atteindre le 21 mai prochain, jour de ses 67 ans, la dernière limite d’âge possible pour les fonctionnaires civils de l’Etat. Qu’à cela ne tienne ! Comme le relevait  dès le mois de janvier, le gouvernement s’est débrouillé pour retarder son départ à la retraite.

    Il a pour cela glissé dans le projet de loi Lebranchu sur la déontologie de la fonction publique un amendement prévoyant que « les fonctionnaires occupant un des emplois supérieurs participant directement à la défense des intérêts fondamentaux de la nation et figurant sur une liste fixée par décret en Conseil d’Etat“ peuvent être prolongés « d’une année supplémentaire ». La loi comportant  a été promulguée le 20 avril dernier, juste à temps ! Il ne restait plus qu’à prendre, en mentionnant le patron de la DGSE dans la liste des fonctionnaires autorisés à bénéficier de cette mesure spéciale – ce qui a été fait le 6 mai dernier – et le tour était joué. (…)

     

    Tous des voleurs, profiteurs, abuseurs, menteurs, violeurs...

     

     

  • Des rap-peurs (de n'être que des moules) à Verdun

    Incapables de défendre la France qui les a nourrit, éduqués, habillés, allocationnisés avec nos impôts, taxes et charge et la sueur de nos fronts d'ouvriers qui travaillent depuis l'âge de 14 ans.... et la chair à canon de nos pères et grands-pères.... ils iront vite se planquer dans leur pays d'origine si la France est, hélas à Dieu ne plaise, un jour attaquée!

    Ce n’est pas la Fête de la musique, Monsieur le Président, c’est la bataille de Verdun, un symbole national, une bataille dans laquelle toutes les familles de France ont perdu un proche. Un sol dans lequel reposent encore des ossements non identifiés. Ils vibreront avec les basses. Black M n’a pas fait mystère de l’esprit dans lequel il se rend à ce concert. Oh, certes pas trop de mauvais esprit. Pas comme lorsqu’il chantait, avec Sexion d’Assaut – oui, comme les SA – que la France était un pays de "kuffars", même s’il laisse planer le mystère sur les titres de Sexion d’Assaut qu’il pourrait reprendre. Juste une absence d’esprit. (NDLR: à la hauteur de sa connerie).

    Pourquoi a-t-il accepté de participer à cette commémoration?" C’est de la scène, et c’est quelque chose que j’aime énormément alors je réponds présent. Tout simplement. "Pas le moindre mot sur l’objet de la commémoration. C’est un show comme un autre. C’est même l’occasion de faire la promo de son nouvel album. Et "si le public est chaud, on donnera tout“.

    Il faut juste espérer que l’on n’évoque pas trop le calvaire des centaines de milliers de combattants, et les 700.000 vies brisées, pour ne pas trop nuire à l’ambiance. A ses détracteurs, Black M répond: "Je les invite à venir me voir, qu’ils aiment ou pas ma musique, on va s’amuser“.

    On ne le lui reprochera pas nécessairement – quoiqu’il ne serait pas moins respectueux à son égard de ne pas désespérer de lui – c’est bien ceux qui l’ont choisi et ont choisi d’organiser un concert festif et Black M comme tête d’affiche qui sont responsables.

    Vous êtes président, et vous n’êtes qu’un symptôme.

    Parce que vous, parce que notre époque, parce que nous sommes englués dans un festivisme absurde, grotesque, même la commémoration centenaire de la bataille de Verdun doit conduire à "s’amuser". Bien sûr, le ministre nous dit que ces commémorations sont orientées vers la jeunesse. (Spèce de con! faut aider les jeunes à danser sur la mort? parce que d'autres ne leur ont pas appris à pisser sur notre drapeau? NDLR).

    C’est vrai que c’est pesant, le centenaire d’une bataille au cours de laquelle on penserait trop à ceux qui y sont morts. Alors nos commémorations s’orientent toujours "vers la jeunesse".

    Mais elle n’est pas forcément ce que vous croyez, la jeunesse, elle n’est pas uniforme, Monsieur le Président. Elle est capable de dignité, elle est capable de grandeur, cette jeunesse et, dans la période actuelle, nous en avons un besoin vital. Ceci aussi est manifestement passé au-dessus de votre tête, de celle de vos conseillers et ministres. Vous insultez jusqu’à la jeunesse des quartiers en pensant qu’elle est incapable de comprendre que l’on ne danse pas sur des tombes. (Mais, ça vaudrait le coup d'aller pisser sur votre tombe… comme disait un grand humoriste français… NDLR).

    Et si d’aventure, elle ne le percevait pas spontanément, on aurait attendu de vous que vous le lui appreniez. (Ce qui relève de l'absolu impossibilité, voir plus bas sur la sinistre de l'Education Nationale).

    Renoncez, il n’est pas trop tard. Pour le principe et pour l’honneur, évidemment, mais l’on hésite à en parler encore. Leur honneur? ils ne savent même pas écrire ce mot... ni même savoir sa définition!

    Pour éviter le ridicule, au minimum.

    et sur contrepoints https://www.contrepoints.org/2016/05/12/252580-centenaire-de-verdun-a-quoi-servent-les-commemorations

    "L’ère vide du pouvoir“ ... accompagne celui de leur cervelle

    Cette commémoration est le miroir qui nous montre le vide du pouvoir et de la réflexion politique. Incapable de donner de la grandeur, la commémoration s’échoue dans le néant. Elle devient une kermesse pour amuser le peuple, sauf que le peuple ne viendra pas et ne regardera pas un spectacle qui ne l’intéresse pas.

    L’ensemble des Français aurait sûrement préféré une commémoration sobre, avec reconstitution historique et présentation d’objets de la bataille. Cette commémoration croit parler à l’ensemble de la population ; elle ne s’adressera en fait qu’à ceux qui l’ont commandé. Elle révèle la vacuité d’un pouvoir, la coupure des dirigeants et du peuple, l’inculture des organisateurs. Ce vide et ce néant sont bruissant de paroles: ils témoignent d’un pouvoir déculturé et coupé des réalités“.

    http://www.koztoujours.fr/que-fete-t-on-monsieur-le-president

    Cela vaut le coup de lire les commentaires...

    "La guerre, un massacre de gens qui ne se connaissent pas, au profit de gens qui se connaissent mais ne se massacrent pas“. Paul Valéry.

     

    D'ailleurs, quand on a ce genre de sinistre….. on tremble pour la Nation des Lumières (NDLR).

    Lors de la séance de questions au gouvernement ayant eu lieu ce mercredi 11 mai, Najat Vallaud Belkacem, ministre de l’Education nationale a perdu son self-control et est allée jusqu’à accuser la droite "d’avoir dévalorisé l’école en préférant le curé à l’instituteur".

    Najat Vallaud Belkacem montre aujourd’hui son vrai visage, celle d’une ministre agressive et méprisante qui aboie pour faire oublier son bilan parmi les plus mauvais à la tête du ministère de l’Éducation nationale.

    En effet,

    - Les français n’oublieront pas la réforme du collège, qui a préféré l’égalitarisme au détriment des enseignements d’excellence (Latin, grec, classes bi-langues).

    - Les français n’oublieront pas son choix inacceptable de supprimer les bourses au mérite plutôt que d’encourager les élèves méritants à se surpasser.

    - Les français n’oublieront pas les calamiteux programmes scolaires qui ont consacré le nivellement pas le bas.

    - Les français n’oublieront pas sa volonté d’imposer une désastreuse réforme de l’orthographe consacrant l’écriture phonétique au détriment de l’écriture traditionnelle.

    - Les français n’oublieront pas sa tentative d’imposer l’enseignement de la théorie du genre à l’école avec notamment les “ABCD de l’égalité“.

    Il n’y a rien à sauver du bilan de Najat Vallaud Belkacem, qui si elle veut vraiment améliorer le sort des élèves n’a qu’une chose à faire: démissionner !!