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Informatique - Page 20

  • A lire sans faute

    https://www.contrepoints.org/2014/07/28/174992-les-poussieres-des-nanos-a-linframince-de-marcel-duchamp

  • Pour garder la santé, allez faire un tour en Espagne

     

    Des chercheurs de l'Institut de biomécanique de Valence (IBV), en Espagne, ont développé un siège et une ceinture de sécurité qui permettent de suivre en continu les rythmes cardiaque et respiratoire du conducteur. Plus qu'un énième capteur médical, il permet au conducteur de rester vigilant en le prévenant en cas de somnolence.

    L'automatisation croissante des véhicules peut entraîner une baisse de concentration de la part du conducteur qui risque plus que jamais de s'endormir au volant.

    Ce système appelé Harken, développé en Espagne, intègre des capteurs capables de compenser les vibrations de la voiture et les mouvements du conducteur tout en enregistrant ses fonctions vitales.

    Ces capteurs sont intégrés au revêtement du siège ainsi qu'à la ceinture de sécurité de la voiture et seraient même invisibles à en croire le descriptif du fabricant. Ils sont aussi capables de filtrer les bruits alentours afin d'offrir la meilleure interprétation possible des signes de somnolence.

    Ce dispositif n'est pas sans rappeler celui du Ford Biometric Seat, ce prototype de siège connecté présenté l'année dernière par Ford qui prend en compte les fonctions vitales du conducteur et la température ambiante du véhicule pour que ce dernier reste vigilant.

  • Jaguar lance un concept de pare-brise en réalité augmentée !

     

    C'est une innovation majeure qui devrait faire plaisir aux plus "gamers" d'entre nous : Jaguar vient en effet de dévoiler le tout premier concept, non pas de voiture, mais bien de pare-brise en réalité augmentée, qui s'inspire directement de l'univers des jeux vidéo !

    Moteur Ingenium Jaguar Land Rover 2014

    Jaguar-Land Rover présente ses moteurs "Ingenium"

    Le groupe Jaguar Land Rover innove et présente un prototype de pare-brise en réalité augmentée. Son but est de donner au conducteur toujours plus d'informations afin d'améliorer toujours plus son plaisir de conduite, mais aussi sa sécurité.

    Un pare-brise haute-technologie

    C'est une nouveauté qui pourrait bien révolutionner le secteur automobile : et si, demain, vous conduisiez un véhicule possédant un pare-brise intelligent, un pare-brise qui vous dicterait la trajectoire la plus optimale à suivre, une ligne à suivre qui changerait de couleur si jamais vous allez trop vite ? Ce n'est qu'un exemple parmi tant d'autres à propos de ce prototype de pare-brise qui utilise donc la technologie de " réalité augmentée " intégrant des fonctionnalités utilisées depuis plusieurs années dans les jeux vidéo.

    Les jeux vidéo comme inspiration

    Bien entendu, vous aurez compris le lien direct fait entre ce concept de pare-brise d'un genre nouveau et le secteur des jeux vidéo, notamment les jeux de course auxquels nous avons tous joué durant notre jeunesse. Parmi les fonctionnalités proposées par ce pare-brise créé par Jaguar Land Rover, celle qui vous permettra de comparer vos différents tours de piste sur circuit. Ainsi, comme dans Mario Kart pour ne citer que lui, un " fantôme " sera créé et vous pourrez ainsi, sur circuit bien entendu, vous comparer à lui.

    Commercialisation dans 10 ans ?

    Egalement, l'affichage de plots virtuels sera possible afin de passer le permis de conduire à l'américaine ou simplement pour tester votre niveau de réactivité et votre dextérité au volant. C'est donc un pare-brise d'un nouveau genre qu'aimerait démocratiser Jaguar dans les prochaines années : premier prototype du genre, ce pare-brise sera amené à évoluer, mais ce premier jet laisse présager de fonctionnalités plus qu'intéressantes... voire indispensables ? Ce sera à Jaguar Land Rover de continuer à travailler dessus, avec pour but affiché de lancer ce produit de manière définitive d'ici à 10 ans.

  • Drones

    Le développement de ces objets volants sans pilote est en pleine expansion. Si les applications civiles semblent infinies, les grands constructeurs estiment que surveillance et observation demeureront des débouchés prioritaires. Reste à les insérer dans l’espace aérien…

    Ils ne sont pas plus grands qu’une abeille ou font la taille d’un Airbus. Ils peuvent peser quelques grammes à peine, avoir une autonomie d’une vingtaine de minutes, ou bien voler à 20 000 mètres d’altitude pendant quarante-huit heures d’affilée. Ils peuvent être téléguidés comme des jouets d’enfant ou être complètement automatisés. On connaît depuis longtemps leur usage militaire, mais les perspectives illimitées de leurs applications civiles mettent en transe le secteur aéronautique… Ce que les drones ont au moins en commun, c’est l’absence de pilote à bord. "Sinon, on appelle ça un avion“, sourit un ingénieur.

    Pour le néophyte, le drone — en tout cas dans ses déclinaisons non guerrières — fait irrésistiblement penser à l’aéromodélisme, à ces maquettes plus ou moins sophistiquées guidées par télécommande. Impression renforcée par le flot de projets plus ou moins extravagants qui font aujourd’hui le buzz sur le Net et dans la presse.

    Les drones livreurs de pizzas ou de sushis présentés par les chaînes britanniques Domino’s et Yo! Sushi, celui de Zookal, la start-up australienne spécialisée dans la location de livres qui promet de commencer son activité à Sydney dès mars 2014 avant d’attaquer l’Amérique, avaient ouvert le bal. Mais c’est Jeff Bezos, le fondateur de la librairie en ligne Amazon, qui a créé l’événement, le mois dernier, en annonçant que, d’ici quatre à cinq ans, son groupe serait capable de livrer les commandes faites par tablettes ou smartphones non plus en deux jours mais en trente minutes, en recourant aux drones.

    Il reste que les démonstrations vidéo de ces engins, abondamment présentées sur Internet, ne sont pas tout à fait concluantes. Si l’on suit bien la livraison des pizzas par-dessus rivières, arbres et toits, il n’est pas dit qu’elles arrivent chaudes ! L’instant même de la livraison est coupé. On l’imagine techniquement complexe si l’on se réfère au service des sushis en terrasse à Londres : il fait davantage penser à un jeu d’adresse ou d’évitement pour le consommateur qu’à un service quatre étoiles.

    Dans tous les cas, la technique est la même : un plateau ou une sorte de nacelle dont la sustentation parfois hésitante est assurée par des voilures tournantes de type hélicoptère, supposées assurer un vol stationnaire le temps de la livraison. Le DomiCopter de Domino’s, conçu par l’agence créative T+Biscuits, est piloté depuis une station au sol. Il a été capable de parcourir 6 kilomètres en une dizaine de minutes, mais rien ne dit que, par grand vent ou sous la pluie, il puisse en faire autant. Sur le drone de Zookal étudié par le petit constructeur Flirtey, les coordonnées de vol sont entrées via une application à télécharger qui permet également de suivre son trajet sur smartphone; il disposerait d’un système anticollision pour “slalomer"entre les obstacles.

    Tout cela laisse sceptiques les constructeurs aéronautiques “classiques”, qui affirment vouloir bâtir un marché plus solide que la myriade de start-up qui profite de la vogue des drones. Jean-Marc Masenelli, patron de Survey Copter, une filiale d’EADS spécialisée dans les microdrones de moins de 50 kilos, explique : "C’est peut-être un peu osé à dire, mais comparer ces nouveaux matériels avec ce que nous proposons, c’est comme comparer des voitures sans permis avec celles produites par de grands constructeurs. Ce sont deux mondes séparés. Les microdrones de 1 ou de 2 kilos, dont l’autonomie ne dépasse pas quelques dizaines de minutes, qui ne peuvent supporter de charges lourdes et qui ne résistent pas aux conditions météorologiques difficiles, ne sont que des gadgets qui n’ont pas vocation à être produits en série."

    Il poursuit : "Par définition, un drone est un œil volant fait pour regarder ce qui se passe au-dessous et donc plutôt destiné à la surveillance et à l’inspection. Il y aura peut-être d’autres marchés annexes qui se développeront, mais ce sera sans doute à la marge. Je ne crois pas en tout cas que la vente de drones se suffise à elle-même. Il faut pouvoir vendre un service clés en main, par exemple de la veille au long cours pour des entreprises civiles."

     

  • Toto, le robot

    Un robot autostoppeur va traverser le Canada

    Deux professeurs de communication ont conçu ce petit robot qui traversera le pays à partir du 27 juillet. L'idée : expérimenter la réaction humaine face à la robotique.

     

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    HitchBot, c'est le nom de ce robot, grand comme un enfant de six ans et chaussé de bottes rouges, qui partira le 27 juillet pour un périple de plus de 6000 kilomètres d'un bout à l'autre du Canada, depuis Halifax à l'est jusqu'à Victoria à l'ouest. Mais ne pouvant pas se déplacer tout seul, le bon déroulement de son aventure dépend entièrement de la participation des gens qui le croiseront sur leur chemin. Posé sur le bord d'une route le bras et le pouce levé, HitchBot fera de l'autostop afin d'être recueilli par des automobilistes, qui devront le transporter et même le recharger via leur allume-cigare.

    Cette initiative unique doit permettre d'expérimenter la gentillesse et la générosité des gens, ainsi que la manière dont ils réagissent vis-à-vis des robots dans un environnement ouvert. Au centre du questionnement: la confiance que peuvent faire les gens à une technologie encore méconnue. "En temps normal, on se demande si l'on peut faire confiance aux robots… mais ce projet inverse la question: les robots peuvent-ils faire confiance aux êtres humains?", explique Frauke Zeller, un des deux professeurs de communication à l'origine du projet, au Daily Mail.

    Les créateurs de ce robot pas comme les autres espèrent qu'il saura séduire la population canadienne afin d'arriver à destination. Car HitchBot, non content de savoir parler, peut interagir et réagir sur n'importe quel sujet, grâce à sa base de données directement alimentée par Wikipedia. Et au-delà du Canada, le monde entier pourra suivre ses aventures. Equipé d'une caméra embarquée et d'une connexion 3G, il peut poster automatiquement des vidéos sur son site internet et possède même un compte Twitter, spécialement créé pour l'occasion. Un seul souci pour traverser le Canada: HitchBot ne parle pas encore français!

  • Contraception : Découvrez la pilule télécommandée du futur

     

    Fini le calvaire de la prise à heure fixe et avec elle, le risque d'oublier qui concerne tant de femmes utilisant ce contraceptif quelque peu contraignant. Une nouvelle pilule pourrait bien voir le jour prochainement et fonctionnerait comme un implant sous-cutané que l'on peut activer et désactiver à la demande.

    Si les grossesses en cas d'oubli de pilule un jour restent rares, ces instants tête-en-l'air n'en sont pas moins facteurs de stress et de panique. Faut-il sauter un jour, doubler la prochaine prise, prendre une pilule du lendemain, s'abstenir de tout rapport sexuel ? Autant de question qui traversent l'esprit de l'oublieuse et font de ce moyen de contraception une chose bien plus compliquée qu'elle ne le devrait. Mais peut-être que le temps des rappels sur le portable et des frayeurs pourrait bientôt toucher à sa fin. Un nouveau contraceptif intégrant le dosage et le principe de la pilule ainsi que la simplicité et la durée de vie de l'implant ou du stérilet est actuellement à l'étude et, s'il s'avère efficace, pourrait être commercialisé dans les années à venir.

    Ce contraceptif révolutionnaire prendrait la forme d'une puce de 20 mm qui serait implantée sous la peau (dans le bras, les fesses ou le ventre) et pourvue d'une batterie de très faible courant électrique qui permettrait de délivrer chaque jour 30 microgrammes de lévonorgestrel, une hormone de synthèse déjà utilisée dans plusieurs contraceptifs. Elle serait protégée dans un petit réservoir pouvant contenir l'équivalent de 16 ans de traitement, soit le double de certains stérilets longue durée. Mais le véritable plus de cette pilule nouvelle génération réside dans le fait qu'elle pourra être activée ou éteinte quand on le veut, grâce à une télécommande. Ainsi, une femme désirant être enceinte pourra la désactiver puis la remettre en marche après son accouchement. Développé dans les laboratoires du prestigieux MIT (Massachussetts Institute of Technology) et financé par la Fondation Bill & Melinda Gates, qui encourage les nouveaux moyens de contraception comme le préservatif du futur Galactic Cap, pourrait être soumis à des tests pré-cliniques dès 2015 puis distribué sur le marché 3 ans plus tard s'ils sont concluants.

    Sachant que la pilule est de plus en plus délaissée chez les femmes, à cause des contraintes qu'elle implique mais aussi des récents scandales sanitaires autour des pilules de 3ème génération, au profit d'autres moyens comme le stérilet, l'implant, ou même des méthodes plus traditionnelles, ce système pourrait également représenter une alternative séduisante. Reste la question de la télécommande, qu'il ne faudra pas égarer, ou laisser à portée de mains malintentionnées !

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    NDLR: quand je pense que beaucoup de femmes et filles refusent que leur gosse soient vaccinés et qu'elles accepteraient avec grande joie ce truc électronique qui donne de l'électromagnétisme et bouzille les cellules du corps!