Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Informatique - Page 21

  • Obligeons les Japonais à faire des robots qui ressemblent à des machines et pas aux humains!

    Le consortium aux 100 robots que les Japonais viennent de lancer

    Le robot Pepper, conçu par le français Aldebarran robotics, a été présenté au Japon pour la première fois. L'actionnaire de référence de l'entreprise française étant la Soft Bank, un opérateur... japonais !

    00000.jpg

     

     

     

     

     

    Plus de 300 sociétés japonaises se sont regroupés, le 1er juillet à Tokyo, pour lancer un consortium 100% robots. Son objectif ? Développer d'ici 2020 une centaine de robots dotés des dernières technologies. Baptisée i-RooBO Network forum, cette organisation (présidé par le professeur Tokuda de l'université de Keio) rassemble en fait deux grappes d'entreprises existantes : celle de Toshiba-Toyota-NTT et celle de petites entreprises spécialisées dans la robotique.

    Le consortium va développer en priorité des robots de compagnie, d'assistance ou de services, plutôt à destination du grand public. Pour financer ces projets, le consortium envisage de faire appel aux financements participatifs.

    Le Japon est en train de se structurer pour conserver son avance en robotique. Premier utilisateur au monde de robots industriels, le pays voudrait organiser, en parallèle des jeux olympiques de 2020, les JO des robots. Le but, selon le premier ministre Shinzo Abe, est de se servir de cette vitrine pour réaffirmer le savoir-faire japonais.

     

  • Les imprimantes 3D ont un enjeu industriel

    On parle beaucoup des imprimantes 3D actuellement, mais le projet n’est pas nouveau. Il remonte à 1984, avec le dépôt d’un brevet par trois Français. Retour sur l’évolution de l’imprimante 3D avec Alain Bernard, vice-président de l’AFPR, l’Association Française de Prototypage Rapide.

    L’imprimante 3D a longtemps été destinée à un usage industriel très spécialisé, à des fins de prototypage et d’outillage rapide. Le procédé de fabrication additive, voire de e-manufacturing a été déposé en 1984 par trois Français et la toute première imprimante 3D a été lancée fin 1988.

    Le procédé de fabrication se fait à partir de lasers qui balayent la surface d’une résine et permettent petit à petit de reconstituer un objet en 3D. Aujourd’hui, les principes de fabrication sont multiples et reconstituent des objets couche après couche.

    La popularité des imprimantes 3D est due au fait que le brevet du fil fondu est tombé dans le domaine public. "Ce système est aujourd’hui utilisé sur la plupart des machines vendues en-dessous de 3.000 euros. On a des machines qui vont de 300 euros pour les plus rudimentaires jusqu’à quelques millions d’euros," explique Alain Bernard, vice-président de l’AFPR, l’Association Française de Prototypage Rapide.

    "Ces appareils sont destinés à des amateurs qui veulent découvrir cette technique et qui sont créatifs, mais cela peut servir de manière très ouverte à des personnes qui veulent créer des petites pièces pour leurs besoins personnels. Cela sert aussi à l’industrie de la santé, de l’automobile et de la Défense. Il y a vraiment un enjeu industriel."

  • Ceci n'est pas un spermatozoïde. C'est un robot

     

    Le "MagnetoSperm" pourrait faciliter "l'administration ciblée de médicaments, la fécondation in vitro, le tri de cellules et le nettoyage des artères obstruées". Entre autres.

    Photo d'illustration. (DURAND FLORENCE/SIPA) Un spermatozoïde. Photo d'illustration. (DURAND FLORENCE/SIPA)

     

    7400397-ceci-n-est-pas-un-spermatozoide-c-est-un-robot.jpg

     

     

     

     

     

    Qu'est-ce qui est très petit et se déplace particulièrement bien en milieu liquide ? L'intitulé pourrait être celui d'une blague (salace), mais la réponse est très sérieuse : les spermatozoïdes. Des chercheurs ont donc décidé de s'en inspirer pour créer un micro-robot, baptisé le MagnetoSperm.

    Créés par des scientifiques de l'université de Twente aux Pays-Bas, et de l'université allemande du Caire, en Egypte, les robots doivent leur nom à la fois à leur façon de se déplacer - en utilisant les champs magnétiques - et à leur forme, explique "Business Insider", relayé en France par "Slate.fr".

    "Ce système se compose d'une structure ressemblant à une cellule de sperme avec une tête magnétique et une queue souple de respectivement 42 micromètres et 280 micromètres de long. L'épaisseur, la longueur et la largeur de cette structure sont respectivement de 5,2 micromètres, 322 micromètres et 42 micromètres", détaille la revue "Applied Physics Letters".

    Pour avoir un ordre de grandeur, un cheveu mesure entre 50 et 100 micromètres de diamètre, rappelle "Slate". Les têtes sont recouvertes d'une couche de nickel-cobalt de 200 nanomètres, qui leur permet de réagir à un champ magnétique.

    Fécondation in vitro

    "Les applications de ce micro-robot sont diverses : l'administration ciblée de médicaments, la fécondation in vitro, le tri de cellules et le nettoyage des artères obstruées, assure Sarthak Misra, un des chercheurs, à "ITWorld".

    En effet, leur taille et leur capacité de déplacement pourraient permettre aux médecins d'accéder aux capillaires sanguins ou aux artères. Une "petite" révolution

  • Ces Japonais nous proposent un avenir sombre!

     

    Le premier robot émotif

    Masayoshi Son, âtropn Softbank, nouveau robot  humanoïde Pepper.

    VIDEO - Les deux groupes vont mettre en vente en février prochain, au prix de 1.400 euros, “Pepper”, un petit humanoïde révolutionnaire qu’ils rêvent de voir entrer dans tous les foyers.

     L’image est peu commune : c’est un petit humanoïde blanc qui a accueilli Masayoshi Son, le patron de Softbank, lors d’une conférence de presse futuristique organisée ce matin à Tokyo. Le géant japonais de la téléphonie mobile y a présenté pour la première fois dans l’histoire de cette industrie un robot doté d’émotions, conçu par l’entreprise française Aldebaran Robotics.

    Baptisé “Pepper”, cet humanoïde d’environ un mètre de haut vise une cible jusqu’ici inédite pour le marché de la robotique: les particuliers. Fabriqué par le groupe taïwanais Foxconn, Pepper sera mis en vente à un prix de base de 198.000 yens (1.400 euros) à partir de février 2015, dans un premier temps au Japon. “C’est le prix des PC et cela doit permettre aux robots de faire leur entrée dans la même manière dans les maisons auprès des familles”, a lancé le PDG. “Nous voulons créer des robots personnels, qui travaillent et vivent avec les gens de façon autonome ", a expliqué l’ambitieux homme d’affaires qui est convaincu que les robots doués d’intelligence, de mémoire et de réflexion vont donner naissance à marché gigantesque de l’assistance ou de l’accompagnement.

    Tout droit sortis d’un manga

    D’un aspect très proche des deux robots précédemment conçus par Aldebaran, Nao et Romeo, Pepper s’en distingue car il n’est pas équipé de jambes, mais circule sur des roues. Le haut de son corps est celui d’un humanoïde, avec un torse, deux bras et un visage rond muni de deux grands yeux expressifs qui semblent tout droit sortis d’un manga.

    Insistant sur la “portée révolutionnaire” de ce nouveau produit, le PDG de SoftBank a particulièrement mis en avant la capacité de Pepper a comprendre les émotions humaines. Grâce à des capteurs et des algorithmes mis au point par Aldebaran, ce nouveau robot sait en effet, selon Masayoshi Son, analyser le comportement de ses interlocuteurs, en déduire leur état d’esprit et réagir en conséquence: " Pour la première fois dans l’histoire de la robotique, nous présentons un robot avec un coeur. C’est une date marquante pour l’humanité ", a-t-il martelé. " Pepper ne sait pas encore traiter toutes les émotions, mais c’est un premier pas: quand un membre de la famille est heureux, le robot le comprend et s’adapte ".

    Pour éprouver et faire progresser cette intelligence, Softbank se propose de “faire travailler” dès demain des exemplaires de “Pepper” dans au moins deux des boutiques qu’il exploite dans des quartiers à la mode de Tokyo. “Les consommateurs vont pouvoir toucher et intéragir avec le robot. Pepper va lui pouvoir mesurer le flux des visiteurs, observer leurs comportements et lire les émotions de nos clients”, a détaillé Masayoshi Son. Les deux machines vont profiter de cette interaction avec des humains pour analyser les réactions des consommateurs et emmagasiner de nouvelles informations dans une plateforme “dans les nuages”, à laquelle tous les robots de l’entreprise auront accès. Si Pepper détecte, par exemple, une émotion de joie lorsqu’il fait un pas de danse dans l’une des boutiques, il pourra transmettre cette info à un autre robot qui pourra générer le même comportement “positif” à plusieurs kilomètres de là.

    Intervenant aux côtés du PDG de SoftBank, Bruno Maisonnier, le président d’Aldebaran Robotics, dans lequel SoftBank avait pris une participation majoritaire en 2012, a pointé l’important bouleversement qu’allait connaître la robotique dans le futur : " Je pense que le rôle principal d’un robot est d’être un assistant pour les humains. Nous appelons cela un robot émotionnel. Cela va apporter une nouvelle dimension dans nos vies. " Le fondateur d’Aldebaran, qui emploie près de 500 personnes à Paris, a rappelé que son entreprise " était déjà un leader mondial de la robotique humanoïde, avec plus de 5000 robots Nao utilisés dans 70 pays pour la recherche, l’éducation ou l’aide aux enfants autistes ".

    Le patron d’Aldebaran Robotics a également expliqué que Pepper avait été conçu comme une plate-forme ouverte aux développeurs. " J’invite tous les développeurs, mais aussi les spécialistes de l’animation ou du design sonore à travailler avec nous. " Un kit de développement devrait bientôt être lancé, et une conférence de développeurs doit avoir lieu dès le mois de septembre. Des " ateliers Pepper " devraient également ouvrir leurs portes à Paris et Tokyo dans les prochains mois.

    En savoir plus sur http://www.lesechos.fr/tech-medias/medias/0203544504829-softbank-et-aldebaran-devoilent-le-premier-robot-emotif-1009789.php?xtor=AL-4003-%5BChoix_de_la_redaction%5D-%5Bsoftbank_et_aldebaran_devoilent_le_premier_robot_emotif%5D&PRYikqtIIC2ZvtWb.99

  • Casque à réalité augmentée

    Le fabricant sud-coréen Samsung travaillerait sur un projet de casque à réalité augmentée sous Android, selon le site high-tech Engadget. À destination des joueurs, ce projet n'aurait toutefois rien à voir avec celui des lunettes connectées sur lequel planche également Samsung.

    Les développeurs travailleraient sur un casque connecté aux terminaux haut de gamme de la marque, comme le Galaxy Note 3 ou le Galaxy S5. Ce mystérieux périphérique disposerait d'un écran OLED et serait dans un premier temps connecté par fil à un téléphone ou une tablette. Aucun détail n'a cependant transpiré sur son mode de fonctionnement.

    Il s'agirait d'un casque essentiellement dédié aux jeux sous Android. La volonté de Samsung serait d'intégrer ce nouveau marché en cassant les prix, et ainsi de rivaliser avec les spectaculaires modèles d'Oculus, désormais la propriété de Facebook, ou encore le Morpheus de Sony.

    Ce projet de casque de réalité virtuelle fonctionnerait donc sous Android, à l'inverse du bracelet Gear Fit, de la montre Gear 2 ou du projet de lunettes connectées, tous sous Tizen, le nouveau système d'exploitation maison dédié aux objets connectés.

     

    futurologie, science, informatique, société

     

     

     

     

     

     

  • "Bionic Kangaroo": un robot allemand reproduit le saut du kangourou

     

    Le "Bionic Kangaroo" se borne à reproduire le mouvement naturel du marsupial lors de son fameux saut. Tout en déséquilibre et en explosivité, le robot est développé par la société allemande Festo, qui avait déjà réalisé une méduse et une libellule mécaniques.

    La société allemande Festo, spécialisée dans les systèmes industriels d'automatisation des mouvements, s'est penchée sur le saut du marsupial. Le jeudi 3 mars 2014, elle a dévoilé un robot capable de le reproduire, à voir dans la vidéo ci-dessus.

    Monté sur un système pneumatique, le kangourou bionique se propulse grâce à l'air comprimé entre ses pattes. À chaque réception, il emmagasine de l'énergie pour son prochain saut. Pour ce faire, le robot met à profit les ressorts fixés sur ses pattes, comme un véritable kangourou utilise ses tendons pour ne pas se fatiguer lors de ses sauts.

     

    futurologie, société, informatique, science, techniques

     

     

     

     

     

     

    Les phases du saut du kangourou bionique. Crédit: Festo

    Pour se stabiliser en l'air, le robot déploie sa queue. Il prépare sa réception et maintient son équilibre grâce à des capteurs. Avec son mètre de hauteur et son poids de 7 kilos, il peut réaliser des sauts de 40 cm de haut et 80 cm de longueur. D'après ses constructeurs, les applications industrielles concernent surtout les techniques de stockage de l'énergie.