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Loisirs - Page 19

  • Les voyages forment la jeunesse, déforment les valises et vous rendent gaga!

    Psychologie: Quand les voyages rendent fous

    Si vous partez cet été, méfiez-vous des syndromes de Stendhal, de Paris, de Jérusalem, indien, insulaire…

    Il n’y a pas que les coups de soleil et les piqûres d’insectes qui peuvent vous gâcher les vacances. Les médecins reçoivent régulièrement des patients touchés par des syndromes directement liés au voyage, alors que ceux-ci n’avaient aucun antécédent psychiatrique. Dans ce cas, le voyage est considéré comme pathogène. Le meilleur remède étant le rapatriement. Régis Airault, ancien psychiatre installé en Inde, auteur de plusieurs livres sur le sujet, fait le tour des différents syndromes du voyageur.

    Syndrome indien: Il touche spécifiquement les Européens portés vers l’Orient. Une fois sur place, notamment en Inde, le choc culturel est trop violent et se traduit par l’apparition de symptômes délirants. Le psychiatre évoque le cas d’une "jeune fille à qui on a confié un bébé quasiment mort dans les bras. Elle n’y était pas préparée."

    Ou d’une personne, prise d’hallucinations, qui avait décidé de quitter le pays à la nage, "pour rejoindre ses parents". Beaucoup ont aussi le sentiment d’être persécutés, suivis. A l’origine, les troubles ont été mis sur le compte de prise de drogues. Mais les médecins ont très vite mis en évidence un "déformatage" de la personnalité justifiant un suivi psychiatrique.

    Syndrome de Jérusalem: Il s’agit d’un épisode psychotique aigu déclenché par un séjour dans la ville sainte. "Portées par une recherche mystique, les personnes partent dans un trip d’identification au Christ", observe Régis Airault. Les croyants se sentent alors investis d’une mission évangélique en se prenant pour le Messie. L’importante charge émotionnelle ressentie lors de ces pèlerinages explique l’apparition du délire.

    Syndrome de Stendhal: Cette fois, c’est au contact d’œuvres d’art que les sujets vacillent. La ville de Florence connaît de nombreux cas de visiteurs anormalement exaltés, pris de vertiges face à la beauté des œuvres, comme Stendhal l’a décrit lors de sa visite de l’église de Santa Croce. "Il y a une perte de contrôle, mais il ne faut pas en avoir peur. Sauf s’il devient vraiment fou. Là, les amis ont plutôt intérêt à les raccompagner et raccourcir le voyage", prévient le spécialiste.

    Syndrome de Paris: Ou plus précisément syndrome des Japonais à Paris puisque cette population est spécifiquement ciblée. Leur idée préconçue de la capitale -modèle de ville romantique comme dans Amélie Poulain- vole en éclat dès qu’ils posent un pied dans un métro bondé et puant. Derrière leurs masques antipollution, ils déchantent et sombrent dans un mal-être qui peut aller jusqu’à la dépression. Désormais, certains guides touristiques déconseillent certains quartiers qui ne correspondent pas au fantasme culturel des Japonais.

    Syndrome insulaire: Les papayes fraîches et les colliers de fleurs s’accompagnent parfois d’un sentiment d‘enferment chez ceux qui rêvent d’une escapade, parfois d’une expatriation, sur une île. "A Mayotte, j’ai récemment dû rapatrier dix personnes, confrontée à leurs limites, témoigne Régis Airault. On est dans le fantasme mais au bout d’un moment il y a une réalité qui est différente." Rattrapés par l’ennui, le climat, les personnes sombrent alors dans la déprime.

    Syndrome d’Ulysse: Il en fallait bien un qui touche les voyageurs épargnés sur place. Voilà le syndrome qui touche les personnes une fois rentrées chez elles. Généralement d’anciens expatriés. Ils connaissent des difficultés de réadaptation à leur culture d’origine. Déconnectés, ils ne reconnaissent plus les lieux qui leur étaient familiers.

  • Vous pouvez le croire?

    Pas de risque électromagnétique avec la voiture électrique selon l’UE

    D’après une étude financée par l’Union européenne, les émissions électromagnétiques d’une voiture électrique sont à peine supérieures à celles d’une voiture thermique et sans impact sur l’environnement.

     

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    Une étude sur les ondes électromagnétiques induites par une voiture électrique

    L’Union Européenne a confié une étude sur les émissions électromagnétiques des véhicules électriques à l’Institut scandinave SINTEF. L’objectif était de connaitre le niveau des émissions électromagnétiques d’une voiture électrique et de voir si le niveau d’exposition du conducteur ou des passagers présentait un risque. Pour cela, le niveau des ondes électromagnétique est comparé au niveau de tolérance maximale fixé par la commission internationale de protection contre les rayonnements non ionisants (International Commission on Non-Ionizing Radiation Protection – ICNRP).

    Les ondes électromagnétiques d’une voiture électrique 5 fois inférieures au seuil toléré

    Pas d’inquiétude à avoir, les niveaux mesurés dans une voiture électrique sont bien en deçà des niveaux tolérés par l’ICNRP. Le niveau des émissions d’ondes électromagnétiques ne dépasse pas 20% du seuil acceptable de l’ICNRP. Les mesures ont été faites au niveau du plancher du vehicule, à proximité des batteries et au démarrage du véhicule électrique, donc au plus proche de la source des ondes et lorsque les émissions sont les plus fortes.

    Le champ électromagnétique est en général égal à 10% du niveau ICNRP  pour une voiture thermique. Il n’y a donc pas beaucoup d’écart sur les émissions électromagnétiques entre une voiture électrique et une voiture thermique.

    D’autres mesures du niveau de champ électromagnétique ont été faites au niveau de la tête du conducteur de la voiture électrique. Dans ce cas le niveau d’exposition électromagnétique est inférieur à 2% du seuil ICNRP.

    La polémique sur le risque électromagnétique des véhicules électriques est close

    Le niveau d’exposition aux ondes électromagnétique serait donc très limité en voiture électrique et n’est pas un sujet d’inquiétude pour les chercheurs.

    Cette étude let fin à la rumeur de 2009 selon laquelle les Toyota Prius qui circulaient  présentaient un risque – voire, pouvaient provoquer des cancers – en raison du niveau d’ondes électromagnétiques. En fait, la majorité des ondes électromagnétiques induites par un véhicule sont liées à la rotation des roues, qu’il s’agisse d’une voiture électrique ou non.

     

     D'autres infos sérieuses et précises sur l'électromagnétisme?

     

  • Ah mince: et les jolies fesses et corsages mouillés des filles qui lavent votre voiture?

    Nissan développe la peinture autonettoyante

    Grâce à une technologie novatrice appelée Ultra-Ever Dry qui consiste en une couche de peinture super hydrofuge et oléophobe, Nissan espère devenir le premier constructeur à produire une voiture autonettoyante

    Le quotidien est si occupé qu’il ne nous reste plus de temps pour les petits plaisirs, et encore moins pour les corvées, comme nettoyer sa voiture. Nissan s’est penché sur le problème en Europe en innovant avec une voiture qui demeure propre sans même être lavée. Vous avez parfaitement compris, cette voiture se nettoie d’elle-même, comme un chat ou chien dont le pelage reste propre et sec.

    Grâce à une technologie novatrice appelée Ultra-Ever Dry qui consiste en une peinture super hydrofuge (qui repousse l’eau) et oléophobe (qui repousse les huiles), cette peinture repousse la pluie, la boue et toutes les saletés.

    La technologie appliquée sur la carrosserie crée une couche de protection d’air entre la peinture et l’environnement, ce faisant toute matière entrant en contact avec celle-ci est aussitôt repoussée.  D’autres tests à venir

    Il reste encore d’autres essais à effectuer pour valider l’efficacité et la durabilité de la peinture répulsive sous les pires conditions crasseuses. Tous les tests auront lieu dans les centres techniques de Nissan en Europe.

    Imaginez l’intérêt de cette peinture sur nos terres contre la gadoue, le calcium et les abrasifs répandus sur nos routes pendant la longue saison froide ! Nissan ferait un joli coup ! En espérant qu’ils mèneront également leurs tests dans le nord de l’Europe.

  • À 18 ans elle invente la technologie de demain

     

    Si les jeunes américains innovent et créent plus que les Français, c’est aussi parce que l’on décourage les talents en France.

    Génération après génération, les USA nous offre le spectacle de ces jeunes génies qui inventent, font avancer la technologie mais, surtout, sont reconnus et gratifiés non par des impôts ou des taxes mais par des aides financières et des soutiens économiques.

    La galère du téléphone déchargé en milieu de journée ne sera-t-elle prochainement plus qu’un mauvais souvenir ? C’est l’espoir que suscite l’invention d’Eesha Khare, une lycéenne californienne de 18 ans, qui a reçu le 17 mai un des trois premiers prix de l’Intel International Science and Engineering Fair (ISEF), devançant les 1.600 autres finalistes de 70 pays.

    Eesha Khare a créé un petit appareil, appelé Supercapacitor, qui fixé dans une batterie de téléphone portable doit permettre de la recharger en 20 à 30 secondes. En prime, il résiste selon elle à 10.000 recharges, là où les batteries sur le marché faiblissent après dix fois moins. Elle l’a testé en allumant une lampe LED, ses travaux étant menés avec le matériel de l’université de Californie Santa Cruz.

    Un condensateur révolutionnaire

    " Mon projet a été de développer un nouveau condensateur, qui à la base est un appareil de stockage de l’énergie qui peut contenir beaucoup d’énergie dans un petit volume " a-t-elle expliqué à CBS San Francisco. Férue de chimie, Eesha Khare a conçu et fabriqué une électrode à capacité et conductivité améliorées. Le résumé technique de son invention est en ligne ici (PDF).

    Son invention semble prometteuse, car elle pourrait être utilisée pour tout appareil à batterie, comme les tablettes, appareils photo, etc., et même pour des voitures électriques, selon elle. " Je mettrai le feu au monde ", s’est exclamé la lauréate; de fait, si son appareil franchit le cap du développement et de la mise sur le marché, ce sera effectivement une révolution.

    Pour l’heure, les 50.000 dollars de son prix permettront à la jeune fille de Saratoga de payer sa première année d’études à Harvard à l’automne prochain. CBS San Francisco précise que cette scientifique en herbe a aussi suscité l’intérêt de Google (dont on connaît les grandes ambitions dans le domaine de la mobilité).

    Les jeunes Français sont-ils si bêtes ou le système éducatif français est-il si obsolète que rien ne puisse venir de nos " jeune génération " à part des pavés dans les vitrines et des agressions de touristes ? Je pense plutôt que rien n’est fait en France pour valoriser ceux qui ont la volonté de réussir. Au contraire, au nom de l’égalité, promue valeur absolue, il faut aligner tout le monde sur le moins disant. Pas de discrimination, plus de récompense, plus de mérite, même républicain. Les élèves ne sont plus classés, les notes ne sont plus communiquées à haute voix dans les classes, on parle même de supprimer les notes. Tout le système scolaire français, quelle que soit la valeur de certains professeurs, est fait pour ne pas inciter les élèves à l’effort, au dépassement d’eux-mêmes, à se distinguer par la réussite. Pire, on punit un élève qui cherche à faire mieux ou plus que les autres. Le résultat ? La majorité des élèves de troisième interrogés espèrent être un jour fonctionnaire. La belle ambition ! Pendant ce temps-là des gamines de 18 ans déposent aux USA les brevets de demain !

     

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