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Opinions - Page 116

  • Macron: roi du pipeau

    Hollande et Macron ont fait passer la dette de la France de 1700 à 2300 milliards….

    A 23h 40 hier la Dette nationale s’élevait à – 2300 milliards 862 millions 050 000,00 € – et nous plombait individuellement de 35.081,68€ chacun. Nous nous endettions en dormant. Le compteur du temps de Sarkozy était parti en flèche jusqu’à frôler le 1700 milliards… Normal Ier a donc fait monter le schmilblic de plus de 600 milliards et il reste encore 3 mois et demi pendant lesquels, dans une frénétique ultime générosité il finira d’affoler le compteur.

    N’oubliez jamais que Macron a été conseiller de Hollande pendant deux ans et ministre de l’économie près de 2 ans aussi….

    Macron a rendu les règles d’obtention des marchés publics inapplicables et invérifiables

    Un passage de l’interview d’Emmanuel Crenne, élu frontiste, par Pierre Cassen, m’a interpellée:

    Les conseils régionaux sont des mastodontes dont les frais de fonctionnement sont extrêmement élevés, qui sont peu efficaces et peu visibles. Ils sont opaques et souvent utilisés à des fins clientélistes par les partis au pouvoir dans les régions. De plus la fusion entre le Languedoc Roussillon et Midi-Pyrénées, présentée initialement comme une façon de réduire les coûts de fonctionnement se révèle plus coûteuse que prévu.

    L’Europe utilise les régions pour affaiblir les Etats nation. La vision du Front National est qu’il faut une proximité entre les élus et leurs concitoyens. Nous croyons au triptyque Commune-Département-Etat et non pas à Communauté de Commune-Région-Union Européenne. La révolution avait détruit les régionalismes en créant les départements. La France a été gérée pendant 200 ans de cette façon et avec succès : nous voulons donc un retour vers un modèle qui a fait ses preuves, qui permettra une plus grande simplicité administrative et une plus grande transparence de gestion.

    C’est notre position et nous la défendons depuis des lustres.

    http://resistancerepublicaine.eu/2017/01/04/enfin-marine-propose-de-supprimer-les-regions/

    Oui, supprimer les régions, supprimer des étages du mille-feuille, qui ligote dans des textes incompréhensibles et imbuvables les petits maires, les petites communautés de communes qui n’ont pas à leur disposition des cabinets de juristes et de financiers capables de s’y retrouver et, surtout, capables de favoriser, sans en avoir l’air, les copains et les coquins.

    Textes incompréhensibles, imbuvables et orientés comme ceux pondus par Macron à Bercy, notamment que l’obtention de marchés publics.

    En mars 2016, Macron était à la tête de Bercy, et il a promulgué un décret transformant  les règles des marchés publics, devenues une incroyable usine à gaz. Et tout cela, une fois de plus, pour obéir à Bruxelles, à d’obscurs calculs – et manigances- électoralistes, et, surtout, aux règles imposées par la mondialisation, la mort des petites entreprises et le développement hyperbolique des multinationales, seules propres, avec de telles contraintes, à obtenir les marchés publics.

    En effet, ces règles nouvelles sont absolument impossibles à appliquer par les petites communes, quoi que veuille bien en dire la presse de propagande aux ordres :

    http://www.lagazettedescommunes.com/dossiers/nouvelle-reglementation-des-marches-publics/

    Un avocat, Maître Etienne Colson, a écrit un texte détaillant la complexité de la chose:

    Résumé des 5 exemples pris par Etienne Colson (si j’ai bien compris le vocabulaire très juridique et donc technique pour le profane…imaginez les maires des petites communes, obligés de se débrouiller touts seuls avec leurs adjoints, pas plus férus qu’eux en droit….)

    1 Quid du bail emphytéotique administratif qui pourra dorénavant être requalifié en Marché de Travaux Publics, bien que ne respectant pas la loi MOP (maîtrise d’ouvrages publics) originale…

    2 Quid de l’article 10 du décret du 25  mars 2016 qui propose aux édiles d’exiger  des candidats à l’obtention d’un marché public un label. Qui décerne les labels? A qui? Trafic d’influence? Quels labels seront exigés? Qui pourra juger de la pertinence d’un label par rapport à un autre?

    3 L’article 71 oblige à négocier les marchés mais…seulement dans la limite des 6 cas possibles prévus par l’article 25, cas qui ont pour obligation d’être innovants ou "sensiblement améliorés"…  Conditions drastiques dont le non respect entraînerait.. la nullité du marché public.

    4 La sous-traitance sera interdite… mais seulement pour les tâches que l’acheteur juge essentielles ! Sur quels critères? Quid de la contradiction avec la loi du  31 décembre 1975 qui établit la liberté absolue de sous-traiter?

    5 Quant aux modifications de marchés publics… une poule n’y retrouverait pas ses petits. 6 cas de modification, fort complexes, sont prévus.. : " s’agissant toujours de l’article 139 précité, les "modifications substantielles" sont de celles, apprend-on, qui "si elles avaient été incluses dans la procédure de passation initiale auraient attiré davantage d’opérateurs économiques ou permis l’admission d’autres opérateurs économiques ou permis le choix d’une offre autre que celle retenue"…Comprenne qui pourra.’

    Aux dernières nouvelles, il y aurait encore et toujours des élus socialistes qui abandonneraient Ben Oït Hamon (ce que l’on peut comprendre) pour suivre Macron ( ce qui est incompréhensible). Imaginez Macron, capable de pondre une usine à gaz comme celle-ci à Bercy aux manettes de tout l’Etat

    ____________________________________________________________________

    Excellent article de l’UPR sur l’escroquerie Emmanuel Macron aussi bien au niveau des diplômes que des chiffres qu’il annonce de manière assez hasardeuse comme le nombre des adhérents de son mouvement (100.000 selon lui et ses marcheurs !!!) voire les intellectuels décédés avec qui il discute…

    aamacron-demission.jpg

     

     

    En photo ci-dessus : Alors qu’il se rend à Montreuil (Seine Saint-Denis) le 6 juin 2016 pour célébrer le lancement d’un timbre pour le 80e anniversaire du Front Populaire, Macron est accueilli par les huées de la foule, qui lui lance des œufs, dont l’un s’écrase sur sa tempe gauche. Le service de protection est un instant débordé…

        === RAPPELS ===

    Selon le dictionnaire Larousse :

    – un " menteur " est une personne qui n’est pas ce qu’elle paraît être, qui n’est pas conforme à la vérité, qui induit en erreur.

    – un " affabulateur " est une personne qui transforme la réalité, qui construit des récits purement imaginaires, qui les présente comme étant la réalité.

    – un  mythomane" est une personne qui présente la tendance systématique, plus ou moins volontaire, à la fabulation et au mensonge.

    – un "escroc" est une personne qui commet l’action d’escroquer, de tromper la confiance de quelqu’un, en obtenant un bien ou un service au moyen de l’usage d’un faux nom, d’une fausse qualité, de l’abus d’une qualité ou de manœuvres frauduleuses.

    La démission d’Emmanuel Macron du gouvernement ce 30 août 2016 constitue une nouvelle étape dans la décrépitude et la nécrose finale de la scène politique française.

    L’affaire Macron a commencé par le signal lancé par Jacques Attali à la presse en février 2015, en leur assurant qu’Emmanuel Macron aurait "l’étoffe d’un président de la République".

    Peu importe que les prophéties de Jacques Attali se soient révélées fausses à 100% depuis des années sur tous les sujets, aussitôt, et comme par enchantement, tous les grands médias du pays (télévision, radio et presse écrite) se mirent à assurer la promotion phénoménale du prétendu prodige repéré par notre faux oracle.

    Alors que Macron vient de présenter sa démission du poste de ministre de l’Économie qu’il occupait depuis deux ans – et où son bilan est proprement nul, sinon catastrophique -, les mêmes grands médias font encore et toujours mousser ce monsieur en s’interrogeant doctement sur sa capacité à être élu président de la République en 2017, à 39 ans donc.

    C’est oublier un peu vite que Macron ne s’est jamais présenté une seule fois devant les électeurs, qu’il recevait des insultes et des œufs sur la tête dès qu’il sortait de son ministère, et qu’un bref récapitulatif de quelques événements et déclarations montrent que, derrière les coups d’encensoir que lui envoie la presse, cet homme camoufle en réalité une personnalité peu reluisante : menteur, affabulateur, arrogant, méprisant, mythomane et escroc.

    Examinons cela. Macron a affabulé quant à sa scolarité

    Début 2012, Macron laisse entendre à plusieurs journalistes qu’il était ancien élève de la prestigieuse École Normale Supérieure (ENS Ulm). En tout cas, il ne s’oppose pas et ne demande pas de démentis lorsque des articles biographiques le mentionne (par exemple Le Nouvel Observateur, 19 janvier 2012). Vérification faite, c’était faux. Il s’est présenté deux fois au concours et a raté les deux fois.

    Macron a menti sur ses travaux de philosophie

    Plusieurs versions circulent sur Internet quant à l’existence ou non d’une " thèse " philosophique que Macron aurait réalisée, de même que sur les relations qu’il aurait entretenues avec le philosophe Paul Ricœur (mort en 2005).

    S’il semble avéré qu’il ait assisté ce philosophe de 1999 à 2001, – en lui cherchant des livres et des références dans des bibliothèques pour permettre la confection de " l’appareil critique " (bibliographie et notes de bas de page) de son livre La Mémoire, l’histoire, l’oubli – il semble également avéré que Macron n’a jamais produit de "thèse".

    Il a indiqué lui-même qu’il avait réalisé un simple "mémoire" – qui est un travail sans comparaison plus simple qu’une authentique " thèse " -, et cela sous la direction d’Étienne Balibar, autre philosophe français et professeur émérite de l’université Paris-Ouest-Nanterre-La-Défense.

    Seulement voilà : interrogé par la presse, Étienne Balibar a indiqué " ne pas avoir de souvenir ni de trace de cet épisode".

    [Source: Magazine Challenges n°450 du 21 avril 2015, p..63 dont la couverture est consacrée à Macron et cf. aussi https://fr.wikipedia.org/wiki/Emmanuel_Macron#cite_ref-27]

    Encore un mensonge, donc.

    28 mai 2015: Macron méprise la démocratie

    Lors d’un forum organisé par le journal " Le Monde " le 28 mai 2015, Macron a assuré qu’il n’a pas l’intention d’être candidat aux législatives de 2017 car, selon lui, " passer par l’élection est un cursus d’un ancien temps ".

    6 avril 2016: Macron lance son parti “En Marche” avec un clip-vidéo entièrement mensonger

    C’est Yann Barthès, présentateur de l’émission “Le Petit journal” de Canal + qui dévoile la supercherie le lendemain 7 avril : le clip sur la France présenté par Macron est un mensonge complet.

    Ce clip enchaîne des visages mettant la diversité et les talents de la population française à l’honneur, ainsi que des paysages ensoleillés. Mais la très grande majorité de ces scènes n’ont pas été tournées en France. Elles ont été simplement achetées par l’agence de communication de Macron (payée comment et par qui?) à des banques d’images étrangères.

    En clair:

    – les écoliers montrés ne sont pas français mais américains,

    – une troupe de promeneurs sont des allemands,

    – un adolescent en capuche habite en réalité à New York et est même déjà apparu dans un clip de reggae,

    – un professeur d’université présenté comme français est en réalité américain,

    – des images ont été sciemment trafiquées pour changer une affiche d’anglais en français,

    – une femme d’origine africaine a été reprise d’un clip de la campagne pour les primaires démocrates de Bernie Sanders aux États-Unis,

    Je renvoie les lecteurs à l’analyse que j’ai faite de cette opération de manipulation dans mon entretien d’actualité n°25 du 21 avril 2016.

    10 avril 2016 : Macron ment effrontément sur le nombre des adhérents de son nouveau parti

    Au journal de 20h00 de France 2, regardé par plusieurs millions de téléspectateurs, le journaliste Laurent Delahousse termine son entretien avec Macron en lui demandant s’il va suivre l’entretien télévisé de François Hollande le jeudi suivant sur la même chaîne. Macron répond aussi sec: "Comme toujours".

    Sauf que, comme le repère aussitôt Louis Hausalter, un journaliste de Marianne, Macron sera le même soir à Londres pour un dîner avec des banquiers et des chefs d’entreprise afin de lever des fonds pour son parti politique " En marche ".

    On notera au passage que Macron a besoin de l’argent de banquiers et des chefs d’entreprise pour faire vivre son parti politique, ce qui constitue d’une part l’antithèse exacte de l’UPR et d’autre part une infraction majeure à la loi sur le financement des partis politiques en France s’il était avéré que des banques ou des entreprises ont financé directement le parti de Macron.

    Tout cela n’est cependant qu’une tromperie vénielle par rapport à l’énorme mensonge que Macron a annoncé lors du même journal télévisé, avec un aplomb extraordinaire devant des millions de Français ; à savoir que son parti politique aurait dépassé les 13 000 adhérents cinq jours après son lancement hyper-médiatisé.

    Seulement voilà: comme le révéla quelques jours après le Canard Enchaîné, Macron avait "enjolivé les choses" (c’est-à-dire: menti effrontément) en comptant comme "adhérent" un simple internaute étant allé cliquer sur le site pour voir ce dont il s’agissait!

    À cette aune, l’UPR compterait actuellement plusieurs centaines de millions d’adhérents…

    Au passage, compte tenu du battage médiatique colossal dont avait bénéficié le lancement de "En marche" dans tous les grands médias télévisés et radios, le fait de n’avoir attiré que 13 000 clics sur le site en 5 jours était finalement un échec.

    Suite à ces révélations du Canard Enchaîné, les médias se sentent obligés de corriger le tir devant l’énormité du mensonge.

    Pour ne pas mécontenter l’oligarchie qui promeut leur marionnette Macron, les journalistes usent d’un euphémisme pathétique : ils ne disent pas que Macron a "menti" ni qu’il a "pris les Français pour des imbéciles " – ce qui est la stricte vérité – ; ils titrent sur le fait qu’il a "l’art d’enjoliver la réalité" [ sic !] ou qu’il a "gonflé le nombre de ses adhérents"…

    27 mai 2016  Macron affiche son mépris de classe

    En déplacement le 27 mai 2016 à Lunel, dans l’Hérault, Macron a été interpellé par deux salariés au sujet du projet de loi travail. Dans le cadre d’un échange tendu filmé par BFM-TV, le ministre a perdu patience et a lâché une phrase qui a eu un énorme retentissement national: "Vous me faites pas peur avec vos t-shirts, la meilleure façon de se payer un costard est de travailler. "

    Non seulement le ministre de l’Économie insinuait par là que, – dans un pays qui compte au bas mot 4 à 5 millions de chômeurs du fait des politiques catastrophiques imposées par notre appartenance à l’UE et à l’euro -, ceux qui n’ont pas d’emploi sont tout simplement des tire-au-flanc.

    Mais plus encore, cette remarque a prouvé que Macron affichait sans vergogne un mépris de classe qui a choqué la France entière.

    Juin 2016 : Macron est rattrapé par son mensonge sur l’affaire de l’aéroport de Toulouse

    Parmi les désastres de son passage au poste de ministre de l’Économie figure en bonne place la cascade de scandales auxquels a donné lieu la privatisation de la gestion de l’aéroport de Toulouse-Blagnac par le sieur Macron, dont l’incompétence et la jobardise ont été soigneusement cachées par les grands médias.

    Premier scandale, Macron avait prétendu qu’il ne s’agissait pas d’une privatisation puisque, si les investisseurs chinois faisaient effectivement l’acquisition de 49,9 % de l’aéroport de Toulouse-Blagnac, l’État gardait 10 % du capital et, avec les collectivités locales (Région, département et ville de Toulouse), disposait toujours de la majorité du capital. Mais il s’agissait d’un mensonge: Médiapart révéla quelque temps plus tard l’existence d’un pacte d’actionnaires secret, qui liait l’État, non pas aux autres collectivités publiques, mais aux investisseurs chinois, et qui donnait à ceux-ci les pleins pouvoirs pour gérer la société française.

    Deuxième scandale, la société “Casil Europe” – représentant les investisseurs chinois – s’imbriquait dans un groupe opaque, détenu par un dénommé Mike Poon et son épouse Christina, dont la holding de tête “Capella Capital Limited” était une holding immatriculée aux îles Vierges britanniques. Cette holding de tête avait pour filiale à 100 % une société dénommée Friedmann Pacific Investiment Holdings Limited, dont le pays d’immatriculation était inconnu et qui détenait d’autres entreprises écrans immatriculées aux îles Vierges britanniques ou aux îles Caïmans, tous pays réputés pour être des centres de blanchiment d’argent sale…

    Troisième scandale : fin juin 2015, plusieurs agences de presse annonçaient que le dénommé Mike Poon avait disparu et que son nom était cité dans un scandale de corruption, mettant en jeu l’une de ses entreprises immatriculée aux îles Caïmans.

    En bref, Macron a donc privatisé la gestion de l’aéroport de Toulouse-Blagnac dans le plus grand secret, en la vendant à une société-écran qui n’a pas pignon sur rue en France et dont le PDG, mis en cause dans une affaire de corruption, a pris la fuite après avoir vendu en catastrophe des actions en sa possession.

    Quelques mois plus tard, le mystérieux Chinois a réapparu mais l’affaire a de nouveau rebondi en juin 2016. Car, au mépris des engagements qu’ils avaient pris, les nouveaux actionnaires ont décidé de siphonner les réserves financières de la société pour se servir un important dividende. Macron, qui avait juré qu’il ne s’agissait pas d’une privatisation, s’est ainsi retrouvé piégé par son mensonge.

    11 août 2016: Macron démasqué comme mythomane

    Dans son numéro du 11 août 2016, le magazine Match, qui semble avoir été particulièrement chargé de contribuer au "lancement marketing" de Macron, a de nouveau consacré sa "Une" de couverture, pour la 2e fois en quelques mois, à Emmanuel Macron et à sa femme Brigitte Trogneux. Rapportant fidèlement ce que lui a dit Macron, le journaliste de Match précise que le ministre "échange" des idées avec l’intellectuel tunisien Abdelwahab Meddeb.

    Manque de chance, celui-ci est mort en 2014, il y a 2 ans…

    Le mensonge est aussitôt éventé par Xavier Marquet, rédacteur en chef de TV5.

    Ce qui suscite la risée générale sur Internet et Twitter à la mi-août 2016: [Nombreuses sources sur le blog].

    Plus fort que moi: Macron parle aux morts! Pauvre de moi qui ne croit pas du tout à une autre vie après la mort!

    19 août 2016: Macron confirme que son engagement politique était une escroquerie

    À l’invitation de l’ancien ministre Philippe de Villiers, Macron se rend le 19 août 2016 au parc d’attractions du Puy du Fou (Vendée). Il y déclare à la presse: "L’honnêteté m’oblige à vous dire que je ne suis pas socialiste. "

    [Sources innombrables].

    Cette déclaration a fait aussitôt scandale dans toute la France. Non pas que ce soit véritablement une surprise de la part d’un homme venu de la Banque Rothschild et qui a passé son temps, comme ministre de l’Économie, à vouloir démolir tous les acquis sociaux des Français.

    La sensation est venue du cynisme sans vergogne avec lequel ce monsieur, élu par personne, reconnaît implicitement qu’il n’avait adhéré au Parti socialiste, ne s’était déclaré socialiste et n’avait travaillé pour François Hollande que dans un but uniquement carriériste.

    Conclusion

    Le magazine Match du 11 août 2016, très lu dans les salons de coiffure, nous a présenté le couple Emmanuel Macron – Brigitte Trogneux comme deux tourtereaux, photographiés en tenue balnéaire avec de l’eau de mer jusqu’aux mollets, sous le titre cocasse de "vacances en amoureux avant l’offensive".

     

    Mais il est peu probable que "l’offensive" Macron se révèle autre chose qu’un pétard mouillé.

    D’une part, on recherche toujours désespérément les militants et les fameux “Marcheurs de Macron” qui devaient, nous avait-on assuré, parcourir la France entière pour livrer un diagnostic sur l’état du pays. En réalité, il s’agissait d’une affabulation de plus : les “Marcheurs” ont été inventés par une société de communication et n’ont d’autre existence que les quelques photos diffusés par des journaux.

    Encore une affabulation de plus : tous les grands médias nous ont annoncé, fin mai 2016, que la France allait être sillonnée par des milliers de "marcheurs" de Macron. Qui en a vu un seul?!?

    Encore une affabulation de plus : tous les grands médias nous ont annoncé, fin mai 2016, que la France allait être sillonnée par des milliers de " marcheurs " de Macron. Qui en a vu un seul?!?

    D’autre part, Macron a déçu même ses plus fervents soutiens. Son mentor Jacques Attali l’a lui-même méchamment décrit comme "l’incarnation du vide" en politique, dans le magazine Challenges du 13 mai 2016.

    Enfin et surtout, Macron, qui nous est présenté constamment comme un “jeune” est en fait un “vieillard politique” et le représentant d’une politicaillerie d’un autre âge.

    Croyant que les manipulations médiatiques des années 80 fonctionnent encore, n’ayant pas compris le formidable sérum de vérité qu’est Internet – qui démasque dans la demi-heure le moindre mensonge -, Macron pense que ses mensonges, ses affabulations, ses élans de mythomanie et son escroquerie morale ne se voient pas.

    Il n’a pas compris que les Français ne voient que ça et que la façon de faire de la politique qu’il incarne est la quintessence de ce dont ils ne veulent plus.

    La dernière chance qui lui reste peut-être pour continuer à hanter les palais nationaux est de changer de camp. Certains envisagent déjà que, tout comme le socialiste Eric Besson avait rallié Sarkozy en 2007, Macron pourrait rallier Juppé en 2017. Cette trahison parachèverait l’indécence du personnage.

    François Asselineau

    http://www.lelibrepenseur.org/macron-vous-fait-marcher

     

  • les débiles au fond du trou.... et ils creusent encore!

    Fausses nouvelles : les journalistes valent-ils vraiment mieux que les autres ?

    L’analyse politique doit-elle être laissée aux journalistes professionnels ? Ce repli sur l’entre-soi est-il une garantie de leur plus grande objectivité ?

    Par Philippe Bilger.

    Jérôme Fenoglio, directeur du Monde, a récemment publié un éditorial sur "La défense des faits", dans lequel il célébrait un certain type de journalisme qui se fonderait seulement sur les faits et serait donc légitime en allant dénoncer sur Internet les fausses informations. Comme une sorte de chien de garde de la vérité!

    Ce n’est tout de même pas à cet homme fin, si doué pour manier l’équilibrisme cher au quotidien qu’il dirige, qu’il convient de rappeler cette évidence que les « faits » ne constituent pas un socle fixe et incontestable qu’il suffirait au journaliste de transmettre mais qu’ils sont d’une certaine manière, à partir d’un noyau dur souvent infime, construits, élaborés et interprétés. Le fait n’est jamais à disposition telle une denrée stable, même sa matérialité peut prêter à discussion.

    Plus gravement, au-delà, évoquer "la défense des faits" néglige l’élément capital que l’information tient moins à leur identification qu’à leur sélection, à leur exclusion ou à leur hypertrophie. Un exemple parmi d’autres de cette étrange discrimination. La mairie de Béziers fait l’objet d’une vigilance médiatique constante mais, pour qui connaît la réalité de cette ville et de sa gestion, frappée d’une infirmité regrettable : l’essentiel qui obligerait à en dire du bien est occulté au profit d’épisodes montés en épingle dont le seul mérite est de donner bonne conscience à la partialité de la plupart des journalistes.

    Défiance à l’endroit des journalistes politiques

    Ces considérations s’inscrivent dans un mouvement général qui, selon une enquête réalisée par l’Institut Kantar pour La Croix, confirme pour 2016 une pente descendante nette pour la confiance qu’inspirent au public les supports d’information. Tous sont concernés : radio, télévision, journaux et web. Particulièrement, une forte majorité de sondés éprouve une défiance envers les journalistes politiques « qui ne seraient pas indépendants des pressions des pouvoirs politiques et du pouvoir ».

    Année après année, cette approche négative s’amplifie à proportion, me semble-t-il, de l’appréciation très positive, quand on les écoute ou qu’on les lit, dont les journalistes continuent à se prévaloir. Comme s’il y avait chez eux, notamment pour l’analyse de la politique, quelque chose d’irremplaçable.

    Tout démontre au contraire que pour un citoyen bien informé – et il en est de nombreux qui passionnés sont capables de s’appuyer sur le même terreau que celui des journalistes spécialisés -, il n’y a pas de partage à opérer entre les amateurs et les professionnels. L’intelligence, la psychologie, l’analyse des rapports de force, l’humus à la fois divers et au fond vieux comme le monde qui imprègne l’actualité politique et sociale ne paraissent pas représenter une frontière infranchissable entre ceux qui ont fait de ces exigences un métier et tous les autres qui se projettent dans cet univers avec une curiosité et une liberté d’autant plus intenses qu’elles ne sont ligotées par rien ni personne.

    La chambre d’écho journalistique

    Mon expérience personnelle, toujours dans un aimable contexte, m’a confronté parfois à cette situation. Pressenti pour une émission, j’étais reporté au motif que le sujet devait être d’abord traité par des journalistes.

    Par exemple à une ou deux reprises pour C dans l’air.

    Caroline Roux que j’apprécie au plus haut point fait pourtant, assez souvent, débattre des journalistes entre eux.

    Comme si leur présence garantissait une vision plus clairvoyante et offrait une capacité d’intelligibilité qui dépasserait par principe celle d’autres invités « profanes » eux aussi épris de joutes intellectuelles et politiques. Ce n’est pas en offenser certains, piliers de cet emblématique moment, que de les écouter certes avec intérêt mais sans être frappé de saisissement par l’originalité de leur perception.

    Je pense même – je rejoins sur ce plan Daniel Schneidermann et la défiance considérable à l’égard des journalistes politiques – qu’ils n’ont qu’un avantage, mais pervers et préjudiciable, par rapport à l’amateur éclairé : ils connaissent tous les politiques et ont des liens de complicité avec eux, qui ont forcément une incidence sur les modalités de leur analyse et de son expression. Quand il y a connivence, c’est pire.

    C’est la raison qui explique cette impression que j’ai souvent ressentie en écoutant les journalistes de droite ou de gauche : une liberté encadrée, un souci de vérité mais limité, de l’audace contrôlée, des susceptibilités à ménager, des évidences à ne pas dire, un enlisement dans les données techniques mais des tiédeurs intellectuelles, des prudences calculées pour ne pas insulter l’avenir. Règne alors comme une objectivité molle, plus précautionneuse qu’exigeante.

    Sans doute ne serais-je pas autant sollicité par cette envie d’universalité au détriment des enfermements professionnels si ce n’était pas chez moi une obsession qui touche bien d’autres domaines. La Justice est trop fondamentale pour être laissée aux seuls magistrats : les citoyens aux assises sont une bénédiction. Le football est un sport trop populaire pour être abandonné aux commentateurs et experts qui nous en privent en mauvais français. Le cinéma est une passion trop partagée pour être livrée aux seuls spécialistes. J’imagine le Festival de Cannes ouvert aux vents du grand large.

    J’en suis sûr.

    Les citoyens sont des journalistes comme les autres.

    Contrepoints.org

    C'est écrit très bisounours: perso, j'ai envie de dire, comme beaucoup d'autres...

    journalistes? parle à mon "tchoul*" leur tête est malade!

    *tchoul est en occitan, pas besoin de traduction!

  • Dans la série: certains sont tombés au fond de la débilité... et ils creusent encore!

    Vous avez aimé Hollande ? Vous adorerez Macron !

    Emmanuel Macron est jeune, énarque, inspecteur des finances, ce corps de fonctionnaires qui contrôle Bercy, et à travers Bercy, le Parlement ; cela suffit.

    Appelé par le président Hollande au début de son mandat, Emmanuel Macron a été le plus écouté de ses collaborateurs dans la définition de sa politique économique. Pas toujours suivi, car il fallait bien donner du grain à moudre aux frondeurs, mais suffisamment pour donner ce parfum social-démocrate espéré par l’aile droite du parti socialiste. Mais qui est-il vraiment ?

    Quand on lit avec un peu d’attention les professions de foi d’Emmanuel Macron, telles que rédigées dans son manifeste par son équipe de jeunes gens « brillants », on voit que Macron est très frustré d’avoir été en partie empêché par les frondeurs de mettre en œuvre son programme social-démocrate « hollandais ». Mais il reste bien de gauche, et a appris de son maitre le flou, l’indécision et le verbe creux.

    Prenons deux exemples : les 35 heures et le logement.

    Les 35 heures

    Après l’exposé philosophique sur la baisse du temps de travail qui s’inscrirait dans l’histoire de l’humanité, Macron affirme donc que les 35 heures représentent une grande avancée sociale, digne de l’instauration des congés payés. Bien sûr il n’a pas toujours dit cela et, en réfléchissant, il n’y a pas que des bons côtés à cette mesure… mais les bons côtés l’emportent parait-il. D’ailleurs, pour pouvoir gagner plus, il faut permettre aux travailleurs de faire des heures supplémentaires… Si on supprime les 35 heures, comment va-t-on calculer les heures sup ?

    CQFD : il faut garder cette grande avancée pour l’humanité.

    La loi ALUR

    Sur le logement et la loi ALUR, la démarche intellectuelle est la même : après une longue introduction sur le problème du logement, c’est-à-dire le manque d’offre de logements à des prix abordables, Macron se félicite de la grande avancée sociale apportée par la loi ALUR : enfin la transparence, apportée par le contrôle des loyers. On sait enfin combien paient les locataires (surtout combien paie son voisin) et il faut rapidement étendre ce système à toute la France : le contrôle des loyers est la solution.

    On ne sait pas ni comment ni pourquoi cette loi va améliorer la situation du logement, mais, comme le dit Macron, il suffit de libéraliser le foncier (comment ? mystère), et permettre donc à des nouveaux logements de voir le jour. Avec la loi ALUR, grande avancée sociale, il n’est cependant pas certain que de nombreux investisseurs se précipitent…

    François Baroin a caractérisé Macron : c’est le patron de l’extrême flou. Tellement vrai. Mais aujourd’hui, ses partisans ne veulent rien entendre. Il est jeune, énarque, inspecteur des finances, ce corps de fonctionnaires qui contrôle Bercy, et à travers Bercy, le Parlement ; cela suffit.

    contrepoint.org

  • Hamon, le fumier, fumiste!... et lycée de Versailles...

    Hamon, prof de fac avec une licence d’histoire et un bouquin plagié

    Petite licence, mais grosse expérience PS! Au nom de laquelle on peut le recruter comme "professeur associé"!..... à leur connerie, oui!

    Quand vous bossiez dur pour décrocher des concours, lui manifestait contre les diplômes trop difficiles à obtenir: 1986, loi Devaquet, SOS Racisme dans la rue, la gauche démago au service de Tonton. Il adhère à l’UNEF. Mais il faut bien justifier qu’on est un peu étudiant: donc, Benoît réussit à décrocher une licence d’histoire. Et voilà, sur le CV, la liste des diplômes s’arrête là.

    Une maîtrise? Un DEA? Un doctorat? Pensez donc, de longues années de recherche, ça ne laisse pas de temps pour faire carrière aux MJS. Mais alors, un concours d’enseignement? Un CAPES? Une agrégation? Attendez, c’est risqué, un concours! Benoît Hamon a zappé ce qui était, avant, la voie royale chez les élus de gauche : l’enseignement. Avec lui, fini la République des professeurs.

    Pas d’autre expérience professionnelle que la vie du Parti socialiste : UNEF, MJS, courants, éléphants, etc., jusqu’à en être aujourd’hui le candidat.

    On peste souvent, avec raison, contre les candidats du système, formatés par l’ENA ou Sciences Po. Mais je croyais qu’à gauche, on avait encore, malgré tout, le respect de cette méritocratie-là. Hamon? Le pur produit, non du système, mais du sous-système PS…

    Mais attention, n’allons pas instiller le doute sur la formation limitée de notre apparatchiks. "Les Décodeurs" du Monde nous expliquent sans rire:

    "Les engagements syndicaux et politiques précoces de Benoît Hamon ne lui ont effectivement pas laissé le temps de faire de longues études, puisqu’il s’est contenté d’une licence d’histoire à l’université de Bretagne-Occidentale à Brest avant d’entrer en politique comme assistant parlementaire du député PS Pierre Brana. "

    Pauvre Benoît, tellement précoce qu’il n’a pas eu le temps de faire des études…

    Sauf que, assistant parlementaire, il le devient en 1991: il a 24 ans. Pas le temps de décrocher mieux qu’un bac+3, six ans après le bac?

    Mais si " Les Décodeurs " défendent notre ex-jeune socialiste, c’est que certains ont osé dénoncer son poste de professeur associé, en 2009, et pendant trois ans, dans une université. C’est sûr que vous qui ramez pour décrocher un poste à l’université, malgré votre thèse, votre agrégation, vos articles (et du sérieux, du lourd! Pas du plagiat ou du facile!), votre expérience d’enseignement, vous trouvez ça un peu fort de café, le Hamon qu’on balance professeur à l’université, avec sa petite licence d’histoire.

    Mais vous vous fourvoyez! Petite licence, mais grosse expérience PS! Au nom de laquelle on peut le recruter comme " professeur associé "! C’est légal!

    Benoît Hamon était en panne dans sa carrière, et il se trouvait que la fac avait justement besoin d’un professeur associé à ce moment-là! Un commentateur de l’article a lâché le fin mot de l’histoire: piston!

    Alors, Benoît, pour enrichir ton programme, après le revenu universel, le piston universel?

    Au fait, "Les Décodeurs", tous ces extraits de son livre si justement titré Tourner la page (publié quand il est recruté sur ce poste de professeur), qu’il a recopiés sans mettre les guillemets, c’est une affaire? C’est du plagiat? Ou simplement un déficit de formation… initiale?

    BdVoltaire

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    j'ai écrit cela le 18:12:2016, dans mon autre blog: insoliteetdéjanté

    http://insoliteetdejante.hautetfort.com/archive/2016/12/18/le-zoo-humain-8-hamon-5888340.html

    J'explique dans le numéro 1 consacré à Macron la pertinence de cette voyance un peu spéciale. Lorsque j'associe des explications psychologiques, ce sont celles qui me passent à l'esprit au moment où j'écris la note: je suis en concentration mentale. Comme pendant une consultation normale.

    Bouyouyou!! que c'est compliqué sur le monsieur… j'ai vu de l'aigle, de la tortue, de l'ours ratatiné en ses pénates, j'ai vu aussi se superposer la tête de Macron quand il est âne….

    J'espère que vous avez lu mes 7 précédentes “voyances“ des humains du zoo. Cet homme-là, il a tous les défauts de ces animaux….

    Le plus apparent, c'est quand il fait sa tortue: une tortue “rouscailleuse“ comme on dit par chez nous à Toulouse. Une qui râle tout le temps, la tête dans les souvenirs du passé. Une tortue qui croit en rien ni en personne… Qui est sur son chemin, tête baissée comme le cycliste qui croit qu'en baissant la tête, il ressemblera à un champion cycliste de ceux qu'on voit sur le Tour.

    Hamon, il voudrait bien, mais il peu point. Quoi? me direz-vous. Tout et rien. Il veut tout mais chaque fois qu'il avance une envie, une idée, une explication, il se rétracte aussitôt comme un ours qui fait semblant d'être opiniâtre, fort et solide, Bon pour la France.

    Mais, il se planque dans sa caverne pour hiberner jusqu'à la saison prochaine. Il espère que les plats repasseront encore une fois ou deux. Il sait pourtant qu'on n'est jamais si bien servi que par soi-même…. mais, il est pas assez aigle pour forcer la “main“ médiacratique. Faut se pincer pour lui trouver une vraie idée qu'elle est bonne pour l'avenir de la France.

    Alors, il dit, il dit, il dit…. et puis il clique...... sur rien. Rien au bout de la souris. Rien dans ses propositions, rien dans ses poches. Cui-là, il croit qu'il avance d'un pas, mais en fait, il recule de quatre. Il est juste tenace…

    Son truc à lui? qu'on vienne le chercher.... oup's... si c'est pas lui qui va vers les journaleux-baveux, on va pas le chercher... alors, ça l'angoisse: être oublié dans un coin...

    Très souvent, il se plante, c'est comme l'âne en Macron, mais, y'a personne pour lui dire qu'il se fourvoie. Il prend trop de chemins de traverse qui ne mènent à rien. Heureusement que dans le zoo humain des politicards, il y a quelques zèbres pour nous faire marrer… sinon, la politique en France, ces temps-ci, c'est pas la grosse joie!

    Quand un Français pète de travers, il a un procès aux fesses à cause des tas de ligues de Vertu Outragées qui foisonnent en dictature socialaupe, qu'on se croirait revenus au temps des Romantiques qui avaient interdiction de se gratter les buebos, “ça ne se fait pas, on ne doit pas mélanger les torchons et les serviettes“.

    Macron et lui sont frères jumeaux en caractère et en action de plantages récurrents. C'est une tortue tenace mais ça suffit pas pour en faire un président; y'a pas les idées modernes, y'a pas un Grand Chemin à indiquer à tous les Français pour les réunir face à leur Grand Destin…. tout est vieux, usé, mité… et y'a même pas la suite dans les idées.

     

  • Une pub perso: Peut-on faire de la voyance avec un pendule?

    NON

    J'ai dis, et je redis, NON

    Ne vous laissez pas abuser par les escrocs du net!!!

    C'est assez amusant de se faire soi-même de la voyance à l'aide d'un pendule. **Ici, je ne parle pas de chercher de l'eau dans votre jardin! Il vaut bien mieux faire appel à un vrai sourcier (bonne chance pour en trouver un: les bons pro sont débordés et très rares!).**

    Mais, ne vous laissez pas manipuler ou escroquer par des voyants bidon: s'ils ou elles utilisent un pendule pour répondre à vos questions de voyance, fuyez!

    Le pendule qui bouge? cela s'appelle “L’effet idéo-moteur“ et cela a été très scientifiquement étudié… en 1852, tout de même!

    “L’effet idéomoteur est un mouvement musculaire involontaire dont le sujet n’a pas conscience. On parle également d’automatisme psychologique pour souligner le caractère mécanique de ce comportement. L’effet idéomoteur peut se produire au niveau individuel et groupal.

    L’effet idéomoteur peut mener certaines personnes à interpréter des phénomènes physiques simples comme relevant de forces inconnues. C’est en particulier le cas lorsque des supports sont utilisés, comme le pendule, la baguette de sourcier, le Oui-ja, et les tables tournantes“.

    Lisez ma note “L’EFFET IDEO-MOTEUR“ sur mon blog et vous en saurez plus.

    Mais, comment font ceux qui utilisent le pendule? et comment pouvez-vous en faire? Pour commencer, il vous faut un pendule.

    Pas la peine de foncer pour en acquérir un… cela coûte très cher. Et puis, il faut sortir, prendre la voiture ou bien, perdre du temps sur internet….

    **Voici comment fabriquer votre pendule sans dépenser un sou vaillant.** Je puis vous assurer que cela fonctionne comme un vrai. J'avais un beau pendule (offert gracieusement parce que j'avais acheté des livres) et, un jour, un escroc me la subtilisé dans mon cabinet (quand j'ai recevait le public, les trois premières années de mon démarrage pro). C'était il y a plus de 30 ans mais je n'ai jamais été pénalisé quand j'en avais l'emploi (uniquement pour enseigner quelqu'un).

    **Prenez un de vos cheveux, long de préférence et placez au milieu une bague qui vous appartient. C'est tout; cela fonctionne très bien. Pour ceux ou celles qui ont les cheveux courts, pas de panique. Prenez un simple cordon (un lacet rond fera l'affaire) et une bague. Vous n'avez pas de bague? prenez une boucle d'oreille, votre montre. Bref, quelque chose qui vous appartient et qui peut faire…. pendule.**

    Pour utiliser un pendule, il existe une convention universelle. Mais, c'est quoi une convention universelle? Quelqu'un, un jour, a décidé que l'on pouvait “faire de la voyance“ avec un pendule et, pour sa propre édification, à voulu que le sens giratoire droit soit le “oui“ et le giratoire gauche soit le “non“.

    Ainsi donc, lorsque vous tendez un pendule au bout d'un bras, s'il tourne vers la droite, cela signifie OUI, dans l'autre sens, cela signifie NON…. tout simplement. Oui, mais parfois, le pendule ne bouge pas. Pourquoi?

    Deux choses: soit vous débutez avec votre pendule et vous venez à peine de le suspendre…. attendez un peu et il bougera.

    Soit, vous avez posé une question mentale et il ne bouge pas ou se balance d'avant en arrière SANS tourner. La fameuse convention universelle a tout prévu: ce balancement signifie que le pendule ne répond pas parce que vous avez posé trop de questions mentales ou… qu'il ne sait pas répondre.

    Premier cas: corrigez votre pensée. Second cas: c'est normal parce que le pendule n'est qu'un phénomène idéomoteur… lire mon article sur ce blog et qu'il n'a rien à voir avec la vraie voyance.

    Vous savez comment utiliser le pendule…. vous avez bien compris que vous n'aurez jamais vraiment de voyance véritable avec cet ustensile ni pour vous-même, ni à fortiori pour les autres (payants ou pas). **Comme avec l'écriture automatique, le spiritisme par le verre, le pendule est un passe-temps pour rire entre amis**… je vous demande seulement de ne pas __vous faire passer pour un(e) voyant(e)__…. trop d'orgueil et de matérialisme peuvent vous coûter très cher pour avoir actionné “dans l'espace“ des vibrations négatives d'appropriation, vénale ou pas. Vous avez entendu parler de “choc en retour“? Ben, ce n'est pas qu'une bêtise croyez-moi.

     

    photo, femme, fille, mec

     

     

     

     

     

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  • Déradicalisation: où sont passés les 900.000 euros que Cazeneuve a donnés à Bouzar?

    Missionnée par Bernard Cazeneuve, l’auto-proclamée "spécialiste" de la déradicalisation Dounia Bouzar, officiellement anthropologue et essayiste, a bénéficié de larges subventions, à hauteur de 900.000 euros, qu’elle affirme avoir mis à profit pour suivre un peu plus de 1000 " jeunes " avec des résultats invérifiables.

    Dounia Bozar a depuis affirmé " vivre dans la peur " et a obtenu une protection policière (toujours de la part de Bernard Cazeneuve), qui a vite exaspéré les officiers de sécurité concernés, qui ont fait savoir que l’intéressée les employait comme des hommes à tout faire, ayant à leur égard une attitude particulièrement méprisante.

    Par ailleurs, les mêmes officiers faisaient savoir qu’un certain " malaise " (fort compréhensible) était né du fait du rapprochement de Dounia Bouzar avec le nommé Farid Benyettou, qui n’est autre que l’ancien maître à penser des frères Kouachi et l’une des figures de la filière des Buttes Chaumont, un groupuscule djihadiste démantelé en 2005.

    Dounia Bouzar n’a pas hésité à salarier le nommé Farid Benyettou (avec quel argent ?) depuis octobre 2016, et a collaboré avec l’intéressé à l’écriture d’un ouvrage intitulé " Mon djihad, itinéraire d’un repenti " dont la promotion est assurée sur nombre de plateaux de télévision.

    Cette entreprise de réhabilitation a suscité un vif émoi dans l’opinion, en particulier au sein des associations de victimes du terrorisme islamiste, dont l’AfVT, qui s’est fendue d’un communiqué dénonçant les faits.

    En période de commémoration des attentats de Charlie Hebdo, la présence médiatique de l’un des responsables (même indirect) de cet acte de terrorisme qui a ébranlé la France a en effet de quoi susciter l’indignation.

    Alerté en temps et en heure par les services de police, par la voie hiérarchique, Bernard Cazeneuve devenu entre temps Premier ministre brille par son silence, alors qu’il est directement impliqué et par conséquent responsable de l’attribution des sommes colossales octroyées à ces individus à des fins supposées de déradicalisation, alors que rien ne permet d’établir qu’elles sont avérées.

    C’est d’ailleurs sur la base de cette incertitude, pour employer un euphémisme, que certains parlementaires, dont la sénatrice Nathalie Goulet (Centre), ont demandé une enquête parlementaire sur l’efficacité de la méthode Dounia Bouzar à travers son association loi 1901 : le Centre de Prévention contre les Dérives Sectaires liées à l’Islam (CPDSI).

    Prétendant avoir " repris son indépendance " depuis 2016 (c’est fort pratique), le CPDSI présidé par Lydia Bouzar (la propre fille de Dounia Bouzar), devra donc probablement se justifier de l’emploi des subventions versées, et Bernard Cazeneuve de sa décision d’avoir officiellement mandaté cette structure comme " équipe mobile d’intervention " au sein des préfectures.

    A l’évidence, il s’agit là d’un nouveau scandale qui devrait connaitre de nombreux rebondissements et dont il convient d’affirmer qu’il mériterait pour le moins, au delà d’une enquête parlementaire, une enquête pénale.

    Sébastien JALLAMION rispostelaïque

     

    et aussi:

    Lyon : une subvention de 2 millions d’euros pour l’Institut de la Civilisation Musulmane.

    Demander à une musulmane de déradicaliser un musulman c’est donner au chat la garde du pot de crème

    Pourquoi déradicaliser les apprentis-terroristes islamiques et perdre son temps à dépenser tant d’argent? alors qu’il faut simplement les dénationaliser et les foutre dehors, pour ne pas dire autre chose!

    Mais on sait qui a fait les Lois du droit du sol, de la double nationalité et a fait de la déchéance de nationalité le Grand Tabou de France … ont-ils été un jour Français ceux qui veulent prendre les armes contre les Français et ceux qui sont dans l’Antifrance

    En gestuelle, une personne qui porte un bandeau autour de son visage, est une personne qui veut attirer l’attention sur son visage en le cadrant. Logique. En conséquence, cela identifie une personne narcissique.

    Des lunettes sur la tête? Idem.