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Opinions - Page 83

  • 23 ans: une belle jeunesse française...

    clair, net, précis... intelligent...

    ouf! il existe encore des jeunes qui réfléchissent!!!

    Non, je ne suis pas royaliste!!

     

  • Climat: une seule planète nous suffit amplement

    Chaque fois que j'entends cela je me dis: comment font-ils pour calculer leurs dires? on nous dis cela tous les ans à la bisto de naz, j'en suis sûre... pour faire peur aux gens... et tous les débiles qui manifestent pour que les gouvernements réagissent aux problèmes climatiques sont décérébrés par ces oiseaux de mauvais augure... même chose que: ne mangez pas de la viande, ça donne le cancer...

    Nous n’avons pas besoin d’une deuxième planète, mais d’institutions qui permettent à l’homme de s’adapter aux inévitables évolutions de son environnement.

    Depuis une dizaine d’années, les médias nous annoncent la fin du monde en titrant par exemple: " Depuis ce matin, l’humanité vit à crédit; la totalité des ressources renouvelables de la planète a été épuisée"… donc il nous faut une deuxième planète pour survivre.

    Depuis Malthus à la fin du XVIIIe siècle les prophètes de malheur se sont succédé et leurs prévisions apocalyptiques se sont toujours révélées fausses.

    Il est cruel mais nécessaire de citer Stanley Jevons, René Dumont, Paul Ehrlich, Lester Brown, Teddy Goldsmith… relayés par le Club de Rome, le WWF, Greenpeace, Worldwatch Institute, France Nature Environnement… et même par le Vatican (Encyclique Laudato Si).

    Comment en est-on arrivé à répéter année après année de telles contrevérités alors que l’état de la planète s’améliore?

    Dans les années 1970, la communauté scientifique se préoccupait du refroidissement climatique. Ainsi que le constatait l’écologiste britannique Kenneth Watt en 1970, " si la tendance actuelle continue, la planète va se refroidir de quatre degrés en 1990 et de onze degrés en 2000. C’est à peu près le double de ce qui nous conduirait à une ère glaciaire".

    Le plus remarquable est que ces mêmes prophètes  non seulement ne reconnaissent pas leurs erreurs mais persistent en déclarant que leurs prévisions étaient justes mais simplement précoces! " Tout se passe comme si le fait d’avoir toujours eu tort par le passé les confortait dans l’idée qu’ils auraient raison dans l’avenir".  (Tertrais, 2011).

    Abondance des ressources

    Il convient de rappeler qu’entre 1850 et 2018 les prix (indicateurs de la rareté) des matières premières ont été divisés par 5 tandis que la population mondiale a été multipliée par 5 et le revenu par habitant par 10… et tout indique que cette extraordinaire performance se poursuit au XXIe siècle. Faut-il aussi préciser que les pays placés en tête dans les classements en matière de liberté économique et de revenu par habitant sont également ceux qui disposent du meilleur état écologique.

     

    À ce point nous devons considérer le modèle proposé par la courbe environnementale de Kuznetz. Bien qu’approximative et contestée, cette courbe, fondée sur l’observation de deux siècles de croissance économique, met en évidence que si, dans un premier temps, à l’augmentation de la richesse correspond une dégradation de l’environnement, la courbe s’inverse dès lors qu’apparaît l’abondance (autour de 10 000 euro/an et par habitant).

    Dans la mesure où l’on escompte une sortie massive de la pauvreté il faut donc s’attendre, toutes choses étant égales par ailleurs, à une pression importante sur les ressources environnementales. Ceci est bien illustré par la Chine qui a probablement atteint le point d’inflexion de la courbe environnementale de Kuznetz et commence à se préoccuper des externalités insoutenables liées à sa croissance.

    Il est probable que ce phénomène va concerner tous les pays échappant à l’extrême pauvreté. Il faut donc s’attendre au cours des 20 prochaines années à une croissance économique mondiale susceptible de porter atteinte à la qualité environnementale des pays concernés mais aussi de l’ensemble de la planète. Mais, comme par le passé, l’évolution des technologies, et des institutions (dont l’échange et les droits de propriété) permettront de poursuivre l’amélioration environnementale et le bien-être de l’humanité.

    Aujourd’hui, c’est le contraire qui est prédit: sous la pression d’une communauté scientifique politisée et des media avides de catastrophisme, le réchauffement de la planète est devenu un thème central, relayé sans relâche par le Groupe d’experts intergouvernemental, GIEC-IPCC, sur l’évolution du climat rattaché aux Nations Unies, dont les affirmations répétées sont devenues des vérités incontestables, quelle que soit leur véracité scientifique.

    Ceci devrait nous rappeler Lyssenko ou le scandale des avions renifleurs des années 70 à savoir qu’une hypothèse relayée massivement par les institutions devient vérité officielle incontestable sous peine de sacrilège.

    Ainsi les modèles de prévision du réchauffement onusiens établis à la fin du siècle dernier se sont déjà révélés approximatifs ou erronés, ce qui permet de douter du catastrophisme à l’horizon de la fin de notre siècle. Comme l’a encore montré l’économiste Rémy Prud’homme, le réchauffement repose sur une science fragile. D’ailleurs beaucoup de décideurs n’y croient pas vraiment: les milliardaires continuent d’acheter de somptueuse villas les pieds dans l’eau et le Conservatoire du Littoral de maîtriser le foncier sur des zones qui seront submergées à brève échéance!

    Une autre voie

     

    Si l’on accepte la réalité d’un réchauffement il est temps d’encourager et de mettre en œuvre des politiques susceptibles d’y faire face et de concilier croissance et environnement.

    Tout d’abord, puisque l’aide aux pays en voie de développement sous sa forme actuelle est largement inefficace et parfois même contreproductive (corruption), il convient soit de la supprimer soit d’en modifier le contenu. À savoir:

    encourager la responsabilité individuelle par la diffusion des droits propriété privés ou en commun;

    renforcer l’État de droit (Rule of law) et le pouvoir des citoyens.

    En fin de compte, comme le précisait The Economist, dès 2005 " la main invisible verte: les marchés constituent un atout pour l’environnement pour autant que les écologistes puissent apprendre à les aimer " que le Président Clinton résumait " la main invisible du marché a aussi un pouce vert!".

    Dénoncer l’imposture

    La pensée unique, politiquement correcte diffusée par les media répond à une logique bien analysée par Jean de Kervasdoué dans son excellent ouvrage " Ils pensent que la nature est bonne " (2016):

    Il n’y a pas d’autres domaines que l’écologie ou les préoccupations les plus justifiées voisinent avec les plus évidentes bêtises, ou la confusion des concepts est aussi manifeste, où les croyances l’emportent sur la raison, où la pression sociale est aussi sirupeuse que violente, ou l’idéologie prend le masque de la vérité, où les intérêts se cachent sous la bannière de la générosité, où les informations sont partielles, partiales et souvent truquées. Cette bouillie de faux concepts, de grands sentiments et d’intérêts camouflés conduit les hommes les plus respectables à proférer doctement les plus évidentes contrevérités… et, surtout, à prendre les plus incontestables bienfaits de la science pour le plus grand des dangers. Pourquoi ce fossé entre la réalité et sa perception?

    En fait il s’agit d’un combat idéologique affirmant que la Nature est innocente et bonne et que l’Humanité est mauvaise, une version sécularisée du jardin de l’Eden.

    Pour conclure, le pessimisme n’est plus de saison et l’espoir est là pour autant que les institutions permettent la liberté et la responsabilité des hommes. La pauvreté et la destruction des ressources environnementales associées à la rareté, peuvent être résolues en recourant aux institutions élaborées et sélectionnées par les hommes au cours des siècles. Depuis des millénaires l’humanité a su s’adapter et survivre à des  modifications climatiques de grande ampleur et les media et certains scientifiques rendent un mauvais service à la cause environnementale en refusant d’ouvrir le débat et en reprenant en boucle des slogans flattant le catastrophisme.

    Nous n’avons pas besoin d’une deuxième planète, mais d’institutions qui permettent à l’homme de s’adapter aux inévitables évolutions  de son environnement. Max Falque

    icrei.org

     

     

     

     

     

     

    Climat: une seule planète nous suffit amplement

    Nous n’avons pas besoin d’une deuxième planète, mais d’institutions qui permettent à l’homme de s’adapter aux inévitables évolutions de son environnement.

    Depuis une dizaine d’années, les médias nous annoncent la fin du monde en titrant par exemple: "  Depuis ce matin, l’humanité vit à crédit; la totalité des ressources renouvelables de la planète a été épuisée "… donc il nous faut une deuxième planète pour survivre.

    Depuis Malthus à la fin du XVIIIe siècle les prophètes de malheur se sont succédé et leurs prévisions apocalyptiques se sont toujours révélées fausses.

     

    Il est cruel mais nécessaire de citer Stanley Jevons, René Dumont, Paul Ehrlich, Lester Brown, Teddy Goldsmith… relayés par le Club de Rome, le WWF, Greenpeace, Worldwatch Institute, France Nature Environnement… et même par le Vatican (Encyclique Laudato Si).

    Comment en est-on arrivé à répéter année après année de telles contrevérités alors que l’état de la planète s’améliore?

    Dans les années 1970, la communauté scientifique se préoccupait du refroidissement climatique. Ainsi que le constatait l’écologiste britannique Kenneth Watt en 1970, " si la tendance actuelle continue, la planète va se refroidir de quatre degrés en 1990 et de onze degrés en 2000. C’est à peu près le double de ce qui nous conduirait à une ère glaciaire".

    Le plus remarquable est que ces mêmes prophètes  non seulement ne reconnaissent pas leurs erreurs mais persistent en déclarant que leurs prévisions étaient justes mais simplement précoces! " Tout se passe comme si le fait d’avoir toujours eu tort par le passé les confortait dans l’idée qu’ils auraient raison dans l’avenir".  (Tertrais, 2011).

    Abondance des ressources

    Il convient de rappeler qu’entre 1850 et 2018 les prix (indicateurs de la rareté) des matières premières ont été divisés par 5 tandis que la population mondiale a été multipliée par 5 et le revenu par habitant par 10… et tout indique que cette extraordinaire performance se poursuit au XXIe siècle. Faut-il aussi préciser que les pays placés en tête dans les classements en matière de liberté économique et de revenu par habitant sont également ceux qui disposent du meilleur état écologique.

     

    À ce point nous devons considérer le modèle proposé par la courbe environnementale de Kuznetz. Bien qu’approximative et contestée, cette courbe, fondée sur l’observation de deux siècles de croissance économique, met en évidence que si, dans un premier temps, à l’augmentation de la richesse correspond une dégradation de l’environnement, la courbe s’inverse dès lors qu’apparaît l’abondance (autour de 10 000 euro/an et par habitant).

    Dans la mesure où l’on escompte une sortie massive de la pauvreté il faut donc s’attendre, toutes choses étant égales par ailleurs, à une pression importante sur les ressources environnementales. Ceci est bien illustré par la Chine qui a probablement atteint le point d’inflexion de la courbe environnementale de Kuznetz et commence à se préoccuper des externalités insoutenables liées à sa croissance.

    Il est probable que ce phénomène va concerner tous les pays échappant à l’extrême pauvreté. Il faut donc s’attendre au cours des 20 prochaines années à une croissance économique mondiale susceptible de porter atteinte à la qualité environnementale des pays concernés mais aussi de l’ensemble de la planète. Mais, comme par le passé, l’évolution des technologies, et des institutions (dont l’échange et les droits de propriété) permettront de poursuivre l’amélioration environnementale et le bien-être de l’humanité.

    Aujourd’hui, c’est le contraire qui est prédit: sous la pression d’une communauté scientifique politisée et des media avides de catastrophisme, le réchauffement de la planète est devenu un thème central, relayé sans relâche par le Groupe d’experts intergouvernemental, GIEC-IPCC, sur l’évolution du climat rattaché aux Nations Unies, dont les affirmations répétées sont devenues des vérités incontestables, quelle que soit leur véracité scientifique.

    Ceci devrait nous rappeler Lyssenko ou le scandale des avions renifleurs des années 70 à savoir qu’une hypothèse relayée massivement par les institutions devient vérité officielle incontestable sous peine de sacrilège.

    Ainsi les modèles de prévision du réchauffement onusiens établis à la fin du siècle dernier se sont déjà révélés approximatifs ou erronés, ce qui permet de douter du catastrophisme à l’horizon de la fin de notre siècle. Comme l’a encore montré l’économiste Rémy Prud’homme, le réchauffement repose sur une science fragile. D’ailleurs beaucoup de décideurs n’y croient pas vraiment: les milliardaires continuent d’acheter de somptueuse villas les pieds dans l’eau et le Conservatoire du Littoral de maîtriser le foncier sur des zones qui seront submergées à brève échéance!

    Une autre voie

     

    Si l’on accepte la réalité d’un réchauffement il est temps d’encourager et de mettre en œuvre des politiques susceptibles d’y faire face et de concilier croissance et environnement.

    Tout d’abord, puisque l’aide aux pays en voie de développement sous sa forme actuelle est largement inefficace et parfois même contreproductive (corruption), il convient soit de la supprimer soit d’en modifier le contenu. À savoir:

    encourager la responsabilité individuelle par la diffusion des droits propriété privés ou en commun;

    renforcer l’État de droit (Rule of law) et le pouvoir des citoyens.

    En fin de compte, comme le précisait The Economist, dès 2005 " la main invisible verte: les marchés constituent un atout pour l’environnement pour autant que les écologistes puissent apprendre à les aimer " que le Président Clinton résumait " la main invisible du marché a aussi un pouce vert!".

    Dénoncer l’imposture

    La pensée unique, politiquement correcte diffusée par les media répond à une logique bien analysée par Jean de Kervasdoué dans son excellent ouvrage " Ils pensent que la nature est bonne " (2016):

    Il n’y a pas d’autres domaines que l’écologie ou les préoccupations les plus justifiées voisinent avec les plus évidentes bêtises, ou la confusion des concepts est aussi manifeste, où les croyances l’emportent sur la raison, où la pression sociale est aussi sirupeuse que violente, ou l’idéologie prend le masque de la vérité, où les intérêts se cachent sous la bannière de la générosité, où les informations sont partielles, partiales et souvent truquées. Cette bouillie de faux concepts, de grands sentiments et d’intérêts camouflés conduit les hommes les plus respectables à proférer doctement les plus évidentes contrevérités… et, surtout, à prendre les plus incontestables bienfaits de la science pour le plus grand des dangers. Pourquoi ce fossé entre la réalité et sa perception?

    En fait il s’agit d’un combat idéologique affirmant que la Nature est innocente et bonne et que l’Humanité est mauvaise, une version sécularisée du jardin de l’Eden.

    Pour conclure, le pessimisme n’est plus de saison et l’espoir est là pour autant que les institutions permettent la liberté et la responsabilité des hommes. La pauvreté et la destruction des ressources environnementales associées à la rareté, peuvent être résolues en recourant aux institutions élaborées et sélectionnées par les hommes au cours des siècles. Depuis des millénaires l’humanité a su s’adapter et survivre à des  modifications climatiques de grande ampleur et les media et certains scientifiques rendent un mauvais service à la cause environnementale en refusant d’ouvrir le débat et en reprenant en boucle des slogans flattant le catastrophisme.

    Nous n’avons pas besoin d’une deuxième planète, mais d’institutions qui permettent à l’homme de s’adapter aux inévitables évolutions  de son environnement. Max Falque

    icrei.org

     

     

     

     

  • Gj: Comment “ils“ se payent votre tête!

    Le CNC divise par 3 ses aides pour la restauration des films anciens: aides du fonds "images de la diversité": +65% en 2018)

    Rififi et embrouillamini dans la restauration cinématographique. Le Centre national du cinéma et de l’image animée (CNC) (NDR: financé par le Ministère de la Culture) se voit contraint, pour des raisons budgétaires, de réduire drastiquement les aides qu’il accordait, depuis 2012, à la numérisation des films de "patrimoine", ceux dont la sortie en salle est antérieure à dix ans. L’établissement public espérait que sa solution pour atténuer ce manque à gagner – un recours au mécénat avec la bénédiction de Bercy – allait séduire. Or, il n’en n’est rien. (…)

    Dans toute la filière, chacun se désole évidemment du tarissement de la manne des 64,5 millions d’euros qui a permis de numériser 1123 films. Les aides, qui étaient de 9 millions d’euros en 2018, vont tomber à 2,8 millions par an jusqu’en 2021.

    Mis en place en 2007, la Commission Images de la diversité a été créée auprès de l’Agence nationale pour la cohésion sociale et l’égalité des chances et du Centre national du cinéma et de l’image animée (CNC).

    Le Fonds Images de la diversité a pour objectif de soutenir la création et la diffusion des œuvres cinématographiques, audiovisuelles, multimédia ou de jeux vidéo contribuant à donner une représentation plus fidèle de la réalité française et de ses composantes et à écrire une histoire commune de l’ensemble de la population française autour des valeurs de la République, et favorisant l’émergence de nouvelles formes d’écritures et de nouveaux talents, issus notamment des quartiers prioritaires de la politique de la ville.

    Pour répondre à ces objectifs, la commission images de la diversité soutient la création, la production et la diffusion d’œuvres cinématographiques, audiovisuelles, multimédias et de jeux vidéo dont l’action se situe principalement en France et qui:

    Représentent l’ensemble des populations immigrées, issues de l’immigration et ultramarines qui composent la société française, et notamment celles qui résident dans les quartiers prioritaires de la politique de la ville ;

    Représentent les réalités actuelles, l’histoire et la mémoire, en France, des populations immigrées ou issues de l’immigration, ainsi que des populations ultramarines et des quartiers prioritaires de la politique de la ville situés en territoire urbain ;

    Concourent à l’égalité entre les femmes et les hommes, à la politique d’intégration et à la lutte  contre les discriminations dont sont victimes les habitants des quartiers défavorisés, notamment celles liées au lieu de résidence et à l’origine réelle ou supposée ;

    Contribuent à la reconnaissance et à la valorisation de l’histoire, du patrimoine et de la mémoire des quartiers de la politique de la ville.

    Les subventions versées dans le cadre de ce fonds " images de la diversité " sont passées de 666000 € en 2017 à 1086000€ en 2018 (+63%)

    Composition de la commission

    Président: M. Reda Kateb, acteur

    1ER COLLÈGE

    Vice-Président: Chad Chenouga, comédien, scénariste et réalisateur

    Titulaires:

    Xiaoxing Cheng, réalisateur

    Alice Diop, réalisatrice

    Alexandre Gavras, producteur (KG Production)

    Isabella Pisani, directrice des achats et coproductions documentaires (LCP- AN)

    Mathilde Le Ricque, directrice de l’association Mille Visages

    2ÈME COLLÈGE

    Vice-Présidente: France Zobda, productrice (Eloa Prod)

    Titulaires:

    Pascal Blanchard, historien et documentariste

    Pierre Cattan, producteur (Studio Small Bang)

    Hakim Jemili, humoriste, auteur, comédien

    Olivier Wotling, directeur fiction (ARTE)

    Edouard Zambeaux, journaliste et réalisateur

    Liste des "œuvres" ayant reçu une subvention de la part du CNC dans le cadre du fonds "images de la diversité" depuis 3 ans:

    Le Monde - 22/01/2019

     

     

  • Pas loin de chez moi, la maire de Montauban Brigitte BAREGES

    (Montauban? moins de 50 km de chez moi)

    Brigitte BAREGES, Les Républicains a sauvé l’honneur

    Face au petit Nicolas Flamel élyséen, elle a réussi à sortir quelques vérités:

    — les étrangers ont des droits supérieurs aux Français, notamment en termes de protection sociale (avec l’aide médicale d’État (AME), un étranger peut s’offrir des lunettes et des soins dentaires sans frais)

    — dans certaines écoles de sa ville aux 70 fichés S, l’arabe a remplacé la langue nationale

    — un Algérien en situation irrégulière a sodomisé une vieille dame montalbanaise de 81 ans sans que cela n’émeuve particulièrement la presse…

    et les pétasse de meetoo ou des balance ton porc, elles sont où, les chiennes de garde... perdues dans leur gauchiasserie décervelée, sans doute.

    Brigitte Barèges a lancé que les Gilets jaunes ne sont pas protégés par les ONG contrairement aux immigrants illégaux. Elle a ajouté que le politiquement correct est en train de ruiner la France.

    Et ses collègues au lieu de l’applaudir l’ont sifflée, huée, auraient bien aimé la lyncher mais le p’tit Macrouille n’a pas souhaité que l’on aille jusque-là. La prochaine fois peut-être?

    Les médias du régime ont persisté dans le train-train habituel: Madame Barèges serait une dame pas très honnête, elle serait soupçonnée de détournement de fonds publics, a refusé un mariage gay avant d’y être contrainte par… un juge.

    La réponse du maître de la jactance a été claire: “L’accueil et l’hébergement sont inconditionnels, c’est un vrai investissement de l’État, il a encore augmenté, c’est environ deux milliards d’euros, mais il faut s’en féliciter“.

    Deux milliards d’euros, le chiffre de notre organisateur de l’inoubliable Fête de la musique sur le perron de l’Élysée paraît approximatif.

    Les mineurs non accompagnés, l’AME, le logement des immigrants illégaux, la scolarisation de leurs nombreuses progénitures, leurs inscriptions dès qu’ils sont régularisés, la délinquance dont ils sont les grands pourvoyeurs (arnaques, viols et petits meurtres), l’installation d’un islam de conquête (mosquées et prétendus centres cultuels), le suivi des fichés S, les massacres à la Kalachnikov ou au couteau, l’apparition de nouvelles maladies et la recrudescence d’anciennes (gale, Sida, tuberculose…), l’augmentation des cas d’IST (Infections sexuellement transmissibles) et de MST (maladies sexuellement transmissibles), les détournements, les fraudes, les escroqueries à la Sécu et aux retraites, ne coûteraient que deux milliards.

    Le banquier de l’Élysée sait-il compter?

    Et pendant ce temps, nos vieux, nos paysans, nos jeunes de souche, nos artisans crèvent dans la France périphérique.

    Après les politicards, les médias, la justice, les forces de l’ordre : les maires.

    Qui, demain, par ses courbettes ternira notre fierté d’être français?

    Les syndicats? C’est déjà fait.

    Les intellectuels? Pour la plupart c’est fait aussi.

    Les enseignants? Pas très brillants avec leur soutien aveugle à l’immigration.

    Les infirmières?

    Les pompiers?

    Espérons que pour ces deux derniers ce ne sera jamais le cas.

    Marcus Graven

    A Toulouse, y'avait une blague qui courrait dans les années soixante:

    Un jour, le chef de gare de Montauban -qui annonçait dans ce temps-là les arrivées des trains dans sa gare au micro- n'a pas coupé assez vite celui-ci et tous les voyageurs ont entendu ceci:

    "Montauban, Montauban, tout le monde descends!....

    et la phrase hilarante: "les cons, comme les intelligents"....

    Et bien, quarante ans plus tard, il y a plus de cons que d'intelligents, à Montauban! C.Q.F.D.

     

  • La décroissance est un caprice d’enfant gâté occidental

    C.Q.F.D.

    Loin d’être l’ennemie de l’environnement, la croissance est un impératif pour mieux gérer nos ressources.

    La France souffre de nombreux maux, vous en aurez normalement identifié certains qui minent notre pays. Pourtant beaucoup de nos problèmes et du ressenti terrible qui s’instillent dans la population ne seraient pas aussi violents si nous arrivions à afficher de façon régulière une croissance proche de 3 % comme cela est le cas aux États-Unis.

    Et pourtant en France, ce constat n’est même pas partagé par l’ensemble de la population. En effet nous entendons régulièrement les collapsologues et autres escrolos de tous bords nous prévenir: comment pourrions-nous continuer à croître éternellement alors que notre planète a des ressources finies?

    Il faudrait donc avoir recours à une " décroissance choisie " pour revenir à un niveau de vie souhaitable. Je vous laisserai trouver par vous-mêmes un pays qui a connu une récession (autre mot malheureusement moins élégant pour décrire la décroissance) et pour lequel la situation sociale s’est améliorée. Demandez aux Grecs et aux Vénézueliens s’ils ont apprécié le fait de voir leur PIB décroître.

    La décroissance, un problème de riche

    La décroissance est un caprice d’enfant gâté occidental. Il y aurait pour ses partisans suffisamment de richesses à répartir au niveau mondial pour se permettre de décroître. Sauf que la plupart des personnes qui suggèrent cette théorie oublient qu’ils font partie des 5 % (voire du 1 %) les plus riches au niveau mondial et donc qu’une décroissance mondiale impliquerait une diminution drastique de leur niveau de vie.

    Lorsque vous regardez le niveau de développement moyen que cela impliquerait, je ne suis pas sûr que cela corresponde au pays baigné de fruits et d’eau fraîche qu’ils nous vendent. Je reviens de deux semaines dans le sud de l’Inde et je peux vous garantir que ce pays a impérativement besoin de croissance, notamment pour améliorer la gestion de ses déchets et ou développer ses infrastructures de transport. À titre personnel je ne me verrais pas vivre avec un niveau de développement proche de celui de la classe moyenne indienne (lui-même très éloigné du niveau de vie moyen français).

    Je ne souhaite donc qu’une chose: permettre à ces personnes d’améliorer grandement leur niveau de vie. S’il faut "renoncer à son niveau de vie d’aujourd’hui pour garantir celui de ses enfants de mai " et que cela implique de saborder ses conditions de vie aujourd’hui, très peu pour moi.

    Le masochisme a ses limites surtout lorsque étude sérieuse n’a prouvé les bienfaits de la décroissance et que globalement les pays qui affichent de forts niveaux de développement sont aussi ceux qui présentent les conditions de vie les plus favorables à leurs populations.

    Lorsqu’on manque de ressources financières pour traiter ses déchets et qu’on les brûle au bord de la route pour s’en débarrasser, qu’on roule avec des véhicules d’un autre temps qui polluent trois fois plus qu’une nouvelle voiture, qu’on fait tourner des centrales au charbon au lieu d’investir dans des centrales nucléaires… on détruit l’environnement.

    La croissance est un impératif

    Loin d’être l’ennemie de l’environnement, la croissance est un impératif pour mieux gérer nos ressources. Elle est également un impératif si nous souhaitons continuer à organiser certaines redistributions. Par exemple dans le cas des retraites: sans une croissance massive (>3 %) ou une réforme radicale, nous afficherons en permanence un déficit public pour payer des retraités toujours plus nombreux face à des actifs qui le sont toujours moins.

    Pour qu’il y ait quelque chose à redistribuer comme le présentait si bien Georges Pompidou dans Le Nœud Gordien, il faut déjà produire ces richesses. Il faut donc nous focaliser sur les politiques qui libèrent cette création de richesse. Or notre pays est engoncé dans un carcan qui l’en empêche.

    Entre un principe de précaution inscrit dans la constitution, des corporations surpuissantes, des réglementations dans tous les sens et des syndicats réactionnaires, rien n’est fait pour permettre à notre pays de décoller. Les mesures du gouvernement d’ici la fin du quinquennat devront donc être orientées pour permettre cette libération de la croissance.

    Elle seule nous assurera de pouvoir faire face à nos prélèvements obligatoires délirants dans un premier temps, avant de graduellement les réduire. Lors de son passage en tant que ministre de l’Économie, Emmanuel Macron avait laissé entrevoir des réformes qui allaient dans ce sens. En tant que président, son action est décevante. Il lui appartient de changer le cap pour sortir notre pays de l’ornière.

    Eddie Willers

    Eddie Willers est né 1993. Il est analyste dans un fonds d’investissement et engagé dans le scoutisme. Il souhaite tordre le cou à quelques idées reçues souvent assénées comme des vérités par nos journalistes et nos hommes politiques.