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Opinions - Page 80

  • Gauchiasse à vomir

    Au pourceau boursouflé Ribes, je dédie cette phrase de Céline à Sartre…

    "Au pourceau, l’ordure ne pue point", dit un proverbe français. Syllogisme évident: Jean-Michel Ribes aime l’ordure, donc Jean-Michel Ribes est un pourceau!

    Ribes, qui s’engloutit de lui-même, a encore frappé de ses petits doigts boudinés de courtisan sur le retour, qualifiant de " pourriture absolue " et de " bubon " Matteo Salvini, lequel a annoncé, jeudi dernier, sa rupture avec le Mouvement 5 Étoiles, réclamant dans la foulée des élections anticipées dont il sortirait, selon toute vraisemblance, vainqueur. Et ça, le purulent apatride qu’est Ribes ne peut le supporter.

    Ribes, est un "cultureux de gauche" plein de troubles, comme l’insinuait il y a quelques années Marianne – hebdomadaire intelligent quand il n’est pas bête –, narrant les déboires de ce dernier lorsqu’il eut à faire face au mouvement social des intermittents du spectacle tenant tête à son camarade François Hollande, alors président de la République. Pour en finir avec cette grogne, Ribes convoquait, déjà à l’époque, le danger du populisme, cette chose infâme venue des bas-fonds où l’on a le mauvais goût d’avoir faim de pain et de tranquillité plutôt que de mises en scène " adauchieuses ": " Il y a un moment où il faut savoir s’arrêter. Dans le climat populiste actuel, dans ce XXIe siècle qui ne démarre pas, sur cette planète où il y a des conflits partout, il faut accepter la négociation. Sinon c’est une déclaration de guerre. Et la guerre ça fait toujours des morts". Ribes démontrait là qu’il était un parfait, et non moins perfide, petit serpent sifflant et rampant du système. Un serpent qui siffle depuis trop longtemps sur nos têtes (dixit Racine)!

    Armé du "courage" qui sied à son troupeau – par exemple flinguer la Croix (voir l’indigente pièce "Golgota picnic"), mais pas le Croissant! –, Ribes se gave volontiers de subventions graisseuses pour proposer ses "subversives" mises en scène qui disent toute l’inanité du personnage.

    Se faire payer par l’argent du peuple ne l’empêche d’ailleurs pas de le vomir, ce peuple, en participant notamment à la diabolisation de Marine Le Pen. Voilà à quoi servent vos deniers, les gueux!

    Puis, après avoir pompiné Hollande, voilà qu’il salive avec Macron, le Ribes! Courtisan, je vous disais…: " Jean-Michel Ribes, directeur du théâtre parisien du Rond-Point, qui avait pris position entre les deux tours en faveur d’Emmanuel Macron, déclare à l’AFP qu’il " part plein d’espoir "". Peut-être que le nouveau président aura la possibilité de réunir tous les talents qui auraient dû travailler ensemble depuis très longtemps et qui en ont été empêchés par les clivages politiques. Je crois vraiment qu’il va permettre au pays de passer au XXIe siècle. Il faut qu’on arrête de téter le sein du XXe siècle. Je ne voudrais pas que cela recommence comme avec François Hollande le lendemain de son élection, qu’il y ait une grêle, un mitraillage contre lui. Ça suffit", avertit le metteur en scène".

     

    https://www.francetvinfo.fr/culture/musique/jazz/macron-president-le-monde-de-la-culture-entre-le-soulagement-et-l-espoir_3280305.html

     

    Et pour dire sa " manière de penser, exhaler [son] ressentiment, vomir [sa] haine, expectorer [son] fiel, déterrer [son] indignation!" (dixit Flaubert), ce colombin cholérique a les médias à disposition. Pour avoir écouté parfois la glose glaireuse de l’intéressé, il a le talent de la pensée laxative, celle qui s’en va dans le tourbillon trouble des chasses d’eau!

    Ribes vomit donc tout ce qui relève de l’authentique et enracinée culture occidentale – celle que des Matteo Salvini ou des Marine Le Pen défendent –, ignorant, l’imbécile, qu’il en est là de sa liberté parce que, précisément, il est né en France, sur une terre occidentale, c’est-à-dire de culture chrétienne. Mais il serait vain d’expliquer à ce furoncle l’importance capitale du christianisme dans l’acquisition de la liberté et des savoirs – petite parenthèse: pour ce dernier point, je conseille aux lectrices et lecteurs cet excellent essai de Richard Bastien, " Le crépuscule du matérialisme ".

     

    Ribes, dont la flatulence verbale est un supplice pour qui a un peu de lettres et d’esprit (dixit Edmond Rostand), n’envisage la culture que par le prisme étroit et éminemment idéologique de la gauche libérale, s’asseyant sans doute allègrement sur Barrès, Bernanos, Mauriac, etc., autant d’auteurs prodigieux et enracinés. Si j’osais, je dirais qu’il n’y a aucun art chez Ribes, sinon quelques gesticulations plus ou moins inspirées, étant entendu que: " Une œuvre d’art, c’est le moyen d’une âme " (Maurice Barrès). Or, Ribes est une créature servile qui n’a d’âme que par procuration!

    Pour finir ma diatribe exutoire, je ne saurais résister plus longtemps à la tentation de dédier à la boursouflure ribéenne ces quelques mots jadis adressés par Céline à Sartre: " Satanée petite saloperie gavée de merde, tu me sors de l’entre-fesse pour me salir au dehors! […] Ici! Que je t’écrabouille! Oui!… Je le vois en photo, ces gros yeux… ce crochet… cette ventouse baveuse… c’est un cestode! "

    Charles Demassieux

    https://ripostelaique.com/au-pourceau-boursoufle-ribes-je-dedie-cette-phrase-de-celine-a-sartre.html

  • Emmanuelle Ducros révèle le malaise du journalisme en France

    La journaliste Emmanuelle Ducros fait l’objet d’attaques personnelles sur les réseaux sociaux. Alors qu’elle n’a fait que son métier : fouiner, remuer, secouer.

    Qu’il est facile de chasser une proie lorsqu’on est en meute!

    Les attaques répétées contre notre consœur Emmanuelle Ducros — sur Twitter essentiellement — montrent à quel point le journalisme, en France, se réduit à la course permanente contre les faits. L’attaque ad hominem est devenue la règle, dans ce milieu confiné où barbotent les pratiques d’antan, parmi lesquelles dominent l’entre-soi et la course aux subventions.

    Emmanuelle Ducros : la cible

    Sur le fond, rien de neuf. Les journaux se complaisent dans l’apologie du charlatanisme : en matière d’OGM, d’homéopathie, de climat, de glyphosate, l’information délivrée au lectorat d’une presse en crise se veut alarmiste et détachée des recommandations de la science.

    Tout cela est financé par l’argent des Français. Et lorsqu’une, ou deux, ou trois voix osent s’élever contre le consensus médiatique, la bronca gronde, obligeant le lecteur-contribuable à se montrer encore plus dépité.

    Vous n’avez pas honte ?

    La confiance dans les journalistes a encore baissé, relevait h16 dans un de nos récents éditos. La France figure parmi les pays où la liberté de la presse n’est guère plus que tolérée. Mais, pire ! cette liberté s’érode, comme nous l’avons expliqué le mois passé dans notre dossier consacré à la liberté d’expression.

     

    Sans subventions, sans aides extérieures et sans excès de parisianisme, Contrepoints explique depuis plusieurs années que le glyphosate est sans danger majeur pour l’être humain, que les OGM ont contribué au bien-être de l’humanité, que la science peut être peuplée de charlatans avides de pouvoir et d’argent, mais qu’elle ne doit pas être — circonvolution de l’esprit — dévoyée à l’idéologie anti-capitaliste, anti-riches, anti-développement.

    Les " ménages" journalistiques? Ils ont toujours existé. La soumission aux lobbies? Dans un monde parfait, elle ne devrait pas subsister. Mais la chasse aux sorcières pratiquée aujourd’hui par une presse aux abois et en déclin (financée par Facebook) est un marqueur de disruption. Emmanuelle Ducros s’inscrit dans la lignée des journalistes qui ont le courage de s’opposer au discours convenu dans 95% des rédactions de France. Elle a juste le tort de s’appuyer sur des faits contrevenant à ce consensus.

    Sans respect de la liberté d’expression, la presse française est condamnée. Sans respect de la personne censée incarner cette liberté d’expression, la presse française contribue à creuser davantage l’écart qui la sépare de son lectorat.

    Voilà pourquoi il nous faut soutenir Emmanuelle Ducros contre les chiens de garde du consensus médiatique.

    Ludovic Delory

    Journaliste, essayiste. Rédacteur en chef de Contrepoints.

  • Ben voyons!

    Comme d'habitude, les débiles pensent qu'ils sont entourés de débiles comme eux....

     

    Poitiers: un homme condamné pour en avoir poignardé un autre, "le coup de couteau serait parti tout seul"

    […]

    Lors de ce procès en comparution immédiate, le prévenu a tenté de convaincre le tribunal qu’il s’agissait d’un geste accidentel: "Je n’avais pas l’intention de me servir du couteau" dit d’emblée le prévenu. "Mais alors pourquoi être allé en chercher un?" lui demande le président. Et pas un petit. L’arme en question mesure -manche compris- près de quarante centimètres. "C’était pour l’impressionner", répond-t-il.

     […]

    Selon le prévenu, le coup de couteau serait parti tout seul en quelque sorte.

    "C’est rentré tout seul"

    Si je te fais pareil, tu verras que ça rentre tout seul, trouduc

    […]

    L’homme de 33 ans a donc été condamné à 4 ans de prison dont deux années ferme avec notamment obligation de soins. France Bleu

    4 ans de prison dont deux années ferme: Ben voyons, à ce stade, on est assuré que bientôt, on devra se promener en côte de maille pour éviter un sale coup.

    Depuis 1989-90, je disais à mon entourage et à mes cliente-s que nous aurions besoin de côte de maille, d'un gilet kevlar (c'était nouveau à l'époque) et d'un tank pour aller au supermarché quand je serais à la retraite. Une fois de plus, hélas, j'avais raison!

     

  • Bouleversements du climat: il peut nous détruire la santé

    Les conséquences psychologiques des inondations, canicules, feux de forêt et autres événements liés au réchauffement du climat sont loin d’être anodines et les scientifiques s’y intéressent pour mieux les appréhender.

    Cette année 2019 marque la fin du troisième Plan Santé Environnement (PNSE). L’objectif de ce plan était de réduire l’impact des facteurs environnementaux sur la santé mais, d’après les organismes chargés de l’évaluer, le PNSE n’aurait eu aucun effet positif.

     Ce contexte d’insuffisance et d’inefficacité des actions mises en place par les gouvernements pour enrayer le dérèglement climatique, provoque un profond sentiment d’insécurité à l’origine de ce que l’on appelle "l’anxiété climatique", l’une des nombreuses problématiques psychologiques décrites dans cet article.

    Dans un article paru dans la revue Current Opinion in Psychology, les chercheurs ont synthétisé les données existantes sur les impacts directs (stress thermique, conditions climatiques extrêmes) et indirects (pertes économiques, migrations forcées…) du changement climatique sur la santé mentale des individus, selon les événements auxquels ils pourront avoir à faire face :

    Evenements météorologiques extrêmes

    Ouragans, inondations, feux de forêt sont des catastrophes susceptibles de durer quelques heures ou quelques jours avec des conséquences matérielles et économiques graves et à long terme.

    Sur le plan mental, les études rapportent: anxiété, troubles de l’humeur, réaction de stress aigu, stress post-traumatique, perturbation du sommeil, suicide et idées suicidaires, sentiment de deuil, perte d’identité.

    Evènements météorologiques subaigus

    Les vagues de chaleur peuvent être des évènements aigus ou subaigus qui ont des conséquences psychologiques plus ou moins profondes selon leur durée. Les études enregistrent une augmentation de la criminalité et des comportements agressifs et un taux de suicide élevé en particulier chez les hommes et les personnes âgées.

    L’augmentation de la température ambiante entraîne aussi des dérèglements physiologiques, notamment une hypothyroïdie fonctionnelle qui se manifeste sous forme de léthargie, de mauvaise humeur et de troubles cognitifs avec un impact direct sur la santé mentale des individus.

    Changements environnementaux définitifs

    D’une manière plus générale, et malgré les objectifs internationaux, la hausse des températures et l’élévation du niveau de la mer devraient persister au cours du siècle. A terme les disparités et les conflits internationaux qu’engendreront les changements climatiques seront les principales menaces pour le bien-être social des populations.

     Cependant, dès aujourd’hui l’"anxiété climatique" (ou "éco-anxiété", " éco-paralysie "ou" sostalgie") apparaît déjà chez les jeunes des pays à revenus élevés.

    L’anxiété climatique serait due à une prise de conscience liée à la notion de dette écologique et l’impuissance que l’on éprouve à son égard. On observe chez ces personnes des comportements dépressifs poussant à des modes de vie autodestructeurs.

    Plus question de fermer les yeux ou de s’accabler sur le sort de l’humanité, des actes constructifs peuvent redonner confiance aux jeunes et limiter leur culpabilité. Selon une étude très récente publiée dans le Journal of public Health, la participation à des projets d’initiatives alimentaires locales pourrait par exemple s’avérer très positive, en agissant sur 4 facteurs reconnus pour influencer le bien-être: le lien avec la nature, la satisfaction des besoins psychologiques de base, de meilleurs régimes alimentaires et l'activité physique.

    Sources

    Palinkas LA, Wong M, Global climate change and mental health, Current Opinion in Psychology (2019)

    Zareen Pervez Bharucha, Netta Weinstein, Dave Watson, Steffen Boehm, Participation in local food projects is associated with better psychological

  • Une fessée pour Greta?

    L'humour des c.o.n.s est toujours à sens unique…. qui s'offusque quand on écrit (comme d'ailleurs je l'ai fait): Homard m'a tuer?.... le jeune c.o.n. qui, quand tu lui appuie sur le nez,  a encore du lait de sa mère qui coule…

    (c'est-à-dire, qu'il est né après la fameuse affaire de la dame assassinée qui a écrit -parait-il- avec son sang: Omar m'a tuer…

    oui, tuer avec E.R alors que le moindre bachelier Français de ces quarante dernières années, sait -en rêve- qu'après l'auxiliaire avoir….).

     

    Emmanuelle Ménard chassée de Twitter!

    Le 23 juillet dernier, je publiais sur Twitter le commentaire suivant à propos de Greta Thunberg et sa venue à l’Assemblée :

    "Greta Thunberg. Dommage que la fessée soit interdite, elle en mériterait une bonne“.

    Comme d’autres députés, je trouvais en effet scandaleux que la représentation nationale se voie quasiment imposer les leçons de morale et les élucubrations d’une jeune fille visiblement manipulée par ses activistes de parents. Une jeune fille qui "n’a pas d’opinion" quand on l’interroge sur le vote sur le Ceta, pourtant décisif sur le plan écologique!

    Deux jours auparavant, la jeune Greta avait reçu le prix de la Liberté en Normandie… Signe de la folie médiatique l’entourant, elle avait été préférée à des journalistes ou militants politiques parfois torturés et emprisonnés dans leur pays pour leurs idées…

    Mon tweet a provoqué des milliers de réactions. Certains ont compris mon humour au second degré, d’autres, nombreux, beaucoup moins. Ces personnes, souvent des jeunes, ont signalé mon post à Twitter ; j’étais accusée de "harcèlement", "d’appel à la violence sur mineure" – j’en passe et des meilleures.

    Tout le petit monde de la délation s’est mis en marche. Nous avons même reçu des menaces de "me casser la gueule" et une menace de mort par téléphone…

    Il est vrai que j’ai osé toucher à une icône. Une adolescente, une écolo, qui souffre d’autisme. Notre époque a les saintes qu’elle mérite. Dans une partie de la jeunesse française, en effet, jeunesse qui ne croit plus en grand-chose, le réchauffement climatique (bien réel, évidemment) et l’écologie sont devenus une nouvelle religion. Un dogme qui refuse tout débat, un dogme avec son clergé, ses rituels, ses grand-messes.

    Suite au flot de signalements et de dénonciations haineuses, et dans le contexte de la désastreuse loi Avia, défendue par le gouvernement, votée par le Parlement, loi qui instaure une censure généralisée sur la Toile, mon tweet a été supprimé. Et mon compte suspendu!

    Sur ce coup-là, je note que Twitter a été plus rapide que lorsque j’avais déposé plainte au commissariat de Béziers, le 8 juillet 2018 (procédure 2018/6218), car mon compte officiel de l’époque avait été piraté. J’attends toujours, plus d’un an après, la réponse de Twitter!

    J’ai donc dû, à l’époque, recréer un compte, perdant plus de 10 000 abonnés au passage, et je vais encore le faire après cette suspension, puisque Twitter me propose un véritable chantage: soit je supprime définitivement mon tweet sur Greta Thunberg et il apparaîtra sur mon fil que je reconnais "avoir enfreint les règles de la communauté", soit je fais appel et mon compte est totalement suspendu pendant l’examen dudit appel. Cela peut durer longtemps!

    Je ne veux pas céder. Toute ma vie a été consacrée à la défense des droits de l’homme et à la liberté d’expression. Ces choses-là sont trop précieuses pour notre démocratie. Le camp d’en face, l’autoproclamé "camp du Bien", grignote nos libertés peu à peu.

    Ne cédons plus un pouce de terrain. Sinon, nous serons effacés littéralement, aussi facilement qu’on efface une opinion non conforme sur les réseaux sociaux.

    https://www.bvoltaire.fr/lauto-proclame-camp-du-bien-grignote-nos-libertes-peu-a-peu/?mc_cid=6cdafd3bd9&mc_eid=3580e33982

     

     

  • CQFD

    Le racisme, c’est ne pas dire à une conne qu’elle est conne, parce qu’elle est noire

    Décidément, le prétendu combat antiraciste est un poison qui rend fou. Aux États-Unis, quatre pétasses, d’origine étrangère, dont deux islamistes, passent leur temps à insulter le président Trump, les États-Unis, les Blancs ou les Juifs, c’est selon. Elles sont soutenues par les médias et par le parti démocrate, dont elles sont les élues. Et quand le Président américain, au plus grand bonheur de son peuple, finit par leur dire ce que tout le monde pense, à savoir “si vous n’êtes pas bien aux États-Unis, retournez dans votre pays“, tout le monde lui tombe dessus, et le qualifie de "raciste". Cela n’empêche pas Trump d’avoir toute l’opinion publique américaine derrière lui, et de progresser encore dans les sondages.

    Quand Nicolas Dupont-Aignan, excédé par les exactions des supporters algériens, et leurs drapeaux, finit par leur dire que s’ils préfèrent l’Algérie, ils n’ont qu’à aller y vivre, il se fait insulter par le rappeur raciste de service, et menacer par SOS Racisme.

    Et à présent, tout le monde tombe sur Nadine Morano, et la qualifie de raciste. Son crime? Avoir parlé de Sibeth Ndiaye, porte-parole du gouvernement, qui venait, entre autres, de dire que nos compatriotes "mangeaient davantage de kebab que de homard"

    Naturellement, la lécheuse professionnelle Marlène Schiappa se devait de voler au secours de sa collègue, ce qu’elle fit avec le brio qu’on lui connaît…

    "Une coupe de cheveux sans coupe? Sérieusement, en 2019 on en est encore là quand une femme d’origine africaine ne lisse ou ne cache pas ses cheveux? Vive Sibeth Ndiaye, ses compétences, son panache, son parler-vrai, rôle modèle pour des milliers de filles“. Toujours aussi tarée, Marlène Schiappa !

    Le pâlot chef des députés LREM, Gilles Le Gendre, celui qui expliquait le mouvement des Gilets jaunes par le fait que le gouvernement aurait présenté son dossier de manière trop "intelligente" pour les cons de Français (je résume) exigeait des excuses de Nadine, et, tel un vulgaire militant de la Licra, la menaçait de procès. Et Darmanin, surnommé "Dard Malin", se sentait obligé de remettre cent balles.

    Grave erreur, car la Morano n’a pas sa langue dans la poche, et en remettait une bonne giclée à celui qui porte la trahison sur son visage, et qui demeure le seul élu de droite à avoir déposé plainte contre RL.

    Et, horreur pour les prétendus antiracistes, Zohra Bitan, une ancienne socialo, devenue Grande Gueule, par ailleurs souvent excellente, allait encore plus loin que la très méchante Nadine.

    Alors, bien sûr, comme à chaque fois qu’une Zorah Bitan, un Pascal Hilout, une Zineb El Rhazoui ou bien d’autres osent défendre la France contre les islamistes, on les qualifie d’Arabes de service. Houria Bouteldja avait même qualifié Pascal de "bougnoule de service", tandis que l’éléphantesque Tubiana l’avait accusé d’être raciste envers lui-même. (???!!!!!!!! MDR)

    Manifestement, avec Zohra, ce genre d’arguments ne tient pas longtemps. On se demande ce qu’une telle femme a bien pu foutre aussi longtemps au PS…

    Dans une période où les réseaux sociaux, complices du gouvernement, censurent à tour de bras les patriotes et les résistants, avant que la criminelle loi Avia ne complète le travail de censure contre la parole libre, il est bon de rappeler quelques évidences.

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    Ce n’est pas parce que Dominique Sopo est métis qu’on n’a pas le droit de lui dire qu’il est un homme haineux, qui, parce qu’il nie la réalité du racisme anti-Blanc, se fait le complice de toutes les agressions au faciès que subissent trop de nos compatriotes blancs, par des sympathiques membres de la diversité, que chérit tant le président de SOS Racisme.

     

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    Ce n’est pas parce Lætitia Avia est noire qu’on n’a pas le droit de lui dire qu’elle est haineuse, repoussante, moche, trop grosse, et qu’elle est, outre une femme effrayante, parce que capable de mordre un chauffeur de taxi, un remède à l’amour. Et surtout que la loi qu’elle prépare est digne d’une république bananière, et pas de la France.

    Et d’ajouter qu’en langage populaire, c’est un boudin bien peu appétissant.

    Ce n’est pas parce que Sibeth Ndiaye est noire qu’on n’a pas le droit de lui dire qu’elle fait honte à la France, et se comporte davantage en Africaine musulmane qu’en Française d’origine africaine parfaitement intégrée. Et d’ajouter, comme l’ont fait Nadine et Zohra, qu’elle multiplie les provocations contre la France, et n’a rien à faire dans notre pays, et encore moins comme porte-parole d’un gouvernement dont elle méprise le pays et les habitants.

    Et d’ajouter qu’elle manque quelque peu de charme, et qu’elle aurait le droit, à son âge, de perdre 20 kilos, en découvrant la gastronomie française, au lieu de se bourrer de kebab et de pop corn.

    Ce n’est pas parce que Houria Bouteldja est arabe et musulmane qu’on n’a pas le droit de la qualifier de raciste haineuse, obnubilée par les Blancs et les Juifs.

    Ni de se marrer, quand la LDJ s’occupe de son cas…

    On ne voit pas pourquoi on ne pourrait pas tailler régulièrement, au nom de la liberté d’expression, des costards, ô combien mérités, à la délatrice-fellatrice Marlène Schiappa, à la Nicole Belloubet, à Clémentine Autain, et à tant d’autres têtes à claques, qui sont blanches et surtout dégénérées, et ne pas tailler les mêmes costards à des Africaines haineuses et racistes, sous le prétexte qu’elles sont noires, et donc intouchables, comme des (grosses) vaches sacrées.

    Traiter une femme de conne parce qu’elle est noire, c’est du racisme.

    Mais ne pas qualifier une conne de conne parce qu’elle est noire ou arabe, c’est aussi du racisme.

    Conclusion: ceux qui veulent interdire à Trump de dire à quatre pouffiasses de la diversité de rentrer dans leur pays si elle  ne sont pas contentes de vivre aux États-Unis, parce qu’elles sont femmes et immigrées, sont bien des racistes.

    Ceux qui allument Dominique Sopo, Lætitia Avia, Sibeth Ndiaye, Houria Bouteldja comme Marlène Schiappa, Nicole Belloubet ou Clémentine Autain ne sont pas racistes, puisqu’ils respectent le même traitement à des personnes qu’ils jugent stupides et haïssables, quelle que soit la couleur de leur peau.

    Ceux qui veulent interdire à Nadine Morano d’allumer Sibeth Ndiaye parce qu’elle est noire sont les pires racistes.

    Et comme nous, le racisme est aux antipodes de nos valeurs, faites-nous confiance pour allumer comme il le convient tous les fossoyeurs de notre France, quelle que soit la couleur de leur peau, même quand elle est noire…

    https://ripostelaique.com/le-racisme-cest-ne-pas-dire-a-une-conne-quelle-est-conne-parce-quelle-est-noire.html