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Opinions - Page 87

  • Au lieu de se faire apprécier…

    on va les exécrer tellement que ça finira mal, très, très mal! La coupe est -déjà- archi-pleine

     

    G-B : elle veut vandaliser une fresque en hommage aux étudiants morts durant la 1ère Guerre parce qu’ils sont tous blancs

    La présidente des étudiants de l’Université de Southampton (G-B) a exigé la destruction d’une fresque murale commémorant les étudiants qui sont morts au combat pendant la Première Guerre mondiale, car les hommes représentés sont tous “blancs“.

    Emily Dawes, la présidente de l’Union des étudiants de l’Université de Southampton, a juré de vandaliser le mémorial à moins qu’il ne soit démoli.

    La fresque, exposée au cœur du campus de l’université, représente des soldats tombés au champ d’honneur – qui étaient étudiants avant de partir combattre pendant la Grande Guerre – en train d’obtenir les diplômes qu’ils auraient du recevoir.

    “Croyez-moi, nous enlèverons la fresque murale d’hommes blancs même si je dois la repeindre moi-même“», a déclaré Mme Dawes sur son compte Twitter.

    Mais, il faut l'enfermer jusqu'à la fin de ses jours, cette con….se

    Plus tard, elle a ajouté: “En tant que Blancs, nous sommes tellement ignorants et fermés d’esprit sans même nous en rendre compte. Écoutez vos amis/collègues/étudiants noirs et demandez leur comment vous pouvez être l’allié qu’ils souhaitent !!!!!!!"

    Le syndicat étudiant s’est excusé pour ses commentaires, mais n’a pas supprimé le message original de Twitter. Le site Web de l’université indique que la murale Rothenstein, qui se trouve dans la salle du Sénat du campus Highfield, a été peinte en 1916 “en souvenir des membres des universités britanniques ayant servi pendant la Grande Guerre“.

     

  • Taxes nouvelles:

    Sport nationale des débiles (édiles) de la république

    L’État français pond par kilo des taxes, lois, réglementations et impôts sur tous les sujets et toutes les activités.

    Sauriez-vous me citer tous les impôts et taxes que compte la France? Je pense que même si vous posiez la question à un énarque il se trouverait dans l’incapacité de vous répondre. Pour la simple et bonne raison que la France en compte quasiment autant qu’elle compte de fromages.

    Connaissez-vous par exemple la taxe sur les sources? Ou celle sur les essieux? Ou bien encore celle sur les pylônes électriques? Toutes ces petites taxes qui s’appliquent à des professions ou des villes très particulières. Elles sont le plus souvent le fruit d’une histoire, d’un fait qui n’a jamais été revu depuis.

    Prenons l’exemple de la taxe farine dont l’abrogation fait l’objet de débats depuis 2016. Instaurée en 1962, elle vise à taxer à hauteur de 15,23€ la tonne de farine produite en France ou dans un pays de l’UE et à destination de la consommation humaine. Son côté anachronique a d’ailleurs une répercussion majeure: les gens n’en connaissent même pas l’existence et ne s’acquittent donc pas de cette taxe.

    Le traçage des arrivées de farine est d’ailleurs un casse-tête pour les douanes. La conséquence directe est donc un coût de collecte disproportionné par rapport au montant récupéré in fine. Il en va de même pour de nombreuses autres taxes dont Bercy prévoit la suppression dans les années à venir.

    Taxe sur l’industrie pornographique

    Saviez-vous qu’il existe en France une taxe sur l’industrie pornographique et que le montant annuel collecté atteint le niveau faramineux de 120.000€? Symbole de la faillite de cet État mammouth, ce dernier n’est même plus capable d’équilibrer le prélèvement de certaines taxes.

    Alors que l’impôt porte en lui le vice immuable de la création de mauvais incentives, nous franchissons ici un niveau supérieur. L’État ne peut plus suivre l’inflation de normes, de taxes et d’impôts imposée par les Parlementaires. Alors que certains textes devraient être revus et au mieux amendés, voire annulés, nos représentants s’attèlent à en créer toujours davantage.

    Nous avons d’ailleurs l’impression que le nombre de lois votées est devenu le critère le plus pertinent pour juger de l’action d’un président. J’ai ainsi vu passer sur Twitter une infographie qui montrait que “seules” 56 lois avaient été votées au bout d’un an de présidence d’Emmanuel Macron, moins que sous Nicolas Sarkozy et François Hollande.

    Depuis quand est-ce que le nombre de lois votées est devenu un critère de jugement de l’action d’un président?

    Le poids de toutes ces lois, taxes et impôts écrase les Français. Alors qu’il devrait se concentrer sur ses fonctions régaliennes, l’État français papillonne et pond par kilo des taxes, lois, réglementations et impôts sur tous les sujets et toutes les activités.

    Face à cette situation ubuesque, symbolisée par ces taxes inutiles, ne serait-il pas enfin temps " d’arrêter d’emmerder les Français "?

    Une nouvelle taxe, baptisée avec poésie Taxe Spéciale d’Équipement Régional.

    Cette taxe sera incluse dans le prochain projet de loi de Finances pour 2017; au passage, on ne s’étonnera pas que la France dispose bien d’une loi de Finances même si cela paraît pour ce pays aussi incongru qu’une loi pour la gestion des puits de pétrole en Suisse. Selon les petits calculs de Bercy, cette taxe ne supportera apparemment pas d’effet Laffer et devrait donc rapporter 600 millions d’euros.

    Le but de cette taxe est de créer un nouvel abondement aux finances des Régions pour financer le soutien aux TPE-PME et plus généralement l’accompagnement économique qui échoit à ces entités alors que ces sujets étaient naguère à la charge des départements. Simplification administrative, réforme territoriale et découpage régional sont passés par là valls minipour ajouter quelques couches au mille-feuille administratif et y redistribuer les incompétences au frais du contribuable.

    Cette nouvelle taxe sera collectée auprès des ménages (dont la trésorerie est au plus haut) et des entreprises (qui, bien sûr, ne reporteront pas cette nouvelle ponction sur leurs prix payés in fine par les ménages, dont la trésorerie est au plus haut, doit-on le rappeler). On s’attend déjà à un succès retentissant, autant sur le plan économique que politique.

    Maintenant, la vraie question, la seule qui vaille et que nos gouvernants se posent avec insistance et componction, est de savoir si cette nouvelle taxe sera suffisante.

    Je vous rappelle que le but est de fusiller remonter le moral des ménages, pas trop haut actuellement. S’arrêter en si bon chemin taxatoire est peut-être une erreur. Taxer un coup de plus avec fermeté serait peut-être faire preuve de gourmandise. Un juste milieu doit être trouvé et à défaut de créer une nouvelle taxe ex nihilo, rien n’empêche de remanier de fonds en combles une ou plusieurs taxes existantes.

    C’est précisément ce qui est proposé avec l’idée d’augmenter un peu la taxe soda.

    Pour ceux qui n’auraient pas suivi les épisodes précédents, rappelons que le gouvernement français, n’ayant aucun scrupule à bobarder le peuple qui l’a placé là, entend lui faire croire qu’en taxant les sodas, il pourra lutter contre l’obésité (tout comme la taxation des cigarettes a permis la disparition des fumeurs, et la taxation du travail, la disparition des empl… oups pardon je m’égare). Accessoirement, n’oublions pas qu’en taxant ce que les gens achètent, on rapporte un peu plus de sous-sous dans la popoche de l’État qui en manque cruellement (par définition). En conséquence, depuis 2012 et sous Sarkozy, les sodas français participent à la lutte contre l’obésité non je blague à la lutte contre l’amaigrissement étatique.

    Selon un rapport parlementaire, la taxe mériterait d’être augmentée. Représentant en effet seulement 2,51 centimes par canette de 33 centilitres, il y a certainement moyen de faire cracher un peu plus au bassinet ce gros richard de consommateur, en la faisant passer à 4,6 centimes par canette. Au passage, le même rapport envisage d’augmenter la taxe sur les barres chocolatées ou de surtaxer tous les produits sucrés qui dépassent un seuil prédéfini. Et pour mettre un peu de vaseline autour de la mesure qu’on pressent impopulaire, le rapport préconise d’en profiter pour supprimer quelques autres taxes alimentaires pour faire bonne mesure.

    L’objectif affiché par cette manœuvre serait la simplification fiscale en supprimant d’autres taxes et en les concentrant sur un nombre restreint de produits. Il faut dire que, comme d’habitude en France en matière de fiscalité, la tuyauterie chromée aux multiples tubulures tintinnabulantes que Bercy a mis en place sur les produits alimentaires peut déclencher des cauchemars chez la plupart des contribuables normalement constitués: une demi-douzaine de tarifs différents pour les huiles, des modalités invraisemblables pour le chocolat suivant son poids ou sa taille, des taxes sur des produits locaux ou dont le bénéfice sanitaire par rapport à d’autres, moins taxés, est connu, la liste est longue, les tubes multiples, les petits boutons et les leviers nombreux.

    Bref, l’idée serait d’élaguer vigoureusement ce foisonnement, de cogner de façon plus forte et plus précise sur les sodas, et, en définitive, de parier sur la capacité de nos parlementaires d’abord, puis de l’administration fiscale ensuite, à fournir un ensemble de textes lisibles, concis et applicables rapidement.

    Vous avez bien lu: nos députés et l’administration derrière entendent nous faire croire qu’ils vont remplacer une myriade de taxes qui rapportent malgré tout des douzaines de millions d’euros à l’État par une simple augmentation de l’une d’entre elles, parvenant ainsi à une simplification fiscale effective.

    C’est bien sûr totalement grotesque.

    Tout comme la nouvelle Taxe Régionale Spéciale d’Élargissement de Sphincters au Tractopelle, cette Augmentation Simplificatrice de la Taxe Soda se terminera en usine à gaz mortels pour le contribuable et les entreprises chargées d’une façon ou d’une autre de la collecter.

    Décidément, le changement n’est pas pour maintenant, et tout comme l’austérité qui n’a jamais eu lieu en France, la simplification administrative, fiscale ou taxatoire est une chimère, et la pause fiscale n’a jamais autant ressemblé à un air de flûtiau joué en distorsion sur des amplis de plusieurs mégawatts.

    Cette nouvelle taxe exceptionnelle sur les grandes entreprises que le gouvernement envisage de créer pour résoudre un enquiquinant problème de trésorerie?

    Le problème est d’autant plus enquiquinant qu’il est directement issu d’un récent jugement de la Cour de justice de l’Union européenne. Cette dernière, saisie par l’Association française des entreprises privées et une vingtaine de grands groupes, a en effet jugé que la taxe à 3% sur les dividendes des grandes entreprises, mise en place par la fine équipe du président Hollande, revenait bien à une double imposition des grandes sociétés multinationales et qu’elle contrevenait donc à l’article 4 de la directive européenne sur les sociétés mères et leurs filiales.

    Or, cette juteuse (mais illégale) ponction fiscale rapportait 2 milliards d’euros par an. Retoqué, l’État français va donc devoir trouver, rapidement, de quoi remplir son budget puisque tout le monde sait qu’il lui est absolument impossible de réduire ses dépenses à hauteur de ses ponctions illégales; son obésité morbide ne sera pas combattue, pas plus en Macronie qu’en Socialie hollandesque, je vous rassure.

    Et qui mieux que ceux qui se faisaient taxer illégalement pour abonder à nouveau au tonneau des Danaïdes? Puisqu’on ne peut pas vous taxer le fondement par vos dividendes, on va le faire via la contribution sociale de solidarité des sociétés, pardi! Et tant pis si la légalité de cette magnifique opération de taxe temporaire (forcément temporaire) "Sois Solidaire Et Tais-Toi" ressemble à s’y méprendre à la légalité de la précédente opération "Par Ici La Bonne Taxe Sur Les Dividendes": on a gagné trois ou quatre nouvelles années.

    Ce petit tour de passe-passe, parfaitement inique et qui évite, encore une fois, toute remise en question au niveau de l’État et de ses sicaires fiscaux, permettra évidemment de résoudre le problème budgétaire en tabassant derechef ceux qui se faisaient tabasser: histoire de varier, le fisc frappera sur la joue droite après la joue gauche. Subtil.

    Bien évidemment, la réussite flamboyante d’une telle mesure (en termes d’emplois, en termes d’incitation entrepreneuriale, et même en termes de rentrées fiscales – un comble) est à prévoir.

    Enfin, il serait dommage de clore le sujet des taxes rigolotes et si singulièrement efficaces sans évoquer un nouveau cas particulier de taxe individuelle tout à fait pertinente et judicieuse.

    L’histoire a été éventée par l’Est Républicain qui relate dans une récente édition la délicieuse aventure taxatoire vécue par Francisco Castano. Ce dernier, qui avait installé une petite serre artisanale de 6 m² (quelques planches et quelques pièces de film plastique) au dessus des dix pieds de tomates plantés dans son jardin, a eu l’idée réellement lumineuse (et, reconnaissons-le, remarquablement honnête et citoyenne) de déclarer cette serre à sa municipalité. Municipalité qui s’est empressée de taxer l’impétrant: 168 euros seront à payer, dont 126 pour la part communale et 42 pour la part départementale, soit 28 euros du mètre carré de serre artisanale, ou presque 17 euros par plant de tomates.

    Même en admettant une vigoureuse production de plusieurs kilos de tomates, notre contribuable aura bien du mal à rentabiliser ses salades estivales, bios ou non.

    Cette mésaventure, qui a pas mal tourné sur les réseaux sociaux, illustre à merveille toute la logique étatique et l’aptitude de l’administration de ne surtout pas s’adapter aux cas concrets qui lui sont fournis, écrasant ainsi les citoyens et les entreprises, petites ou grandes, dans le même égalitarisme fiscal aux résultats collatéraux toujours plus amusants.

    Ainsi, il est peu probable que cet épisode favorise l’honnêteté future des citoyens. Ceux qui auraient eu des velléités de déclarations savent à présent qu’ils seront, eux aussi, sauvagement taxés, sans la moindre marge de manœuvre. Les rentrées fiscales correspondantes disparaîtront donc petit à petit.

    Ainsi, il est peu probable même que ces citoyens se tracassent à construire quoi que ce soit de visible qui pourrait attirer l’œil des voisins (la dénonciation fiscale étant un sport national couru) ou du fisc. Les achats et investissements correspondants disparaîtront donc petit à petit.

    Ainsi, il est même possible que ceux qui voulaient se lancer dans le potager y réfléchiront à deux fois, notamment si l’on doit rajouter les taxes et contrôles sur la récupération de l’eau de pluie et autres misères potentielles que l’administration fiscale ne manquera pas de trouver. Potager qui pouvait entraîner commerce et socialisation avec les voisins, voire déclencher des vocations ou des économies sur le budget familial. Tout ceci disparaîtra là encore petit à petit.

    En somme, les gens honnêtes sont invités à ne plus rien faire, ou à verser dans l’illégal ou cette zone grise loin des doigts prédateurs de Bercy.

    Pas de doute, ces taxes, comme solution à tous les problèmes, c’est une excellente idée, un magnifique projet de société, et un avenir évidemment florissant qui se profile à l’horizon!

    Plusieurs articles de Contrepoints.org

  • On se rebiffe! ENFIN!

     

    Il a raison, De Villiers: la résistance commence à monter du pays profond qu'on a enchaîné. Fini, tout cela!

    Bobos gauchiasse, tremblez les mecs!.....

     

    Locaux de SOS Méditerranée envahis: 56 personnalités demandent l’abandon des poursuites

    Le 7 octobre, des membres de Génération identitaire ont brièvement envahi les locaux de l’association d’aide aux migrants SOS Méditerranée, déployant une banderole dénonçant l’aide aux clandestins apportée par l’ONG. Une opération qui a valu à 22 d’entre eux d’être immédiatement arrêtés par les forces de l’ordre et d’être mis en examen pour “violences en réuni ", "séquestration",  participation à un groupement en vue de commettre des violences  et  enregistrement et diffusion d’images violentes ". Aujourd’hui, 56 personnalités, parmi lesquelles l’ex-ministre Thierry Mariani, le maire de Béziers Robert Ménard ou encore l’élu de Paris Charles Beigbeder, cosignent un appel à abandonner les poursuites contre les membres de Génération identitaire.

    Tribune signée par: Louis Aliot, Député RN des Pyrénées-Orientales; Marie-Christine Arnautu, Députée Européen du RN; Viktor Auber, Président Académia Christiana; Wilfried Baron, Responsable départemental des Jeunes LR de la Nièvre; Charles Beigbeder, Entrepreneur et élu de Paris, Président de la fondation " Le Pont Neuf"; Guillaume Bernard, Historien de droit, Politologue; Stéphanie Bignon, Présidente de Terre et Famille; Jacques Bompard, Maire d’Orange (Ligue du Sud); Marie-Claude Bompard, Maire de Bollène (Ligue du Sud); Yann Bompard, Conseiller départemental de Vaucluse (Ligue du Sud); François Bousquet , Rédacteur en chef de la revue Eléments, Gérant de " La nouvelle librairie"; Christine Boutin, Ancienne ministre, membre honoraire du Parlement; Claude Chollet, Président de l’Observatoire des journalistes et de l’information médiatique; Thibaud Collin, Philosophe et essayiste; Paul-Marie Couteaux, Haut fonctionnaire, essayiste et homme politique français; Alain de Benoist, Philosophe et essayiste; Jacques de Guillebon, Essayiste, directeur de la rédaction de L’incorrect; Florent de Kersauson, Président fondateur de Nestadio Capital; Quentin de Lacoste, Porte Parole de Racines d’Avenir (LR); Guillaume de Thieulloy, Politologue; François de Voyer, Président de " Audace"; Charles de Williencourt, Responsable Jeunes de l’Avant Garde; Thierry Devige, Secrétaire général de " Audace"; Aymeric du Chambon, Responsable jeunes de la Vienne du parti Chrétien-Démocrate; Cédric Dudieuzère, Adjoint à la mairie du 7ème secteur de Marseille, RN; Xavier Fruleux, Conseiller départemental de Vaucluse (Ligue du Sud); Marie-Thérèse Galmard, Conseiller départemental de Vaucluse (Ligue du Sud); Emmanuelle Gave, Directrice de l’Institut des Libertés, candidate aux Européennes 2019 sur la liste des Amoureux de la France; Charles Gave, Economiste, financier, écrivain et entrepreneur français; Vivien Hoch, Docteur en philosophie et entrepreneur; Sébastien Jallamion, Président de l’association " Andèle ", écrivain; Michel Janva, Rédacteur en chef du site " Le salon beige"; Patrick Jardin, Père de Nathalie Jardin, tuée par des terroristes islamistes au Bataclan; Baptiste Laroche, Porte-parole des jeunes du parti Chrétien-Démocrate; Christelle Lechevalier, Députée Européen du RN; Rémi Ledoux, Délégué Jeunes LR 8e circonscription du Pas-de-Calais; Quentin Limongi, Président de la " Cocarde Étudiante"; Marie-France Lorho, Députée (Ligue du sud); Thierry Mariani, Ancien ministre, Membre honoraire du Parlement (LR); Barbara Mazières, Présidente du cercle Anjou conférence; Emmanuelle Ménard, Députée de l’Hérault; Robert Ménard, Maire de Béziers; Jean Messiha, Haut-fonctionnaire; Charles Millon, Ancien ministre de la Défense, Président de " L’Avant-Garde"; Paul Nafilyan, Avocat au Barreau de Paris; Frédéric Pichon, Avocat au Barreau de Paris; Joseph Poidevin, Secrétaire général des jeunes du parti Chrétien-Démocrate; Jean-Frédéric Poisson, Président du Parti Chrétien-Démocrate; Stéphane Ravier, Sénateur RN; Julien Rochedy, Ancien président du FNJ, entrepreneur; Jean Servin, Président des jeunes du Parti Chrétien-Démocrate; Erik Tegner, Président de Racine D’avenir (LR); Mylène Troszczynski, Députée Européen (RN); Christian Vanneste, Député honoraire du Nord, Président du RPF et de La Droite Libre.

    www.valeursactuelles.com

    Je fais donc la 57e

  • 1 livre

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  • Climato-sceptique: yeeeeessssss!

    La prédiction climatologique sert bien les médias

    Le premier n’est pas scientifique, mais concerne plutôt le traitement médiatique et politique du sujet. Il faut savoir qu’il existe une énorme distance entre ce que vous entendez dans les médias et ce que contiennent réellement les différents rapports du GIEC (je parle de la partie scientifique, et non le " résumé pour décideurs ", qui est un document politique, et le seul réellement lu).

    Alors que Le Figaro publie un article agrémenté de photos trafiquées du Mont St Michel entouré de palmiers, il faut savoir que la position officielle du GIEC, finalement assez prudente, consiste seulement à affirmer que les émissions de CO2 d’origine humaine devraient provoquer un accroissement de température moyenne de surface de la Terre compris entre 1,5°C et 4,5°C à l’horizon 2100 par rapport à la période pré-industrielle. On voit donc l’incertitude énorme qui règne. Par exemple, si on prend la fourchette basse (et il y aurait de bonnes raisons à cela, cf. la suite), cela voudrait dire environ +0,5°C en 2100 par rapport à aujourd’hui. Pas de quoi fouetter un chat. Il est d’ailleurs remarquable que la même imprécision régnait déjà à mon époque en 2001 et que rien ne s’est amélioré depuis.

    Par ailleurs, le GIEC est bien incapable de projeter quoi que ce soit de crédible à des échelles régionales (vous pouvez donc oublier les palmiers au Mont St Michel), ni de démontrer un quelconque impact négatif de ce changement hypothétique, que ce soit en termes d’accroissement d’événements extrêmes, de montée des eaux, d’agriculture, etc. Il faut bien garder à l’esprit que tous ces impacts supposés sont essentiellement de la fabrication médiatique élaborée à partir de simples "possibilités" évoquées dans la partie scientifique des rapports du GIEC, mais certainement pas démontrées et encore moins observées pour le moment.

    Concernant les autres points, scientifiques cette fois, en voici un résumé :

    Le climat a commencé à se réchauffer à partir de la fin du XVIIe siècle (sortie du "petit âge glaciaire"), bien avant les émissions de CO2 par les énergies fossiles. Le réchauffement observé actuellement ne montre pas d’anomalie particulière par rapport à l’historique des 3 derniers siècles, qui a connu des accélérations et des ralentissements importants. Une première forte accélération a eu lieu au début du XVIIIe, et une deuxième au début du XXe (toutes deux alors que le CO2 d’origine humaine ne pouvait pas être blâmé). Une troisième a repris vers 1980, avec une tendance actuelle observée d’environ +0,13°C/décade, qui reste sensiblement plus faible que les prédictions.

    L’accroissement du CO2 atmosphérique n’a eu pour l’instant – dans le monde réel et non celui des modèles — que des effets positifs : verdissement généralisé de la planète, accroissement massif de la productivité agricole.

    L’impact du CO2 d’origine humaine sur l’énergie entrante dans le système climatique (le fameux "effet de serre anthropique") n’est que de 1 à 2 % du total des flux énergétiques, qui sont eux-mêmes connus avec une précision bien moindre que 1 à 2 %. Il est donc impossible de savoir si l’impact du CO2 n’est pas noyé dans des facteurs plus importants que l’on ne maîtrise pas.

    Les modèles numériques de climat – qui, je le rappelle, constituent l’unique base sur laquelle se fondent les prédictions apocalyptiques dont on nous abreuve — affichent en moyenne une sensibilité à l’accroissement du CO2 au minimum du double de la réalité observée jusqu’à maintenant. Dit autrement, cela signifie que l’on peut au minimum diviser par 2 les projections de température données par le GIEC.

    Plus grave encore, les modèles de climat sont par construction incapables de reproduire la variabilité naturelle de long terme du climat, qui est pourtant massive. On aboutit donc au raisonnement circulaire suivant : on construit un modèle complètement irréaliste dont le climat est stable par construction, on le perturbe par du CO2 d’origine humaine, le modèle réchauffe, et on utilise cela comme preuve que le CO2 d’origine humaine est le seul facteur pouvant expliquer le réchauffement du climat !

    Où est la fonte des glaces?

    Dans les observations réelles, il n’y a pour l’instant nulle trace des prédictions apocalyptiques qui nous sont données à longueur de médias : pas d’accroissement statistique des canicules, ni des tempêtes, ni des ouragans, ni des inondations, ni des sécheresses, ni des incendies de forêts, ni du niveau de la mer à un rythme anormal (le rythme de montée est stable depuis le XIXe siècle).

    La glace arctique a pas mal diminué depuis plusieurs années, mais elle était à un niveau bien plus faible encore il y a 1000 et 2000 ans, et ce sans intervention humaine. Par ailleurs les prédictions sur la fin des ours polaires (médiatisées par Al Gore et son " inconvenient movie ") ne se vérifient absolument pas : ils s’adaptent très bien.

    À l’opposé, l’Antarctique est très stable, et a même atteint un record de couverture de glace en 2016 (à noter que ce contraste Arctique/Antarctique est un autre élément que les modèles de climat sont totalement incapables d’expliquer)

    L’acidification des océans par le CO2 est très faible et ne détruit pas la vie marine (il se pourrait même que le CO2 soit bénéfique, comme pour les plantes terrestres)

    Comme on le voit, le climato-scepticisme ne consiste pas à nier un réchauffement ou nier un fait quel qu’il soit. Au contraire, il se base sur une analyse sans complaisance des faits et un rejet des spéculations non fondées, notamment issues de la modélisation numérique, qui est le principal talon d’Achille de l’ensemble.

    Comme le dit Roy Spencer, "des affirmations extraordinaires nécessitent des preuves extraordinaires". Et l’extraordinaire des affirmations se situe du côté du GIEC, pas du côté des sceptiques. Quant à l’extraordinaire des preuves, on attend toujours.

    Toute critique est sceptique

    Enfin, il faut noter que toute réponse politique à ce sujet se doit de prendre en compte tous les aspects, négatifs comme positifs, pour pouvoir faire une véritable analyse coût/bénéfice de toute mesure qui serait prise. Il va de soi que l’alarmisme actuel passe totalement à côté de ce simple bon sens.

    Pour finir, je réalise qu’après un tel spoiler, beaucoup pourraient être découragés d’acheter et de lire ce livre. J’espère que ce ne sera pas le cas, car d’une part il n’est pas cher et relativement court, et d’autre part il développe tous ces arguments de manière bien plus claire et complète que je ne puis le faire ici.

    Il vous fournira également les armes intellectuelles indispensables pour ne plus tomber dans le panneau de l’alarmisme obligatoire que l’on nous sert chaque jour dans un seul but : nous taxer et nous contrôler toujours plus pour un " bien commun " qui n’en a que le nom.

    Par Bruno Spagnoli

    Après des études scientifiques (Ecole Polytechnique, doctorat) et plusieurs années dans la finance de marché, Bruno Spagnoli est devenu entrepreneur en 2013. Passionné depuis longtemps par les questions de philosophie politique et d'économie, il se définit comme un libéral-conservateur.

    Pourtant, tout le monde sait que les ours polaires sont en danger extrême, eux qui sont passés d’une grosse population de 5 000 individus en 1950 à une petite poignée de 20 000 ours en 2012 (et le comptage en cours actuellement pourrait aboutir à une dégringolade catastrophique autour de 27 000 à 32 000 ours polaires).

    Pourtant, tout le monde sait que la Terre perd chaque jour des milliards d’hectares de forêts et que non, non, elle ne verdit pas, voyons enfin.

    Pourtant, tout le monde sait que les catastrophes naturelles font évidemment des victimes de plus en plus nombreuses puisqu’on est passé de seulement 210 000 en 1950 à presque 70 000 en 2010 soit une baisse de 67 % en 60 ans (alors que la population mondiale a triplé) ce qui est le signe clair que la situation empire, n’est-ce pas.

    Et quand bien même le rapport du GIEC de 2014 indiquait qu’il n’y a pas eu d’augmentation de tempêtes, de tornades, d’inondations ou de sécheresse depuis 30 ans, il est impossible de nier que les catastrophes climatiques sont toujours plus coûteuses puisqu’en rapport avec le PIB mondial et depuis 1990, les pertes économiques liées aux catastrophes naturelles ont diminué de 17%! C’est scandaleux!

    Devant ces évidences pourtant évidentes, ces dangers toujours plus prégnants, la liste des hystéries réchauffistes actions conscientisées s’agrandit heureusement chaque jour.

    Allez, remuez-vous le popotin: allez manifester pour la planète comme ces jours-ci!

    contrepoints.org

  • Blague du jour!

    Le pouvoir d’achat va se redresser sur un rythme jamais atteint !

    C’est un moment, “7e compagnie".

    Nicolas Beytout, directeur du journal L’Opinion, donne son avis sur l’actualité de la semaine et pour lui, les nouvelles sont excellentes, la conjoncture merveilleuse, et tout va mieux que bien.

    Tellement bien que les pauvres couillons sans doute un peu abrutis que vous êtes (il faut dire que vous passez votre temps à vous plaindre et à ne pas savoir traverser les rues) ne se rendent même pas compte que leur pouvoir d’achat augmente.

    Oui, oui.

    Ça augmente.

    Peut-être le salaire du Beytout, mais pour vous, c’est wallou, (c’était pour les rimes).

    Accrochez-vous, en dessous, vous avez le lien pour aller écouter cette lumière fayote de l’action de notre Jupiterminé de l’Élysée. Voilà ce qu’il dit:

    "Après un premier semestre décevant, la croissance va rebondir au deuxième semestre pour atteindre 1,6% au total. Après la baisse du pouvoir d’achat au premier semestre, celui-ci va nettement se redresser au deuxième semestre, et sur un rythme jamais atteint".

    Et de préciser: "Alors ce que je regrette, c’est que ces bonnes nouvelles ne perfusent pas, comme on dit. Prenons l’exemple du pouvoir d’achat. L’Insee explique que le fort rebond du pouvoir d’achat en cette fin d’année n’aura pas tous les effets escomptés. Pourquoi? Parce que le déclencheur psychologique n’est pas là.

    Tout le monde a en tête que le pouvoir d’achat a baissé au premier semestre. Et c’est vrai. Mais personne n’a encore vraiment intégré qu’il doit progresser cet automne, avec la baisse des cotisations salariales, et la suppression d’une partie de la taxe d’habitation. Et donc, malgré l’inflation, malgré la hausse de nombreuses petites taxes, ce qu’il restera dans la poche des Français sera plus important que ce que chacun d’entre nous anticipe. Anticipation, c’est le mot-clé. Et comme les Français n’ont pas intégré cette hausse de leur pouvoir d’achat qui est en train d’arriver, ils n’ont pas l’intention de desserrer les cordons de leur bourse, pas l’intention de consommer davantage. Or, ce moteur de la consommation, c’est plus de 50 % de la performance de notre économie. Une consommation plate, atone, sans relief, c’est une croissance décevante".

    Et comment est-ce que cette anticipation peut être corrigée ?

    "Alors, on peut toujours espérer que les Français, qui se plaignent trop comme vient de le dire Emmanuel Macron, arrêtent de geindre, etc.".

    Voilà, c’était le moment 7e compagnie, car, comme le dit l’excellentissime voix off dans le générique du film La 7e compagnie, "les hommes de la 7e compagnie sur le terrain avaient, eux, une appréciation quelque peu différente de la réalité"…

    Beytout et le président voient le pouvoir d’achat en hausse. Nous, nous voyons que des porte-monnaie qui se "vidoient" et des soldes de comptes qui rougeoient.

    Charles SANNAT