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Opinions - Page 90

  • Gj: Comment “ils“ se payent votre tête!

    Le CNC divise par 3 ses aides pour la restauration des films anciens: aides du fonds "images de la diversité": +65% en 2018)

    Rififi et embrouillamini dans la restauration cinématographique. Le Centre national du cinéma et de l’image animée (CNC) (NDR: financé par le Ministère de la Culture) se voit contraint, pour des raisons budgétaires, de réduire drastiquement les aides qu’il accordait, depuis 2012, à la numérisation des films de "patrimoine", ceux dont la sortie en salle est antérieure à dix ans. L’établissement public espérait que sa solution pour atténuer ce manque à gagner – un recours au mécénat avec la bénédiction de Bercy – allait séduire. Or, il n’en n’est rien. (…)

    Dans toute la filière, chacun se désole évidemment du tarissement de la manne des 64,5 millions d’euros qui a permis de numériser 1123 films. Les aides, qui étaient de 9 millions d’euros en 2018, vont tomber à 2,8 millions par an jusqu’en 2021.

    Mis en place en 2007, la Commission Images de la diversité a été créée auprès de l’Agence nationale pour la cohésion sociale et l’égalité des chances et du Centre national du cinéma et de l’image animée (CNC).

    Le Fonds Images de la diversité a pour objectif de soutenir la création et la diffusion des œuvres cinématographiques, audiovisuelles, multimédia ou de jeux vidéo contribuant à donner une représentation plus fidèle de la réalité française et de ses composantes et à écrire une histoire commune de l’ensemble de la population française autour des valeurs de la République, et favorisant l’émergence de nouvelles formes d’écritures et de nouveaux talents, issus notamment des quartiers prioritaires de la politique de la ville.

    Pour répondre à ces objectifs, la commission images de la diversité soutient la création, la production et la diffusion d’œuvres cinématographiques, audiovisuelles, multimédias et de jeux vidéo dont l’action se situe principalement en France et qui:

    Représentent l’ensemble des populations immigrées, issues de l’immigration et ultramarines qui composent la société française, et notamment celles qui résident dans les quartiers prioritaires de la politique de la ville ;

    Représentent les réalités actuelles, l’histoire et la mémoire, en France, des populations immigrées ou issues de l’immigration, ainsi que des populations ultramarines et des quartiers prioritaires de la politique de la ville situés en territoire urbain ;

    Concourent à l’égalité entre les femmes et les hommes, à la politique d’intégration et à la lutte  contre les discriminations dont sont victimes les habitants des quartiers défavorisés, notamment celles liées au lieu de résidence et à l’origine réelle ou supposée ;

    Contribuent à la reconnaissance et à la valorisation de l’histoire, du patrimoine et de la mémoire des quartiers de la politique de la ville.

    Les subventions versées dans le cadre de ce fonds " images de la diversité " sont passées de 666000 € en 2017 à 1086000€ en 2018 (+63%)

    Composition de la commission

    Président: M. Reda Kateb, acteur

    1ER COLLÈGE

    Vice-Président: Chad Chenouga, comédien, scénariste et réalisateur

    Titulaires:

    Xiaoxing Cheng, réalisateur

    Alice Diop, réalisatrice

    Alexandre Gavras, producteur (KG Production)

    Isabella Pisani, directrice des achats et coproductions documentaires (LCP- AN)

    Mathilde Le Ricque, directrice de l’association Mille Visages

    2ÈME COLLÈGE

    Vice-Présidente: France Zobda, productrice (Eloa Prod)

    Titulaires:

    Pascal Blanchard, historien et documentariste

    Pierre Cattan, producteur (Studio Small Bang)

    Hakim Jemili, humoriste, auteur, comédien

    Olivier Wotling, directeur fiction (ARTE)

    Edouard Zambeaux, journaliste et réalisateur

    Liste des "œuvres" ayant reçu une subvention de la part du CNC dans le cadre du fonds "images de la diversité" depuis 3 ans:

    Le Monde - 22/01/2019

     

     

  • Pas loin de chez moi, la maire de Montauban Brigitte BAREGES

    (Montauban? moins de 50 km de chez moi)

    Brigitte BAREGES, Les Républicains a sauvé l’honneur

    Face au petit Nicolas Flamel élyséen, elle a réussi à sortir quelques vérités:

    — les étrangers ont des droits supérieurs aux Français, notamment en termes de protection sociale (avec l’aide médicale d’État (AME), un étranger peut s’offrir des lunettes et des soins dentaires sans frais)

    — dans certaines écoles de sa ville aux 70 fichés S, l’arabe a remplacé la langue nationale

    — un Algérien en situation irrégulière a sodomisé une vieille dame montalbanaise de 81 ans sans que cela n’émeuve particulièrement la presse…

    et les pétasse de meetoo ou des balance ton porc, elles sont où, les chiennes de garde... perdues dans leur gauchiasserie décervelée, sans doute.

    Brigitte Barèges a lancé que les Gilets jaunes ne sont pas protégés par les ONG contrairement aux immigrants illégaux. Elle a ajouté que le politiquement correct est en train de ruiner la France.

    Et ses collègues au lieu de l’applaudir l’ont sifflée, huée, auraient bien aimé la lyncher mais le p’tit Macrouille n’a pas souhaité que l’on aille jusque-là. La prochaine fois peut-être?

    Les médias du régime ont persisté dans le train-train habituel: Madame Barèges serait une dame pas très honnête, elle serait soupçonnée de détournement de fonds publics, a refusé un mariage gay avant d’y être contrainte par… un juge.

    La réponse du maître de la jactance a été claire: “L’accueil et l’hébergement sont inconditionnels, c’est un vrai investissement de l’État, il a encore augmenté, c’est environ deux milliards d’euros, mais il faut s’en féliciter“.

    Deux milliards d’euros, le chiffre de notre organisateur de l’inoubliable Fête de la musique sur le perron de l’Élysée paraît approximatif.

    Les mineurs non accompagnés, l’AME, le logement des immigrants illégaux, la scolarisation de leurs nombreuses progénitures, leurs inscriptions dès qu’ils sont régularisés, la délinquance dont ils sont les grands pourvoyeurs (arnaques, viols et petits meurtres), l’installation d’un islam de conquête (mosquées et prétendus centres cultuels), le suivi des fichés S, les massacres à la Kalachnikov ou au couteau, l’apparition de nouvelles maladies et la recrudescence d’anciennes (gale, Sida, tuberculose…), l’augmentation des cas d’IST (Infections sexuellement transmissibles) et de MST (maladies sexuellement transmissibles), les détournements, les fraudes, les escroqueries à la Sécu et aux retraites, ne coûteraient que deux milliards.

    Le banquier de l’Élysée sait-il compter?

    Et pendant ce temps, nos vieux, nos paysans, nos jeunes de souche, nos artisans crèvent dans la France périphérique.

    Après les politicards, les médias, la justice, les forces de l’ordre : les maires.

    Qui, demain, par ses courbettes ternira notre fierté d’être français?

    Les syndicats? C’est déjà fait.

    Les intellectuels? Pour la plupart c’est fait aussi.

    Les enseignants? Pas très brillants avec leur soutien aveugle à l’immigration.

    Les infirmières?

    Les pompiers?

    Espérons que pour ces deux derniers ce ne sera jamais le cas.

    Marcus Graven

    A Toulouse, y'avait une blague qui courrait dans les années soixante:

    Un jour, le chef de gare de Montauban -qui annonçait dans ce temps-là les arrivées des trains dans sa gare au micro- n'a pas coupé assez vite celui-ci et tous les voyageurs ont entendu ceci:

    "Montauban, Montauban, tout le monde descends!....

    et la phrase hilarante: "les cons, comme les intelligents"....

    Et bien, quarante ans plus tard, il y a plus de cons que d'intelligents, à Montauban! C.Q.F.D.

     

  • La décroissance est un caprice d’enfant gâté occidental

    C.Q.F.D.

    Loin d’être l’ennemie de l’environnement, la croissance est un impératif pour mieux gérer nos ressources.

    La France souffre de nombreux maux, vous en aurez normalement identifié certains qui minent notre pays. Pourtant beaucoup de nos problèmes et du ressenti terrible qui s’instillent dans la population ne seraient pas aussi violents si nous arrivions à afficher de façon régulière une croissance proche de 3 % comme cela est le cas aux États-Unis.

    Et pourtant en France, ce constat n’est même pas partagé par l’ensemble de la population. En effet nous entendons régulièrement les collapsologues et autres escrolos de tous bords nous prévenir: comment pourrions-nous continuer à croître éternellement alors que notre planète a des ressources finies?

    Il faudrait donc avoir recours à une " décroissance choisie " pour revenir à un niveau de vie souhaitable. Je vous laisserai trouver par vous-mêmes un pays qui a connu une récession (autre mot malheureusement moins élégant pour décrire la décroissance) et pour lequel la situation sociale s’est améliorée. Demandez aux Grecs et aux Vénézueliens s’ils ont apprécié le fait de voir leur PIB décroître.

    La décroissance, un problème de riche

    La décroissance est un caprice d’enfant gâté occidental. Il y aurait pour ses partisans suffisamment de richesses à répartir au niveau mondial pour se permettre de décroître. Sauf que la plupart des personnes qui suggèrent cette théorie oublient qu’ils font partie des 5 % (voire du 1 %) les plus riches au niveau mondial et donc qu’une décroissance mondiale impliquerait une diminution drastique de leur niveau de vie.

    Lorsque vous regardez le niveau de développement moyen que cela impliquerait, je ne suis pas sûr que cela corresponde au pays baigné de fruits et d’eau fraîche qu’ils nous vendent. Je reviens de deux semaines dans le sud de l’Inde et je peux vous garantir que ce pays a impérativement besoin de croissance, notamment pour améliorer la gestion de ses déchets et ou développer ses infrastructures de transport. À titre personnel je ne me verrais pas vivre avec un niveau de développement proche de celui de la classe moyenne indienne (lui-même très éloigné du niveau de vie moyen français).

    Je ne souhaite donc qu’une chose: permettre à ces personnes d’améliorer grandement leur niveau de vie. S’il faut "renoncer à son niveau de vie d’aujourd’hui pour garantir celui de ses enfants de mai " et que cela implique de saborder ses conditions de vie aujourd’hui, très peu pour moi.

    Le masochisme a ses limites surtout lorsque étude sérieuse n’a prouvé les bienfaits de la décroissance et que globalement les pays qui affichent de forts niveaux de développement sont aussi ceux qui présentent les conditions de vie les plus favorables à leurs populations.

    Lorsqu’on manque de ressources financières pour traiter ses déchets et qu’on les brûle au bord de la route pour s’en débarrasser, qu’on roule avec des véhicules d’un autre temps qui polluent trois fois plus qu’une nouvelle voiture, qu’on fait tourner des centrales au charbon au lieu d’investir dans des centrales nucléaires… on détruit l’environnement.

    La croissance est un impératif

    Loin d’être l’ennemie de l’environnement, la croissance est un impératif pour mieux gérer nos ressources. Elle est également un impératif si nous souhaitons continuer à organiser certaines redistributions. Par exemple dans le cas des retraites: sans une croissance massive (>3 %) ou une réforme radicale, nous afficherons en permanence un déficit public pour payer des retraités toujours plus nombreux face à des actifs qui le sont toujours moins.

    Pour qu’il y ait quelque chose à redistribuer comme le présentait si bien Georges Pompidou dans Le Nœud Gordien, il faut déjà produire ces richesses. Il faut donc nous focaliser sur les politiques qui libèrent cette création de richesse. Or notre pays est engoncé dans un carcan qui l’en empêche.

    Entre un principe de précaution inscrit dans la constitution, des corporations surpuissantes, des réglementations dans tous les sens et des syndicats réactionnaires, rien n’est fait pour permettre à notre pays de décoller. Les mesures du gouvernement d’ici la fin du quinquennat devront donc être orientées pour permettre cette libération de la croissance.

    Elle seule nous assurera de pouvoir faire face à nos prélèvements obligatoires délirants dans un premier temps, avant de graduellement les réduire. Lors de son passage en tant que ministre de l’Économie, Emmanuel Macron avait laissé entrevoir des réformes qui allaient dans ce sens. En tant que président, son action est décevante. Il lui appartient de changer le cap pour sortir notre pays de l’ornière.

    Eddie Willers

    Eddie Willers est né 1993. Il est analyste dans un fonds d’investissement et engagé dans le scoutisme. Il souhaite tordre le cou à quelques idées reçues souvent assénées comme des vérités par nos journalistes et nos hommes politiques.

  • Un président névrosé: la preuve

     

    De Gaulle – discours de Bayeux – juin 1946:

    "Les pouvoirs publics ne valent, en fait et en droit, que s’ils s’accordent avec l’intérêt supérieur du pays, s’ils reposent sur l’adhésion confiante des citoyens. En matière d’institutions, bâtir sur autre chose, ce serait bâtir sur du sable. Ce serait risquer de voir l’édifice crouler une fois de plus à l’occasion d’une de ces crises auxquelles, par la nature des choses, notre pays se trouve si souvent exposé. (…) Le trouble dans l’État a pour conséquence inéluctable la désaffection des citoyens à l’égard des institutions".

     

  • Où passent nos impôts?

    France: en 2018 les aides au développement de l’Afrique dépassaient le budget du ministère de la justice

    Durant l’année 2018, l’Afrique a connu plusieurs grandes zones de conflictualité.[…] toutes continueront à faire l’actualité. Nulle part, en effet, le réel n’est pris en compte, toutes les solutions proposées étant d’ordre électoral. […]

    Au point de vue économique, durant l’année 2018, les pays producteurs de matières premières n’ont toujours pas entamé l’impératif mouvement de diversification qui, seul, pourrait leur permettre d’échapper aux malédictions liées à la variation des cours.

    Au point de vue social, le continent continuera à s’enfoncer dans le néant, sa démographie y étant plus forte que le développement.

    Le cas du Sahel est à cet égard particulièrement parlant. Voilà en effet une région incapable de nourrir ses habitants et où la population double quasiment tous les 25 ans avec un croît de 3,9% et une moyenne de 7,6 enfants par femme. En 2040, cette région fragile, en voie de désertification et aux ressources plus que limitées, devra ainsi faire vivre plus de 150 millions d’habitants !!!

    Pour simplement stabiliser la pauvreté, il faudrait à l’Afrique une croissance de 7% par an durant plusieurs décennies. Or, avec une croissance moyenne de 2 à 3%, le continent s’appauvrit année après année.[…]

    Les "Gilets jaunes", et plus généralement tous les contribuables, seront intéressés d’apprendre que, selon les chiffres officiels du gouvernement, en 2018, la France aura versé 10,45 milliards (mds) d’euros pour l’APD (Aide publique au développement), soit 2 mds de plus qu’en 2015, 75% de cette somme allant à l’Afrique. Si, à ces cadeaux faits grâce aux impôts des Français, nous ajoutons les 2 mds liés à l’asile et à l’intégration, le milliard de l’aide aux mineurs isolés et divers autres postes associés à la gestion de l’immigration africaine, comme l’aide médicale, ce sont au minimum 15 mds (sans compter les dons faits par les régions), qui auront servi à contenter le Zambèze tout en rationnant la Corrèze…

    A titre de comparaison pédagogique, le budget du ministère du Travail et de l’emploi est de 13,1 mds, celui du ministère des Solidarités et de la Santé de 9 mds, celui de la Sécurité de 13,64 mds et celui de la Justice de 7,29 mds…

    Le blog de Bernard Lugan