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Opinions - Page 90

  • Macrouille, le pourri

    Derrière l’affaire Benalla, une officine de riposte numérique clandestine pilotée depuis l’Elysée

    Ismaël Emelien, conseiller d’Emmanuel Macron, a avoué devant la police avoir transmis des images censées disculper Alexandre Benalla à un certain Pierre Le Texier, salarié de LREM, lequel les a diffusées… sous pseudo. Une initiative qui interroge lourdement sur les pratiques en ligne du parti macroniste.

     

    La version officielle se craquèle de plus en plus. Voilà près de deux ans que La République en marche (LREM) dément, notamment auprès de Marianne, participer à des opérations de riposte clandestine sur les réseaux sociaux. Ce vendredi 8 mars, cette ligne de communication paraît moins crédible, puisque Le Monde révèle qu’Ismaël Emelien, conseiller spécial du président Macron qui vient d’annoncer son prochain départ, a admis avoir fait transiter une vidéo supposément clé de l’affaire Benalla sur les réseaux sociaux, via… Pierre Le Texier, salarié de LREM, agissant sous pseudo. Une officine d’influence parallèle au canal de communication officiel, en somme. Gênant, pour un parti qui a érigé en valeur cardinale la lutte contre les manipulations de l’information.

    Interrogé par un commissaire de l’IGPN sur la diffusion, le 19 juillet, d’images probablement issues de la vidéosurveillance de la préfecture de police de Paris, Ismaël Emelien a reconnu en être à l’origine, rapportent nos confrères. Il a expliqué s’être vu remettre par Alexandre Benalla – dès le 2 mai, dit-il -, des images de la place de la Contrescarpe en date du 1er mai, montrant les manifestants qui ont par la suite été molestés par le garde du corps du président en train de lancer une chaise sur les forces de l’ordre. Ce fameux 19 juillet, Emelien reconnaît avoir transmis ces images – obtenues illégalement, semble-t-il – à ce Pierre Le Texier, chargé du pôle e-influence de La République en marche.

        Emmanuel Macron : «Je ne veux plus de l'anonymat sur les plateformes internet» pic.twitter.com/m1qHaQrARO

        — CNEWS (@CNEWS) February 7, 2019

    www.marianne.net

     

  • Touché, coulé!

    Europe: la tribune de Macron, publiée dans 28 quotidiens, accueillie avec indifférence… voire franche hostilité

    En s’adressant à 28 nationalités différentes, dans un texte publié ce mardi 5 mars dans autant de journaux, en 22 langues, Emmanuel Macron espérait sans doute rencontrer un écho inédit. Las, son plaidoyer " Pour une Renaissance européenne " ne semble pas avoir suscité un intérêt démesuré sur le vieux continent. Il suffit d’écumer les Unes des sites des quotidiens européens pour s’en rendre compte.

    A l’Est de l’Europe, la tribune semble avoir à peine été remarquée, le nom d’Emmanuel Macron étant parfois carrément absent des sites de quotidiens hongrois ou autrichiens. […] La lettre d’Emmanuel Macron aux Européens a été reléguée dans les tréfonds des colonnes opinions des journaux du continent. Et dans les rares pays où le texte a provoqué quelques réactions… ces dernières sont mitigées, quand elles ne sont pas carrément critiques. […]

    […] Le journal néerlandais De Volkskrant évoque une "série de propositions ambitieuses" tout en fustigeant la méthode du président français". “Macron veut faire cela avec une stratégie française familière: une multitude d’agences, de traités, de conseils et d’autorités", écrit le quotidien de centre gauche. Ce dernier s’amuse également de l’emballement européen du chef de l’Etat, alors que le peuple français ne le suit pas, comme "les gilets jaunes l’ont clairement indiqué". Le président regorge de vues grandioses et d’idées ambitieuses, mais la faisabilité politique de ses projets laisse à désirer", souligne-t-il.

    Mais le premier vrai coup de griffe vient en réalité de La Stampa. Pour le quotidien libéral italien, le vote européen est un "défi que Macron veut jouer à la première personne" avec l’ambition " plus ou moins déclarée [de se] tailler une place dans les livres d’histoire sous la rubrique des “pères fondateurs de l’Europe".

    L’amertume est similaire en Espagne: "Macron s’est-il rendu en notant que ces idées ne sont pas seulement bloquées mais ont rouvert les plaies entre pays du nord et du sud, entre débiteurs et créanciers? Ou est-ce juste une pause technique pour prendre de l’élan après les élections européennes?" fustige le site d’actualité libéral-conservateur El Espagnol. […] Quand ils ne sont pas mitigés, certains journaux sont ouvertement hostiles, en particulier Outre-Manche.

    Marianne

  • Ils sont maraboutés!

    Le député Jean-Michel Clément (député ex-LREM) : "La majorité de mes collègues ont une relation à Emmanuel Macron comme à un gourou. Ils sont maraboutés "

    Cinq élus, qui ont quitté le groupe La République en marche (LREM) à l’Assemblée, ont évoqué pour Mediapart les raisons de leur départ, ainsi que leurs désillusions. L’un d’eux allant jusqu’à affirmer que les députés de la majorité sont "maraboutés" par le Président et perdent leur "esprit critique".

    Le député LREM Matthieu Orphelin a annoncé début février qu’il quittait son groupe parlementaire. Il est le septième à le faire depuis le début de la législature, emboîtant le pas à son collègue Joachim Son-Forget. Cinq des élus qui ont quitté le groupe récemment se sont confiés à Mediapart.

    "La majorité de mes collègues ont une relation à Emmanuel Macron comme à un gourou. Ils sont maraboutés, a déclaré à Mediapart le député Jean-Michel Clément. Celui-là même qui s’est retiré il y a bientôt un an du groupe après avoir voté contre le projet de loi asile-immigration, adopté en première lecture à l’Assemblée nationale.

    Un autre député, François-Michel Lambert, qui a quitté le groupe présidentiel à l’automne 2018, a rappelé pour sa part que le dossier sur lequel il avait beaucoup travaillé, l’économie circulaire, ne lui avait pas été confié.

    "Je n’ai été mobilisé sur rien, je n’ai été consulté sur rien", a-t-il souligné.

    Un autre député LREM, Paul Molac, a démissionné en octobre pour rejoindre le nouveau groupe Libertés et territoires.

    "Au sein de LREM, c’était difficile de décrypter et critiquer une loi, elle était forcément bonne puisqu’elle venait du gouvernement […] On observe une absence de prise en compte des députés et du pouvoir législatif, et donc un non-respect de nos institutions", a-t-il expliqué à Mediapart.

    Sébastien Nadot, qui, lui, a été exclu du groupe le 20 décembre après qu’il a voté contre le budget lors de son adoption définitive, rappelle pour sa part les méthodes autoritaires de gestion.

    "C’étaient toujours les têtes du groupe qui nous disaient quoi voter."

    Le groupe LREM à l’Assemblée nationale compte actuellement 306 députés sur un total de 577, soit la majorité absolue des sièges.

    Cette "passion" pour Emmanuel Macron avait déjà été évoquée au sujet de certaines personnes dans l’entourage du Président. Dans le livre "Madame la présidente", deux journalistes du Parisien racontent que des proches de Macron rêvent que Brigitte Macron "meure". "Pour eux, ce veuf éploré serait formidable", ont-elles indiqué dans le livre.

    fr.sputniknews.com

    En ce temps d'économie d'énergie, le dernier qui part est prié d'éteindre la lumière!

     

  • Qui contrôle nos vies?

    Des Gilets jaunes le découvrent

    Nos vies sont largement contrôlées par de puissantes forces. La bonne nouvelle est que des Gilets jaunes nous ont montré la voie pour nous en libérer.

    Où vont les Gilets jaunes? La réponse n’est pas évidente et bien des signes ne sont guère encourageants. Un aspect du mouvement peut néanmoins prêter à l’optimisme.

    Beaucoup de Gilets jaunes ont découvert, en particulier sur les ronds-points, que grâce aux nouvelles technologies comme les réseaux sociaux, les applications de messagerie, les vidéos tournées avec des smartphones, il est désormais beaucoup plus facile de s’organiser pour s’entraider, sans passer par l’État ni par d’autres institutions établies, syndicats ou partis politiques.

    C’est là une découverte fondamentale.

    Elle contraste par ailleurs largement avec l’organisation de nos vies aujourd’hui ;  maternité, crèche, maternelle, école, collège, lycée, université, sécurité, protection contre le crime, transports en commun, Sécurité sociale, chômage, santé, vieillesse, nous avons presque entièrement livré nos existences, pour ainsi dire pieds et poings liés, au pouvoir, aux autorités, aux politiciens, aux grandes administrations incontrôlables ; en un mot, à l’État.

    Bien des Gilets jaunes ont le sentiment diffus que des puissances occultes contrôlent leurs vies. De fait, elles le sont, par des forces puissantes et moins bienveillantes que nous aimerions le penser, mais pas si mystérieuses que cela. Non content de contrôler l’éducation que nous recevons, l’État en fait largement de même dans le domaine de l’information: chaînes publiques, médias aux mains de milliardaires vivant grassement de marchés publics (BTP, armement), aides à la presse. Tous ces canaux d’information insistent fort peu sur l’ingérence de l’État dans nos vies.

    Les lobbies sont très influents, par exemple celui de la finance ou de l’industrie pharmaceutique. Beaucoup de gens sont convaincus qu’ils contrôlent l’État, raison pour laquelle le système est défaillant. La réalité est plus subtile: la seule force de ces lobbies est précisément que l’État s’immisce partout. Ils s’adressent à lui pour parvenir à leurs fins via des méthodes plus ou moins recommandables.

    Cela s’applique d’ailleurs tout autant à des lobbies qui ne disent pas leur nom, telles les ONG écologistes, faisant campagne en faveur des politiques d’État consistant, par exemple, à saupoudrer tous nos paysages d’éoliennes, renchérissant par là même le prix de l’électricité.

    Le problème majeur est bien que l’État nous contrôle trop, et permet aux lobbies d’obtenir des faveurs, au détriment des individus. Vous souhaitez vous libérer des lobbies? Alors vous devez trouver le moyen de vous libérer du contrôle de l’État.

    Pour en revenir aux Gilets jaunes et aux ronds-points, et à les observer, on s’aperçoit qu’ils ont entr’ouvert une porte menant à une issue pour sortir de cette regrettable situation.

    Un autre monde est possible

    Il est désormais plus facile que jamais de s’organiser sans passer par ceux qui aujourd’hui contrôlent nos vies, et l’organisation spontanée, initiale, des Gilets jaunes, l’a fort bien montré.

    Ce constat peut s’étendre à d’autres domaines. Voici quelques exemples illustrant comment ce mode d’auto-organisation spontanée pourrait se mettre en place.

    Éducation: nous gagnerions beaucoup à ce que nos enfants puissent être instruits sans recevoir en même temps une vision du monde dictée par l’État. Des initiatives en ce sens existent déjà: créer son école, SOS éducation, la Fondation pour l’école, et tant d’autres. Ce que les Gilets jaunes ont fait pour leurs manifestations peut être réalisé pour trouver spontanément la bonne organisation pour dispenser à nos enfants la meilleure éducation, loin de la carte scolaire et des établissements négligés.

    Santé: les possibilités sont ici gigantesques. Exemple: la société Virta Health propose aux diabétiques une application et un soutien en ligne, incluant des médecins. Après une année, cette start-up a déjà obtenu 60% d’inversions de diabète de type 2, c’est-à-dire qu’elle a permis à des malades de recouvrer la santé, et cesser leur traitement, ou de le réduire pour la plupart des 40% de patients restants. Dans ce domaine comme dans tant d’autres, les nouvelles technologies nous offrent des possibilités énormes de mieux nous porter, sans passer par la voie traditionnelle.

    Sécurité et protection contre le crime: nos voisins britanniques ont mis en place des organisations de type neighbourhood watch (surveillance du voisinage), en coordination, bien entendu, avec la police. Nous gagnerions à envisager d’en faire de même. L’organiser spontanément devient de moins en moins difficile. Il ne s’agit pas d’intervenir en personne, mais de prévenir les menaces dans son quartier et de faire le lien avec les autorités. Le préalable sera d’ailleurs de rétablir le lien de confiance avec les forces de l’ordre.

    L’information: le journal Contrepoints, qui a pris sa place dans le paysage de l’information, a été créé à l’initiative d’une association, et refuse, et refusera toujours, toute aide de l’État. Il répond clairement à une demande du public et, au bout de quelques années, est devenu une organisation professionnelle, toujours associative, avec des journalistes ayant leur carte de presse. Cela démontre encore qu’on peut bien faire, sans subvention de l’État. Il est même préférable de s’en dispenser.

    Le billet ici présent n’a pas pour vocation de donner des liens vers toutes les possibilités d’améliorer grandement sa vie sans rester sous le contrôle de l’État. Dans chacun des domaines de nos vies c’est envisageable, et de plus en plus chaque jour.

    Les Gilets jaunes ont démontré que l’entraide, les rencontres, l’organisation sont possibles, sans passer nécessairement par l’étape de la manifestation. Pour y parvenir, il est d’ailleurs plus efficace de ne pas gaspiller de l’énergie en vain, s’adonner à la violence et au chaos. Bien au contraire. Mieux vaut préserver cette énergie et la consacrer à améliorer ses conditions de vie.

    Grâce au mode initial de déclenchement du mouvement des Gilets jaunes, un petit pas est franchi qui apporte un nouvel éclairage sur le contrôle de nos vies par l’État et, bien plus important, sur les possibilités qui s’offrent à nous pour y échapper. Libre à chacun de nous, désormais, d’y réfléchir et d’imaginer des solutions qui rendront notre vie meilleure dans un environnement d’entraide.

    Charles Boyer

  • Hé oui! les cons sont partout!

    Exercer le journalisme face à l’antisémitisme: l’affaire de l’arrêt d’une retransmission par FR3

    C’est une affaire édifiante. Edifiante en ce qu’elle témoigne des impasses présentes et à venir de la pratique du métier de journalisme dans des espaces certes toujours démocratiques mais où la circulation des "informations" fait l’objet d’une dérégulation croissante via les célébrissimes "réseaux sociaux". Une situation à très haut risque qui est bel et bien de l’ordre de la santé publique. On se gardera de tout commentaire.

    Cela s’est passé en Alsace et les faits sont rapportés par les DNA. Elle explique que France 3 Alsace a indiqué,  mercredi 20 février, avoir suspendu mardi la retransmission en direct sur sa page Facebook de la visite du président Emmanuel Macron au cimetière juif profané de Quatzenheim, en raison de dizaines de commentaires "antisémites et racistes". Voici les explications de FR3 (Aymeric Robert, en charge du numérique):

    "Nous étions préparés. Tout journaliste sait qu’en 2019 et cela vaut pour n’importe quel média, il est toujours compliqué de retransmettre en Facebook live un événement impliquant la venue du chef de l’Etat.

    Dans un cimetière juif qui plus est, à l’heure où l’antisémitisme se répand comme un mauvais poison. Aujourd’hui, Emmanuel Macron, demain, un autre, mais nul doute qu’il sera soumis au même déchaînement de haine imbécile alimentée par de petits vengeurs de moins en moins masqués.

    "Nous faisions partie de ceux qui pensaient encore l’exercice possible. Que le caractère odieux des actes antisémites de Quatzenheim, que le moment d’émotion et de stupeur des familles de ce village bas-rhinois, nous protégerait de ce flot d’immondices redouté. Que la notion de respect était encore vivace. Du respect de l’instant, des hommes et des femmes présents, du respect des morts, de la mémoire de ceux qui ont vécu sur nos territoires et ont forgé leur histoire et à défaut… du respect du cadre légal.

    "Heil Hitler", "sales juifs"

    "Raté. Au bout de quelques minutes, les commentaires ignobles et illégaux ont largement dépassé notre capacité à les modérer. Deux journalistes, ce n’est plus suffisant pour un tel exercice, sans doute que dix ou vingt non plus d’ailleurs. Que l’exercice n’est tout simplement plus possible en 2019. Une retransmission, d’accord, mais sans commentaire. Tant pis pour la libre parole.

    "Nous ne parlons pas des commentaires bêtement stupides ou hors-sujets, ni même des commentaires anti-Macron. Vous avez le droit de critiquer le chef de l’Etat sur nos pages Facebook. Vous ne vous en privez pas. A dire vrai, nous nous réjouissons que vous puissiez le faire. C’est le signe d’une démocratie forte que de critiquer ses élus.

    Non, nous parlons d’appels au meurtre explicites, de commentaires ouvertement antisémites et racistes, des "Heil Hitler", des "sale juif" ou "sales juifs", qu’ils s’adressent à Emmanuel Macron ou aux représentants de la communauté juive.

    Responsabilité juridique et morale

    "Dégoût et sidération. Ces internautes, pas toujours anonymes à en juger par leur patronyme, savent-ils que ces écrits sont un délit? Qu’on peut faire de la prison ferme pour un simple commentaire sur Facebook? A quel moment, est-il devenu normal d’appeler publiquement à tuer quelqu’un, qu’il soit chef de l’Etat ou simple habitant d’un village alsacien?

    Rappelons donc que Facebook, aussi virtuel soit-il, n’échappe pas au code pénal, que les internautes ont une responsabilité juridique qui engage France 3 Alsace. Mais au-delà de cette responsabilité juridique, nous refusons d’être un vecteur de haine.

    "Ces commentaires sont le fruit pourri d’une minorité d’internautes. La plupart d’entre vous ont suivi ce live sans le commenter, d’autres ont exprimé leur émotion. Mais cette minorité nous interdit aujourd’hui de retransmettre certains événements en Facebook live.

    "Ce n’est pas la fin du monde, juste un nouveau rétrécissement du champ d’action de notre métier. Un rétrécissement de la démocratie et de la liberté de jouir de nos droits, de tous nos droits. "

    France 3 Alsace a raison. Ce n’est pas la fin d’un monde. C’est un rétrécissement du champ d’action du métier de journaliste. De ce point de vue, Orwell l’a prophétisé, c’est un rétrécissement du monde.

    Jean Y. NAU: journaliste scientifique

  • L'âne et l'aigle

    http://insoliteetdejante.hautetfort.com/archive/2016/11/17/le-zoo-humain-1-macron-5875372.html

     (titre d'un livre de Desmond Morris que j'ai adoré. Vous devriez le lire, on en apprend beaucoup sur la nature humaine!).

    Après l'étude très précise et détaillée de l'Ancien Tarot de Marseille –voir mon site: www.joyce-voyance.com

    dans lequel vous trouvez des fichiers d'entraînement à la voyance- j'ai étudié, entre-autres choses, la voyance sur visage (photo ou télé) d'un personnage en vue, mais "vue" d'une certaine façon, disons "catégorisante".

    J'espère que je n'aurais pas de souci provenant de ces gens-là, mais, comme ils se mettent avec arrogance en avant et qu'ils ou elles sont devenus des personnages publics, et que la liberté d'opinions en France est notre bien le plus précieux et chéri, je me lance.

    Il m'arrive, de temps en autres de “regarder“ afin de “voir“ un autre aspect d'une personne publique. Je dois dire que ce que je “vois“ me permet souvent de me dire: j'avais bien “vu“ en constatant le comportement du ou de la ci-devante.

    Comme le titre l'indique, je “vois“ sur les visages d'icel ou icelle, des ressemblances de zoologie et je “sens“ des comportements psychologiques. C'est la vérité profonde de ces gens-là. Vous aurez l'occasion de le confronter pour peu que vous fassiez un copier-coller de ces portraits, à conserver précieusement et longtemps, dans un dossier de votre ordinateur.

    Comme toute la médiacratie frétille de bêtises diverses et avariées sur le dernier pingouin qui s'est mis en vedette, je vais vous indiquer ce que j'ai “lu“ sur la tête de Macron.

    J'y ai vu deux animaux qui se superposent parfaitement.

     

    Dommage que je ne sache pas dessiner… (on ne peut pas être parfaite en tout). Mais, je suis tranquille, cela va faire florès sur le net.

    Les thuriféraires de ces gens ne vont pas être contents et risquent de me dézinguer. Je les avertis d'avance que, se moquer d'une personne âgée atteinte d'une très grave maladie, n'est pas très glorieux et c'est même dégueulasse.

    Comme TOUS les gens qui sont des politiques, Macron porte la tête d'un aigle d'un certain genre.

    Et, en sur-impression celle…. d'un âne.

    Pour moi, l'aigle est l'arrogance, la rouerie, l'ambition forcenée et vicieuse, la lucidité mauvaise, la méchanceté.

    L'âne est quelqu'un de nul dans presque tous les domaines, c'est quelqu'un d'entêté, de borné, qui n'en fait qu'à sa tête, qui se fourvoie dans des chemins idiots, qui ne soutient pas ses amis et peut même leur envoyer…. un coup de pied de l'âne.

    Ce faisant, il pourrait se contenter de taper sur ses ennemis…. non, non, il le fait AUSSI sur ses amis.

    Déjà, être l'aigle, ce n'est pas très glorieux mais parfois, l'aigle en question n'est pas très aigle… je veux dire, qu'il y a des aigles moins. Macron est un aigle plus, plus.

    C'est un âne plus, plus, plus, plus et c'est peu dire.

    Rendez-vous, très bientôt, pour la prochaine "tête".