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Opinions - Page 92

  • Les escrocs pullulent,

    … les autorités administratives laissent faire!

    Aussi, pour les pouvoirs publics -qui sont parfaitement au courant (depuis les années 70) du système organisé d'escroquerie généralisée par ces marabouts laissent faire?

    Voilà comment cela se passe: le “cabinet“ est en place de façon définitive, grâce à la complicité du propriétaire qui est parfaitement au courant puisque l'escroquerie est en place durant de nombreuses années:

    Un personnage africain s'installe dans l'appartement; il passe une annonce, toujours la même et sous le même nom; le personnage reste en place tant qu'il n'a pas grugé quelqu'un d'une très forte somme. Puis, il disparaît sans laisser de trace.

    Un autre personnage vient s'installer dans l'appartement; prends le nom et fait de la pub, la même, dans les mêmes journaux. Il attend une bonne poire; l'escroque et s'en va; un autre prends la place.

    Ils jouent sur le fait que les “blancs“ ne savent pas distinguer un noir d'un autre. Simple comme bonjour. Et il y aura toujours un con… de Français pour se faire avoir… plus de 40 ans que ça dure… le truc est imparable: si on arrête le personnage en place, l'escroqué ne peut pas l'identifier comme il faut, l'autre est libéré… j'ai même ouï-dire qu'il y avait des accords entre des gouvernements de pays en question et le gouvernement français pour qu'on n'emmerde pas trop ces escrocs… quand j'ai appris cela, j'avais une preuve, le nom d'un député qui avait raconté cela dans un article, à la suite d'une série d'escroqueries de ce genre… me souviens plus du nom du député… mais, je vous assure que je l'ai lu. Vraiment!

     

    Marabouts médiums, astrologues et autres voyants capables de tout contre rémunération... Au regard des annonces qu'ils sèment dans les boîtes aux lettres, ils semblent être légion dans l'Orléanais. Les policiers constatent cette prolifération de publicités. Le diocèse d'Orléans réaffirme ses différences.

    Les boîtes aux lettres orléanaises regorgent de leurs petites annonces. Vous avez sûrement trouvé celles de M. Madi. Grâce à lui, "si votre femme ou votre mari est parti(e), il (elle) reviendra et courra derrière vous comme le chien derrière son maître".

    Encore plus "balèze", il y a le professeur Madou (qui promet de résoudre tous les problèmes) ou Diaby "aux dons surnaturels" et aux 25 ans d'expérience. Il y a aussi M. Keilaty, à Montargis, ou M. Lamine qui prend même les "cas désespérés" tout en proposant une "facilité de paiement".

    Pas convaincu ? Il vous reste professeur Souaré, l'astrologue international, M. Gassam qui "rend invulnérable toute personne désireuse de l'être", maître Simakan (il parle espagnol !) ou, en dernier recours, le professeur Ibrahim qui réussit "là où les autres ont échoué". La liste est loin d'être exhausive!

    Avis de grosse compétition sur le marché du marabout et du guérisseur aux pouvoirs héréditaires ; marché qui paraît empièter sur les plates-bandes du catholicisme.

    Ce prêtre du diocèse d'Orléans confirme qu'un "certain nombre" de croyants consultent "ces gens" et que "certaines de ces personnes, chez les guérisseurs", renvoient même parfois vers l'Église en disant : "Ça me dépasse".

    "Le prêtre catholique reçoit une mission,

     il est accompagné par une équipe,

     il se forme et c'est gratuit !"

    Jean-Pierre Evelin, directeur de la communication pour le diocèse d'Orléans

    Dans cet univers, évoluent aussi "des francs-tireurs". Dans un territoire voisin

     du Loiret, un prêtre exorciste aurait officié pendant cinquante ans sans mission officielle de sa hiérarchie...

    Alors que "le prêtre exorciste catholique reçoit une mission, il est accompagné par une équipe, il se forme et c'est gratuit", insiste Jean-Pierre Evelin, directeur de la communication pour le diocèse d'Orléans. Voilà la "différence" avec ces exorcistes freelance, ces marabouts et autres voyants aux promesses mirifiques.

    "Si tu as 54 ans... alors c'est 5.400 euros"

    La situation est parfois plus tendue... Un autre prêtre du diocèse se souvient d'un jour où il s'est mis en colère. Une paroissienne était entrée en contact avec un marabout et, afin d'évaluer ses honoraires, ce dernier lui aurait dit : "Tu as 54 ans... alors c'est 5.400 euros". Était-ce un début d'escroquerie?

    L'automne dernier, deux retraités orléanais de 69 et 74 ans ont eu moins de chance. Ils avaient un différend avec un garagiste. Et le couple a pu compter sur ce marabout d'une quarantaine d'années pour les aider à se délester de 15.000 euros, sans l'ombre d'un résultat probant. L'affaire est allée jusqu'en correctionnelle...

     Les victimes ne présentaient apparemment pas de vulnérabilité particulière. Elles étaient juste un peu en détresse et sont tombés sur l'escroc qui avait démarché jusqu'à Blois (Loir-et-Cher).

    Ce type d’affaire est rarement signalé car les personnes qui adhèrent à ce système ne déposent pas plainte.

    Cet hiver, les policiers orléanais ne répertoriaient pas d'autres plaintes pour escroquerie en lien avec la voyance  "Ce type d’affaire est rarement signalé car les personnes qui adhèrent à ce système ne déposent pas plainte. Il y a une forte acceptation morale", regrette la police nationale d’Orléans.

     

    Les forces de l'ordre ne sont pas dupes : "Il y a plein d'annonces qui prospèrent,

    il est essentiel de sensibiliser les citoyens sur ce démarchage. S'il y avait des plaintes, il pourrait y avoir des réponses pénales."

    En octobre 2012, justement à la suite d'une plainte et d'un jugement devant le tribunal correctionnel d'Orléans, trois ans de prison, dont un ferme, ont été prononcés à l'encontre d'un faux voyant... mais vrai escroc. L'accusé a été contraint de rembourser la victime dans son intégralité.

    https://www.larep.fr/orleans/insolite/religion-spiritualite/2018/04/28/quelles-differences-y-a-t-il-entre-un-pretre-exorciste-catholique-et-un-marabout_12812320.html

  • On finit par tout savoir sur les magouilles de Macrouille

    Mediapart affirme que Macron a bénéficié de remises dans le cadre de sa campagne présidentielle, un procédé illégal qui aurait dû conduire à son inéligibilité selon certains parlementaires

    Olivier Ginon de GL Events serait à l’origine de ces gestes commerciaux.»

    – RT France, 28 avril 2018, 18h17

  • Dans le cochon, tout est bon!

    Quand les musulmans paniquent à l’idée d’une tranche de jambon dans un rayon halal…

    Il y a quelques mois, une série de vidéos ont été tournées dans des supermarchés français de l’enseigne Edouard Leclerc dans lesquelles des salariés de la grande surface étaient pris à partie par des clients musulmans leur reprochant de mélanger la viande halal avec la viande de porc. Les employés des rayons boucherie se faisaient harceler et réprimander par des personnes de confession musulmane leur reprochant de créer sciemment une confusion, auprès des consommateurs, sur le mode d’abattage de la viande.

    L’obsession  se poursuit au sein de la communauté musulmane qui scrute attentivement les camions de livraison des restaurants et les étals des bouchers afin de dénoncer toutes les dérives concernant la non-séparation entre la viande halal et les autres types de viande, principalement le porc.

    Dans une vidéo tournée au mois de février 2018, le conducteur d’un véhicule filme le décrochage de carcasses d’animaux depuis un camion de livraison et fait le constat qu’un restaurant halal propose du cochon à ses clients.

    Or, il faut rappeler que l’abattage rituel musulman représente un triple danger en France et en Europe: d’une part, l’égorgement des animaux, sans respect du principe de l’étourdissement préalable, est une violation des lois françaises et européennes en matière d’abattage. D’autre part, ce rite islamique constitue un recul sanitaire avec un risque d’infections alimentaires et des souillures par Escherichia Coli. Enfin, l’abattage halal fait l’objet d’une taxe qui est destinée à financer les mosquées en France et les réseaux djihadistes, favorisant ainsi l’islamisation de notre pays et le risque de terrorisme islamique sur notre territoire national.

    Encore une fois, ce n’est pas à la France de se plier aux exigences de l’islam, y compris pour le contenu de nos assiettes. Il incombe aux musulmans vivant en France de respecter les lois du pays d’accueil et de cesser ce harcèlement et ce djihad par le biais de la filière halal.

    Pour plus d’informations sur les actions contre l’abattage Halal, voici le site de Vigilance Halal:

    https://vigilancehallal.com/

     

     

     

  • Les merdias: leur supprimer les aides de l'état, vite!

    Saviez-vous que l'Etat (donc, nos impôts) financent les journaux français? Et pour lire quoi? une diarrhée de gauchiasserie inimaginable!

    Le procureur Courroye: ma tête a été demandée par les medias à Hollande, j’ai été muté…

    Quand les medias font et défont la justice…

    Le réquisitoire du procureur Courroye

    Reconnu comme juge intransigeant sur les affaires politico-financières avant d’être vilipendé comme "proche de Sarkozy", le magistrat défend son intégrité et accuse journalistes, magistrats politisés et politiques dans "Reste la justice".

    A ses débuts, en 1986, il a recueilli les confidences glaciales du " Boucher de Lyon " Klaus Barbie, à la prison Saint-Joseph de Lyon. " Il ne m’a dévoilé que son cynisme " raconte Philippe Courroye de cette première expérience. Il a envoyé en prison Alain Carignon, le maire RPR de Grenoble dans l’affaire du marché de l’eau ; il a instruit les affaires Botton à Lyon, des ventes d’armes à l’Angola et du Crédit lyonnais à Paris. Mais le magistrat, réputé intransigeant avec les politiques, a été cloué au pilori quand, devenu procureur à Nanterre, il a été présenté comme "l’ami" de Sarkozy, avant d’être muté avocat général à la cour d’appel de Paris.

    "Je n’ai connu qu’une pression, celle des médias. Les secrets de l’enquête et de l’instruction ne sont plus des secrets. La présomption d’innocence est devenue une présomption de culpabilité, certains médias s’érigent en procureurs généraux de la nation, les avocats plaident devant les médias et attaquent l’enquête, l’instruction sur la procédure plus que sur le fond. Cela pénalise le magistrat et le justiciable. "

    Êtes-vous un proche de Nicolas Sarkozy?

    "Les contrevérités, “fake news” comme on dit maintenant, je peux en devenir un spécialiste tellement j’en ai été victime. La presse m’a présenté comme le grand ami de Nicolas Sarkozy parce que j’ai eu le tort de répondre à un journaliste que je le connaissais. J’ai été nommé procureur à Nanterre avant son élection, j’ai instruit les affaires concernant ses proches Carignon, Bédier… Dans l’affaire Bettencourt, après les enregistrements effectués chez Liliane Bettencourt révélés par Mediapart, le parquet de Nanterre a effectué 3 345 PV, 357 scellés, 37 perquisitions avant de conclure qu’il n’y avait pas matière à poursuivre. Dépaysée à Bordeaux, l’affaire a abouti au même résultat. Cette accusation bafoue le travail des policiers et de tous les magistrats qui à Nanterre comme à Bordeaux où l’affaire a été dépaysée sont parvenus aux mêmes conclusions juridiques que moi. Je n’ai jamais fait de politique. Un magistrat ne peut pas être politisé“.

    Vous dénoncez une justice politisée et une mutation politique que vous ne souhaitiez pas?

    "Ma mutation a été réalisée avec une rapidité supersonique et inédite (un mois) juste après l’élection de François Hollande à qui ma tête était demandée, y compris par des journalistes. Encore une “fake news” : je créais, paraît-il, des conflits à Nanterre. Or tous mes adjoints au parquet m’ont soutenu. Oui, la justice est politisée. La preuve en a été apportée par ce " mur des cons ", aussi pitoyable que lâche et scandaleux affiché au Syndicat de la magistrature. Pour le moment, cela n’a abouti à aucune sanction à part pour le journaliste qui a révélé son existence, étonnamment enfoncé par les syndicats de sa profession".

    Vous dénoncez aussi les zones de non droit, l’état des prisons et la politique pénale?

    "Les gouvernements successifs ont mis la poussière sous le tapis en laissant l’islamisme radical prospérer dans les zones de non-droit et dans des prisons vétustes et pas adaptées. Pour moi, ces individus doivent être enfermés dans le cadre de dispositifs séparés et spéciaux. La justice ne peut pas être crédible quand 80 000 à 100 000 peines ne sont pas exécutées. Je suis d’accord sur le fait qu’une peine d’un, deux ou trois mois de prison n’a aucun sens. En dessous de six mois ferme, des alternatives sont préférables. Reste à se donner les moyens de traiter et suivre ces personnes. En revanche, le condamné (définitivement) doit aller en prison et purger sa peine“.

    https://www.republicain-lorrain.fr/france-monde/2018/04/15/le-requisitoire-du-procureur-courroye