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Opinions - Page 95

  • Le roi Macrouille

    Les pratiques royales sous Louis XIV ont été conservée .

    Lors de son passage à Reims , le chef de l’État avait prévu de dîner dans un restaurant réputé de la ville.

    Le Président ayant accumulé les retards, le dîner  sur place a été annulé et transféré vers les Ardennes  mais l'organisation de ce repas laisse pantois.

    Ce restaurant remarquable a eu l'honneur de voir arriver préalablement le cuisinier en chef de l’Élysée venu goûter les plats prévus et les valider (avait t'on peur d'un empoisonnement?)   Puis il a regardé la brigade du restaurateur faire son travail. Le cuisinier du roi n'est pas venu seul, il avait emmené avec lui une foultitude de personnes: Agents de sécurité, service du protocole et la table a été dressée selon les codes de l’Élysée  avec les nappes du palais par les serveurs de l’Élysée. Ne manquaient qu'un ou deux huissiers,  la garde républicaine et ainsi le Président n'aurait pas été dépaysé.

    Aussitôt annoncé que le Président ne prendrait pas son repas dans le restaurant, tout fut emballé rapidement car il était impératif que le chef cuisinier de l’Élysée arrive avant le Président à Charleville-Mézières. Le repas a été amené sous bonne escorte à la préfecture des Ardennes: craignait t'on que les langoustines et le saint Pierre soient tentés de sauter en route dans les cours d'eau ardennais?

    Rien ne justifie une telle gabegie, une telle suffisance parisienne qui veut qu'en tout lieu le Président soit comme au palais. Le restaurateur rémois n'était il pas en mesure de se surpasser pour offrir, sans être chaperonné,  un repas de grande qualité au chef de l’État?

    Multiplié par le nombre de déplacements annuels avec des mesures de sécurité qui confinent à la paranoïa, combien cela coûte t’il? Le Président s'offusque du pognon de dingue que la France dépense au titre des transferts sociaux, nous sommes en droit de nous étonner du luxe et du train de vie  qui règnent encore à tous les étages du palais, au bénéfice de quelque uns.

    Notre république est magnifique en façade mais gravement fissurée de l'intérieur, de moins en moins respectée par la faute exclusive de cette classe politique qui a perdu tout sens commun. Elle conserve et protège envers et contre tout son luxe et son apparat, à son seul profit, pendant qu'une majorité d'entre nous croule sous les difficultés quotidiennes et que la pauvreté gagne partout du terrain.

    C'est du populisme, vont s'offusquer ces messieurs qui ne veulent pas voir le ras le bol grandissant. De prochaines élections vont leur ouvrir les yeux.

     Hormis le journal local quotidien de la Marne, des Ardennes et de l'Aisne (l'Union), la presse écrite et télé a passé ces "détails" sous silence…

     

  • Macrouille: fumier et fumiste!

    Traitre à la France?

    La campagne présidentielle de Macron financée pour moitié par un club de moins de mille personnes

    Entre mars 2016 et mai 2017, En Marche a été financé pour moitié par 913 dons, révèle le "JDD" ce dimanche 2 décembre. Le Royaume-Uni aura davantage contribué que les dix plus grandes villes françaises de province à la campagne présidentielle d'Emmanuel Macron.

    C’est un groupe de soutien qui ne lésine pas sur les moyens. Le Journal du dimanche, qui a épluché les comptes de la République en Marche (LREM), révèle ce 2 décembre que l’épopée présidentielle d’Emmanuel Macron a été financée pour moitié par… 913 personnes seulement, au maximum.

    Ce "club des mille" a versé pas moins de 6,3 millions d’euros à En Marche entre sa création en mars 2016 et mai 2017, ce qui représente 48% du total des dons. Ce chiffre impressionnant dépasse par exemple l’ensemble des donations faites aux "petits" candidats, parmi lesquels Nicolas Dupont-Aignan, Jean Lassalle, Philippe Poutou, François Asselineau, Nathalie Arthaud, Jacques Cheminade.

    De quoi doper spectaculairement une candidature à la présidentielle.

    Dans une enquête publiée en avril dernier, Marianne a montré comment les équipes d’Emmanuel Macron s’étaient largement appuyées sur des dîners de levées de fonds organisés auprès de professionnels de la finance afin de lancer la candidature de l’énarque. A la fin de l’année 2016, "69%" des dons avaient été obtenus par ce biais.

    En Marche pouvait même compter sur un précieux club de "400 donateurs à plus de 5.000€". L’enquête du JDD vient confirmer que ce cercle s’est élargi dans les six premiers mois de 2017… mais pas trop. Le chiffre de 913 correspond en effet aux dons de plus de 5.000 euros et non au nombre de donateurs, le plafond étant de 7.500 euros par personne et par an. Or, il y a fort à parier que nombre des riches mécènes de l’inspecteur des finances ont choisi d’effectuer deux dons, un en 2016 et un en 2017. Son cher "club des mille" est donc plus précisément un premier cercle de 450 à 913 donateurs.

    Plus de dons du Royaume-Uni que de la province

    La géographie de ces dons révèle un autre déséquilibre. Elle brosse le portrait d’un candidat largement soutenu en région parisienne (56% du total) et… dans les places fortes de la finance à l’étranger, beaucoup plus qu’en province. Troublant, au moment où une partie de la "France périphérique" se soulève à travers le mouvement des "gilets jaunes".

    On apprend ainsi que les dons en provenance de Suisse (95.000 euros) ont rapporté plus d’argent à En Marche que ceux venus… de Marseille (78.364 euros), la deuxième ville de France! Avec seulement 18 bienfaiteurs mais 105.000 euros octroyés, les Libanais ont fortement contribué à l’émergence du macronisme, davantage que les 250.000 habitants de Bordeaux et 230.000 habitants de Lille réunis !

    Après Paris, la deuxième ville la plus "macronisée" n’est autre que… Londres. Avec 800.000 euros de dons, le Royaume-Uni rapporte plus que… l’ensemble des dix plus grandes villes françaises de province. Cette information donne une autre tonalité à la suppression partielle de l’"exit tax", annoncée en grande pompe par Emmanuel Macron dans le magazine américain Forbes, en mai dernier.

    Avec la suppression de l'exit tax, Emmanuel Macron offre 800 millions d'euros aux ultra-riches

    En cherchant à se défaire de son étiquette de "candidat des riches", l'ancien banquier aura par ailleurs laissé ses troupes mentir à la presse.

    En mai 2017, les équipes d’En Marche assuraient en effet à Libération que la proportion de dons de plus de 5.000 euros par rapport à la collecte totale était d’"un tiers". C’est en fait la moitié, comme le documente aujourd'hui l’enquête du JDD. Saisissant, rapporté à l’étude de l’Institut des politiques publiques publiée en octobre dernier, qui révèle que les grands gagnants de la politique fiscale d’Emmanuel Macron sont… les ultrariches. Les 1% les plus riches voient leurs revenus augmenter de 6%, quand les ménages les plus modestes perdent 1% de pouvoir d’achat.

    Lu sur le site de Marianne

  • Adieu, Liberté Chérie!

     

    L’Assemblée nationale vote un texte facilitant les écoutes téléphoniques et la géolocalisation

    Les députés, qui planchent sur le projet de réforme de la justice, ont donné davantage de pouvoir aux parquets, contre l’avis du gouvernement.

    Après avoir voté la possibilité de déposer des plaintes ou de se constituer partie civile en ligne et l’anonymisation des policiers et gendarmes recevant des plaintes et mains courantes, l’Assemblée nationale a autorisé ce vendredi 23 novembre le parquet à recourir aux écoutes téléphoniques et à la géolocalisation pour davantage d’infractions.

    Cette mesure, adoptée dans le cadre du projet de réforme de la justice, permet au procureur de la République de requérir du juge des libertés et de la détention (JLD) des écoutes téléphoniques et des techniques de géolocalisation pour toutes les infractions punies de trois ans d’emprisonnement. Cela ne lui était possible qu’en matière de délinquance et de criminalité organisée. […]

    Ouest-France

  • Depuis Marie-Antoinette, nul n’a été aussi haï que Macron!

     

    C’est la Voix du Nord qui tire la sonnette d’alarme, épouvantée par les commentaires reçus dès que les journaleux parlent de Macron: "Vos réactions très violentes" contre Macron: La Voix du nord appelle ses lecteurs à la modération

    Du jamais vu, de la haine, des insultes, "Macron démission" devenu un véritable refrain… Une antienne qui parcourt la France d’en-bas.

    La Voix du Nord ne peut plus publier un article parlant de Macron sans que ce soit le grand défoulement, certains se disant même prêts à finir le travail qui aurait été envisagé par certains de l' "extrême-droite"  nous n’y croyons pas, nous l’avons déjà dit ici, mais, par un paradoxal effet, les fake news de la presse macronienne donnent des idées au pecus vulgum, nom en latin des Sans-dents).

    "Sous chaque article lié à son itinérance mémorielle dans la région, nous avons supprimé des dizaines de commentaires et d’insultes", explique la VDN, interpellant directement ses lecteurs. "Sur ce président que vous estimez "loin des Français", "ne favorisant que les riches "", détaille encore la VDN. Le journal n’a-t-il relevé que les commentaires les plus acceptables? En dépit du caractère relativement courtois des exemples cités, le journal s’inquiète: "Le niveau de violence atteint ces derniers jours concernant le président est sans pareil. Chacun de ses actes engendre sur nos réseaux sociaux des centaines de commentaires, d’appels à la haine et à la violence".

    Déplorant le succès du mot-dièse #MacronDémission, la VDN rapporte également que l’avalanche de commentaires menaçants a amené la rédaction à supprimer de Facebook un article consacré à l’arrestation de quatre personnes accusées de préparer un attentat contre Emmanuel Macron, le 10 novembre dernier. Certains lecteurs recommandaient de "finir le travail". "Rappelons au passage que ce type de propos est puni par la loi", conclut la VDN.

     https://francais.rt.com/france/55399-vos-reactions-tres-violentes-contre-macron-la-voix-du-nord-appelle-moderation

     Je crois que ce qui se passe est du jamais vu en France depuis la révolution de 1789.

    Les libelles et satires à propos de Marie-Antoinette  avant 1789 étaient du même tabac. Bien plus qu’à propos de Louis XVI, certes considéré comme un pauvre cocu, un faible, voire un minable incompétent, mais délaissé dans les caricatures au profit de sa femme, "l’Autrichienne "…. En 2018, c’est encore pire puisque c’est le Président en personne qui s’en prend plein la figure.

    Comme Macron Marie-Antoinette avait cristallisé la haine des Français, elle incarnait "le parti de l’étranger", l’arrogance, les dépenses folles sur le dos des Français, la nymphomanie… et la police de Louis XVI avait fort à faire pour rechercher, trouver et détruire les libelles, livrets, pamphlets, placards et autres affiches que l’on trouvait jusque dans les châteaux royaux.

    Comme Macron, la reine est montrée physiquement, dans des postures qui n’ont rien de royal et par les mots et par les gravures:

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    Tout cela participe à la désacralisation de la monarchie, du pouvoir… et fait inexorablement penser à tout ce qui est reproché à Macron.

    Avec une différence notable, c’est que cet imbécile se croyant au-dessus de tout et de tous a carrément offert de visu de quoi alimenter les caricatures et les persiflages… Et avec une certaine complaisance!

    Il a également, de visu, offert de quoi alimenter la honte du Français, dirigé par un tel traître à la France, aux Blancs, à la juste mesure si prisée pendant le siècle de Louis XIV….

        Grosse ambiance à @Elysee pour #LaFêteDeLaMusique

    Comment voulez-vous que, instinctivement, le peuple de France, ne soit pas renvoyé plus de deux siècles en arrière et n’ait pas envie de sortir la guillotine? Parce que, en sus des trahisons, Macron affame les Français, purement et simplement, en se payant ouvertement sa tête.

    Cerise sur le gâteau, on n’oubliera pas Macron recevant Mamoudou à l’Elysée,  scène annoncée par Hollande au chevet de Theo. Ces deux photos montrent, à l’état pur, la préférence étrangère et même la préférence pour le délinquant devenue la règle. A Saint-Martin, Macron n’embrassait-il pas un ex-braqueur ayant récidivé après son passage? " En même temps", à Paris, il envoyait promener un jeune horticulteur blanc demandant du boulot…

    Trahis, méprisés, critiqués par leur représentant à l’étranger, les Français sont dans la rue, et, au moment où j’écris, nul ne sait où tout cela va nous mener…

    En tout cas, nombre d’entre eux, dont je suis, brûlent de voir à nouveau la guillotine fonctionner en place de Grève.

    Note aux lecteurs (royalistes et aux autres)

    Il ne s’agit pas ici d’entamer une discussion sur le bien-fondé des critiques et reproches faits à Louis XVI et Marie-Antoinette, ils ont été particulièrement haïs, à tort ou à raison, et l’intérêt de la chose est le parallèle historique à faire avec Macron.

    résistancerepublicaine.eu

     

  • La vraie histoire de la France des années 30 Vs 2018

    Puisque Macron veut parler des années 30, allons-y, et tant pis pour lui !

    J’ai bien aimé la comparaison faite par Macron entre la situation européenne actuelle, en proie à la lèpre nationaliste, et sa situation dans les années trente.

    Je n’ai pas aimé la comparaison pour elle-même mais pour l’erreur fondamentale qu’elle contient et qui permet de ridiculiser le locataire de l’Élysée.

    Évoquer la lèpre nationaliste revient à assimiler Marine Le Pen et Marion Maréchal, dictateurs en jupons, à Hitler et Mussolini.

    Or, je ne vois pas ces dames actuellement parader au pas de l’oie, en uniforme, bras tendu avec brassard et croix gammée.

    Je n’ai pas vu non plus de meeting du Rassemblement national dans un grand stade avec marche aux flambeaux, prestation de serment et forces de l’ordre couteau à la hanche et brodequins aux pieds.

    Les rédacteurs des discours du locataire de l’Élysée font des comparaisons intenables entre les deux époques en tentant de stigmatiser les actuels opposants nationalistes de France.

    Ils sont en plein contresens historique en affirmant que la volonté hégémonique et expansionniste des dictatures des années trente, en Europe, Allemagne et Italie, en Asie, le Japon, seraient à l’œuvre dans les partis nationalistes de 2018, car c’est tout le contraire qui nourrit les mouvements nationaux du XXIe siècle.

    Dans les années trente, il s’agissait de passer les frontières pour voler les richesses du voisin.

    En 2018, il s’agit de fermer les frontières pour que les peuples d’Europe ne se fassent pas voler leurs richesses au sens large : richesse en avoirs mais aussi richesse culturelle, richesse intellectuelle, richesse en liberté d’être, richesse en tranquillité et en bien-vivre ensemble entre gens de bonne compagnie, richesse de lire, travailler, écrire, étudier et sortir le soir sans se faire tirer dessus ni se faire égorger par les musulmans et les mafias macronienne et merkellienne.

    Le plus drôle, c’est que l’individu de l’Élysée, dont on nous dit pourtant qu’il aurait fait "les grandes écoles", ne semble même pas être capable de saisir le tissu d’âneries qu’on lui fait lire devant les micros et sur les plateaux TV.

    Les conseillers de l’Élysée se seraient montrés beaucoup plus judicieux à établir un parallèle entre les dirigeants des démocraties européennes des années trente et les actuels putatifs démocrates détenteurs du pouvoir en France.

    Dans ce dernier lot, je mets toute la classe politique LREM et ses obligés pour des postes à pognon de dingue du Modem, les mous du coude Républicains comme Juppé, Bertrand, Raffarin, Pécresse, les sans-parti de la bonne pensée, etc., les socialistes et hamonistes et même jusqu’à certains Insoumis qui, nonobstant leur appellation, se révèlent on ne peut plus soumis.

    Pourtant les points de similitude ne manquent pas entre les démocrates et démocraties actuels et les dictatures et les démocrates de l’époque.

    En 1933, en Allemagne, les juifs et les magasins juifs étaient attaqués sans relâche par les SA de Röhm.

    En 2018, en France, les juifs et les magasins  juifs font l’objet d’un génocide à bas bruit de la part  des troupes musulmanes de Macron.

    En 1933, en Allemagne, le bureau de la propagande autorisée interdisait toute voix divergeant de la ligne éditoriale officielle.

    En 2018, en France, Macron a désormais interdit de dire les vérités qui dérangent, notamment sur les musulmans qui ont déclaré la guerre au pays.

    En 1933, en Allemagne, des bandes de nazis occupaient les rues, traquant et bastonnant tous ceux qui ne leur revenaient pas.

    En 2018, en France, les bandes musulmanes et les bandes tout court de Macron traquent et bastonnent impitoyablement les Français qui ne leur reviennent pas, les dépouillant de tout ce qu’ils ont de valeur sur eux.

     

    En 1933, en Allemagne, les homosexuels étaient pourchassés, traqués, bastonnés en pleine rue par les tenants du pouvoir.

    En 2018, en France, il en va de même. Les musulmans protégés du pouvoir en place n’hésitent plus, tous les jours, à manifester violemment leur homophobie et lesbophobie par des tabassages en règle pour déviationnisme coranique. Sans que la justice, complice, n’y fasse rien, qui laisse tout ce petit monde bien en liberté pour mieux terroriser la France comme en Algérie dans les années 90.

    Autant prévenir dès aujourd’hui tous les membres des associations qui sont révoltées par ces agissements : en pays musulman, les homosexuels sont jetés des toits et les femmes libérées sont lapidées.

    Ils échappent encore au pire à ce jour en France, mais avec Macron en 2022, ils devraient savoir maintenant leur avenir, il leur faudra choisir dans les urnes entre un destin final avec LREM et ses affidés et un destin normal avec Marine et Marion, peut-être même dès 2019 pour un coup d’arrêt européen au totalitarisme musulman et dès 2020 pour un arrêt local de l’avancée de la peste brune dans leur commune.

    En 1933, en Allemagne, il était vain pour tout juif ou opposant qui s’était fait molester et voler en pleine rue au vu et au su de tous, police comprise, de porter plainte et d’espérer réparation de la part des tribunaux et la condamnation des auteurs des razzias et exactions.

    En 2018, en France, il en va de même, voyous, truands, assassins qui vous volent, tabassent, violent sont à nouveau libres dans la rue le soir même, prêts à recommencer.

    Les plaintes, quand elles sont seulement prises en compte, n’aboutissent jamais, les réparations ne sont jamais recouvrées et les juges manifestent plus d’indulgence pour les auteurs des agressions que pour les victimes.

    De 1933 à 1938, les politiciens de France et de Grande-Bretagne ont constamment baissé leur pantalon devant Hitler et Mussolini alors qu’une guerre préventive évitait toute la suite et n’aurait jamais obligé d’appeler au secours les Américains.

    En 2018, Macron et Merkel baissent constamment pavillon, pour rester poli, devant les bandes d’allogènes qui s’arment dans les banlieues, qui cassent et brûlent les lieux de culture et d’épanouissement, comme les écoles, les gymnases, les médiathèques.

    Avant, très bientôt, d’être obligés d’appeler au secours les armées libres de Pologne et de Hongrie qui, seules, demain, seront capables d’éradiquer la peste brune musulmane et mafieuse qui gangrène l’Europe et son économie.

    En 1938, c’est Daladier et Chamberlain qui livrent la Tchécoslovaquie à Hitler.

    En 2018, c’est Macron et Merkel qui livrent le Royaume françois et le Saint-Empire germanique aux troupes ennemies sarrasines.

    Ainsi, ceux qui rédigent les pensées et discours de l’hôte de l’Élysée, que ce dernier va réciter sans sembler les comprendre devant les journalistes, ont fait un mauvais parallèle et ne sont pas capables  d’appréhender le sens de l’Histoire et de la réalité en marche, bouffis de l’idéologie qui les aveugle.

    Les nationalistes européens de 2018 n’ont d’autre but que de protéger l’Occident d’une guerre contre les allogènes et les Sarrazins qui se comportent vindicativement comme les régimes hitlérien et mussolinien de 1933.

    Les soi-disant démocrates au pouvoir en Europe actuellement, Juncker, Merkel, Macron et les autres ont exactement la même attitude que leurs prédécesseurs des années trente : reculer devant la montée des périls jusqu’à livrer des pays comme la Tchécoslovaquie au fascisme allemand, croyant, comme le dira Churchill, éviter la guerre dans le déshonneur pour finir par avoir et la guerre et le déshonneur.

    Or, Macron, Merkel, Juncker et leur bande, c’est exactement cela, la guerre et le déshonneur, qui laissent l’infiltration de notre Europe par les 5es colonnes de l’ennemi, allant même jusqu’à les soutenir et les armer contre les vrais défenseurs des démocraties de pays qui veulent rester libres : les nationalistes.

    Jean d’Acre

     

    PRENEZ VOS PRÉCAUTIONS

    fin mai jusqu'à fin septembre 2020, cela ira très, très mal en France

    et cela ira mal de septembre 2020 et les 18 mois suivants!

     

  • Comment couler encore plus la France?

    Plafonnement des paiements en espèces: les entreprises françaises en péril

    quand les sur-transpositions de Bercy portent atteinte aux entreprises françaises.

    Les directives européennes, au moins depuis l’année 2005, ont imposé des obligations de vigilance auxquelles sont soumises les personnes négociant des biens dès lors qu’elles effectuent ou reçoivent des paiements en espèces pour un certain montant, que la transaction soit effectuée en une fois ou sous la forme d’opérations fractionnées qui semblent être liées.

    C’est ainsi que la 3e directive européenne du 26 octobre 2005 (n°2005/60/CE) a imposé la mise en place d’un seuil de vigilance de 15 000€; seuil rabaissé à 10 000€ dix ans plus tard par la 4ème directive européenne du 20 mai 2015.

    La France, faisant preuve d’une lecture particulièrement restrictive de ces textes, décide alors d’imposer non pas des seuils de vigilance mais des seuils d’interdiction de paiements en espèces au-delà de 1 000€ pour les résidents français (3 000€ pour les monnaies électroniques) et de 10 000€ pour les non-résidents (et 15 000€ pour les transactions relevant du secteur du luxe).

    En légiférant ainsi, les pouvoirs publics n’ont pas pris en compte l’impact significatif qu’engendraient de telles mesures sur le secteur du luxe, du commerce de l’art, des antiquités et du tourisme.

    En effet, la France qui accueille plus de 80 millions de visiteurs par an se prive de ce fait de toute une clientèle particulièrement aisée (ressortissants chinois, japonais, brésiliens, russes et moyen-orientaux) qui a l’habitude de procéder à des transactions au moyen de paiements en espèces: lorsque ces clients apprennent l’existence de cette réglementation au moment du paiement en boutique, 34 % d’entre eux renoncent à l’achat (Xerfi France, Étude d’impact, septembre 2016). Rappelons ici incidemment que pour 44 % des touristes chinois, le shopping est un critère déterminant dans le choix de destination.

    Quant au seuil d’interdiction touchant les résidents français, l’étude XERFI indique qu’une vente sur 4 est annulée du fait de cette restriction à 1 000 €, laquelle était ignorée par 79,6 % des clients avant l’achat.

    Non seulement l’instauration de tels seuils d’interdiction porte atteinte à la libre circulation des capitaux et des moyens de paiement telle que définie à l’article 63 du traité sur le fonctionnement de l’Union Européenne, mais elle contribue surtout à créer d’importantes distorsions de concurrence entre les entreprises européennes.

    En effet, de nombreux autres États membres de l’Union Européenne disposent d’une législation beaucoup plus souple: par exemple, l’Allemagne, le Royaume-Uni, le Luxembourg, l’Autriche ou encore l’Irlande ne fixent aucun seuil pour les paiements en espèces, mais bien des procédures de surveillance. Ces seuils de surveillance, tels qu’imposés par Bruxelles garantissent, de plus, la traçabilité des personnes qui payent en cash au-delà de 10 000 €. En imposant des interdictions, la France se coupe de cette traçabilité et donc de surveillance. De plus, cette inégalité de traitement des espèces contribue à déporter injustement une partie des échanges commerciaux vers les autres États européens et États frontaliers.

    La Commission européenne le reconnaît: dans son dernier rapport du 12 juin 2018, elle relève que les restrictions aux paiements en espèces " peuvent inciter les consommateurs et les entreprises à renoncer à effectuer une transaction, à déplacer la transaction dans un pays où ces restrictions n’existent pas, de sorte qu’elles contribuent à des déplacements artificiels d’activités commerciales. "

    C’est la raison pour laquelle nous avons décidé de déposer un recours administratif pour faire évoluer l’état du droit actuel, et redonner au luxe à la française la compétitivité économique qu’il mérite.

    Avocate fiscaliste docteur en droit conseillère régionale d’Île-de-France, 1er Vice-président de l’Alliance Centriste. 

    Déléguée générale du comité Vendôme. ↩

    Déléguée générale UBH union de la bijouterie et de l’horlogerie.