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Opinions - Page 96

  • Mordre la main qui te nourri….

    Vendée: des migrants ont saccagé leur foyer car ils étaient mécontents de la nourriture, une association pro-migrants accusée de les avoir incités à l’émeute

    A La Roche-sur-Yon (Vendée), le foyer pour mineurs étrangers non accompagnés du boulevard d’Angleterre a été saccagé, ce jeudi 3 janvier.

    Selon les premiers éléments, une vingtaine de mineurs étrangers se serait révoltée, vers midi. Un mécontentement, semble-t-il, né de la qualité de la nourriture.

    Les fauteurs de trouble s’en sont pris au mobilier de la cuisine et de la salle de repos. Les chaises et les tables ont valsé, des coups ont été donnés dans les portes et les cloisons. La nourriture a été jetée à terre. La vaisselle n’a pas, non plus, résisté au vent de révolte.

    "Nos hommes se sont retrouvés face à des individus impossibles à raisonner. Il n’y a pas eu d’affrontements physiques. Mais la situation était extrêmement compliquée", indique le commissaire Dufour.

    Toutefois, les Etablières ont décidé de porter plainte contre une association de défense de migrants, car une de leurs militantes était présente sur site au moment de la rébellion. Et la direction soupçonne cette dernière d’avoir incité les jeunes à se révolter.

    Actu.fr

     

    Et si on retirait tous les droits civiques, toutes les résidences HLM, toutes les allocations, le droit parental, la nationalité française à ces gens des associations d'aide aux migrants qui sont des traites à la France?

    En faire des apatrides, n'en déplaise à l'ONU! dehors, sales mauvais français! des charters pour le retour chez eux des migrants économiques et des traitres à la France!

    Quand on pense que macrouille met en taule des gilets jaunes qui défendent leur point de vue et leur porte-monnaie, pendant que les policiers, obligés de lutter contrer les vrais Français de France, ne sont pas dans les banlieues où sévit la ségrégation, la partition, la drogue, l'enfermement des filles…

    Macrouille, un de ces quatre, tu sera jugé follement puisque tu est fou!

    Le trop et le peu, gâtent le jeu!

     

  • Quel avenir, pour les Gilets jaunes?

    Ce sera l’une des grandes questions de l’année à venir.

    2019 et ses risques

    Car la colère, bien qu’endormie par la trêve des confiseurs, ne semble pas complètement calmée. L’arrivée subite du prélèvement à la source réservera bien des (mauvaises) surprises aux Français — tant du côté des patrons que du côté des employés. Les atteintes aux libertés seront plus nombreuses et, une fois de plus, essentiellement justifiées par le combat contre les dérèglements climatiques. Citons, pêle-mêle, la fin de circulation des autocars aux normes Euro 4, la restriction progressive de l’utilisation du glyphosate ou encore, à Paris, la réforme des normes Crit’Air, qui pénalisera les conducteurs n’ayant pas les moyens (ou refusant) de remplacer leur véhicule diesel vieux de plus de 13 ans.

    Bien qu’il ait concédé aux Gilets jaunes des réformettes touchant directement au pouvoir d’achat de certaines catégories de Français, le Président n’a pas dévié de sa ligne dans son discours de fin d’année. Parler de "porte-voix d’une foule haineuse", appeler à "changer les choses pour vivre mieux", promettre de nouvelles réformes et, enfin, la diatribe habituelle dans ce pays de France contre "le capitalisme ultralibéral et financier (qui) va vers sa fin".

        Macron: " le capitalisme ultralibéral et financier va vers sa fin " pic.twitter.com/EwGrY7XNh7

         — BFMTV (@BFMTV) 31 décembre 2018

     Avec de telles prémisses, le grand débat national semble parti sur de drôles de bases. Surtout s’il n’est toujours pas question de baisser drastiquement les dépenses publiques pour permettre ce redémarrage dont la France a besoin.

    Un président isolé

    L’exécutif continuera, cette année, à traîner comme un boulet l’affaire Benalla, qui n’en finit plus de connaître des rebondissements. La majorité devra aussi resserrer les rangs, montrer un véritable soutien public au Président, et calmer les électrons libres qui, à l’image du député au sabre-laser, ternissent l’image des institutions en ces temps de crise.

    La crédibilité du monde politique a aussi souffert dans les rangs de l’opposition. La France Insoumise ne s’est pas remise de l’affaire Mélenchon-Chirikou ou, de manière plus anecdotique, du "boloss" prononcé à l’Assemblée nationale en réponse au défi lancé par un animateur de radio.

        Je crois que " boloss " a donc été placé , et dans un discours bien travaillé @Deputee_Obono #challengerelevé !

     De belles fêtes de Noël !

    Les institutions de cette République déjà écornée n’avaient pas besoin de tels spectacles.

    À ce rythme de barnumisation, 2019 s’annonce pire que 2018.

    Pour cette nouvelle année, toute la rédaction de Contrepoints vous souhaite néanmoins d’augmenter, à votre échelle personnelle, votre part de liberté

    Ludovic Delory

    Journaliste, essayiste. Rédacteur en chef de Contrepoints.

  • Smicards? les privilèges des autres...

    Nouveau privilège pour les parlementaires: le casier judiciaire

    Quand les députes enterrent eux-mêmes la condition d’un casier judiciaire vierge pour être éligibles.

    Par Pierre Farge*.

    Tandis que la France connait sa quatrième semaine de manifestations sans précédent depuis cinquante ans, les députés enterrent eux-mêmes la condition d’un casier judiciaire vierge pour être éligibles. Soulignant un peu plus les problèmes de légitimité́ et de représentativité́ du pouvoir, le Parlement secoue une fois encore la démocratie de ses contradictions.

    Pierre Farge, avocat à la Cour, démontre en professionnel du droit l’aberration d’une telle initiative parlementaire.

    Après l’allocution du président de la République en réponse au mouvement des Gilets jaunes, exactement au moment où le Sénat votait l’allègement des taxes contre les exilés, une nouvelle contradiction accablait le pouvoir en place.

    Se présenter aux élections avec un casier

    Alors que la récente loi de moralisation de la vie publique disposait de " l’interdiction pour tous les détenteurs d’un casier judiciaire (niveau B2) de se présenter à une élection ", le Parlement a en effet trouvé la parade juridique selon laquelle l’interdiction de se présenter à une élection si le casier n’est plus vierge peut être interprétée comme " une peine automatique ", contrevenant au " principe d’individualisation des peines garanti par la Constitution ".

    Quoi que cet argument n’ait gêné personne des décennies durant, voilà que nos députés y font droit.

    Ainsi, sans polémiquer sur les membres du parlement, objets de procédure judiciaire en cours, et donc passibles de peines qui les empêcheraient de renouveler leur mandat, la question de fond qui se pose est de savoir pourquoi les parlementaires votent eux-mêmes leur immunité par une loi les exemptant de casier judiciaire vierge pour se présenter, plutôt que de laisser, comme tout le monde, en vertu de l’article 755-1 du Code de procédure pénale, le soin de formuler une demande d’effacement de la condamnation mentionnée au casier judiciaire, à l’appréciation d’un magistrat le soin de juger, ou non, de cette désinscription?

    En effet, tous les citoyens condamnés à une peine – ferme ou avec sursis – peuvent formuler ab initio, à l’audience, en vue de la condamnation encore probable, une demande de non inscription au casier judiciaire de la peine éventuellement à venir; A défaut, dans les cas en général les plus graves, formuler a posteriori à la condamnation une requête aux fins de désinscription au B2 devant la Chambre correctionnelle ayant prononcé leur jugement (c’est ce qui est dans la pratique privilégié afin de donner au condamné la mesure de sa peine, et l’obligation de son amendement pour obtenir le retrait de sa mention).

    Dans ces deux cas, il convient de justifier: de raisons légitimes en apportant la garantie, ou la preuve, de l’amendement de l’intéressé depuis les faits, d’une distance avec l’infraction, voire d’une guérison dans le cas par exemple d’une pathologie de kleptomanie ou autre problème psychiatrique;

    et surtout de témoigner que la mention d’une telle condamnation au B2 constitue un véritable obstacle à la réussite d’un objectif (comme rejoindre un emploi dans la fonction publique, une charge assermentée, ou une élection au Parlement).

    Laisser à l’appréciation de la justice indépendante

    Par conséquent, si les parlementaires tiennent absolument à être éligibles malgré un casier judiciaire, il revient non pas de décider, entre eux, et de façon générale, leur immunité par une loi les exemptant, mais plutôt de laisser à l’appréciation d’une justice indépendante, le soin de juger s’ils justifient, au cas par cas, de la désinscription de toute mention, et in fine d’être en capacité d’être éligible.

    Cette seconde solution placerait les représentants du peuple sur un pied d’égalité avec ceux qui sont censés les représenter, comme autant de témoignages d’un pays respectueux de l’équilibre des pouvoirs, sans parler de donner une image exemplaire de l’État, sinon plus vivifiante de la démocratie en pareille contestation populaire placardant par milliers de manifestants des demandes de Référendum d’initiative citoyenne (RIC).

    Ce qui fait finalement penser au bon mot d’Alain Juppé, certes dans d’autres circonstances, mais toujours philosophe: "En matière judiciaire, il vaut mieux avoir un passé qu’un avenir".

     

    *Pierre Farge est avocat au barreau de Paris en contentieux et pénal des affaires. Engagé, il défend notamment la cause des lanceurs d’alerte.

  • Danger pour la France

    Pacte de Marrakech validant la submersion migratoire

    Macron ne doit pas signer le Pacte mondial des migrations imposé par l’ONU !

    Les chefs d’États des pays membres de l’ONU se réuniront les 10 et 11 décembre prochain à Marrakech pour signer le Pacte mondial sur les migrations.

    Approuvé avec "l’autorité morale (sic) des Nations unies", reposant sur le dogme de la liberté absolue de circuler, ce texte constituera à coup sûr une base politique et juridique qui invitera mécaniquement les pays à abattre leurs frontières pour accueillir les migrations internationales.

    Ce pacte est une menace pour l’intégrité des Étatsde ce monde qui sont appelés à renoncer ainsi aux particularismes de leurs peuples pour ne plus entraver les grands déplacements de populations présents et avenir.

    République tchèque, Croatie, Bulgarie, Slovénie, Hongrie, Autriche, Estonie, Danemark, Pologne, Italie, Suisse, États-Unis, Israël, Australie… préférant privilégier la protection de leurs identités nationales, de nombreux pays ont annoncé leur décision de ne pas signer ce pacte. Prenant le contrepied de ce choix courageux, Emmanuel Macron a fait part de sa volonté d’engager la Franceen signant ce document, sans consulter quiconque, ni les Français, ni les corps intermédiaires de ce pays.

    Le peuple français ne peut être dépossédé de son droit à rester lui-même. Déjà accablée par le poids d’une immigration incontrôlée, la France ne peut être liée par un texte qui mettra davantage en péril les grands équilibres ethnico-culturels de notre pays.

    Emmanuel Macron -désavoué actuellement par plus de 80 % des français- a décidé d’apposer la signature de la France au bas de ce Pacte liberticide. Notre pays et plus généralement l’Europe sont en grand danger. Mobilisons-nous partout en France pour exercer une pression populaire puissante sur le chef de l’État et signons massivement la pétition qui sera transmise à l’Élysée.

    De nombreuses actions de terrain accompagneront cette démarche jusqu’au 11 décembre.

  • Le roi Macrouille

    Les pratiques royales sous Louis XIV ont été conservée .

    Lors de son passage à Reims , le chef de l’État avait prévu de dîner dans un restaurant réputé de la ville.

    Le Président ayant accumulé les retards, le dîner  sur place a été annulé et transféré vers les Ardennes  mais l'organisation de ce repas laisse pantois.

    Ce restaurant remarquable a eu l'honneur de voir arriver préalablement le cuisinier en chef de l’Élysée venu goûter les plats prévus et les valider (avait t'on peur d'un empoisonnement?)   Puis il a regardé la brigade du restaurateur faire son travail. Le cuisinier du roi n'est pas venu seul, il avait emmené avec lui une foultitude de personnes: Agents de sécurité, service du protocole et la table a été dressée selon les codes de l’Élysée  avec les nappes du palais par les serveurs de l’Élysée. Ne manquaient qu'un ou deux huissiers,  la garde républicaine et ainsi le Président n'aurait pas été dépaysé.

    Aussitôt annoncé que le Président ne prendrait pas son repas dans le restaurant, tout fut emballé rapidement car il était impératif que le chef cuisinier de l’Élysée arrive avant le Président à Charleville-Mézières. Le repas a été amené sous bonne escorte à la préfecture des Ardennes: craignait t'on que les langoustines et le saint Pierre soient tentés de sauter en route dans les cours d'eau ardennais?

    Rien ne justifie une telle gabegie, une telle suffisance parisienne qui veut qu'en tout lieu le Président soit comme au palais. Le restaurateur rémois n'était il pas en mesure de se surpasser pour offrir, sans être chaperonné,  un repas de grande qualité au chef de l’État?

    Multiplié par le nombre de déplacements annuels avec des mesures de sécurité qui confinent à la paranoïa, combien cela coûte t’il? Le Président s'offusque du pognon de dingue que la France dépense au titre des transferts sociaux, nous sommes en droit de nous étonner du luxe et du train de vie  qui règnent encore à tous les étages du palais, au bénéfice de quelque uns.

    Notre république est magnifique en façade mais gravement fissurée de l'intérieur, de moins en moins respectée par la faute exclusive de cette classe politique qui a perdu tout sens commun. Elle conserve et protège envers et contre tout son luxe et son apparat, à son seul profit, pendant qu'une majorité d'entre nous croule sous les difficultés quotidiennes et que la pauvreté gagne partout du terrain.

    C'est du populisme, vont s'offusquer ces messieurs qui ne veulent pas voir le ras le bol grandissant. De prochaines élections vont leur ouvrir les yeux.

     Hormis le journal local quotidien de la Marne, des Ardennes et de l'Aisne (l'Union), la presse écrite et télé a passé ces "détails" sous silence…