Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Robotique - Page 2

  • Le robot du futur avec une queue d'hippocampe

    Comment ne pas être surpris par l’hippocampe ? Ce poisson à tête de cheval est un animal au physique onirique et surprenant. L’aquarium du Monterey Bay, en Californie, possède une grande collection que nous vous invitons à découvrir en vidéo.

    Si la plupart des animaux à queue ont des appendices de forme cylindrique, la queue de l’hippocampe est carrée. C’est en voulant comprendre cette spécificité morphologique qu’une équipe réunissant des chercheurs de l’université Clemson, de l’université d’État de l’Oregon, de l’université de Californie à San Diego (États-Unis) et de l’université de Gand (Belgique) a découvert qu’elle pourrait avoir de nombreux avantages en robotique et en ingénierie.

    Ces scientifiques ont rendu compte de leurs travaux dans un article que vient de publier la revue Science. Ils ont découvert que la queue de l’hippocampe est composée de plaques osseuses carrées et mobiles reliées par des jointures qui facilitent la flexion et la torsion. Chaque plaque est composée de quatre sections mobiles en forme de " L " qui se chevauchent. Cette structure est capable de se déformer pour protéger la colonne vertébrale puis de reprendre sa forme initiale.

    Ce sont les muscles connectant la colonne vertébrale et les plaques qui permettent à l’hippocampe de s'agripper aux algues et aux coraux et de se maintenir en position pour s’alimenter en aspirant la nourriture qui flotte dans l’eau. En outre, la forme carrée offre plus de points de contact pour saisir quelque chose et assure une préhension plus efficace que les queues cylindriques. Cette combinaison de flexibilité et de robustesse recèle un potentiel très prometteur…

    L’image principale montre la numérisation en 3D d’une queue d’hippocampe. On distingue les plaques osseuses carrées pourvues chacune de quatre sections en " L " qui se chevauchent lorsqu’une pression externe s’exerce. Les quatre images du bas sont des prototypes de queues cylindriques et carrées fabriqués avec une imprimante 3D. Les chercheurs ont comparé les propriétés mécaniques de ces deux structures et découvert les avantages du modèle imitant l’appendice de l’hippocampe. © Oregon state university

    L’image principale montre la numérisation en 3D d’une queue d’hippocampe. On distingue les plaques osseuses carrées pourvues chacune de quatre sections en " L " qui se chevauchent lorsqu’une pression externe s’exerce. Les quatre images du bas sont des prototypes de queues cylindriques et carrées fabriqués avec une imprimante 3D. Les chercheurs ont comparé les propriétés mécaniques de ces deux structures et découvert les avantages du modèle imitant l’appendice de l’hippocampe. © Oregon state university

    " Nous avons découvert que cette architecture carrée apporte non seulement de la dextérité et une résistance, mais qu’elle se remet naturellement en place après avoir été déformée ou tordue, explique Ross Hatton, professeur à l’université d’Etat de l’Oregon et co-auteur de cette étude. Cela pourrait être très utile à des applications de robotique qui doivent être à la fois solides, efficaces d’un point de vue énergétique et capables de se plier et se tordre dans des espaces exigus. " Afin justement d’évaluer ce potentiel, les chercheurs ont utilisé l’impression 3D pour reproduire une queue d’hippocampe et des modèles de queues cylindriques. Les prototypes ont été soumis à des tests de résistance et de flexibilité qui ont révélé un net avantage à la structure carrée en matière de préhension et de robustesse.

    Un compromis entre robots rigides et robots mous

    "Le fait de comprendre la mécanique grâce à ces prototypes peut aider les ingénieurs à développer des technologies inspirées de l’hippocampe qui imiteront les fonctions de préhension et de protection de cet appendice naturel pour des applications en robotique, en systèmes de défense et en biomédecine ", peut-on en lire en conclusion de l’article. Et les chercheurs ont d’ores et déjà quelques idées de ce que l’on pourrait tirer d’une telle structure.

    Ils évoquent un robot d’exploration qui ramperait tel un serpent et pourrait contracter son squelette afin de se faufiler plus aisément dans les anfractuosités. Selon eux, il s’agirait d’un compromis idéal entre les robots rigides et les robots mous. La robotique industrielle est aussi concernée avec la possibilité de développer des bras hautement articulés dotés d’une meilleure préhension que des modèles cylindriques. Dans le domaine de la défense, il est question d’une armure souple dont les plaques flexibles pourraient absorber l’énergie en se déformant comme le fait la queue de l’hippocampe. Ces qualités pourraient aussi servir la médecine et en particulier les instruments utilisés pour la laparoscopie. Et la liste n’est pas exhaustive…

    RTEmagicC_seahorse2__Copier_.jpg

     

     

     

     

     

     

     

     

  • Waldo, le robot qui obéit au doigt, à l’œil et à la voix

    Waldo, véritable assistant personnel d'aide à l'autonomie, sera commercialisé dès la rentrée 2015, au tarif de 1000 euros.

    L’entreprise Immersive Robotics lance la commercialisation d’un robot pilotable depuis un ordinateur et capable d’assister n’importe qui dans les tâches du quotidien.

    L’idée a inspiré de nombreux films de science fiction. Mais c’est un petit personnage bien réel que la startup française Immersive Robotics a mis au point et s’apprête à lancer sur le marché. Son nom? Waldo. Sa fonction? Assistant personnel. Signes particuliers? Obéit au doigt et à l’œil mais aussi à la voix. Le projet, longuement muri, est né il y a trois ans et s’est concrétisé en seulement quelques mois, avec un premier prototype dévoilé début avril au salon High-tech de Laval.

    Le look de Waldo? Un automate équipé d’une tête avec deux caméras lumineuses en place des yeux et d’un haut-parleur dissimulé derrière la fente qui lui sert de bouche. Son corps se divise en deux plateaux dont l’un repose sur trois roues qui lui servent à se déplacer. Sa principale innovation? Il est entièrement pilotable à distance. " Vous le laissez chez vous et pouvez en prendre le contrôle depuis n’importe quel endroit" , précise Laurent Boireau, le président d’Immersive Robotics.

    Un robot et une sensation de "téléportation"

    Pour le diriger, un simple ordinateur, un smartphone ou une tablette suffisent. Mais ses créateurs ont aussi choisi de s’appuyer sur la technologie de la réalité virtuelle, en plein boom, notamment dans l’univers des jeux vidéo. Waldo peut être livré avec un casque équipé d’un écran interne directement relié aux deux caméras. L’équipement permet de voir ce que voit l’humanoïde en 3D mais il capte également les mouvements de la tête. En résumé, si l’on regarde à droite, il se tourne lui aussi vers la droite. Ainsi, une personne à l’hôpital ou qui ne peut se déplacer a, grâce au casque, la sensation d’être téléportée n’importe où. Mariage, repas de famille… : voilà désormais possible d’y être tout en n’y étant pas ! Sans compter que l’appareil, en plus d’être les yeux de son propriétaire, retransmet aussi sa voix et obéit à plusieurs commandes vocales.

    Un robot et une autonomie plus grande

    En option, Waldo peut être équipé d’un bras articulé capable de saisir des objets, d’actionner un interrupteur ou encore d’ouvrir une porte. Il se déplace aussi dans la maison quand il en reçoit l’ordre. Mais pour cela, il a besoin, au préalable d’une petit visite guidée des lieux afin de les identifier clairement et de se fabriquer une carte rien que pour sa mémoire interne à lui. Pour ses concepteurs, c’est aussi là toute sa richesse :  " Waldo peut surveiller votre domicile ou assister une personne à mobilité réduite, assure Laurent Boireau. Il éteint la lumière ou ramasse un objet va dans la cuisine ou suis la personne lorsqu’il en reçoit l’ordre" .

    Actuellement, Immersive Robotics réalise les dernières améliorations de sa machine et espère la mettre sur le marché cet été. Son prix: 1 000 euros pour la version équipée du bras articulé. Son créateur assure également que le produit d’origine est prévu comme une plateforme à laquelle il sera possible d’ajouter de nouveaux accessoires comme un écran ou des prises d’alimentations pour téléphone. Un robot évolutif.

     

    Waldo.jpg

     

     

     

     

     

     

  • Le robot sauteur

    On dirait un athlète qui enchaîne les sauts d’obstacles. Pourtant c’est bien un robot qui bondit aussi efficacement sur cette vidéo publiée par des ingénieurs du MIT. Et pas n’importe lequel: Cheetah, une des machines sur pattes les plus rapides au monde, qui vient de réaliser un nouvel exploit: franchir des obstacles de façon autonome à une vitesse moyenne de 8 km/h.

    Cela paraît simple. Mais pour parvenir à ce résultat, le robot doit détecter l’obstacle à l’avance, estimer sa hauteur et sa distance et intégrer la meilleure position à partir de laquelle sauter. Il lui reste alors à ajuster sa foulée pour s'élever juste à l’endroit de l’obstacle. Reste enfin à fournir suffisamment de force pour se soulever, puis gérer l’impact à l’atterrissage, avant de reprendre aussitôt son rythme initial.

    Il a fallu expérimenter tout ce processus sur un tapis roulant. Cheetah a alors réussi à sauter par-dessus des planches de 45 centimètres de hauteur, soit la moitié de sa taille, tout en maintenant une vitesse de 8 km/h. Les tests se sont poursuivis ensuite sur une piste dans un gymnase. Dans ce cadre, Cheetah a réussi à passer 90% des obstacles.

    Une prochaine démo lors de la compétition robotique de la Darpa

    Malgré son nom -qui veut dire guépard- Cheetah ressemble à une grosse mule et est capable de courir à plus de 46 km/h, une légende du web dont les vidéos affolent les habitués de Youtube depuis des années. Il a été conçu pour la société de robotique Boston Dynamics, rachetée depuis par Google. Son développement avait été financé par la Darpa qui soutient également les travaux du MIT.

    L’apport du MIT est d’avoir ajouté un système LIDAR qui utilise la lumière pour mesurer les distances et cartographier le terrain. A partir des données récoltées, un "algorithme de réglage d’approche "calcule la position idéale pour sauter et en déduit ensuite la vitesse de la foulée pour la distance restant à parcourir. C’est de cette manière que Cheetah peut fonctionner de façon autonome.

    Les chercheurs présenteront leurs travaux lors de la compétition de robotique de la Darpa au mois de juin prochain.

    Source: Le site du MIT

  • Un robot médical façon poulpe

    Un robot médical qui se plie, s’étire et se faufile, comme le bras d’une pieuvre: tel est le prototype présenté jeudi par des scientifiques italiens dans la revue britannique Bioinspiration & Biomimetics.

    Le bras robotisé, spécialement conçu pour la chirurgie mini-invasive, est également capable de manipuler des organes mous sans les endommager. Une partie du bras peut maintenir un organe pendant qu’une autre opère.

    Le "bras-pieuvre" est composé de deux modules identiques connectés entre eux.

     "La pieuvre n’a pas de squelette rigide et adapte la forme de son corps à son environnement " explique Tommaso Ranzani, le principal auteur de l’étude. L’objectif: permettre à la chirurgie d’accéder à des parties exiguës de l’abdomen ou d’autres parties du corps.

    Le dispositif pourrait réduire le nombre d’instruments nécessaires pour une intervention et donc le nombre d’incisions.

     

  • Le Fablab Festival Toulouse 2015 se déroulera du 6 au 10 mai 2015

     

    FabLab Festival Toulouse 2015 s'adressera à la fois au grand public, aux étudiants et aux professionnels. Il sera l'occasion de rassembler la communauté des acteurs des FabLabs français et européens."

    http://fablabfestival.fr/

    Le "FabLab Festival Toulouse "2015 s’adresse à tout citoyen, qu’il soit enfant, étudiant, retraité, chercheur ou professionnel de l’innovation. Les FabLabs, ou Laboratoires de Fabrication (certains disent Laboratoires Fabuleux…), sont des lieux regroupant toutes sortes d’outils où il est possible de passer de l’idée à l’objet.

    Une fois par an, un festival pour se voir et rassembler la communauté des FabLabs français et européelogons.

    Nous attendons avec impatience plus de 3500 visiteurs.

    Le festival est gratuit, ouvert aux curieux profanes ou initiés.

    Vous pourrez assister à des conférences : Voir le programme détaillé  sur le site

    Neil A. Gershenfeld, professeur au MIT, est à l’initiative du concept du FabLab. Le succès a été tel que l’idée s’est développée en dehors des universités, dans le monde entier. Plus de 500 FabLabs existent aujourd’hui sur tous les continents.

    Anjan Contractor, le co-inventeur de l’imprimante 3D alimentaire de la NASA pour les longues missions dans l’espace. Vous pourrez également voir les dernières machines dont les imprimantes 3D culinaires qui semblent souvent sorties tout droit d’un film de science-fiction.

    Vous pourrez également participer des ateliers et partager autour des démonstrations des machines des FabLabs (découpeuses laser, fraiseuses, imprimantes 3D, …).

    Au BioFablab, les plantes sont nourries par les poissons, les orchidées poussent dans des tubes à essai et les tartines de tapenade sont faites avec de la  spiruline.

    Avec ces démonstrations, nous vous montrerons cette révolution locale qui aura un impact global: le DIY (Do It Yourself). Vous aurez l’occasion de discuter avec les experts makers qui utilisent tous les jours ces machines afin de fabriquer, prototyper, prouver qu’il est possible de devenir soit même maker avec les bons outils.

    En tant que  membre d’un Fablab ou de la communauté de la recherche, vous pouvez exposer vos réalisations, faire un atelier pour partager votre savoir et participer à des conférences ou tables rondes. N’hésitez pas nous contacter:  Contact

    Vous êtes professionnels de l’innovation. Vous pouvez soutenir le festival et/ou avoir un stand pour présenter votre activité ou vos produits. N’hésitez pas nous contacter:  Contact

    Nous vous avons préparé des changements et de bonnes surprises jusqu’au mois de mai, ça bouge.

    Nous comptons sur vous !

    Y'a du cassoulet?

     

  • Voiture connectée

    Pierre Gandel met l'électromagnétisme au service la voiture connectée

    Pierre Gandel, actuel PDG du groupe Sonceboz a récemment reçu le prix Marius Lavet récompensant l'ingénieur-inventeur pour ses travaux dans l'électromagnétisme et la mécatronique.

    Un innovateur?

    Le baccalauréat en poche, Pierre Gandel entame un parcours scientifique orienté micromécanique et microtechniques. Il entre en effet à l'ENSMM de Besançon, entreprend une Maîtrise de Mécanique Appliquée puis un DEA avant de clore ses études par une thèse. L'histoire d'amour entre Pierre Gandel et l'électromagnétisme, cette science basée sur la résolution des équations de Maxwell, appliquée à des circuits magnétiques très spécifiques, est née ensuite, dès sa rencontre avec un grand scientifique du domaine :" J'ai eu la chance de faire la connaissance du Dr Claude Oudet, qui m'a appris mon métier. Dès lors, je suis devenue créateur de nouveaux types de circuits électriques basés sur l'électromagnétisme ". Plus concrètement, Pierre Gandel définit cette science ainsi :" Tout ce qui transforme un signal électrique en un mouvement mécanique, c'est cela le cœur de la science de l'électromagnétisme". En 1990, après un début de carrière dans la société suisse de microtechnologie pour moteur, Portescap, il figure parmi les co-fondateurs de Moving Magnet Technologies (MMT), une entreprise de recherche dans le domaine de l'électromagnétisme, acquis en 1995 par le groupe Sonceboz dont il est l'actuel PDG. Mais Pierre Gandel se démarque par sa vision particulière de l'innovation :" L'innovation, c'est une invention qui a réussi, qui a percé sur le marché ; c'est une solution technologique à un problème rencontré par un client". Autrement dit l'innovation ne dort pas dans un placard, c'est bel et bien une idée commercialisable qui répond à un besoin réel du marché.

    L'idée disruptive?

    Avant d'entrer dans le cœur de son innovation, Pierre Gandel, dont le nom est cité dans 34 familles de brevets, tient à insister sur le collectif". Personne n'invente réellement seul, il existe toujours une équipe à la base d'une innovation". Alors en quoi consiste l'innovation apportée par Pierre Gandel et ses collaborateurs à MMT? Il s'agit d'un capteur de couples pour colonnes de direction," notre plus grand standard mondial", commente l’innovateur. Le capteur de couple est à l’origine de la gestion du système de direction assistée. En effet, il mesure la force de direction appliquée par l’automobiliste et la répercute sur la commande de sensibilité de l’assistance de direction électrique. 

    Voiture connectée

    Aujourd'hui, tout véhicule est doté d'une assistance électrique et c'est là que les capteurs de couples entrent en jeu. Sans capteurs, pas d'assistance car ceux-ci entraînent une réaction proportionnelle par un moteur électrique. Jusqu'alors, les capteurs de couples étaient" résistifs, avec contact". Pierre Gandel et son équipe ont développé" un capteur de couples sans contact, magnétique, multipolaire, avec une durée de vie et une fiabilité très importante" dont l'objectif est de réduire les émissions de gaz à effet de serre.

    Il rappelle l'aspect sécuritaire lié aux colonnes de direction". Il est nécessaire d'être sûr de son signal car l'assistance électrique en dépend. Le conducteur souhaite bien sûr être certain que son véhicule soit assisté de manière fiable. Sentir un à-coup au moment de la manipulation du volant serait directement lié à une mauvaise précision de ce capteur".

    En quoi cela nous impacte?

    L'innovation de Pierre Gandel se cache derrière de nombreux appareils électriques et de pièces. Actionneurs, moteurs et capteurs électromagnétiques peuplent en effet l'industrie, notamment automobile, mais pas que. Les rasoirs électriques de Panasonic par exemple fonctionnent grâce un actionneur produit par MMT. Aujourd'hui, Pierre Gandel revendique l'utilisation de ses produits innovants au service de la réduction des émissions de CO2 dans le domaine automobile "Dans tous les véhicules, la plupart des fonctions qui sont 'sous capot', soit les fonctions-moteur, sont en train de s’électrifier. On retrouve des actionneurs, des petits moteurs ainsi que des capteurs sous le capot, qui viennent dépolluer et réduire la consommation". L'inventeur cite notamment un produit développé pour la marque de voitures BMW: un actionneur de levée de soupapes électromagnétique, qui permettrait de sauver" 3 à 5% de la consommation des véhicules", par voie de conséquence, réduirait leurs émissions de CO2.

    Et à l'avenir?

    Évidemment, la voiture connectée ou" la voiture autonome" comme la nomme Pierre Gandel, constitue un grand terrain de jeu pour ses innovations". La prochaine grande révolution dans le domaine des capteurs et des moteurs aura lieu dans le monde automobile avec l'avènement dans 10 ou 15 ans des véhicules autonomes, les voitures du futur et c'est dans ce secteur que nous travaillons aujourd'hui". Équipées de nombreux capteurs, moteurs, actionneurs, les voitures de demain seront de plus en plus automatisées". Ce qui paraît déplacer d'envisager aujourd'hui sera possible dans un futur proche Quand on voudra téléphoner ou répondre à ses emails au volant de sa voiture pris dans un embouteillage, le véhicule se prendra en charge lui même grâce à tous les capteurs, moteurs et actionneurs. On pourra alors tranquillement vaquer à nos occupations".

    http://www.atelier.net/trends/articles/portrait-innovateur-pierre-gandel-met-electromagnetisme-service-voiture-connectee_434885