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Santé - Page 18

  • A ne pas oublier, les idiots qui se plaignent du confinement...

    Pour comprendre combien de peu d'efforts nous sommes appelés à faire: Anne Frank est restée enfermée 25 mois, sans aucun des conforts que nous avons aujourd'hui, en faisant attention à ne pas faire de bruit pour ne pas être découverte.

    Jeune fille ado, connue pour avoir écrit un journal intime. Celui-ci est rapporté dans le livre “Le Journal d'Anne Frank“, écrit pendant les deux années où elle se cachait avec sa famille à Amsterdam, aux Pays-Bas, alors sous occupation allemande, afin d'éviter la Shoah.

    Arrêtée le 4 août 1944 puis déportée le 2 septembre 1944 vers le camp d'extermination d'Auschwitz-Birkenau. Sept mois après son arrestation, Anne meurt du typhus dans le camp de Bergen-Belsen, quelques jours après sa sœur Margot Frank.

    Le camp est libéré par des troupes britanniques le 15 avril 1945, Amsterdam est libérée le 5 mai 1945.

    Juste pour se rappeler que ce que nous faisons, aujourd'hui, n'est pas grand chose.

  • Le refus obstiné de la chloroquine devient un crime d’État

    La potion magique existe bel et bien. À quand la fin du massacre?

    À quand la fin de cette diabolique politique du n’importe quoi ?

    Trois grands noms de la santé apportent aujourd’hui leur soutien à Didier Raoult et à la chloroquine, dans une tribune du Figaro.

    N’en déplaise à Olivier Véran, qui patauge misérablement et ne supporte pas la contradiction !!

    https://www.voici.fr/news-people/actu-people/chloroquine-olivier-veran-recadre-philippe-douste-blazy-et-fait-le-point-sur-ses-echanges-avec-didier-raoult-677863?amp&__twitter_impression=true

    Stop à l’assassinat programmé de nos aînés !

    La colère monte chez les professionnels de santé et les appels à généraliser le traitement de notre star planétaire se multiplient :

    En Italie, en Espagne, où la chloroquine est autorisée et où on constate une diminution du nombre de morts quotidiens. Si le confinement freine l’épidémie, personne ne peut affirmer que la chloroquine n’y est pour rien.

    Car c’est bien à Marseille que le Coronavirus tue le moins.

    Alors que les intégristes des procédures et règlements en tous genres, qui encadrent les essais cliniques, démolissent les travaux du Pr Raoult , accusant ce dernier de manquer d’éthique et de mettre en danger la vie des patients, on apprend que trois grands noms de la médecine se disent convaincus par les résultats de la chloroquine obtenus à l’IHU de Marseille.

    Fabien Calvo, ancien directeur scientifique de l’Institut national du cancer, Jean-Luc  Harousseau, ancien président de la Haute Autorité de santé, Dominique Maraninchi, ancien directeur général de l’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé, disent oui à la généralisation de la chloroquine selon le protocole du professeur Raoult.

    Pour eux, aucun doute. Le traitement du Pr Raoult fait baisser la charge virale dans 90 % des cas en moins de huit jours, évitant ainsi l’aggravation et le transfert en réanimation des patients.

    En revanche, sans traitement, le virus persiste chez plus de 50 % des patients après huit jours.

    Par conséquent, " le traitement à la chloroquine permettrait de réduire la période de contagiosité de façon significative, facilitant ainsi l’éradication de l’épidémie. "

    Pour la majorité des Français, la cabale menée contre l’éminent infectiologue marseillais est aussi injuste qu’incompréhensible.

    Voir Karine Lacombe s’acharner violemment contre un remède qui sauve des vies dépasse l’entendement. De la mauvaise foi à l’état pur, car plus le temps passe et plus le Covid-19 tue !

    Beaucoup y voient une manœuvre dictée par les liens que ce médecin entretient avec de nombreux laboratoires, lesquels n’ont aucun intérêt  à voir le Covid-19  vaincu par une simple boîte de chloroquine à 5 euros, aux effets secondaires modestes et connus depuis 70 ans !

    https://www.liberation.fr/checknews/2020/03/26/cette-professeur-critique-des-methodes-de-didier-raoult-est-elle-en-conflit-d-interet-avec-les-labor_1782911

    Mais le pire est de prétendre que l’étude " Discovery " menée en Europe va lever le voile sur l’efficacité de la chloroquine, alors que cette étude biaisée ne respecte aucunement le protocole du Pr Raoult.

    Tout est orchestré pour démontrer l’inefficacité de la chloroquine et pour torpiller les travaux d’une sommité médicale de renommée internationale.

    En effet, sous couvert d’une éthique plus que douteuse, l’étude " Discovery " va tester  la chloroquine seule, sans antibiotique associé, et sur des patients  ayant des symptômes depuis huit jours, alors que le Pr Raoult préconise un traitement immédiat pour faire baisser la charge virale en seulement sept jours.

    Fausser sciemment les résultats est tout simplement criminel.

    Le dernier bilan de l’IHU de Marseille est le suivant : 2 179 patients traités et 9 morts, ce qui donne un taux de mortalité de 0,4 %. C’est remarquable.

    https://www.mediterranee-infection.com/covid-19/

    Où est l’éthique quand on laisse mourir les patients alors qu’un remède existe en médecine d’urgence, en attendant mieux ? Un remède disponible immédiatement et pas cher.

    Certes, les chiffres obtenus par le professeur Raoult résultent d’une étude empirique, mais ils montrent une incontestable efficacité de la chloroquine, associée à un antibiotique, et administrée dès les premiers symptômes.

    Précautions essentielles avant traitement : un électrocardiogramme et un dosage du potassium préalables.

    Ce n’est pas un hasard si des milliers de médecins à travers le monde plébiscitent l’usage de la chloroquine. En Espagne, 72 % des médecins la prescrivent.

    http://www.fdesouche.com/1358699-covid19-une-enquete-menee-aupres-de-6200-medecins-a-travers-le-monde-plebiscite-lusage-de-l-hydroxychloroquine

    En France, nos " experts " ont fait le choix de  laisser les patients contaminés rentrer chez eux, aggravant ainsi l’épidémie et engorgeant les hôpitaux, au point de ne plus pouvoir traiter les vieux, qu’on euthanasie faute de moyens.

    Elle est belle l’éthique officielle, qui voudrait faire passer Didier Raoult pour le " Docteur Maboul " !!

    Nos trois sommités de la médecine préconisent donc l’élargissement des tests aux patients suspects et la généralisation de la chloroquine chez  les médecins généralistes.

    " Les patients, légitimement, ne tolèrent pas que le diagnostic sur leur état de santé soit simplement présumé et qu’il leur soit  seulement recommandé de rester chez eux avec la crainte de complications, alors même qu’une option thérapeutique simple, sous surveillance médicale, peu onéreuse et possiblement efficace pourrait leur être proposée ".

    " Une proposition de soins élargie doit  être avancée alors que les services de réanimation sont surchargés  et que des tensions sont présentes sur les approvisionnements en médicaments et appareils qui leur sont indispensables. "

    De son côté, l’ex-ministre de la Santé Douste Blazy, visiblement plus lucide et  pragmatique que nos obsédés de la randomisation que sont Karine Lacombe et  Olivier Véran, en appelle au gouvernement pour agir en urgence.

    https://youtu.be/XZIluvS2qWE

    La seule solution pour limiter les dégâts, c’est la chloroquine, ajoute Nicolas Dupont-Aignan.

    Un message de bon sens qui n’atteint pas Karine Lacombe, laquelle reste de marbre devant la peur des Français et l’urgence de la situation.

    Car c’est l’hécatombe dans nos hôpitaux et nos Ehpad.

    Le monde entier plébiscite le remède d’un génial médecin français, sauf la France ! C’est tout simplement sidérant.

    Jacques Guillemain.

     

  • Confinement: et si les " mondialistes " voulaient tenir le peuple en laisse

    " Dans le cadre de l’urgence et de la prescription de l’hydroxychloroquine en traitement du Covid-19, des effets secondaires ont malheureusement été constatés. En phase de réanimation, certains patients se réveillent pour crier : "Paris on t’encule". (Prof. Didier Raoult)

    Devenu une star planétaire, le professeur Didier Raoult incarne à lui seul l’opposition contre le gouvernement, la province contre Paris, le peuple contre les élites… 

    Les mondialistes qui nous gouvernent (ceux qui sont au niveau au-dessus de Sibeth, Édouard Philippe et même Macron) ne sont ni cons ni incapables mais infiniment pervers car ils travaillent au conditionnement des masses.

    https://olivierdemeulenaere.wordpress.com/2020/04/04/coronavirus-et-nouvel-ordre-mondial-valerie-bugault/

    Brandon Smith reprend la thèse d’Olivier Demeulenaerme lors de l’alerte Ebola de 2014. Certes, la zizanie qui préside aux décisions de nos gouvernements laisse imaginer de l’incurie.

    Système à 2 vitesses: non-confinement des banlieues, jeunes migrants (Saint-Jean-de- Védas, Palavas), ouverture des prisons, mais on peut y voir un plan mûrement réfléchi. Alors que le professeur Raoult est d’une compétence reconnue internationalement, le traitement qu’il préconise est interdit en France pour des prétextes d’autorisation manquante de mise sur le marché).

    https://www.youtube.com/watch?v=jp4j-VK7xAM&feature=youtu.be

    Dans le même temps, Édouard Philippe et Olivier Véran signent, le 28 mars, le décret 2020-260 paru au JO du 29 mars 2020 qui modifie le précédent décret du 15 mars 2020 et qui instaure un protocole de soins palliatifs pour les patients atteints, ou soupçonnés de l’être par le Covid-19. Ce décret recommande de prescrire et de délivrer hors autorisation de mise sur le marché des solutions injectables auparavant utilisées pour l’épilepsie. Il est recommandé aux Ehpad d’en stocker dans leur pharmacie. En cas de détresse respiratoire, les heureux gagnants bénéficieront donc de manière "humanitairement dérogatoire" d’une sédation profonde (létale ?) que de mauvais esprits qualifient d’"euthanasie active " car ces produits sont contre-indiqués en cas d’insuffisance respiratoire grave…

    #COVID19 : un décret du 28 mars 2020 autorise l’#euthanasie pour se débarrasser des vieux qui encombreraient l’hôpital, écoutez cette interview sur #RadioShalom ! Elle dit tout ! Et dire qu'on prétend être le pays des droits de l'Homme…

    #Rivotril #Coronavirus #Covid_19fr pic.twitter.com/1woRlaxYV2

    — Gilbert Collard (@GilbertCollard) April 2, 2020

    https://twitter.com/GilbertCollard/status/1245686073096839168

    Ce stupéfiant décret peut régler à la fois le problème du financement des retraites, du manque de lits en Ehpad, de l’autorisation d’euthanasier sans la volonté du pseudo-malade, la remise sur le marché en période de pénurie d’immobilier, et donne un petit coup de pouce aux labos. En effet, un des produits concernés par le décret, le Midazolam, remboursé à 65 %, alors qu’il revenait pour un patient à 3,64 euros, aurait connu une augmentation, le tarif pour l’hôpital passant de 47 ct à 26 euros la dose. Rassurons-nous, la validité de ce décret vient à terme au 15 avril. À suivre…

    Une épidémie virale comme celle que nous vivons va entraîner un effondrement économique et, de restrictions de libertés en restrictions, a de fortes chances d’aboutir à la promulgation de la loi martiale évoquée depuis le début par Micron en référence à l’article 16 de la Constitution.

    https://ripostelaique.com/deconfinement-la-peur-panique-des-elites.html

    Nous avons connu l’approbation de lois scélérates par une majorité d’amateurs revendiqués, l’article 49-3, le virus et son cortège de victimes diffusé à loisir par les médias du système, ce qui permet un contrôle social accepté par un peuple que son Président encourage à "entrer en guerre" contre un ennemi invisibl ; on essaie de nous faire accroire que le Covid-19 se transmettrait par l’air ; on commence à évoquer des pénuries alimentaires. La surveillance est devenue constante tant horizontale que verticale.

    Pourtant, notre gouvernement a refusé toute restriction aux voyages jusqu’à ce que l’épidémie devienne pandémie ; il a été constant que le pouvoir en place – notre gouvernement mondialiste – n’a jamais eu le souci de sauver des vies mais a délibérément choisi de laisser faire le pire pour le peuple, afin d’accroître son pouvoir sur lui. En effet, plus la courbe de décès est ascendante, plus la peur s’installe et le peuple est en demande de sécurité au point d’accepter de perdre des libertés. D’ailleurs, les notaires sont de plus en plus sollicités pour la rédaction de testaments et le peuple panique. La France n’a ni masques, ni respirateurs, ni tests de dépistages en suffisance. On interdit des médicaments qui ont fait leurs preuves mais on autorise ceux qui tuent. Est-ce vouloir sauver des vies ? De plus, on libéralise de manière dérogatoire les conditions d’avortement.

    https://www.lemonde.fr/idees/article/2020/03/31/il-faut-proteger-les-droits-des-femmes-et-maintenir-l-acces-a-l-avortement_6034997_3232.html

    Parallèlement, le peuple comme l’opposition parlementaire accepte tout : le confinement, la course de Castaner au nombre de PV établis… On se demande même où sont passés les " droits-de-l’hommistes " de Montpellier comme Sophie Mazas ou Miss Goulag Ressiguier quand les muezzins de la Paillade ou des Cévennes appellent à la prière… C’est quand même pire que la fête de la Saint-Roch !

    Brandon Smith comme Olivier Demeulenaerme voient sans la crise Ebola de 2014 une expérience, une répétition avant la " générale". La pandémie Covid-19 arrive à point nommé pour masquer l’effondrement économique en cours : la dette de la France est supérieure à son PIB, le pays a vécu en 2019 une année de manifestations en continu – Gilets jaunes, manifs retraites -, des délocalisations, des pertes de souveraineté… Les auteurs précités annoncent que les restrictions, le sacrifice des libertés vont connaître des hauts et des bas pour mieux tenir le peuple en laisse… c’est ainsi que pour tenir les rênes, vient d’être créé un ministère du Déconfinement – Mort De Rire -. Peurs et demandes de sécurité seront suivies de relâches dans la pression.

    Le docteur de service Salomon – belle tête de reptilien – qui annonce froidement et quotidiennement, comme à la Bourse, les quotations du Covid-19 conduit le public à " être forcé de mendier l’aide des autorités ".

    Selon le professeur Gidéon Lichfield (MIT) le 17 mars 2020 sur la distanciation sociale: "ce nouveau processus de conditionnement de masse par vagues de panique puis de libération et de calme "… agit sur les victimes qui réclament des contrôles, sont dans l’incertitude totale, l’instabilité, totalement conditionnées, à tel point que le public sera prêt à abandonner la monnaie, les cartes de crédits et " une perte des libertés simples de se déplacer ou de participer à une interaction humaine normale ". Au moyen du téléphone portable, nos données biométriques pourront servir de passeport, pour ne pas être exclu social à l’ex-mode soviétique, alors…

    " il faudra accepter d’être suivi et repéré à tous moments "

    Richard Roudier

  • Nouvelles de la macaronie

    Jean Messiha balance tous les mensonges (fake news) de BFM TV sur le Coronavirus. Il ne manque pas d’ouvrage et c’est loin d’être terminé.

    Les médias ont passé 3 ans à essayer de couler @MLP_officiel sur la base du débat de 2017.
    Les mêmes médias viennent de passer 3 mois à couvrir l’incompétence et les mensonges criminels du gvt qu’ils ont mis en place en 2017.
    Ici une compil des #FakeNews de @BFMTV.
    Scandaleux

    pic.twitter.com/CPl4gsMNgY

    — Jean MESSIHA (@JeanMessiha) April 5, 2020

     

    Il paraît que c’est par souci de solidarité: Deuxième commande confisquée en une semaine. Alors que le jeudi 2 avril, une première commande de masques de protection, faite à l’initiative de la région Bourgogne-Franche-Comté, avait été " retenue par l’État " au profit du Grand Est, ce dimanche, c’est une nouvelle cargaison de deux millions de masques, arrivée dans la matinée à l’aéroport de Bâle-Mulhouse, qui a été " intégralement réquisitionnée par l’État, sans concertation, ni même information préalable ", indique le conseil régional de Bourgogne-Franche-Comté dans un communiqué. "

    " En raison du confinement et de la situation sanitaire, des étrangers en attente d’expulsion sont relâchés, malgré des profils parfois inquiétants. " https://www.lepoint.fr/societe/quand-la-crise-sanitaire-ouvre-les-portes-des-centres-de-retention-05-04-2020-2370146_23.php#xtor=CS2-238

    À vos larmes: la bouleversante histoire d’amour du confinement, entre une veuve, Cathy, (depuis 1 mois et demi) de 64 ans et Adam, un beau réfugié tchadien de 21 ans. Plus que jamais, l’immigration est une chance pour la France. Qu’on se le dise. https://twitter.com/franceinter/status/1246696666868129793?ref_src=twsrc%5Etfw%7Ctwcamp%5Etweetembed%7Ctwterm%5E1246696666868129793&ref_url=http%3A%2F%2Fwww.fdesouche.com%2F1359275-la-veuve-et-le-refugie-la-fable-du-confinement-de-france-inter

     

     

     

  • La chloroquine

    Didier Raoult désigne les coupables. Une pièce capitale au dossier d’instruction: https://www.valeursactuelles.com/societe/des-normes-de-verification-de-plus-en-plus-lourdes-didier-raoult-denonce-la-dictature-de-la-methode-117860

    Espérons que cela va porter ses fruits:

    https://www.lepoint.fr/societe/une-petition-en-faveur-de-la-chloroquine-depasse-les-200-000-signataires-05-04-2020-2370182_23.php

    Chloroquine: l’appel de trois grands noms de la santé en faveur des préconisations du Pr Raoult "

    https://www.lefigaro.fr/vox/societe/chloroquine-l-appel-de-trois-grands-noms-de-la-sante-en-faveur-des-preconisations-du-pr-raoult-20200405?fbclid=IwAR00UGTGtr5UDkanW1ubsMcEkAe4dtxamamc8jUR-QXaDUzZcHPeqzHgQJQ

    Encore des preuves que ça marche, la méthode Raoult! Espérons que de plus en plus de médecins vont ainsi se rebeller contre les protocoles de mort officiels; et ce praticien de conclure:Moi, j’ai eu des journées jusqu’à neuf morts. Des gens qui disparaissent seuls, sans famille. Deux confrères qui y étaient opposés ont changé d’avis après s’être soignés avec cette méthode. " Il dit aussi comprendre l’opposition des réanimateurs: " À leur stade, c’est trop tard. C’est un traitement à appliquer au début de la maladie. Il s’étonne enfin de la manière dont est mené l’essai clinique européen Discovery: " La chloroquine est testée avec un autre antibiotique que l’azithromycine. C’est stupéfiant! Par ailleurs, je suis surpris de voir qu’on teste encore le Kaletra, qui a fait l’objet d’une étude chinoise négative et à qui on prête des effets secondaires majeurs, notamment rénaux. " Et le praticien de prévenir: " À la fin, il y aura des règlements de compte politiques et médicaux. 

    https://www.republicain-lorrain.fr/sante/2020/04/06/coronavirus-le-bilan-tres-positif-d-un-praticien-lorrain-qui-prescrit-la-chloroquine?fbclid=IwAR2r6vP6hdQ5HdUi_E6zDqy6YhPPSEzBeodnOl19evFeVcmMw6F2SVLp93s

     

    L'idiot utile

    Suite à la pétition de Douste-Blazy, Véran est furax: "Olivier Véran fulmine: Désolé mais ce n’est pas monsieur Douste-Blazy, qui a lui même été ministre et qui sait très bien comment les choses se passent, qui va dicter cette décision. je ne peux pas la prendre seul sans l’aval des sociétés savantes, sans l’aval de centaines d’experts! ". Et ces derniers recommandent la plus grande prudence: "Je ne vais pas faire de pari sur la santé des Français, je suis allé aussi loin que je le pouvais à ce stade pour autoriser la prescription de la chloroquine, j’ai mouillé ma propre chemise" , assène-t-il. 

     https://www.voici.fr/news-people/actu-people/chloroquine-olivier-veran-recadre-philippe-douste-blazy-et-fait-le-point-sur-ses-echanges-avec-didier-raoult-677863?amp&__twitter_impression=true

     

  • Nouvelle preuve

    Site du Vidal

    RIVOTRIL (clonazépam) et paracétamol injectables : utilisation dérogatoire dans le cadre de la COVID-19

    Par DAVID PAITRAUD - Date de publication : 30 Mars 2020

    Dans le cadre de la prise en charge des patients COVID-19, un décret publié au Journal officiel du 29 mars 2020 modifie temporairement, jusqu'au 15 avril 2020, le périmètre d'utilisation, de prescription et de dispensation des spécialités suivantes :

    • RIVOTRIL 1 mg/mL solution à diluer injectable en ampoule (clonazépam) : autorisation de prescrire et de délivrer ce médicament hors AMM, pour prendre en charge la dyspnée ou la détresse respiratoire chez les patients COVID-19 ou suspects, dont l'état clinique le justifie ;
    • spécialités à base de paracétamol injectable : prescription élargie à tout médecin et dispensation autorisée en rétrocession aux patients ambulatoires COVID-19 ou suspects, dont l'état clinique le justifie.

    L'utilisation dérogatoire en ville du clonazépam et du paracétamol injectables est autorisée dans le cadre de la COVID-19 (illustration).

    Le décret du 28 mars 2020 publié au Journal officiel du 29 mars définit des conditions dérogatoires d'utilisation, de prescription et de dispensation des spécialités suivantes dans le cadre du traitement de l'infection par le SARS-CoV-2 : 

    Ces mesures dérogatoires sont applicables jusqu'au 15 avril 2020.
    Encadré 1 - Indication thérapeutique de RIVOTRIL injectable selon son AMM

    Traitement d'urgence de l'état de mal épileptique de l'adulte et de l'enfant (cfVIDAL Reco "Épilepsie de l'enfant").

     

    Encadré 2 - Spécialités de paracétamol injectable commercialisées en France et indication thérapeutique de PERFALGAN selon son AMM

    • PERFALGAN 10 mg/mL solution pour perfusion
    • PARACETAMOL ARROW 1 mg/mL solution pour perfusion
    • PARACETAMOL KABI 10 mg/mL solution pour perfusion 
    • PARACETAMOL PANPHARMA 10 mg/mL solution pour perfusion 
    • PARACETAMOL RENAUDIN 10 mg/mL solution pour perfusion 
    • PARACETAMOL BBRAUN 10 mg/mL solution pour perfusion
    • PARACETAMOL MACOPHARMA 10 mg/mL solution pour perfusion  

    Selon l'AMM, ces spécialités de paracétamol injectable sont réservées à l'usage hospitalier.

    PERFALGAN est indiqué dans le traitement de courte durée des douleurs d'intensité modérée, en particulier en période post-opératoire et dans le traitement de courte durée de la fièvre, lorsque la voie intraveineuse est cliniquement justifiée par l'urgence de traiter la douleur ou l'hyperthermie et/ou lorsque d'autres voies d'administration ne sont pas possibles.


    RIVOTRIL injectable (clonazépam) : utilisation hors AMM dans la dyspnée et la détresse respiratoire
    En ville, le décret prévoit une dérogation d'utilisation hors AMM (autorisation de mise sur le marché) pour la spécialité RIVOTRIL 1 mg/mL solution à diluer injectable en ampoule (clonazépam). Jusqu'au 15 avril 2020, les médecins peuvent prescrire ce médicament chez des patients atteints ou susceptibles d'être atteints par le SARS-CoV-2, pour la prise en charge de la dyspnée et la prise en charge palliative de la détresse respiratoire (cf. Encadré 1).

    Dans cette utilisation hors AMM, les médecins doivent se référer aux protocoles établis par la société française d'accompagnement et de soins palliatifs (SFAP) ; ils doivent indiquer sur l'ordonnance la mention "Prescription hors AMM dans le cadre du COVID-19"

    Conformément à cette dérogation, les pharmaciens d'officine sont autorisés à honorer une prescription de RIVOTRIL injectable hors AMM chez des patients COVID-19. Dans ces conditions, la prise en charge par l'Assurance maladie est assurée à 100 %.

     

    • Le clonazépam injectable dans la prise en charge palliative de la détresse respiratoire : l'essentiel des propositions de la SFAP

    La SFAP a élaboré des propositions thérapeutiques pour la prise en charge de la détresse respiratoire chez des patients présentant une forme grave de COVID-19.

    Dans ce document, la détresse respiratoire est définie par les symptômes suivants : asphyxie, polypnée, tachycardie, agitation, utilisation des muscles respiratoires accessoires (élévation de la clavicule durant l'inspiration), respiration paradoxale (dépression abdominale durant l'inspiration), battement des ailes du nez, râles de fin d'expiration, faciès de peur.
    Les auteurs de ces propositions distinguent plusieurs situations : 

    • Accès aux seringues électriques : utilisation de morphine et de midazolam (cf. Encadré 2), par voie IV (intraveineuse) ou SC (sous-cutanée) ; la voie IV est à privilégier.
    • Accès à des dispositifs de perfusion mais sans seringue électrique : utilisation de morphine et de midazolam, par voie IV ou SC. 

    Dans le cas où le midazolam n'est pas accessible (cf. Encadré 3), il peut être remplacé par une autre benzodiazépine : 

    • Clonazépam (RIVOTRIL) [cf. Encadré 4]
    • Clorazépate (TRANXENE)
    • Voire diazépam (VALIUM) en tenant compte du risque de précipitation. 

    Encadré 3 - Le midazolam injectable, bientôt en ville

    Le midazolam injectable est le médicament de première intention pour réaliser une sédation profonde et continue maintenue jusqu'au décès (SPCMD). 
    Actuellement, il est disponible uniquement à l'hôpital.
    La mise à disposition en ville dans les pharmacies d'officine, pour des médecins qui prennent en charge des patients en fin de vie à leur domicile, est programmée pour le mois de juin (notre article du 11 février 2020). Cette décision a été annoncée par le ministère des solidarités et de la santé début 2020, suite aux recommandations de la HAS sur les modalités d'utilisation des médicaments de sédation


    Seul le clonazépam est cité dans le décret du 28 mars 2020 et peut faire l'objet d'une utilisation hors AMM remboursable pour le traitement des patients COVID-19. 

    Encadré 4 - Détresse respiratoire en situation de COVID-19 - Schéma posologique avec le clonazepam (propositions de la SFAP)

    • Perfusion : clonazépam bolus d'induction à 1 mg (IV ou SC), puis en relais à la dose de 3 mg/24h soit en IV SE (seringue électrique) ou SC SE, soit dans un soluté sur 24h ;
    • Sans perfusion : dose de charge contenant morphine 10 mg + clonazépam (1 mg) en SC directe, à renouveler aux bout d'une heure si besoin, puis administration de morphine 10 mg + clonazépam 1 mg en SC directe systématiquement matin et soir (possibilité de laisser un cathlon en place durant 5 jours).
    • Clonazépam et dyspnée

    Pour le traitement d'une dyspnée associée au COVID-19, la prise en charge selon les propositions de la SFAP repose préférentiellement sur l'utilisation : 
    - d'un morphinique 
    - associé systématiquement à une benzodiazépine, dont le clonazépam (à défaut du midazolam) : 0,5 mg IV ou SC toutes les 8 à 12 h. Si possible, relais par 2 mg dans un soluté de 500 cc - 250 cc si possible sur 24h.
    Si le traitement est inefficace sur la sensation de dyspnée, il est proposé de doubler les posologies de la morphine et de la benzodiazépine.

    Paracétamol injectable : prescription par tout médecin et dispensation en rétrocession à partir d'une ordonnance 
    Le décret du 28 mars 2020 prévoit la possibilité, pour les PUI (pharmacies à usage intérieur) pratiquant la rétrocession, de dispenser les spécialités de paracétamol injectable :

    • aux patients ambulatoires atteints de COVID-19 ou susceptibles d'être atteints et dont l'état clinique le justifie,
    • disposant d'une ordonnance médicale émanant de tout médecin et portant la mention "Prescription dans le cadre du COVID-19"

    Dans ce cadre, le paracétamol injectable est utilisé pour traiter la fièvre et la douleur, selon les indications de son AMM, à savoir lorsque d'autres voies d'administration ne sont pas possibles.
    Les règles de dispensation habituelles sont applicables : apposition sur l'ordonnance du timbre de la pharmacie, la date de délivrance et le nombre d'unités délivrées.
    La prise en charge de la spécialité de paracétamol injectable rétrocédée est assurée à 100 % par l'Assurance maladie.
    Lorsqu'un établissement d'hébergement pour personnes âgées dépendantes (EHPAD) dispose d'une pharmacie à usage intérieur, celle-ci peut se procurer la spécialité auprès de l'établissement pharmaceutique qui en assure l'exploitation ou auprès d'une PUI d'un établissement de santé.

    La posologie du paracétamol par voie injectable est calculée en fonction du poids du patient (cf. Tableau I).
    Lors de la prescription, il est recommandé d'indiquer la dose de paracétamol en mg et le volume correspondant, afin d'éviter des erreurs de dose.

     Tableau I - Tableau posologique - Paracétamol injectable (extrait du RCP de PERFALGAN)

    Poids du patient

    Dose par administration

    Volume par administration

    Volume maximal par administration sur la base des limites supérieures du poids du groupe (mL)**

    Dose journalière
    maximale***

    < ou = 10 kg *

    7,5 mg/kg

    0,75 mL/kg

    7,5 mL

    30 mg/kg

    > 10 kg
    à < ou = 33 kg

    15 mg/kg

    1,5 mL/kg

    49,5 mL

    60 mg/kg sans dépasser 2 g

    > 33 kg
    à < ou = 50 kg

    15 mg/kg

    1,5 mL/kg

    75 mL

    60 mg/kg sans dépasser 3 g

    > 50 kg avec des facteurs de risque d'hépatotoxicité

    1 g

    100 mL

    100 mL

    3 g

    > 50 kg sans facteurs de risque d'hépatotoxicité

    1 g

    100 mL

    100 mL

    4 g

    * Nouveau-nés prématurés : il n'y a pas de données d'efficacité et de tolérance disponibles chez les nouveau-nés prématurés.
    ** Les patients ayant un poids inférieur doivent recevoir des volumes plus réduits.
    L'intervalle entre deux administrations est de 4 heures au minimum. Ne pas administrer plus de 4 doses par 24 heures.
    L'intervalle entre deux administrations chez l'insuffisant rénal sévère est de 6 heures au minimum.
    *** La dose maximale journalière telle que présentée dans le tableau ci-dessus est destinée aux patients ne recevant pas d'autres produits contenant du paracétamol et devra être ajustée en conséquence, en tenant compte de ces produits.
    Pour aller plus loin 
    Décret n° 2020-360 du 28 mars 2020 complétant le décret n° 2020-293 du 23 mars 2020 prescrivant les mesures générales nécessaires pour faire face à l'épidémie de covid-19 dans le cadre de l'état d'urgence sanitaire (Journal officiel du 29 mars 2020 - texte 11)

    Documents édités par la Société française d'accompagnement et de soins palliatifs - COVID-19 :

    Fiche conseil Urgence sanitaires Patient COVID+ : Prise en charge de la dyspnée - Protocole médicamenteux (SFAP - 20 mars 2020)