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Santé - Page 15

  • Un jour où l'autre, cela fini par se savoir!

    Coronavirus – Neuf “experts” de Macron sont liés financièrement à l’industrie pharmaceutique qui veut nous vendre un vaccin obligatoire

    Il y a des informations sur lesquelles il faut régulièrement revenir pour permettre à une part de plus en plus grande de l’opinion publique de discerner les manipulations en cours pendant cette période d’épidémie de coronavirus. Ainsi, parmi les “experts” des conseils scientifiques chargés de conseiller le président Emmanuel Macron sur l’épidémie de coronavirus, plusieurs ont des liens d’intérêts financiers avec d’importants laboratoires pharmaceutiques.

    Neuf experts du conseil scientifique placé auprès d’Emmanuel Macron ainsi que du Comité analyse et expertise (Care) chargé de l’éclairer sur les questions purement scientifiques liées au Covid-19 ont bénéficié en cinq ans de nombreux avantages (déjeuners, dîners, hébergements à l’hôtel, frais de transport et honoraires) payés par l’industrie pharmaceutique.

    Parmi les industries pharmaceutiques les plus généreuses avec des médecins bien placés, citons la société américaine Merck Sharp and Dohme (MSD) et la société suisse Roche, deux laboratoires considérés comme en pointe dans la recherche contre le coronavirus.

    Faut-il dès lors s’étonner que ces “experts” mettent systématiquement en doute l’efficacité d’un traitement à l’hydroxychloroquine et à l’azithromycine tel que le propose le Professeur Raoult aux malades diagnostiqués à l’IHU de Marseille? Et faut-il s’étonner que les mêmes “experts” considèrent tous que les Français ne peuvent retrouver une vie “normale” sans avoir préalablement été vaccinés?

     

  • La gauchiasse: bête à en pleurer!

    Avec mes commentaires pas très polis... mais, au bout d'un moment de leurs crétineries, j'ai pas pu m'empêcher...

    Après la crise sanitaire: les écolos et socialistes en plein délire

    Un florilège des propos les plus extravagants de nos intellectuels socialistes et écologistes sur la crise sanitaire qui nous touche.

    Si la crise du coronavirus affecte le fonctionnement de l’économie de manière majeure, une certaine catégorie de la population continue de carburer à plein régime: les intellectuels et les hommes politiques écologistes et socialistes. Nous avions pensé initialement faire un bêtisier, mais nous n’avons pas souhaité infliger aux lecteurs un article qui aurait tenu sur plusieurs dizaines de pages…

    Aussi avons-nous choisi de présenter un florilège de l’analyse de la crise telle qu’exprimée par nos sommités de gauche et d’extrême-gauche (ce qui ne veut pas dire que la droite et l’extrême droite aient chômé de leur côté…) dans des articles, des entretiens et autres tribunes diffusés par la presse écrite.

    Ce qui frappe, au-delà des individualités, c’est la grande convergence dans les analyses de la crise. Pour plus de clarté, nous les présenterons en trois parties d’inégales longueurs: les causes de la crise, ses conséquences et les propositions pour le " jour d’après ".

    Les causes de la crise

    Quelles sont les causes de la crise? Même si certains franchissent le pas en n’hésitant nullement à accuser un libéralisme qui aurait causé l’épidémie, la plupart des intellectuels et des hommes politiques écologistes et socialistes renâclent devant l’obstacle. Difficile en effet d’accuser le libéralisme d’avoir provoqué la crise, alors même que le virus provient de l’un des pays les moins libéraux de la planète…

    Ah, si le virus avait pu être américain! Néanmoins, d’aucuns se servent de phrases ambiguës. Ainsi, un "collectif d’intellectuels, d’artistes et d’acteurs du milieu associatif", dont le neuropsychiatre Boris Cyrulnik, les sociologues François Dubet et Edgar Morin, voient dans la crise les "conséquences écologiques, économiques et sociales aberrantes d’une mondialisation pilotée par une logique productiviste et financière" ("Agir collectivement pour changer de modèle politique", Le Monde,  16 avril 2020). Quant au candidat socialiste à l’élection présidentielle de 2017, Benoît Hamon, il parle d’une "crise sanitaire mondiale liée aux conséquences écologiques du néolibéralisme" ("Notre société s’est lourdement trompée en préférant les biens aux liens", Le Monde, 17 avril 2020).

    En revanche, l’ensemble des écologistes et des socialistes accuse à tout le moins le libéralisme d’avoir aggravé l’épidémie. Ainsi une tribune signée par un "collectif" dont José Bové, soutient que ce sont toujours les mêmes facteurs aggravateurs (sic) de l’épidémie qui affectent notre environnement: "frénésie économique à courte vue, déplacements planétaires par millions, mauvaise santé de la population liée à des modes de vie et d’alimentation dégradés, systèmes de santé défaillants après 30 ans de néolibéralisme [sic] aveugle" ("La crise sanitaire impose l’urgence de la transition écologique", Libération, 1er avril 2020).

    De même, selon le sociologue Edgar Morin, on peut accuser la doctrine libérale d’avoir "commercialisé" l’hôpital et réduit ses moyens, ce qui a contribué au cours catastrophique de l’épidémie: "Les carences dans le mode de pensée [libéral] jointes à la domination incontestable d’une soif effrénée de profit sont responsables d’innombrables désastres humaines" depuis février 2020 (Entretien, Le Monde, 19-20 avril 2020).

    Les conséquences de la crise

    Nos socialistes et nos écologistes s’accordent sur le fait que la crise, ainsi que l’expose Benoît Hamon, doit "accoucher d’un nouveau monde". Le réalisateur Cyril Dion, "garant" de la Convention citoyenne pour le climat, avance qu’il faut changer de modèle sous peine que soient imposée des "mesures ultralibérales" qui profiteraient de la peur et de la sidération (Entretien, Le Monde, 12-14 avril 2020).

    Du constat de la crise vont pouvoir s’évincer de manière inéluctable un certain nombre de propositions. Le constat est double et en apparence contradictoire: l’État a failli, mais il reste le grand recours.

     

    En premier lieu, tous s’accordent à penser que, du fait des politiques "néolibérales", l’État a dramatiquement porté atteinte à la pérennité du secteur de la santé publique.

    La sociologue Eva Illouz prétend ainsi “que les hommes politiques, les places financières et les grandes entreprises se sont accordé pour promouvoir des politiques qui réduisaient drastiquement les budgets des soins de santé ("L’insoutenable légèreté du capitalisme vis-à-vis de notre santé", L’Obs, 23 mars 2020).

    Nom mais, quelle abrutie!

    Le "collapsologue" Pablo Servigne converge dans le même sens en alléguant que les politiques "néolibérales" iraient à l’encontre du bien commun en ayant démantelé les services de santé ou en n’ayant pas suffisamment prévu de stocks de masques (Entretien, Le Monde, 12-14 avril 2020).

    Et, abruti: c'est Flamby qui a coulé le stock de masques!

    Autrement dit, les intellectuels les plus à gauche font le constat indiscutable des difficultés majeures rencontrées par le service public de santé, mais ils font fi des chiffres et des statistiques indiscutables qui démontrent que la France est au sommet mondial pour les cotisations sociales, que ses dépenses de santé en termes de produit intérieur brut sont également au sommet et que, parmi ces dépenses, celles pour les hôpitaux publics en pourcentage sont également au sommet. Nos intellectuels ne mettront évidemment jamais en cause la bureaucratie, le fonctionnarisme et les gaspillages, mais ils prôneront toujours un accroissement sans frein des dépenses du secteur public.

    En second lieu, cet État inefficace est pourtant paré de toutes les vertus pour résoudre les difficultés qu’il a lui-même créées…

    Eva Illouz martèle que "seul l’État peut gérer et surmonter une crise d’une telle ampleur".

    Quant à la sociologue Dominique Méda, elle tire comme leçon de la crise "le rôle éminent de l’État, de sa fonction d’anticipation et de la planification" (" Prélude à la reconversion écologique", Le Monde, 19-20 avril 2020). Humour involontaire sans doute puisqu’il est difficile de contester que l’État, en l’occurrence et depuis de longues années, a fait preuve de cécité!

    Non, pas involontaire: trop gauchiasse pour se rendre compte qu'elle est grotesque!

    Quant à la planification, il sera rappelé qu’il en existe deux types, un bon et un mauvais: la planification centralisée, dans ses modalités impérative ou incitative, non seulement inefficace, mais encore -l’impossibilité d’un calcul économique en régime socialiste ayant été démontrée par les libéraux autrichiens- impensable épistémologiquement; et la planification "décentralisée", qui est celle des entrepreneurs et plus largement des acteurs du marché.

    Les propositions pour le jour d’après

    Les propositions pour l’après crise émises par les écologistes et les socialistes sont diverses, mais elles s’inscrivent toutes dans une perspective interventionniste, holiste et punitive. La politisation de la société doit s’accroître et les solutions ne pourront être mises en œuvre que par les autorités publiques, soit au niveau local, soit au niveau des différents États, soit par coopération internationale, soit encore et à terme par une sorte de gouvernement mondial.

    Sans viser à l’exhaustivité, nous classerons les différentes propositions pour la clarté de l’exposé en sept catégories distinctes:

    1°) Dominique Méda appelle de ses vœux un programme équivalent à celui du Conseil national de la Résistance de 1944 pour la "reconversion écologique de nos sociétés". Le mythe du CNR joue à plein et nous n’aurons pas la cruauté de rappeler ce que pouvait être ce programme à tonalité socialo-communiste issu des différents mouvements de pensées de la Résistance… et encore moins ses résultats dans un contexte de soviétisme triomphant.

    Enfermez cette folle furieuse!

    2°) Beaucoup, à commencer par le "collectif d’intellectuels, d’artistes et d’acteurs du milieu associatif" précité, (ou collectif de pignoufs associés) entendent voir revaloriser les salaires de ceux qui ont été en première ligne pendant la crise, à commencer par les plus modestes. Autrement dit, il conviendrait de récompenser, en vertu de leur "utilité sociale", certaines catégories de la population et il appartiendrait à l’État d’intervenir dans la "renégociation exigeante des conventions collectives" considérées.

    Or, non seulement l’État n’a pas à se mêler des conventions collectives, qui relèvent du secteur privé, mais encore l’argument est dangereusement réversible puisque si l’on doit "revaloriser" les salaires des catégories sociales les plus utiles en temps de crise, il ne faudrait pas faire de même en temps de non-crise….

    CQFD la bêtise gauchiasse à l'état pur!

    3°) Un tir groupé de propositions renvoie à cette vieille idée selon laquelle nos vies ne sont pas des marchandises… Pour le même "collectif d’intellectuels, d’artistes et d’acteurs du milieu associatif", (collectif des crétins associés“ la santé et l’alimentation ne devraient plus être soumises à la seule loi de l’économie de marché… sans qu’il se rende compte du fait que c’est déjà le cas, du fait de l’interventionnisme majeur de l’État dans ces domaines! La crise permet au "collectif" d’agriculteurs, dont José Bové, de soutenir la nécessaire "souveraineté alimentaire", qui devrait être inscrite dans le traité de Rome. Retour au Moyen-âge!

    4°) De manière plus large, il conviendrait, selon Pablo Servigne, de "retrouver une puissance des services publics de soin au sens large: alimentation, écologie, équité, santé, social", par des politiques "massives et coordonnées".

    Il semble donc que l’État hypertrophié en France ne le soit pas assez et que la place du secteur privé doive décroître encore comme peau de chagrin. Là encore, il ne vient pas à l’idée de nos auteurs que la France est déjà la nation la plus socialisée au monde parmi les pays développés.

    J'ai plus de commentaire, tellement il est con, le type!

    5°) Les écologistes et les socialistes plaident de manière uniforme pour une "transition écologique" appelée à dépasser les apories de l’industrialisme néo-libéral. Kesako quino bestiau?

    Seule la qualification de cette transition varie suivant les auteurs. Le "collectif" de paysans avec José Bové évoque une indispensable "transition écologique de l’agriculture", tandis que Benoît Hamon soutient une "transition écologique et énergétique radicale au niveau européen", bien entendu "pilotée par une puissance publique forte . En substance, l’étatisation et la collectivisation de la société et de l’économie doivent se poursuivre, mais à un rythme accéléré.

    Et, débile, tu t'est vu quand t'a fumé la moquette?

    6°) Il est une autre antienne de nos écologistes et de nos socialistes: le fait d’attribuer à chacun un revenu mensuel de manière automatique. Benoît Hamon reprend le cheval de bataille de sa dernière campagne présidentielle en promouvant un "revenu universel et inconditionnel".

    Et avec les oreilles, tu fais quoi?

    Julien Bayou, le secrétaire national d’Europe Écologie-Les Verts, confirme son souhait d’un revenu universel dans le cadre d’un "Grenelle du monde d’après" (Tribune, Journal du Dimanche, 16 avril 2020).

    Ce crétin ne sait même pas l'histoire du Grenelle: il n'était pas né! Moi, oui

    Quant à l’économiste Thomas Piketty, il profite des événements pour recycler sa vieille idée d’une "dotation sanitaire et éducative minimale pour tous les habitants de la planète".

    Et ton cul, c'est du poulet?

    L’ambition est ainsi plus forte: il ne s’agit plus de la France, État-providence le plus avancé au monde au sein duquel, il faut le rappeler, existent déjà différents minima sociaux! mais du monde entier. Comment diable pourrait-on financer une mesure à l’évidence de nature à ruiner les finances publiques? Thomas Piketty dégaine sa solution traditionnelle: mettre à contribution les plus riches et les grandes entreprises ("Éviter le pir ", Le Monde, 12-14 avril 2020)!

    Et y'a des cons pour acheter ce livre?

    7°) Les écologistes et les socialistes, si friands de localisme -il faut "relocaliser,  produire et consommer local" – et méprisants envers la division internationale du travail, n’entendent pas pour autant être accusés de nationalisme. La solution se trouve à l’international –sans mauvais jeu de mots… à commencer par la résolution de la crise financière en Europe.

    Du coup, dans le coin de Toulouse, y'a que du maïs à bouffer… nous prennent pour des vaches, ces cons-là!

    Gabrielle Siry, économiste et porte-parole du parti socialiste, juge opportune la création de coronabonds en vertu d’un principe de justice puisque -nouvelle lutte des classes- les pays du sud de l’Europe ont été victimes de différents "plans d’austérité" tandis que les pays du nord ont principalement profité de l’Union économique et monétaire (" Un psychodrame irresponsable", Le Monde, 12-14 avril 2020).

    Rabâchage, rabâchage idiot!

    Autrement dit, les États qui ont soigneusement géré leurs finances publiques, ou du moins ceux qui les ont gérées de manière à peu près convenable, doivent payer préférentiellement pour les folies des États les plus dépensiers.

    Plus encore, la création artificielle de coronabonds est censée permettre aux différents États de dépenser à tour de bras un argent qu’ils n’ont pas et ce, pour financer une improbable transition écologique et sociale!

    À lire les élucubrations en tir groupé des écologistes et des socialistes, l’observateur est amené à se poser un certain nombre de questions: comment peut-on travestir autant de chiffres et statistiques officiels ou en faire fi?

    S’agit-il d’une incompétence totale ou d’une crasse nullité en économie? Serait-ce purement et simplement de la mauvaise foi? Serions-nous en présence des effets délétères de l’idéologie entendue négativement comme pensée fermée sur elle-même?

    À moins d’être en présence d’un cumul de ces différents facteurs. En ces temps de confinement, une (re)lecture de “L’Opium des intellectuels“ de Raymond Aron et des diverses œuvres du regretté Jean-François Revel sur La connaissance inutile semble s’imposer.

    Jean-Philippe Feldman publiera prochainement Exception française. Histoire d’une société bloquée de l’Ancien Régime à Emmanuel Macron (Préface de Mathieu Laine, Odile Jacob).

    Lu sur Contrepoints.org

    Lui, là, est plus poli que moi!!!!

     

  • Ce serait une bactérie qui aide le virus?

    Covid-19: la piste du microbiote, vers un nouveau paradigme ?

    Une découverte majeure: le virus se sert d’une bactérie pour tuer

    Plusieurs équipes dans plusieurs pays (notamment en Chine, en France – à Lille – aux USA), ont fait une découverte majeure qui offre un grand espoir de traitement du Covid19.

    Le virus, en effet, ne tuerait pas directement, mais par l’intermédiaire d’une bactérie intestinale qu’il infecterait, la Prevotella… et c’est cette bactérie infectée qui, devenant virulente, déclencherait l’hyper-réaction immunitaire qui délabre les poumons et tue le malade !

    Ceci expliquerait:

    – pourquoi le traitement du Dr. Raoult, utilisant un antibiotique (l’Azithromycine), et plus encore celui du Dr Sabine Paliard-Franco, qui préconise une double antibiothérapie, fonctionnent,

    – pourquoi les enfants sont épargnés et les personnes âgées plus touchées: Provetella est quasiment absente de la flore intestinale enfantine, mais de plus en plus présente avec l’âge,

    – pourquoi les obèses sont beaucoup plus touchés: leur flore intestinale déséquilibrée contient beaucoup de Prevotella !

    – pourquoi les complications pulmonaires se déclenchent alors qu’on ne retrouve pratiquement plus de covid dans l’appareil respiratoire, la bactérie infectée (qu’on retrouve dans les selles, contenant de l’ARN du covid et parfois même des virus vivants) prenant le relais de son attaque initiale (bénigne), de manière beaucoup plus dramatique, en déclenchant l’hyper-réaction immunitaire inflammatoire qui noie les poumons…

    – pourquoi le virus peut réapparaître chez un patient guéri (avec alternance de positivité et de négativité des tests), car la bactérie, toujours présente dans la flore intestinale, en reste l’hôte et peut le relarguer à tous moments…

    Bref, cela expliquerait tout ; et cette cohérence augure de la validité de l’hypothèse.

    On tient donc une confirmation de l’intérêt de l’azithromycine, comme thérapeutique curative, à prescrire dès le début de l’infection… et même une piste prometteuse pour traiter préventivement les infections graves (des coronavirus… et sans doute aussi de la grippe !), ce traitement passant par le rétablissement d’une flore intestinale saine qui neutralise Prevotella (par la prescription de " probiotiques ", c’est-à-dire d’une bonne flore intestinale)…

    Il est clair que cette piste thérapeutique ultra-prometteuse bon marché rendrait alors caduque l’utilisation d’un vaccin, de découverte aléatoire et onéreuse… ce qui ruinerait donc encore les espoirs lucratifs de Gilead et autres labos pharmaceutiques sur les starting-blocks pour trouver un vaccin à diffuser aux 7 milliards d’habitants de la planète: la plus belle affaire du siècle.

    Il est probable aussi que les médias aux ordres, qui avaient lynché Raoult, parce qu’il laissait entrevoir cette piste thérapeutique bon marché, qui concurrençait leurs antiviraux dont ils attendaient de gros retours financiers, nous taisent cette découverte majeure, et qu’en revanche, ils nous serinent maintenant, à temps et à contretemps, que leur vaccin (qui est loin d’être au point et qu’il faudra refaire chaque année, comme celui de la grippe) est la " seule solution "!

    Source: Alternative Santé.

    Il est clair que cette pandémie suscite des convoitises chez les monstres financiers de la santé, tant le marché du Covid-19 est gigantesque. Plus de 3 milliards d’êtres humains sont confinés, les économies du monde entier sont ravagées.  Celui qui trouvera le remède miracle en obtenant l’approbation de l’OMS et du pouvoir politique fera exploser ses profits comme jamais.

    Voilà pourquoi une boîte de chloroquine à 5 euros ne mettra jamais fin à ce désastre planétaire. Une molécule à 300 euros, c’est bien plus juteux !

    Jacques Guillemain

    https://ripostelaique.com/big-pharma-vent-debout-contre-le-traitement-a-5-euros-du-pr-raoult.html

     

  • France Orange mécanique

    Yves Lefebvre (Unité SGP Police): " On sent une tension particulièrement palpable dans les banlieues. Il n’y a quasiment pas de confinement pour tous ceux qui vivent en marge des lois "

        "Depuis le début du confinement, on sent une tension particulièrement palpable dans les banlieues.

        Il n'y a quasiment pas de confinement pour tous ceux qui vivent en marge des lois.

        Ils considèrent que c'est une provocation !"#ConfinementJour35 #VilleneuveLaGarenne pic.twitter.com/iEgYVot4ue

        — Tancrède ? (@Tancrede_Crptrs) April 20, 2020

    http://www.fdesouche.com/1365217-yves-lefebvre-unite-sgp-police-on-sent-une-tension-particulierement-palpable-dans-les-banlieues-il-ny-a-quasiment-pas-de-confinement-pour-tous-ceux-qui-vivent-en-marge-des-lois

     

    http://www.fdesouche.com/1364831-emeutes-a-aulnay-sous-bois

     

    http://www.fdesouche.com/1365021-val-de-marne-des-violences-urbaines-cette-nuit-a-champigny-fontenay-sous-bois-creteil-et-villejuif

     

    http://www.fdesouche.com/1365009-metropole-lilloise-des-incendies-volontaires-la-nuit-derniere-a-ronchin-faches-thumesnil-wattignies-roubaix-et-lille-sud

     

    http://www.fdesouche.com/1364999-evry-la-police-caillassee-par-une-trentaine-de-personnes-cagoulees

     

    http://www.fdesouche.com/1364905-toulouse-des-policiers-pris-a-partie-par-une-trentaine-dassaillants-avec-des-fusees-des-cocktails-molotov-et-des-grosses-pierres-dans-le-quartier-du-mirail

     

    http://www.fdesouche.com/1364867-luc-lahalle

     

    http://www.fdesouche.com/1364855-29-suresnes%f0%9f%a4%9f%f0%9f%8f%bd-sur-twitter

     

    http://www.fdesouche.com/1364843-pepito-villepinte

     

    http://www.fdesouche.com/1365191-creteil-94-les-emeutiers-ont-tente-dincendier-a-deux-reprises-le-magasin-hypercacher

     

    Il est peut-être temps que l’armée intervienne, non ?

     

    Dans trois jours, le ramadan, dans un contexte de confinement… Cela va être terrible pour les frères. Castaner sera-t-il capable de faire respecter le confinement ? Le suspense est à son comble, le monde entier regarde la France avec angoisse:

    https://www.lexpress.fr/actualite/monde/afrique/pendant-le-ramadan-petits-arrangements-avec-le-confinement_2123800.html

     

    Laurent Obertone:

     

    En ce 35e jour de confinement, après 19 718 victimes du Covid officiellement recensées, des émeutes ont éclaté dans de nombreuses citées françaises pour une jambe cassée. Gennevilliers, Villeneuve-La-Garenne, Fontenay-sous-Bois, Évry, Saint-Ouen, Aulnay-sous-Bois, Suresnes, Villepinte, Rueil, Noisiel… Des incidents ont également été signalés dans certains quartiers de Strasbourg, Amiens, Lyon et Toulouse. Des dizaines d’incendies constatés.

    " Ce n’est que le début ", préviennent certains jeunes.

    Les autres, lavez-vous les mains, toussez dans votre coude.

  • Message rassurant du Dr Besnainou : la pandémie est presque finie !

     

    Les traitements qui marchent sont :

     

        Hydroxychloroquine + Azithromicyne : Didier Raoult (France), Steven Smith (USA)

        Hydroxychloroquine + Azithromicyne + Sulfate de zinc : Zev Zelenko (USA).

        Azithromycine + Singulair + Zinc : Médecins de l’Est, Philippe de Joux.

        Chloroquine + Doxycycline : médecin de Long Island (USA).

        Macrolide + C3G : Sabine Palliard-Franco (France).

        Azithromycine + Effizinc + Singulair + Héparine : trois médecins généralistes (France)

        (L’oxyde nitrique inhiberait le cycle de réplication du coronavirus :

        (L’anti-grippal japonais Avigan aurait de bonnes performances :

     

  • Les menteurs dévoilés…

     

    Le terrifiant témoignage de Fang Fang sur les méthodes chinoises

    Confinement. Jour 31.

    Luis Sepulveda et le virus chinois n’ont pas fait bon ménage. L’écrivain chilien est mort en Espagne. Le vieux ne lira plus des romans d’amour, ne racontera plus l’histoire d’une mouette et du chat qui lui apprit à voler.

    Les marchés d’animaux vivants rouvrent à Wuhan. Les Américains et les Australiens font la gueule. Les Européens se taisent. À Pékin, le quotidien nationaliste Global Times dénonce les " préjugés " occidentaux et l’idée " ridicule " de les fermer. La pro-chinoise OMS indique qu’elle n’a jamais plaidé pour la fermeture de ces marchés.

    Les pangolins sont inquiets.

    Et l’écrivain Fang Fang aussi.

    Cette intellectuelle de Wuhan a tenu un journal de sa vie et de sa ville pendant le confinement. Soixante récits en soixante-deux jours. Ce qu’elle voyait de sa fenêtre et ce que ses amis lui confiaient par Internet.

    Elle racontait: "Je vis à Wuhan, centre de l’épidémie, assignée à résidence, et ne communique avec mes amis et collègues que par Internet. Je note chaque jour ce que je vois, ce que j’entends, et j’attends que le point d’inflexion arrive. Lui [Xiang Ligang, patron du site Feixiang, proche du pouvoir, détracteur de Fang Fang] est à Pékin, libre de ses mouvements, mais dépense son énergie à m’insulter quotidiennement. Et il appelle ça avoir de la conscience? Qu’il sache que les gens sont de plus en plus nombreux à lire mon blog et à trouver que cette lecture les rassure.

    (…)

    Wuhan vit aujourd’hui une catastrophe. Il ne s’agit pas de l’obligation de porter des masques ou de rester cloîtré chez soi. Il s’agit de la liste des décès qui ne cesse de s’allonger. Jusqu’à présent, lorsqu’une personne mourait, son corps était mis en bière et emporté au crématorium. Maintenant, on transporte les cadavres dans des sacs, emportés sur des charrettes. Il n’est pas question d’un mort d’une seule famille, mais de morts par centaines en quelques semaines.

    Ce qui est catastrophique, c’est d’affronter le vent, le froid et la pluie pour tenter de trouver un lit dans un hôpital, mais sans résultat. Ce qui est catastrophique, ce sont ces queues interminables qu’il faut faire dans les hôpitaux pour s’inscrire, des queues qui peuvent durer deux jours, et, parfois sans même avoir réussi, vous vous écroulez à terre. Ce qui est catastrophique, c’est d’attendre chez soi une notification pour une place dans un hôpital, et lorsqu’elle arrive enfin, il est déjà trop tard. Le pire, ce sont ces patients gravement malades hospitalisés, qui, lorsqu’ils entrent, disent adieu à leurs proches, car ils ne les reverront jamais.

    (…)

    Au tout début de l’épidémie, les hôpitaux manquaient de main-d’œuvre, de lits et de protections pour le personnel médical. Or, la zone d’infection est immense, la main-d’œuvre insuffisante au crématorium, les camions pour transporter les dépouilles et les incinérateurs trop peu nombreux. Néanmoins, les cadavres contaminés par le virus doivent être brûlés au plus vite. Savez-vous tout cela? Ce n’est pas que les gens ne remplissent pas leurs devoirs, mais, depuis que l’épidémie s’est répandue, chacun fait de son mieux, même débordé, mais il est impossible de faire ce que prônent les trolls au service de la propagande".

    Deux maisons d’éditions – une américaine, Harper Collins, l’autre allemande, Hoffmann und Campe – s’apprêtent à publier son journal de confinement. Depuis l’annonce de ces publications, le régime communiste chinois orchestre une campagne de haine contre elle.

    "Je considère sérieusement que tu es une traîtresse", "Tu seras la honte de l’histoire" sont les mots les plus sympathiques qu’elle reçoit.

    Sinon, les menaces de mort pleuvent. Elle craint de disparaître comme Ai Fen, la patronne des urgences de l’Hôpital central de Wuhan.

     

    Début mars, Ai Fen a donné une interview dans laquelle elle affirmait qu’on avait essayé de la faire taire alors qu’elle voulait alerter contre le Coronavirus. Depuis, aucune nouvelle sérieuse d’elle. Sinon par son compte Weibo, un réseau social hybride entre Twitter et Facebook et contrôlé par le régime.

    Mais chuuutt ! Ne pas dire que la Chine est une dictature, que ses dirigeants sont des menteurs professionnels qui ont trompé le monde entier sur le danger du virus de Wuhan, sur le nombre de morts dans leur pays.

    Il ne faudrait surtout pas vexer Xi Jinping.

    Marcus Graven

    https://ripostelaique.com