Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Santé - Page 11

  • Médecins en colère

    Un traitement précoce

    Face à n’importe quelle maladie, n’est-il pas de notre devoir de soigner les patients? Et s’il n’existe pas de traitement qui fasse l’unanimité dans le monde médical, est-ce une raison pour ne rien faire?

    Depuis 1 an que ce virus est apparu, nous avons beaucoup appris sur lui et sur les complications. Nous savons qu’il évolue en deux phases, d’abord une phase infectieuse virale comme dans une grippe puis une phase inflammatoire où le virus n’est plus en cause directement.

    C’est cette phase inflammatoire qui impose l’hospitalisation en réanimation. Une majorité de personnes fait preuve, heureusement, d’une immunité suffisante pour ne jamais en arriver là. Mais des personnes fragiles n’ont pas cette chance.

    Malgré tous les combats d’égos télévisuels, nous sommes des milliers de médecins à avoir traité les patients qui en avaient besoin dans la première phase de la maladie pour leur éviter ces complications. Et nous le constatons tous les jours au quotidien: CELA FONCTIONNE.

    Les scientifiques qui réfutent cela ne le font que sur la base d’études qui sont à ce jour insuffisantes. Insuffisantes pour prouver définitivement que les traitements marchent, mais également insuffisantes pour prouver que cela ne marche pas. Et souvent ils n’ont aucune expérience personnelle de ces traitements qu’ils rejettent d’un revers de main. Sinon ils ne seraient pas aussi péremptoires. Il existe pourtant plus d’une centaine d’études dans le monde qui montre l’efficacité du traitement précoce en diminuant les hospitalisations, les séquelles respiratoires, la mortalité.

    Dans ces conditions, beaucoup de médecins dans le monde entier et en particulier en France ont décidé de soigner leurs patients malgré l’absence de consensus et la pression négative des institutions. Car c’est notre métier et nous n’accepterons jamais qu’on nous empêche de l’exercer. Nous sommes des gens responsables et il serait temps de nous faire confiance. Ce faisant, nous constatons dans nos cabinets que les malades sont soulagés bien plus vite, qu’ils s’aggravent moins et que nous hospitalisons beaucoup moins. Il serait temps qu’on prenne en compte cette expérience du terrain plutôt que se baser uniquement sur des études hospitalières puisque, justement, c’est en ville, AVANT l’arrivée à l’hôpital qu’il faut soigner.

    De nombreuses publications nationales et internationales laissent penser que le TRAITEMENT PRÉCOCE pourrait reposer sur une ou plusieurs de ces approches thérapeutiques:

        Le zinc à forte dose (60 mg en moyenne).

        La vitamine C qui, à forte dose (plusieurs grammes par jour), a une action antivirale, augmente nos défenses et aide à être moins fatigué.

        La vitamine D si elle n’a pas été déjà prescrite en prévention (on a montré que les personnes qui font des formes graves ont souvent des taux sanguins de vitamine D très bas).

        L’azithromycine, une molécule antibiotique qui, par sa configuration, a également une action antivirale en même temps qu’elle réduit le risque de surinfections bactériennes. Dans de nombreux cas, elle peut, à elle seule enrayer les symptômes en quelques jours.

        L’hydroxychloroquine (vendue en France sous le nom de Plaquenil®) dont l’efficacité sur le virus est bien démontrée. Mais pour qu’elle soit utile, elle doit être absolument utilisée dans la première phase de la maladie.

     

    Il existe même d’autres pistes complémentaires pour soulager et soigner les malades: d’autres antibiotiques de la classe des macrolides, la doxycycline (un autre antibiotique), l’ivermectine (un antiparasitaire comme l’hydroxychloroquine), l’armoise, une plante antiparasitaire très utilisée en Afrique ou en Asie avec des résultats très encourageants (il n’y a pas de recrudescence de l’épidémie en Asie et en Afrique), mais aussi l’aromathérapie, la phytothérapie ou l’homéopathie qui peuvent lutter contre les infections ou soulager les symptômes. Tous ces traitements doivent être prescrits par un médecin en fonction des spécificités de son patient, de ses symptômes et d’éventuelles précautions d’emploi.

     

    En conclusion nous demandons que le médecin traitant soit remis au centre du processus de prise en charge des patients

    et soit la pierre angulaire des démarches sanitaires.

    Nous demandons que de vrais protocoles de soins précoces soient mis en place, que ce soit pour la prévention de la population ou le traitement des malades comme n’importe quelle médecine moderne devrait le faire.

    C’est certainement la meilleure solution pour pouvoir sortir du confinement plus rapidement. Si nous mettions cela en place sans attendre nous pourrions surement passer des fêtes de fin d’année dans la joie d’être ensemble, avec l’amour de nos proches et la sérénité sur le plan sanitaire. Et cela peut nous donner l’espoir qu’en 2021 cette épidémie se termine enfin.

    Depuis 2 mois nous accumulons les décisions liberticides et pourtant le nombre de malades ne cesse d’augmenter. Nous avons, parait-il, dépassé les 40 000 décès, ce qui est 4 fois plus que nos voisins allemands. Il est temps de se rendre compte que la stratégie actuelle décidée par notre ministre de la santé nous amène dans le mur.

    Source:

     

    2e source:

     

  • La course à la conn… rie

    Chez les verts, la compète est lancée… C’est à qui va sortir la meilleure blague de la semaine. En fait, les verts, ce n'est pas un mouvement politique mais un concept qui revisite les grands comiques. C’est un concentré des Marx Brothers, des Pieds-Nickelés et des Branquignols.

    Ça a commencé avec le maire de Lyon, il devait trouver que le Bordelais lui faisait trop d’ombre, qui a dégainé le menu de la cantine sans viande, pas de charcutaille, même pas un blanc de poulet: la viande terminée, les gamins auront droit à un filet de poiscaille bouilli. Surtout pas une quenelle de brochet, de toute façon, la quenelle est un plat néo-nazi à proscrire.

    C’était bien parti pour Doucet avec sa tête de suceur de carottes (bios).

    Du coup, Narcissius Macronus a envoyé Pompili gros poumons au front: elle n’est plus EELV, mais cérébralement toujours, enfin cérébralement, ceci suppose l’existence d’un cerveau… ce n’est pas le sujet du jour…

    Elle a fait la tournée d’une cantoche pour faire l’apologie d’un vrai repas végétarien :

    source:

     

    Les mauvais esprits diront, soupe de courges, fromage de chèvre et poire: c’est le conseil des ministres!

    Par contre, niveau diététique: pâtes+lentilles, c’est féculent+féculent. En plus, gustativement, je suis dubitatif, surtout quand ça s’adresse à des enfants. Les fantaisies culinaires faut les réserver aux adultes consentants.

    Barbara avait quand même repris la main. Comme c’est du haut niveau, le patron des verts, Julien Bayou, le type qui a une tête à épousseter les acariens, a asséné le coup suprême: “Le repas végétarien, c’est le repas laïc par excellence“…

    Barbara n’y avait pas pensé, nous idem: en fait, être végétarien, c’est être contre le séparatisme. Coup double: ce sont des génies je vous le dis !

    Juste une question, les momos, au bout d’un moment, ne vont pas se contenter de bouffer du tofu, vous allez faire quoi les écolos?  Si vous accédez à leurs demandes, les repas seront plus laïcs… vous allez trouver quoi comme justification? J’attends avec impatience.

    Barbara n’a pas baissé les bras, elle est repartie au mastic et c’est beau. Oui elle est experte en tout: cuisine, physique quantique, elle sait tout faire…, elle s’appelle pas Pompili pour rien…

        Les éoliennes, sont-elles écologiques ? @barbarapompili: "Bien sûr que c'est écolo, elles utilisent le vent, une énergie renouvelable.

    "#Europe1 pic.twitter.com/AttH5c7zXV

        — Europe 1

  • Humour: la covid en région

    Zut, il manque le cassoulet toulousain!

    Les bonnes recettes toulousaines

    www.cuisine-toulousaine.com

  • Le professeur Perronne

    à faire circuler et à utiliser pour convaincre et sur les réseaux sociaux et vos proches de dire non au vaccin.

    On peut bien le taxer de complotisme, il fait ici son travail de médecin fidèle au serment d’Hippocrate, bien qu’il ait déjà payé plus que le prix fort pour avoir dit la vérité sur les manigances et mensonges du gouvernement.

    Ce texte est très important. Il dit tout de l’imposture (…) qui nous gouvernent.

    Message du Pr PERRONNE sur les vaccins!

    Publié le 02.01.2021 par Christian PERRONNE

     

    Chers amis,

    La France, qui vit un cauchemar depuis des mois, se réveille.

    Dans beaucoup de villes de notre beau pays, le peuple est en marche pour retrouver sa liberté, pour exiger le retour de la démocratie. En tant que médecin, spécialiste des maladies infectieuses et ayant été président de nombreuses instances ou conseils de santé publique, y compris sur les vaccins, je mesure chaque jour les incertitudes générant la peur et le désarroi croissant de nos concitoyens. Je prends le risque d’être à nouveau qualifié de "complotiste" ou mieux de "rassuriste", termes désignant ceux qui critiquent ou “challengent” la pensée unique.

    Je finis par être fier de ces appellations, mes propos exprimant la vérité n’ayant jamais changé depuis le début de l’épidémie. Je considère donc qu’il est de ma responsabilité de m’exprimer à nouveau ce jour sur l’ensemble du volet médical de la covid-19 et en particulier sur le sujet vaccinal, désormais l’élément central et quasiment unique de la politique de santé de l’État.

    Beaucoup de Français ont été hypnotisés par la politique de la peur. Depuis septembre 2020, on nous avait annoncé une deuxième vague terrible de l’épidémie, pire que la première. Le ministre de la Santé, le Dr Olivier Véran, le président du Conseil scientifique de l’Élysée, le Pr Jean-François Delfraissy, le directeur général de la Santé, le Pr Jérôme Salomon, l’Institut Pasteur nous ont annoncé des chiffres catastrophiques avec une augmentation exponentielle du nombre de morts. Les hôpitaux devaient être saturés et débordés.

    Même le président de la République, lors d’une allocution télévisée récente annonçant le re-confinement, nous a prédit non moins de 400 000 morts, renchérissant sur les 200 000 morts estimés peu de temps auparavant par le Pr Arnaud Fontanet de Pasteur. Ces chiffres irréalistes n’avaient qu’un but, entretenir la peur pour nous faire rester confinés, sagement masqués. Pourtant l’usage généralisé des masques en population générale n’a aucun intérêt démontré scientifiquement pour enrayer l’épidémie de SARS-COV-2. L’utilisation des masques devrait être ciblée pour les malades, leur entourage (surtout les personnes à risque) et les soignants au contact.

    Or l’épidémie régresse et n’a entraîné aucune apocalypse. La dynamique de la courbe montrait depuis des semaines le profil d’un rebond épidémique saisonnier qui s’observe avec certains virus, une fois la vague épidémique terminée. Cela témoigne de l’adaptation du virus à l’homme et est aussi le reflet de l’immunité collective qui progresse dans la population et qui nous protège naturellement. Les souches de virus qui circulent actuellement ont perdu de leur virulence. Les autorités ne pourront pas dire que c’est grâce au confinement car la tendance à la baisse avait commencé avant même sa mise en place. La régression de l’épidémie avait même commencé, dans certaines agglomérations, avant l’instauration du couvre-feu.

    Malheureusement, il y a encore des décès qui surviennent chez des personnes très âgées, des grands obèses ou des personnes souffrant d’un diabète sévère, d’hypertension artérielle grave, de maladies cardiorespiratoires ou rénales déjà invalidantes. Ces personnes à risque sont parfaitement identifiées. Les mesures sanitaires devraient donc être ciblées pour les protéger, les dépister et les traiter le plus tôt possible dès le début des symptômes par l’hydroxychloroquine et l’azithromycine dont l’efficacité et l’innocuité sont largement confirmées, si on donne le traitement précocement. Beaucoup de décès auraient pu être évités. Or, on a dissuadé les médecins généralistes et les gériatres de traiter. Dans ce contexte, continuer à persécuter nos enfants derrière des masques inutiles reste incompréhensible.

     

    Toutes ces mesures sont faites pour que les Français réclament un vaccin. Or quel est l’intérêt d’un vaccin généralisé pour une maladie dont la mortalité est proche de 0,05% ? Aucun. Cette vaccination de masse est inutile. De plus, les risques de la vaccination peuvent être plus importants que les bénéfices. Le plus inquiétant est que de nombreux pays, dont la France, se disent prêts à vacciner dans les semaines qui viennent, alors que la mise au point et l’évaluation de ces produits se sont faites à la va-vite et qu’aucun résultat de l’efficacité ou de la dangerosité de ces vaccins n’a été publié à ce jour. Nous n’avons eu le droit qu’à des communiqués de presse des industriels fabricants, permettant de faire flamber leurs actions en Bourse. Le pire est que les premiers "vaccins" qu’on nous propose ne sont pas des vaccins, mais des produits de thérapie génique.

    On va injecter des acides nucléiques qui provoqueront la fabrication d’éléments du virus par nos propres cellules. On ne connaît absolument pas les conséquences de cette injection, car c’est une première chez l’homme. Et si les cellules de certains "vaccinés" fabriquaient trop d’éléments viraux, entraînant des réactions incontrôlables dans notre corps?

    Les premières thérapies géniques seront à ARN, mais il existe des projets avec l’ADN. Normalement, dans nos cellules, le message se fait de l’ADN vers l’ARN, mais l’inverse est possible dans certaines circonstances, d’autant que nos cellules humaines contiennent depuis la nuit des temps des rétrovirus dits "endogènes" intégrés dans l’ADN de nos chromosomes. Ces rétrovirus "domestiqués" qui nous habitent sont habituellement inoffensifs (contrairement au VIH, rétrovirus du sida par exemple), mais ils peuvent produire une enzyme, la transcriptase inverse, capable de transcrire à l’envers, de l’ARN vers l’ADN. Ainsi un ARN étranger à notre corps et administré par injection pourrait coder pour de l’ADN, tout aussi étranger, qui peut alors s’intégrer dans nos chromosomes. Il existe donc un risque réel de transformer nos gènes définitivement. Il y a aussi la possibilité, par la modification des acides nucléiques de nos ovules ou spermatozoïdes, de transmettre ces modifications génétiques à nos enfants. Les personnes qui font la promotion de ces thérapies géniques, faussement appelées "vaccins" sont des apprentis sorciers et prennent les Français et plus généralement les citoyens du monde pour des cobayes.

    Nous ne voulons pas devenir, comme les tomates ou le maïs transgéniques, des OGM (organismes génétiquement modifiés). Un responsable médical d’un des laboratoires pharmaceutiques fabricants a déclaré il y a quelques jours qu’il espérait un effet de protection individuelle, mais qu’il ne fallait pas trop espérer un impact sur la transmission du virus, donc sur la dynamique de l’épidémie.

    C’est bien là un aveu déguisé qu’il ne s’agit pas d’un vaccin. Un comble.

    Je suis d’autant plus horrifié que j’ai toujours été en faveur des vaccins et que j’ai présidé pendant des années des instances élaborant la politique vaccinale. Aujourd’hui, il faut dire stop à ce plan extrêmement inquiétant. Louis Pasteur doit se retourner dans sa tombe. La science, l’éthique médicale et par-dessus tout le bon sens doivent reprendre le dessus.

    Christian PERRONNE

    Source:

  • COVID-19, quand les symptômes persistent:

    que sait-on des formes longues de la maladie?

    Alors que la première vague de l’épidémie de Covid-19 en Europe commençait à décroître, un nombre croissant de patients a fait état de symptômes de la maladie tardifs ou résurgents. Jusqu’à présent, seules quelques études descriptives ponctuelles ont porté sur ce sujet, et aucune n’a encore émis d’hypothèses quant aux dérèglements physiologiques à l’origine de ces manifestations. Très invalidants, ces symptômes pouvaient survenir après une apparente rémission.

    Les réseaux sociaux se sont fait l’écho de ces signalements et plusieurs équipes médicales ont mis en place des consultations afin de prendre en charge les patients concernés. En mai 2020, nous avons ouvert à l’Hôtel Dieu de Paris une consultation appelée " post Covid ", spécifiquement destinée à ces patients atteints par de telles " formes longues " de Covid-19.

    Voici ce que nous avons appris jusqu’à présent.

    Lire la suite

Blog d'une Française de FRANCE: vive la laïcité, vive la FRANCE et la République Française!