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Santé - Page 9

  • La gauchiasse n'a JAMAIS eu de cœur… la preuve:

    Il faut bien qu'ils fassent payer à quelqu'un leurs conneries sur les masques, les tests, les vaccins, les couvre-feux, etc.

    Loi handicap. Tarn : mariés depuis 39 ans, Catherine et William, en situation de handicap, divorcent pour vivre décemment

    Un couple du Tarn marié depuis 39 ans a décidé de se séparer après la décision du gouvernement de maintenir la prise en compte du salaire du conjoint dans le calcul de l’“allocation adultes handicapés“. Pour ne plus tirer le diable par la queue et dénoncer cette situation, Catherine et William ont décidé de divorcer. Sollicité sur le cas du couple tarnais lors de son passage à l’antenne de RTL, jeudi, Sophie Cluzel, secrétaire d’État chargée des Personnes handicapées, leur a demandé de ne pas divorcer.

    Il y a onze ans, une maladie neuromusculaire a cloué cet habitant dans un fauteuil roulant. […] Chaque mois, l’allocation adultes handicapés qu’il perçoit couvre à peine les dépenses nécessaires qu’il a engagées pour changer sa voiture ou encore son fauteuil, il lui manque 460 euros pour tout couvrir. Une allocation réduite car Catherine travaille et perçoit un salaire. L’AAH est ainsi indexée aux revenus du conjoint, et peut carrément être supprimée si celui-ci gagne plus 2.270 euros net par mois.

     

    La donne aurait pu changer pour les 270.000 couples concernés en France il y a quinze jours, lorsque l’Assemblée nationale a examiné proposition de loi dont l’objectif était d’individualiser le versement, et donc de ne plus prendre en compte le salaire des conjoints. “Mais le gouvernement a balayé ça d’un revers de main en disant que cela allait coûter 20 milliards d’euros aux finances de l’Etat. Nous sommes des citoyens quand même, on existe“, peste William.  […]

    Le JDD

  • Quelle différence entre un schizophrène français chrétien

     

    et un schizophrène musulman? Témoignage

    Aujourd’hui beaucoup de crimes commis par les musulmans sont attribues à des déséquilibrés, mais …

    Ayant roulé ma bosse dans plusieurs hôpitaux psy et à divers pavillons, je vais tenter de vous faire le distinguo entre deux cas intéressants, le patient psychiatrique schizophrène français chrétien et le patient schizophrène musulman. Je vais prendre le cas d’un délire souvent présent, le délire mystique. Ce délire est un des fondements des passages à l’acte chez ces pseudos déséquilibrés.

    Chez un patient chrétien français, le délire va plutôt s’axer sur l’image négative de la religion; le patient va se prendre pour une entité démoniaque, un versant dévalorisant, puisque le "mal" doit nuire, s’en va suivre donc un syndrome dépressif avec et un repli sur soi de la part du patient. On parle de thymies négatives dans ce cas.

    Chez le patient musulman, il y a une sphère de filiation mystique, avec une branche mahométane, ce dernier va se croire investit d’une mission divine, de destruction du mal (donc du mécréant), puisque lui-même est dans la branche positive. Il se prend souvent pour un descendant direct du prophète, voir pour le prophète lui-même.

    Dans pareil cas on parle d’un accès exalté. Il va s’en suivre un sentiment de toute puissance, mégalomaniaque très poussé, le conduisant à rejeter ceux qui n’adhère pas à son discourt. Il aura d’ailleurs à interpréter le coran à sa manière avec une reconnaissance dans les écrits de sa biographie propre.

    Le patient français, aura un rapport direct avec la psychiatrie, plaçant la médecine moderne au premier plan une fois la pathologie diagnostiquée et cela même si l’étiologie de la schizophrénie n’est pas encore connue à ce jour.

    Le patient musulman quant à lui ira vers la médecine en dernier recours, les rites spirituels liés à l’islam sont utilisés en première intention avec la "rokia charia" (rite avec un sacrifice de sang), et la "doua" autre rite de prière pratiqués tout deux par un imam ou guérisseur marabout (pour les africain).

    Durant cette phase spirituelle l’imam à plein pouvoir, puisque toute pathologie chez le musulman est le fruit de "djinns" (entités malfaisantes).

    En unité de soin: le patient chrétien va se maintenir à l’écart, son rôle d’entité malfaisante étant de faire du mal il va tenter de minimiser le risque de morbidité. Il y a souvent chez ce patient un risque suicidaire important.

    Le patient musulman, va lui chercher un groupe, chez lequel il va trouve un rôle de leader, pour rassembler les troupes, et faire face aux mécréants (souvent les infirmiers présent et autres patients blancs), ils vont aussi tente d’asservir les autres patients de même confession. Il y aura risque de passages à l’acte hetero-agressifs important puisque ce dernier se doit de combattre les "mécréants"

    Devant une infirmière, le patient chrétien, va plutôt y voir une image maternelle, voir un fantasme érotique ou autre plus ancrés dans notre société.

    Le patient musulman aura énormément de problème avec les femmes, ces dernières dans leur culture n’ont pas le droit d’imposer leurs volontés aux hommes et se doivent d’être soumises, alors imaginez une infirmière qui donne une consigne.

    Sociétalement, le patient chrétien est rarement marié, sauf en cas de décompensation tardive.

    Le patient musulman, même si la décompensation est précoce, au vue de la position du mâle dans leur culture sera marié avec une femme de son pays d’origine, le plus souvent par arrangement familial. Et comme sa religion lui indique, son union sera l’origine de nombreux enfants.

    Connaissant le risque de transmission d’un gène défaillant en cas de malfonction chez un des procréateurs, les générations suivantes risquent d’être très sujettes aux pathologies psychiatrique de type psychose. La génétique à prouvée que le cas de transmission d’un parent psychotique de leur maladie sur son enfant est d’un ratio supérieur à la normale.

    Voila une raison de plus, pour démontrer la dangerosité d’une explosion démographique chez les musulmans,

    Je vous ai fait par de mes constations, je n’ai pas la science infuse, mais je regarde, constate et souligne des points qui pour moi sont important dans la compréhension des attaques que nous subissons chaque jours sur notre peuple.

     Thev57

  • ... et c'est pareil, partout en France

    Toulouse. Vaccins Covid-19 : les déclarations d’effets indésirables explosent

    25 mai 2021 - 17:28

    En raison de l’utilisation de vaccins contre la Covid-19, le Centre régional de pharmacovigilance de Toulouse, qui recueille tous les signalements d’effets indésirables des médicaments, enregistre, depuis janvier, cinq fois plus de déclarations qu’en temps normal.

    4000 signalements pour les quatre premiers mois de l’année 2021… C’est du jamais vu au Centre régional de pharmacovigilance (CRPV) de Toulouse, qui recueille les déclarations d’effets indésirables des médicaments, avant de faire remonter ses observations à l’Agence nationale de sécurité des médicaments (ANSM).

    “La hausse est considérable, c’est cinq fois plus que l’an passé à la même période. Nous sommes déjà submergés en temps normal. Là, autant dire que nous le sommes encore plus et à moyens constants”, ironise le professeur Jean-Louis Montastruc, directeur du CRPV et membre de l’Académie nationale de médecine.

    Toutes les déclarations enregistrées

    D’ordinaire, la structure rattachée au CHU de Toulouse enregistre en effet 2100 déclarations par an en moyenne. Dont une infime partie liée aux vaccins classiques. C’est bien évidemment la campagne de vaccination contre la Covid-19 qui est à l’origine de cette spectaculaire hausse. Et même si bon nombre de déclarations concernent des effets indésirables déjà connus, comme d’éventuelles douleurs musculaires, toutes sont prises en compte.

    “Que ce soit les patients ou les professionnels de santé, tout le monde peut signaler des effets indésirables et c’est une très bonne chose que ce chiffre augmente. Ce suivi après la commercialisation permet de mieux préciser encore le rapport bénéfice-risque d’un médicament ou d’un vaccin”, explique le professeur Montastruc.

    Des effets “graves” pour un tiers des déclarations

    Car le Centre régional de pharmacovigilance ne fait pas qu’enregistrer les signalements. Il a aussi la lourde tâche d’authentifier chacun d’entre eux. Étant donné l’afflux depuis le début de l’année, priorité est toutefois donnée aux effets graves et inattendus qui représentent, selon le directeur du CRPV, environ un tiers des déclarations à l’heure actuelle.

    “Ce qui est très difficile dans cette période où l’ensemble de la population se fait vacciner, c’est de faire la part des choses entre les événements qui seraient survenus sans vaccin et ceux dus à l’injection d’une ou deux doses. Des accidents vasculaires cérébraux, par exemple, cela arrive tous les jours”, illustre-t-il.

    De véritables enquêtes pour confirmer ou non le rôle des vaccins dans les effets indésirables

    Pour cela, le CRPV mène donc de véritables enquêtes dites d’imputabilité qui prennent parfois plusieurs heures. “Avec des analyses cliniques ou pharmacologiques et en étudiant la chronologie des événements, nous parvenons toujours à identifier si une déclaration d’effet indésirable est liée au vaccin ou non”, assure Jean-Louis Montastruc.

    Hémophilie, hypertension, paralysie faciale…et bien sûr thromboses

    Parmi les signalements graves, le CRPV a ainsi dû mener des investigations sur des cas d’hémophilie, d’attaques cardiaques, d’hypertension artérielle ou encore de paralysie faciale. “La grande nouveauté spécifique à la campagne de vaccination, ce sont bien sûr les cas de thromboses veineuses qui ont beaucoup fait parler”, ajoute l’expert en pharmacologie.

    Hormis ces cas précis imputés au vaccin AstraZeneca, les déclarations traitées par le centre régional de pharmacovigilance de Toulouse ne font pas état d’un vaccin plus propice à générer des effets secondaires qu’un autre.

    Étant le plus prescrit, le vaccin Pfizer est à l’origine d’une grande majorité des signalements enregistrés, loin devant l’AstraZeneca, puis le Moderna et enfin le Janssen, dernier de des vaccins autorisés en France.

     

    Source:

  • Bon à savoir

    Vaccins contre la COVID-19 : doit-on s'inquiéter du risque de maladie aggravée chez les personnes vaccinées?

    Il est de bon ton dans les médias de prétendre que les résultats des vaccinations sont excellents et en particulier qu’elles auraient fait disparaître l’épidémie en Grande-Bretagne avec l’absence de morts (!) et en particulier en Écosse. Pourtant curieusement les données de l’OMS montrent le contraire.

    Pour aller plus loin
    Des articles généraux sur le développement des vaccins contre la COVID-19

    - Hotez PJ & Bottazzi ME. Developing a low-cost and accessible COVID-19 vaccine for global health. PLoS Negl Trop Dis 14(7), juillet 2020.
    - Hotez PJ, Corry DB & Bottazzi ME. COVID-19 vaccine design: the Janus face of immune enhancement. Nature Review Immunology volume 20 June 2020 p.347.
    Des articles sur les conditions de la sécurité des vaccins COVID-19
    - Haynes BF, Corey L, Fernandes P, et al. Prospects for a safe COVID-19 vaccine. Science Translational Medicine, 19 octobre 2020.
    - Lambert PH, Ambrosino DM, Andersen SR, et al. Consensus summary report for CEPI/BC March 12–13, 2020 meeting: Assessment of risk of disease enhancement with COVID-19 vaccines. Vaccine. 25 mai 2020.

    - Jeyanathan M, Afkhami S, Smaill F, et al. Immunological considerations for COVID-19 vaccine strategies. Nature Review Immunology volume 20 October 2020 p.615.
    - Eroshenko N, Gill T, Keaveney MK, et al. Implications of antibody dependent enhancement of infection for SARS-CoV-2 countermeasures. Nat. Biotechnol. 38, 789–791 (2020).
    - Diamond, MS et Pierson, TC. The challenges of vaccine development against a new virus during a pandemic. Cell Host Microbe 27, 699–703 (2020).
    Un article de fond sur la réponse Th1

    - Zhang Y, Zhang Y, GU W et Sun B. Th1/Th2 cell's function in immune system. Adv Exp Med Biol 2014;841:45-65.

    Un article de fond sur la réponse Th2
    - Boniface S, Magnan A et Vervloet D. Th2. La Lettre du Pneumologue - Volume IV - no1 - janv.-févr. 2001.
    Un article de fond sur la réponse Th17
    - Cambier L, Defaweux V, Baldo A, et al. Rôle des cellules Th17 dans les maladies infectieuses et auto-immunes. Ann. Méd. Vét., 2010, 154, 104-112.

    Un article sur le rôle positif de l'ADE
    - Chan KR, Wang X, Saron WWA, et al. Cross-reactive antibodies enhance live attenuated virus infection for increased immunogenicity, Nat. Microbiol. 2016; 1(12): 16164.
    Un article sur l'IAED dans l'infection par le virus Zika
    - Bardina SV, Bunduc P, Tripathi S, et al. Enhancement of Zika virus pathogenesis by preexisting antiflavivirus immunity. Science; 356(6334): 175–180 14 avril 2017.
    Un article sur l'IAED dans la fièvre Ebola
    - Kuzmina NA, Younan P, Gilchuk P, et al. Antibody-dependent enhancement of Ebola virus infection by human antibodies isolated from survivors. Cell Rep. 2018 Aug 14; 24(7): 1802-1815.
    Les articles sur l'IAED médiée par le complément dans le VIH et Zika
    - Fust G, Toth FD, KissJ, et al. Neutralizing and enhancing antibodies measured in complement-restored serum samples from HIV-1 infected individuals correlate with immunosuppression and disease, AIDS 8 (5) (1994) 603–609.
    - Cardosa MJ, Porterfield JS & Gordon S. Complement receptor mediates enhanced flavivirus replication in macrophages, J. Exp. Med. 158 (1) (1983).
    Sur les réinfections expérimentales avec 229E
    - Callow KA, Parry HF, Sergeant M, Tyrrell DA. The time course of the immune response to experimental coronavirus infection of man. Epidemiol Infect. 1990 Oct;105(2):435-446.

    Les articles historiques sur la VAED dans la bronchiolite infectieuse et la rougeole
    - Rauh LW & Schmidt R. Measles immunization with killed virus vaccine: Serum antibody titers and experience with exposure to measles epidemic. Am. J. Dis. Child. 109, 232–237 (1965).
    - Kim HW, Canchola JG, Brandt CD, et al. Respiratory syncytial virus disease in infants despite prior administration of antigenic inactivated vaccine. Am. J. Epidemiol. 89, 422–434 (1969).
    Des articles sur l'IAED et la VAED dans la dengue
    - Katzelnick LC, Gresh L, Halloran ME, et al. Antibody-dependent enhancement of severe dengue disease in humans. Science 358, 929–932 (2017)
    - Thomas SJ et Yoon IK. A review of Dengvaxia: Development to deployment. Hum. Vaccin. Immunother. 15, 2295–2314 (2019).
    - Fowler AM, Tang WW, Young MP, et al. Maternally Acquired Zika Antibodies Enhance Dengue Disease Severity in Mice. Cell Host Microbe. 2018 Nov 14;24(5):743-750.
    L'étude sur la VAED dans la PIF
    - Vennema H, De Groot RJ, Harbour DA, et al. Early Death after Feline Infectious Peritonitis Virus Challenge due to Recombinant Vaccinia Virus Immunization. J. Virol. Mars 1990, p. 1407-1409
    Deux articles comparant la dengue et la PIF
    - Cloutier M, Nandia M, Ihsana AU, et al. ADE and hyperinflammation in SARS-CoV2 infection- comparison with dengue hemorrhagic fever and feline infectious peritonitis. Cytokine. 2020 Dec; 136: 155256.
    - Weiss RC et Scott FS. Antibody-mediated enhancement of disease in feline infectious peritonitis: comparisons with dengue hemorrhagic fever. Comp. lmmun. Microbiol. Infect. Dis. Vol. 4. No. 2, pp. 175-189, 1981.
    Des articles sur l'IAED et la VAED dans le SRAS
    - Clay C, Donart N, Fomukong N, et al. Primary severe acute respiratory syndrome coronavirus infection limits replication but not lung inflammation upon homologous rechallenge. J. Virol. 86, 4234–4244 (2012).
    - Liu L, Wei Q, Lin Q, et al. Anti-spike IgG causes severe acute lung injury by skewing macrophage responses during acute SARS-CoV infection. JCI Insight 4, e123158 (2019)
    - Weingartl H, Czub M, Czub S., et al. Immunization with modified vaccinia virus Ankara-based recombinant vaccine against severe acute respiratory syndrome is associated with enhanced hepatitis in ferrets. J. Virol. 78, 12672–12676 (2004).
    - Kam YW, Kien F, Roberts A, et al. Antibodies against trimeric S glycoprotein protect hamsters against SARS- CoV challenge despite their capacity to mediate FcgammaRII dependent entry into B cells in vitro. Vaccine 25, 729–740 (2007).
    - Wang Q, Zhang L, Kuwahara K, et al. Immunodominant SARS Coronavirus Epitopes in Humans Elicited both Enhancing and Neutralizing Effects on Infection in Non-human Primates. ACS Infect Dis 2016;2(5):361–76.
    - Wang Q, Zhang L, Kuwahara K, et al. Immunodominant SARS coronavirus epitopes in humans elicited both enhancing and neutralizing effects on infection in non-human primates, ACS Infect. Dis. 6 (5) (2020):1284–1285.
    - Liu L, Wei Q, Lin Q, et al. Anti-spike IgG causes severe acute lung injury by skewing macrophage responses during acute SARS-CoV infection. JCI Insight 4, e123158 (2019).
    - Tseng CT, Sbrana E, Iwata-Yoshikawa N, et al. Immunization with SARS Coronavirus Vaccines Leads to Pulmonary Immunopathology on Challenge with the SARS Virus. PLoS One. 2012; 7(4): e35421.
    - Deming D, Sheahan T, Heise M, et al. Vaccine Efficacy in Senescent Mice Challenged with Recombinant SARS-CoV Bearing Epidemic and Zoonotic Spike Variants. PLoS Med. 2006 Dec; 3(12): e525.
    - Wang SF, Tseng SP, Yen CH,et al. Antibody-dependent SARS coronavirus infection is mediated by antibodies against spike proteins. Biochem Biophys Res Commun. 2014 Aug 22; 451(2): 208–214.

    Des articles sur l'IAED et la VAED dans le MERS
    - Houser KV, Broadbent AJ, Gretebeck L, et al. Enhanced inflammation in New Zealand white rabbits when MERS-CoV reinfection occurs in the absence of neutralizing antibody. PLOS Pathog. 13, e1006565 (2017).

    - Agrawal AS, Tao X, Algaissi A., et al. Immunization with inactivated Middle East Respiratory Syndrome coronavirus vaccine leads to lung immunopathology on challenge with live virus. Hum. Vaccin. Immunother. 12, 2351–2356 (2016).
    Les études évoquant une ADE in vitro dans la COVID-19
    - Wu F, Yan R, Liu M, et al. Antibody-dependent enhancement (ADE) of SARS-CoV-2 infection in recovered COVID-19 patients: studies based on cellular and structural biology analysis. medRxiv, 13 octobre 2020.
    - Wan Y, Shang J, Sun S, et al. Molecular Mechanism for Antibody-Dependent Enhancement of Coronavirus Entry. J. Virol. Volume 94 Issue 5 March 2020.
    Le cas de réinfection plus sévère dans la COVID-19
    - Tillett RL, Sevinsky JR, Hartley PD, et al. Genomic evidence for reinfection with SARS-CoV-2: a case study. The Lancet Infect Dis, 12 octobre 2020.

    Sur la plus faible réaction aux vaccins dans certaines populations
    - Doherty M, Schmidt-Ott R, Santos JI, et al. Vaccination of special populations: Protecting the vulnerable. Vaccine 2016 Dec 20;34(52):6681-6690.
    Les recommandations de la FDA sur le développement d'un vaccin contre la COVID-19
    Development and Licensure of Vaccines to Prevent COVID-19 - Guidance for Industry, Octobre 2020.

    Sources : VIDAL

  • A vomir

    Plus ils en font, mieux on déguinzera ce parti infâme

     

    “L’aérien ne devrait plus faire rêver les enfants” : la mairie EELV de Poitiers dénonce l’association Rêves de gosse qui défend l’aéroclub local et les vols pour enfants handicapés

    Donc la mairie de Poitiers attaque la noble association @RevesdeGosse qui permet depuis des années à des enfants extraordinaires de s’évader de leur handicap et l’accuse de faire du pathos ?!
    Fier de soutenir cette association avec @JoseGarciaOff https://t.co/Lc8YZsC12W

    — Stéphane Fort (@Stephane_Fort) April 2, 2021

  • Surveillance des vaccins

    Surveillance des vaccins

    Cas d'événements thrombo-emboliques signalés non investigués (embolie pulmonaire, thrombose) rapportés en France (données cumulées au 4 mars 2021)

        vaccin COMIRNATY : 24 cas d'embolies pulmonaires, 31 cas de thromboses veineuses profondes, 8 thrombopénies pour un nombre cumulé d'injections de 4 566 776 (cf. rapport n° 8 - page 14) ;

        vaccin MODERNA : 3 cas d'embolies et thromboses périphériques sur un total de 242 797 doses injectées (cf. rapport n° 5 - page 8) ;

        vaccin ASTRAZENECA : 1 cas de thromboses multiples pour un total de 454 545 premières injections réalisées.

    État des lieux des effets indésirables associés au lot ABV5300, en France

    En Autriche ainsi que dans d'autres pays européens, seul le lot ABV5300 a initialement été suspendu, suite au décès d'un patient et à un cas d'embolie pulmonaire survenus après l'administration d'une dose de ce lot.

    Ce lot a été distribué dans 17 pays en Europe. La France en a reçu 316 800 doses depuis le 9 février 2021 et près de la moitié de ces doses ont déjà été administrées.

    Au total, 183 cas d'effets indésirables médicalement confirmés et associés au lot ABV5300 ont été enregistrés en France depuis le début de la vaccination par le vaccin AstraZeneca Dans un communiqué du 13 mars 2021, l'ANSM précise que, parmi ces cas, aucun décès, ni situation de mise en jeu du pronostic vital, ni cas de thrombose ou de thrombopénie, n'a été mis en évidence en France.

    En revanche, l'injection d'une dose issue du lot ABV5300 est associée (selon le quatrième rapport de surveillance - du 26 février au 4 mars 2021) aux signalements suivants :

        un cas de cyanose des extrémités avec désaturation à 86 %, vomissements et fièvre (effets vasculaires) ;

        un cas d'hypoxie suivie, le lendemain, de malaise avec désaturation et hypertension (effets respiratoires, thoraciques et médiastinaux).

    Le quatrième rapport de surveillance du vaccin ASTRAZENECA porte sur les données de pharmacovigilance françaises recueillies en quatrième semaine d'utilisation, soit du 26 février au 4 mars 2021. 
    Depuis le début de la vaccination avec ce vaccin, utilisé majoritairement en ville, le profil de sécurité est dominé par des syndromes pseudo-grippaux, souvent de forte intensité (fièvre élevée, courbatures, céphalées).
    Au total, 3 013 cas d'effets indésirables ont été analysés sur 454 545 injections réalisées au 4 mars 2021.
    Sur la dernière période analysée (26 février au 4 mars), 1 020 cas attribuables à la vaccination ont été retenus, survenus dans 2/3 des cas chez des femmes. Un peu plus d'un quart (27,8 %) de ces effets indésirables sont considérés graves (1 décès chez une personne cumulant plusieurs comorbidités, 12 hospitalisations). La majorité des cas (62,5 %) se rapporte à des troubles généraux et anomalies au site d'injection (cf. Tableau II). 
    Le décès rapporté en France en semaine 4 est survenu après injection d'une dose du  lot ABV5045. 

    Ne pas négliger la gravité potentielle des effets pseudo-grippaux 
    Les syndromes pseudo-grippaux peuvent entraîner des complications sévères (désaturation, méningisme, fièvre à 41°C, convulsion, perte de connaissance avec chutes traumatiques, délire/hallucinations, cyanose des extrémités, hypothermies, etc.), en particulier dans certaines populations.
    Dans ce quatrième rapport, les auteurs proposent d'accroître la vigilance dans les populations susceptibles de voir leurs comorbidités décompenser : 

    • exacerbations de dyspnées et d'asthmes,
    • troubles du rythme,
    • poussées hypertensives hors syndrome grippal,
    • réactions anaphylactiques/urticaires,
    • hypotensions,
    • hypothermies,
    • lymphopénies,
    • déséquilibres diabétiques,
    • myo-péricardites/péricardites.

    Vaccins à ARNm : pas de signal de sécurité 
    L'ANSM a également publié les rapports hebdomadaires relatifs à la surveillance des vaccins à ARNm : 


    Vaccin COMIRNATY : un signal potentiel relatif à la récidive de thrombopénie suite à la seconde dose
    Depuis le début de la vaccination, 8 487 cas d'effets indésirables associés au vaccin COMIRNATY ont été analysés en France, dont 1 528 nouveaux cas signalés entre le 26 février et le 4 mars 2021. Au cours de la semaine 9, la proportion de cas graves reste stable par rapport aux analyses précédentes (24 %). La majorité des cas (graves et non graves) correspondent à des troubles généraux et anomalies au site d'injection. 
    Vaccin Moderna : la surveillance de certains événements indésirables se poursuit
    Largement moins utilisé en France, le vaccin Moderna a été administré à 242 797 français (données au 4 mars), dont 50 544 au cours de la semaine du 26 février au 4 mars 2021 (1re ou 2e dose). 
    Cette cinquième période de surveillance de la sécurité du vaccin MODERNA en France ne montre aucun signal particulier. 
    Depuis le début de la vaccination avec ce vaccin, 302 cas d'effets indésirables ont été analysés, dont 82 en semaine 9 (18 cas correspondent à des effets inattendus).
    La majorité des cas correspond à des réactions retardées locales non graves (plus de 80 %).
    La surveillance attentive des cas d'hypertension artérielle, d'arythmie et de zona se poursuit.
    Pour aller plus loin
    Point de situation sur la surveillance des vaccins contre la COVID-19 (ANSM, 12 mars 2021)

    VACCIN MODERNA - Rapport complet n° 5 (ANSM, 12 mars 2021)