Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Santé - Page 14

  • Des diplômes sur du papier cul, je vous dis!

    Moi aussi, je suis atterrée!

    La DGSE atterrée par le niveau de certains de ses candidats

    Les services de renseignements français ne comprennent pas que les candidats ne puissent répondre à des "questions pourtant simples et accessibles".

    Sans grande surprise, il semblerait que se mettre des longs tunnels du Bureau des Légendes ne soit pas suffisant pour rentrer à la DGSE. Début avril, l’opaque service de renseignement du boulevard Mortier à Paris a publié le rapport du jury de l’édition 2019 du concours externe SAS (comprendre celui des " secrétaires administratifs spécialisés "). Et le moins que l’on puisse dire, c’est que le rapport – repéré par Intelligence Online – est salé pour ceux qui ont tenté leur chance.

    Dans son rapport, le jury estime que le niveau global des candidats peut être qualifié de "moyen", alors que nombre d’entre eux possèdent pourtant un Master 2. Mais ça se gâte particulièrement pour ceux qui ont présenté les options "Rédaction, administration générale" ou "Arabe littéral", dont le niveau est qualifié de "très en deçà du niveau attendu".

    Et cela ne s’arrête pas là, puisque pour ceux qui ont présenté l’option "Arabe littéral", le jury a tout simplement décidé de ne retenir aucun candidat, alors que deux postes étaient pourtant ouverts. "Aucun d’entre eux n’a démontré avoir une connaissance suffisante de la DGSE et de ses missions pour pouvoir se projeter, avec conviction, dans un poste correspondant à cette spécialité", tranche le rapport.

    Ce qui a aussi passablement déçu le jury, c’est que nombre de candidats n’avaient apparemment pas vraiment préparé leur présentation orale. Le jury s’est étonné de rencontrer des postulants qui ne connaissaient que très partiellement la DGSE et le milieu du renseignement. Les candidats malheureux n’ont pas été retenus parce qu’ils n’ont pas su répondre à des "questions pourtant simples et accessibles" portant par exemple sur la loi renseignement, l’organisation et les missions de la DGSE ou encore le statut du poste auquel ils postulaient.

    Ce poste de secrétaire administratif spécialisé (SAS), accessible par un concours de catégorie B, consiste notamment à aider les analystes à collecter et diffuser du renseignement; à sélectionner, étudier et exploiter des documents; mais aussi à exercer des tâches administratives. Le concours pour devenir SAS est loin d'être aisé. Il est composé de diverses épreuves, notamment celle de "cas pratique", qui consistait en 2018 à rédiger une note de synthèse sur les nouveautés apportées par le règlement général sur la protection des données (RGPD) adressée à un directeur central fictif.

    Venaient ensuite les épreuves de spécialités – arabe littéral, géopolitique ou administration générale. En géopolitique, les questions portaient sur le vol Korean Airlines 007, l’invasion russe en Afghanistan, ou encore l’autonomie de la Nouvelle-Calédonie. Et pour finir, les candidats devaient passer l’épreuve orale: un entretien avec le jury visant à "apprécier les qualités personnelles du candidat, ses motivations, son potentiel, son comportement face à une situation concrète, le cas échéant sous forme d'une mise en situation".

    Pour cet entretien final, le jury s’appuie sur des documents fournis par le candidat, comme son CV et une lettre de motivation. Mais là non plus, le jury n’a pas été séduit. Trop de fautes d’orthographes y ont été relevées," alors que ces documents sont la première impression que se fait le jury du candidat", relève le rapport.

    Le contenu des lettres de motivation n’a pas non plus attendri le jury, puisque jugées identiques à celles adressées à d’autres concours et ne permettant donc pas de comprendre pourquoi le candidat souhaitait s’engager dans une institution aussi singulière que la DGSE.

    Pourtant, la DGSE recherche activement de nouvelles mains, puisque d’ici 2022 elle compte recruter près de 1 500 civils et militaires. Des impératifs qui ont obligé les services à créer une chaîne YouTube, poster leurs offres d'emplois sur LinkedIn ou encore faire le tour des écoles d’ingénieurs ou militaires. Pis, comme nombre d’autres concours, la DGSE est aussi touchée par les mesures sanitaires dues à la pandémie que nous connaissons, si bien que les oraux du concours des attachés (concours de catégorie A) sont suspendus jusqu’à nouvel ordre. En attendant de pouvoir ressortir de chez vous, vous pouvez toujours aller jeter un œil aux annales des concours de la DGSE pour savoir à quoi vous attendre si un jour l’envie vous prend de tenter votre chance.

    www.vice.com

     

  • Covid-19 : un vétérinaire de campagne se pose des questions…

    Je suis un vétérinaire " vieille école ", et j’entends encore les propos de l’un de mes maîtres de l’École nationale vétérinaire de Toulouse qui nous répétait " un bon praticien n’est pas un bon scientifique mais un bon observateur ". Humaine ou vétérinaire, la médecine a toujours été basée sur l’empirisme, l’observation et la logique.

    Aujourd’hui, les progrès scientifiques et les instruments extraordinaires que la technologie a mis à son service lui apportent un renfort  inestimable. Or force est de constater que la main-mise des technocrates au pouvoir a transformé l’art de guérir en une activité théorique quantitative soumise à d’innombrables textes que les fonctionnaires des Agences régionales de santé sont chargées de faire appliquer (voir en PJ l’organigramme hallucinant de 21 pages de l’ARS Grand Est). L’évolution commencée sous Sarkozy est achevée avec la loi Marisol Touraine/Véran du 28 janvier 2016 : en matière de santé, l’État décide de tout en despote même pas éclairé.

    OrganigrammeGrandEstARS

    Près de 40 ans de pratique m’autorisent à dire que la manière dont est gérée cette épidémie de Covid-19 est incompréhensible.

    Je laisse là la question des masques qui confine à la loufoquerie pour m’attacher à la question des tests. Traiter un problème sanitaire affectant tout un cheptel est banal pour un vétérinaire. Pour établir une stratégie, il recourt systématiquement et massivement à des tests.

    C’est ainsi qu’ont été éradiquées des maladies chroniques (tuberculose, brucellose, leucose…) ou aigües (fièvre aphteuse, IBR – rhinotrachéite virale -, fièvre catarrhale…). Je ne comprends donc pas pourquoi les pouvoirs publics refusent obstinément d’y recourir pour le Covid-19.

    Il paraîtrait qu’on manque de tests comme on manque de masques. C’est se moquer du monde. Un test ne nécessite qu’un réactif qui n’a pas besoin d’être commandé à l’autre bout du monde.

    Il y a d’abord les tests PCR. C’est la guerre, a dit Macron, et dans la guerre le renseignement est  essentiel. Ces tests permettent de détecter dans un prélèvement nasal la présence du virus. Ils sont très utiles en début d’épidémie puis pour dépister les nouveaux cas, de sorte que la mise en quarantaine est limitée aux seuls sujets infectés. Malgré leur fiabilité imparfaite (30 % environ de faux négatifs) les pays qui en ont fait un usage massif pour combattre le Covid-19, Corée, Taïwan, Allemagne… s’en sont manifestement bien trouvés.

    Autre est l’objectif des tests sérologiques. Ils servent à mettre en évidence dans le sérum sanguin la présence d’anticorps, signe du passage du virus dans l’organisme, même dans ses formes bénignes voire inapparentes (75 % à 80 %  semble-t-il des cas Covid-19). Une prise de sang n’est même pas nécessaire pour certains tests. Avec la méthode Elisa (en anglais Enzyme-Linked ImmunoSorbent Assay) il suffit de déposer sur une bandelette ad hoc une goutte de sang prélevée au bout du doigt. Ce procédé, semblable à celui des tests de grossesse, est utilisé depuis longtemps et parfaitement au point puisque la fiabilité est de plus de 90 %. C’est  simple et peu coûteux (entre 5 et 15 euros !).

    " Déconfiner " devient impératif vu les dégâts déjà causés mais s’annonce comme un vaste foutoir. Il tombe sous le sens qu’un recours massif aux tests sérologiques permettrait de rendre leur liberté au moins à tous ceux qui présentent des anticorps. À titre personnel, pensant avoir subi avec ma maisonnée une atteinte bénigne du Covid-19, j’ai voulu en avoir le cœur net et à mes frais. Comme on sait, les laboratoires vétérinaires se sont très vite proposés pour pratiquer le test, proposition acceptée après d’inexplicables atermoiements. Je me suis donc adressé à un laboratoire médical puis au laboratoire vétérinaire départemental. Réponse identique : impossible d’accéder à votre demande, on attend l’aval des fonctionnaires de l’ARS. Les mêmes qui sont si réactifs quand il s’agit de supprimer des lits d’hôpital. Si quelqu’un a une explication, je suis preneur…

    Curieusement on commence à entendre affirmer ici ou là qu’avoir des anticorps qui attestent que l’organisme a surmonté l’infection ne signifie pas qu’on est immunisé.

    Ghebreyesus directeur de l’OMS est allé jusqu’à dire : " Il n’y a actuellement aucune preuve que les personnes qui se sont remises du Coronavirus-19 et qui ont des anticorps soient prémunies d’une seconde infection". Le Coronavirus serait alors une bestiole exceptionnelle car l’immense majorité des maladies provoquent une excellente et durable immunité. L’inoculation d’un vaccin vise le même résultat sauf qu’il nécessite des rappels réguliers et que sa composition n’est pas toujours rassurante. Concomitamment on nous promet qu’un vaccin salvateur devrait nous être fourni incessamment sous peu, par exemple par Gilead science, un laboratoire américain dont le Redemsivir dispensé des essais thérapeutiques habituellement exigés est le seul traitement autorisé par les autorités sanitaires. Il est peut- être utile de signaler que M. Ghebreyesus fut ministre de la Santé dans son pays, l’Éthiopie, sous un gouvernement marxiste particulièrement répressif et couvrit trois épidémies de choléra. Mais il était le candidat de Bill Gates pour le poste de directeur de cette OMS dont la Fondation Bill et Belinda Gates finance le budget à hauteur de 14 %, l’autre gros contributeur à hauteur de 12 % étant le Gavi (Alliance internationale pour les vaccins) fondée et financée par… Bill et Melinda Gates.

    Je dis ça, je dis rien…

    Alain de Peretti

    https://ripostelaique.com/un-veterinaire-de-campagne-se-pose-des-questions

     

     

  • Bon appétit!

    Les masques et le matériel médical produits en Chine sont potentiellement contaminés

    Selon le quotidien chinois Techworld, spécialisé dans les technologies, un courtier, sous le pseudonyme de Chen Guohua, qui travaille sur l’exportation de masques fabriqués en Chine, a révélé qu’actuellement, 60 % des usines ne disposent pas d’un environnement stérile pour la production de fournitures médicales.

    Il explique avoir visité une usine vraiment poussiéreuse, où les ouvriers manipulent à mains nues les masques de la chaîne de fabrication, sans porter eux-mêmes de masque.

    Il a demandé "Qui oserait utiliser des masques fabriqués de cette manière? Qui oserait porter ça sur le visage ? ",

    source :  https://www.europe-israel.org/?

    Oserez-vous porter des masques fabriqués en Chine dans la poussière et les mouches?

    https://www.youtube.com/watch?time_continue=6&v=9tCL44dfjJs&feature=emb_logo

    lien se secours https://www.youtube.com/watch?time_continue=6&v=9tCL44dfjJs&feature=emb_logo

    20 mars 2020. L’Asie d’abord ! : La Chine fait don de masques et de combinaisons à la Corée du Sud

    La Chine a acheminé des matériels médicaux supplémentaires en Corée du Sud, dont plus d’un million de masques et 10 000 combinaisons Hazmat. La Croix-Rouge sud-coréenne a dit que ces fournitures allaient être distribuées à ses branches dans tout le pays le plus rapidement possible. De nombreux gouvernements provinciaux et municipaux chinois, ainsi que des entreprises comme Alibaba, ont fait don de matériel médical à la Corée du Sud. "

    https://www.youtube.com/watch?v=RztwpzN9n7k

    Les sinistres criminels de l’État français à la télé (1)

    La France était prête ! Best of inédit (à archiver pour les procès à venir).

    https://youtu.be/Oix2tgfkMqk

    lien de secours https://youtu.be/Oix2tgfkMqk

    Coronavirus: "Il n’y pas de sujet de pénurie" de masques

    https://www.youtube.com/watch?v=FYFIYw8dSDI

    Sibeth Ndiaye ne sait pas utiliser un masque (2020)

    https://www.youtube.com/watch?v=N8saQ2mQE2U

    Sibeth Ndiaye réagit aux propos d’Agnès Buzyn, C à Vous (17/03/2020)

    https://www.youtube.com/watch?v=8UlNgCfhEhs

    (1) Ces morts dont ils sont responsables : nos politicards peuvent-ils s’en sortir?

    Publié le 26 avril 2020 par Jacques Chassaing  https://ripostelaique.com/ces-morts-dont-ils-sont-responsables-nos-politicards-peuvent-ils-sen-sortir.html 

    Jacques CHASSAING

    https://ripostelaique.com/les-masques-chinois-commandes-par-macron-ont-des-mouches-crevees.html

  • Nous sommes confinés à cause de ces incapables

    Comment le Covid-19 a-t-il pu se propager aussi rapidement dans le monde entier? Que s’est-il passé pour que l’épidémie, découverte en Chine, à Wuhan, devienne mondiale?

    Le 27 janvier 2020, le maire de Wuhan a déclaré, sur la chaîne CCTV, qu’avant la décision de confiner sa ville, le 23 janvier, environ 5 millions de personnes avaient quitté Wuhan.

    "WorldPop", institution anglaise, a étudié les déplacements de 60 000 habitants de Wuhan, parmi ces 5 millions qui ont quitté la ville, en analysant les données des téléphones portables et celles du trafic aérien.

    Ils ont pu ainsi vérifier les trajectoires de ces 60 000 personnes.

    Elles se sont très largement répandues dans les provinces chinoises, mais également dans 382 villes en Asie, en Europe, aux États-Unis et en Australie.

    Les résultats de cette analyse révèlent une forte corrélation avec la pandémie actuelle.

    Ces résultats ont été publiés mi-février et WorldPop avait alors lancé un avertissement indiquant que l’épidémie avait commencé à grande échelle et qu’aucun pays ne serait épargné, qu’il fallait donc se préparer et que le dépistage devait être renforcé.

    Selon les médias chinois, le patient "zéro", en Italie, serait un couple de Wuhan. Il s’était envolé vers l’Italie le 22 janvier et, dès leur arrivée, leur état s’est détérioré rapidement. Il a été dirigé vers l’hôpital Spallanzani et diagnostiqué positif au Coronavirus.

    Rétablis, après 49 jours d’hospitalisation, ils ont pu repartir.

    Une autre femme a fui Wuhan et atterri en France, à Lyon, sans subir aucun contrôle, et a déjeuné dans un restaurant étoilé Michelin. Elle avait une légère fièvre et une petite toux mais le passage à la douane a été facile.

    Le Chinois Tang Jingyan, commentateur TV aux États-Unis, a affirmé que le gouvernement chinois a tout fait pour dissimuler, faisant ainsi perdre un temps précieux pour les contrôles. Toujours selon lui, parmi les cinq millions de personnes qui avaient quitté Wuhan, nombreuses étaient porteuses du virus et l’ont propagé.

    Le 30 janvier, le New England Journal of Medicine a publié un rapport indiquant que "le virus s’était propagé dès la mi-décembre 2019 et que ce n’est que le 20 janvier que le gouvernement chinois a averti que ce virus était transmissible de l’homme à l’homme.

    Tout ceci est très intéressant mais n’explique pas pourquoi nous subissons un confinement obligatoire depuis plusieurs semaines.

    Bien entendu nous le savons: parce que nous manquions, et nous manquons toujours, de tout, surtout de masques et de tests. D’ailleurs, dès le 13 avril, le Président Macron le confirmait: "Comme tous les pays du monde, nous avons manqué de blouses, de gants, de gel hydro-alcoolique". (il avait omis de citer "des masques") et l’on a continué à nous affirmer, avec la complicité de certains spécialistes, que le port d’un masque n’était pas nécessaire pour tous, mais uniquement pour les "infectés".

    C’était donc un mensonge car de nombreux pays ne manquaient de rien. Pas très loin de chez nous, en Allemagne et en Asie, la Corée du Sud, Taïwan, le Japon, Singapour, Hong Kong, etc.

    Et nous manquions de masques parce que notre stock d’un milliard 400 millions avait été distribué sans être renouvelé, sous le quinquennat Hollande et la ministre de la Santé Marisol Touraine.

    Il aurait fallu en commander et en fabriquer en toute urgence et non pas nous asséner une nouvelle contre-vérité: "Qu’une pénurie mondiale empêchait les livraisons".

    Ajoutons les déclarations farfelues de la Ligue des droits de l’homme qui indiquait que "porter obligatoirement un masque serait une atteinte à la liberté de circuler", comme si le confinement obligatoire et réprimé n’était pas, plus certainement, une atteinte à cette liberté de circuler librement.

    Et cette déclaration autorise le ministre de l’Intérieur, Castaner, à menacer les maires de certaines villes qui veulent imposer le masque, alors que l’académie de médecine conseille le port du masque pour tous.

    Nous subissons un confinement non pas à cause du Covid-19 mais à cause de l’incurie de ceux qui nous gouvernent.

    Manuel Gomez

    https://ripostelaique.com/nous-sommes-confines-a-cause-de-ces-incapables

     

  • ATTENTION, ATTENTION, Information vitale!

    Y'a pas que le CAC-40 qui veut se  remplir les poches…

    même le vulgum pecus se précipite pour faire du fric!

    Où on va, là???

    Nous sommes en train de vendre tout notre blé… et vous n’aurez plus de farine!"

    L’édito de Charles SANNAT

    Mes chères impertinentes, chers impertinents,

    Au tout début de l’épidémie en Chine, le gouvernement français a pris la décision d’envoyer nos réserves de masques et de matériel à la Chine pour aider l’Empire du milieu à lutter contre le covid.

    Cette décision je ne la critique pas dans la mesure où à ce moment-là, la Chine semble avoir besoin d’aide et il n’y a pas de raison de s’opposer à l’idée d’apporter une aide généreuse. Le problème c’est la suite bien évidemment, mais ces masques nous manquent.

    Si nous pouvons, à la limite, trouver des circonstances atténuantes pour le don de nos masques avant que nous soyons touchés par la pandémie et qu’il est possible d’évoquer pour cette décision uniquement le "on ne savait pas que cela viendrait chez nous aussi vite", on ne pourra pas pour la suite des événements ressortir ce type d’arguments, car à ce stade, ils ne sont plus recevables.

    Or, nous sommes en train, après nous être démunis du peu de stock que nous avions, de nous démunir de notre stock de blé.

    Il semble même que certains soient très contents et très heureux de constater que cela se vend très bien et que même que nos exportations augmentent et que même tout le monde veut du blé français… pour le stocker.

    C’est un excellent article de Réussir Grandes Cultures (source ici),  qui doit mettre la puce à l’oreille de nos GM qui ne sont pas des gentils membres, mais des gentils mamamouchis. Gentils c’est vite dit.

    Bref.

    Les exportations françaises de blé tendre vers un record historique

    Le dynamisme des exportations françaises vers pays tiers ne fait que s’accentuer en cette fin de campagne, dopé par la demande des pays importateurs.

    Cette hausse très importante "s’explique notamment par le flux extraordinaire de blé tendre français vers la Chine", soulignait Marion Duval, de l’Unité grains et sucre chez FranceAgriMer, le 15 avril. Les chiffres sont en effet étourdissants pour un débouché habituellement inexistant pour la France: l’Hexagone a déjà expédié 1,3 Mt pour la Chine avec 0,3 Mt en mars et autant sur les trois premières semaines d’avril. Un phénomène d’autant plus déroutant que les analystes ont bien du mal à expliquer cet engouement soudain pour le blé tricolore.

    Retour en grâce français sur l’Afrique du Nord

    A cette bonne nouvelle chinoise s’ajoutent d’autres débouchés porteurs. Grâce à sa compétitivité, le blé français a retrouvé le chemin de l’Afrique de l’Ouest. La France profite aussi des achats du Maroc. "Le Maroc a annoncé la prolongation du régime à taux à zéro sur les importations jusqu’au 15 juin en raison de la mauvaise récolte 2019 et est aux achats, en grande partie avec du blé français", explique Marion Duval.

    La situation est très inhabituelle, car le royaume ferme normalement ses portes au blé étranger dès la fin avril pour ne pas concurrencer sa récolte domestique. Mais la faiblesse des stocks marocains et le temps sec qui a prévalu pendant une grande partie du printemps ont poussé le pays à poursuivre ses achats. Et l’on ne peut en outre écarter une stratégie de stockage en lien avec le Covid-19. Résultat : les exportations françaises vers le Maroc atteignaient 1,8 Mt au 20 avril, dont 0,6 Mt entre mars et avril.

    Du rab sur l’Egypte?

    La France fait aussi son grand retour sur l’Egypte, une fois encore grâce à sa compétitivité retrouvée. Et l’Égypte, elle aussi, poursuit sa campagne d’achat bien plus tard que de coutume. "L’Égypte souhaite augmenter sa réserve stratégique de produits de première nécessité, et elle va donc revenir aux achats", affirme Marc Zribi, chef de l’unité grains et sucre de FranceAgriMer. De quoi envisager quelques bateaux français supplémentaires en plus des 0,7 Mt déjà expédiés vers ce pays".

    Les autres stockent, nous on vend… et on est les rois des cons dirigés par des ânes!

    Vous l’aurez compris. Cet article nous apprend des informations très importantes, essentielles sur la sécurité alimentaire de notre pays et de notre population.

    La Chine stocke car la crise va être très durable.

    Le Maroc, l’Egypte stockent, parce que la crise va être très durable.

    Il faut donc que la France achète ces tonnes de blé et en stocke également, parce que je peux vous dire que les masques que nous avons envoyé en Chine, nous ne les avons toujours pas revus et que lorsque la bise viendra, le blé que nous laissons actuellement partir ne reviendra pas.

    Pour le dire autrement, d’autres pays dont les dirigeants sont nettement moins prétentieux et péteux que les nôtres eux, ont compris que remplir les gamelles c’était la base pour ne pas terminer par une fuite rapide…

    Le prochain grand problème sera alimentaire.

    Le gouvernement ne prévoira rien pour vous, si ce n’est des tickets de rationnement quand il n’y aura plus rien à bouffer. Alors mes amis, et pour ceux qui le peuvent ou le veulent, cette année, c’est potager et boîtes de conserve maison avec les récoltes et politique de stockage et d’anticipation.

    Continuez, sans panique, à acheter toujours un peu plus pour vous constituer des stocks conséquents. Le prix de la farine a triplé chez moi.

    Ne comptez pas sur l’Etat pour vous donner à manger quand les greniers seront vides.

    Cela fait bien longtemps que nous ne sommes plus dirigés par des stratèges ou des hommes (et femmes) de valeur.

    Nous sommes des lions menés par des ânes.

    Laissez les ânes et prenez les choses en main, n’attendez pas que l’Etat s’occupe de vous. Prenez soin de vous, de vos proches et organisez les solidarités localement. Ce sera nettement plus efficace.

    Nous sommes tous une partie de la solution. Nous sommes résilients. L’Etat est défaillant.

    Il est déjà trop tard, mais tout n’est pas perdu.

    Préparez-vous et désormais protégez-vous!

    Charles SANNAT

    https://insolentiae.com/author/charles-s/