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Santé - Page 22

  • Et viva Zapata!

    Saint-Denis (93): le site de la ville a traduit les gestes barrières en arabe, bambara, malinké, berbère, pachto, soninké, tamoule et turc

    […]

    Le site de la ville propose donc, sur son site, de télécharger ces consignes en arabe, en bambara, en malinké, en berbère, en pachto, en soninké, en tamoule et en turc. Notez que l’anglais, l’italien, l’espagnol ou l’allemand, langues de nos voisins limitrophes, ne sont pas disponibles.

    […]

    Valeurs Actuelles

    Ce pays est foutu!

     

  • La chloroquine est-elle un poison?

    Bernard Dusept, un ami, qui a longtemps vécu en Afrique, m’a fait parvenir ce témoignage, que j’ai du plaisir à partager avec les lecteurs de Riposte Laïque.

    Richard Roudier

    La chloroquine est-elle un poison?

    Oui, si on ne respecte pas les doses prescrites en fonction de son poids.

    Non, si on les respecte.

    Tous les gens ayant vécu en Afrique savent que l’on peut se suicider en avalant 15 cachets de Nivaquine (dosés à 100 mg). J’ai été le témoin d’un suicide à la Nivaquine en 1971 à Bamako. Une Française, commerçante, avait choisi de se libérer de la vie par ce moyen.

    Ce cachet est absorbé quotidiennement par des millions de gens en vue de se prémunir d’une crise de paludisme.

    Dosé à 100 mg du principe actif, j’ai pris tous les jours à midi, mon cachet, comme tous les Européens.

    Pourquoi à midi? Parce qu’un des effets secondaires peut être l’insomnie. Je dois dire quand même que le café ou le coca me font le même effet.

    Paradoxalement, les vieux toubibs coloniaux m’ont toujours affirmé que la prise de ce cachet n’empêchait pas d’avoir une crise de paludisme mais qu’elle permettait d’habituer le corps à la prise de ce médicament ce qui permettait, sans crainte, d’augmenter les doses curatives, en cas de crise de psalmodiun falciparum (forme africaine du palu): jusqu’à 6 cachets en 24 heures, sans risques cardiaques.

    Effectivement, j’ai eu deux ou trois crises et en augmentant les doses (2 ou 3 fois 2 cachets) je m’en suis sorti en 24 ou 48 h.

    Pour les bébés, la prise se faisait sous forme de sirop et mon fils aîné, né en 1971 à Bamako, en a bu pendant sa première année, sans aucune séquelle.

    Ayant eu une crise sévère, en rentrant de Brazzaville, en 1988, une semaine d’hospitalisation à Montpellier m’a permis de constater que la quinine m’a sauvé la vie : perfusion massive par 24 heures de 1 500 mg par jour, avec pour seule conséquence des insomnies qui ont mis une semaine à disparaître et des acouphènes.

    Je ne sais pas si la chloroquine guérit du Coronavirus, mais ce que je sais c’est qu’elle ne vous empoisonnera pas puisque la dose prescrite par le professeur Didier Raoult est de 600 mg par jour.

    Léger problème, cependant  y en aura-t-il pour tout le monde?

    https://ripostelaique.com/la-chloroquine-est-elle-un-poison.html

  • Au fou: lâchez les chiens!

    Coronavirus: l’ONU suspend les relocalisations et invite les États européens à laisser passer les migrants aux frontières

    L’ONU a annoncé mardi la suspension jusqu’à nouvel ordre des relocalisations de réfugiés, craignant qu’ils ne se retrouvent victimes des limitations imposées à l’entrée sur le territoire de nombreux pays pour faire face à la propagation du coronavirus.

    www.rtl.be

    Le Haut commissariat des Nations unies pour les réfugiés (HCR) a demandé aux États européens de veiller à la protection des réfugiés en adoptant des mesures de dépistage et de quarantaine pour les laisser passer les frontières et demander l’asile, tout en veillant à lutter contre la pandémie de coronavirus.

    “Les mesures [de lutte contre le coronavirus] ne devraient pas entraîner la fermeture de routes vers l’asile, ou forcer les populations à retourner vers des situations de danger ", a alerté jeudi 19 mars Filippo Grandi, Haut commissaire des Nations unies pour les réfugiés (HCR), cité par l’AFP.

    […]infomigrants.net

  • Pendant que vous êtes bloqué-es chez vous...

    ... d'autres vont prendre la poudre d'escampette!

    Coronavirus: Belloubet vise la libération de 5000 détenus

    La garde des Sceaux Nicole Belloubet a annoncé lundi aux organisations syndicales du ministère de la Justice qu’elle visait la libération de 5000 détenus, afin de désengorger les prisons en cas de propagation du coronavirus, a appris l’AFP de sources syndicales.

    "Des ordonnances vont être prises permettant la libération anticipée des détenus en fin de peine. Ce qui permettra la libération d’environ 5000 détenus", a tweeté FO-Pénitentiaire, syndicat majoritaire chez les personnels pénitentiaires.

    www.lefigaro.fr

  • Bientôt danger pour tous!

    Chichon, coco, amphètes: ça va pas être la fête pour bobos et trafiquants…

    Frontières avec l’Espagne, la Belgique, l’Allemagne, l’Italie fermées, confinement et contrôles partout sur les routes ; faute d’approvisionnement, les stocks vont fondre comme neige au soleil. D’ores et déjà, de rudes pénuries s’annoncent.

    La crise du Coronavirus va asphyxier le commerce. Faute de clients, le chiffre d’affaires va chuter et la manne providentielle qui alimente la racaille des quartiers et leurs familles va durablement se tarir. Ce sont des populations entières qui vont se voir brutalement privées des ressources qui garantissaient une certaine paix sociale. Gros problèmes en perspective.

    Double effet: plus de pognon chez les trafiquants dans les quartiers, plus d’anesthésiques ni de fortifiants pour les bobos dans les villes, ni dans les campagnes où ça consomme tout autant. Un cocktail détonnant pour des populations qui ne supportent aucune frustration.

    On peut s’y attendre, ça va flamber dans les banlieues, ça va déprimer chez les bobos, les taux d’angoisse existentielle vont culminer chez les plus fragiles dans les campagnes. Instabilité sociale et ultra-violence à la clef.

    Décidément, ça se complique sérieusement pour le petit jeune homme arrogant qui va avoir beaucoup de mal à contrôler une crise multi-facteurs qui s’annonce longue et très violente.

    Confinement sévère, privations de libertés, rationnements alimentaires, pertes de revenus, familles les plus précaires privées de moyens de paiement à partir 5 du mois prochain, plus de pognon pour la racaille, plus de chichon, plus de coco, plus d’amphètes, ça va pas être le moment de tomber sur un os. Surtout que les places à l’hosto vont être chères et qu’on va y risquer fort d’y choper ce qu’on n’a pas. Pas le moment de se faire casser la gueule.

    Un conseil, pratiquez l’évitement et partez faire vos courses à plusieurs et en convoi.

    Sortir de chez soi va devenir dangereux. Chichon, coco, amphètes, faites en sorte qu’on ne vous fasse pas votre fête.

    Martin Moisan

  • Qui l'avait annoncé? Moi!

     

     

    Très gros ennuis après le 5 avril pour ceux qui ont cru Macron

    Paradoxe incroyable, la popularité de Macron vient d’exploser. Elle a gagné 13 points en pleine crise du Coronavirus. Elle se retrouve ainsi pour la première fois au-dessus de 50%, alors qu’il y a peu elle avait sondé en dessous de 20%. Alors, quelle peut bien être la cause d’une telle embellie?

    L’illusion Macron, les Français se croient en vacances, payés à rester chez eux ou dans leurs résidences secondaires. On imagine difficilement une manipulation des sondages à un tel niveau. On va donc considérer que, peu ou prou, ce sondage reflète une certaine réalité. Macron a annoncé que tout le monde devait s’arrêter de travailler, que tout le monde serait payé et que personne ne perdrait d’argent. Et les gens l’ont cru…

    Résultat, les homo festivus ont arrêté de bosser, ils se sont répandus sur les pelouses des parcs et jardins, jogging et balades en famille le long des voies d’eau. Aux tandems près, on assisté à une explosion de joie populaire comparable à celle de l’annonce des congés payés en 36. La capitale s’est en partie vidée, les bobos se sont rués sur les trains, direction leurs résidences secondaires à la côte.

    Ainsi 20% de la population parisienne a quitté la capitale. Les gens ne sont pas partis pour échapper au risque épidémique, ils sont tout simplement partis en vacances. La preuve: une fois à la côte, ils ont continué à enfreindre les consignes de confinement dans la plus parfaite irresponsabilité. Même chose chez les artisans et les indépendants en dehors des villes. Mon mécano, qui est un rustique que j’aime bien, m’a dit qu’il tirait le rideau et qu’il partait à la pêche.

    À la Saint-Luc, il m’aurait dit qu’il partait à la palombe… Dans les campagnes tout est à l’arrêt ou presque. Tout le monde a profité de l’effet d’aubaine, les gens sont dans leurs jardins, certains que Macron paierait et qu’aucun ne souffrirait. Demain on rase gratis, les Français l’ont cru, les doigts de pieds en éventail, ils ont remercié Macron de cette formidable embellie en portant sa popularité au plus haut. Cruelles désillusions en perspective.

    Très grosses déceptions en perspective. D’abord, les patrons de PME, les indépendants, artisans, professions libérales, auto-entrepreneurs et autres vont avoir beaucoup de mal à se faire payer. Les conditions d’éligibilité s’annoncent drastiques. Déjà il apparaît que seuls ceux qui ont été arrêtés par décision du pouvoir, tels les restaurateurs, seront éligibles aux aides. Il n’y aura rien pour les autres. On va leur expliquer qu’ils ont mal compris, qu’on ne leur a pas dit de s’arrêter mais de continuer en télétravail… Certains autres sont à l’arrêt de manière indirecte parce que leurs donneurs d’ordres ont arrêté net leurs missions. C’est le cas de certains cabinets de consultants ou de formation dont les entreprises ont repoussé les prestations sine die. Pour tous ceux qui n’auront droit à rien, les choses vont être extrêmement pénibles.

    Quant aux bénéficiaires, ils vont devoir justifier leurs pertes d’exploitation, ce qui va prendre du temps. Dans l’état d’incurie de l’administration, avec l’embouteillage des dossiers, les délais d’étude des dossiers vont être à perte de vue. Les bénéficiaires ne sont pas près de voir arriver l’argent. Comment vont-ils couvrir l’impasse de plusieurs semaines de perte de chiffre d’affaires?

    Même chose pour les salariés du privé. D’abord, ils ne toucheront que 80% de leur salaire net, hors primes et hors heures supplémentaires. Ça va faire très mal pour les salaires les plus bas qui bouclent tout juste leurs fin de mois et sont à découvert le 15. Ensuite, la loi d’exception qui vient d’être votée prévoit une imputation sur les congés payés et une remise en cause des 35 heures. Ça va pas être la fête chez certains homo festivus, privés de vacances cet été. Le pouvoir et le patronat profitent de la crise pour sarcler certains droits sociaux, très grosses contrariétés en perspective quand les gens vont atterrir.

    https://www.marianne.net

    Ceux qui ont cru Macron vont être déçus. Personne n’a vu l’ombre des 17 milliards que Macron avait promis aux Gilets jaunes. Je crains fort que l’illusionniste ait encore fait des promesses en l’air et que nombre de gens qui se sont crus en vacances ne voient rien venir, ou beaucoup trop tard, après que les banquiers leur auront tiré le tapis sous les pieds.

    Le 5 avril date fatidique. Dans ces conditions, rares sont ceux qui disposent de la trésorerie pour couvrir l’impasse. L’hécatombe va être extrêmement violente dans les PME, chez les artisans et indépendants. Pareil pour les salariés qui ne seront payés par leurs employeurs que jusqu’au 15 mars et qui devront attendre l’État pour prendre le relai.

    Pour nombre de ménages, c’est à partir du 5 avril, quand les rentrées n’arriveront pas sur les comptes et qu’il va falloir faire face aux échéances, que les choses vont se compliquer dramatiquement avec les loyers et les emprunts qui vont continuer à tomber. On peut compter sur les banquiers pour prélever leurs échéances d’un côté et repousser les chèques et bloquer les cartes bleues de l’autre.

    Toute une partie de la population totalement prise au dépourvue et totalement démunie à partir du 5 avril. L’atterrissage va être extrêmement brutal et la désillusion aussi. Nombre de gens vont se retrouver complètement dépourvus et pour certains, très nombreux sans doute, dans l’impossibilité d’aller au ravitaillement, privés d’argent et de moyens de paiement.

    Pénuries et rationnements. Cela va se combiner avec d’inévitables pénuries et avec un rationnement. En effet, de proche en proche, toute la chaîne de production agroalimentaire est en train de s’agenouiller et de perdre une grosse partie de ses capacités.  Les chaînes logistiques aussi. Il va donc très probablement falloir contingenter, et même rationner.

    Dans ces conditions, il y a tout lieu de penser que le mois d’avril sera celui de tous les dangers. Désillusion, frustrations de tous ordres, colère populaire, nous allons assister à des scènes tout à fait spectaculaires.

    Le pouvoir va se retrouver dans une situation d’impuissance totale, confronté à des populations trahies, exaspérées et qui ne respecteront plus aucune règle. Par ailleurs, le message de laxisme déjà largement envoyé aux populations des banlieues qui échappent à tout contrôle va également les autoriser à dépasser toutes les limites.

    À la crise sanitaire va s’ajouter un très violente crise sécuritaire multi-facteurs, que le pouvoir va avoir beaucoup de mal à contenir. Quid des forces de l’ordre envoyées sans protections sanitaires pour contenir des populations rendues folles? Seront-elles au rendez-vous?

    En France, le collapsus général du système approche et on ne voit aucune solution de reprise du pouvoir et de remise en ordre.

    Il y a tout lieu de penser que s’il s’installe, le chaos va durer avec un cortège de violences hallucinant.

    Martin Moisan

    https://ripostelaique.com