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Santé - Page 25

  • Grippe

    En France métropolitaine, la semaine dernière (2020s02), le taux d’incidence des cas de syndromes grippaux vus en consultation de médecine générale a été estimé à 85 cas pour 100 000 habitants (IC 95% [74 ; 96]).

    Au niveau régional, les taux d’incidence les plus élevés ont été observés en : Provence-Alpes-Côte d’Azur (134 [69 ; 199]), Ile-de-France (102 [72 ; 132]) et Occitanie (100 [65 ; 135]).

    Conclusion du groupe de travail pour la surveillance de la grippe en France métropolitaine :

    - Augmentation des indicateurs de l’activité grippale en métropole

    - Passage en phase épidémique en Ile-de-France et en Provence-Alpes-Côte d’Azur

    - Phase pré-épidémique pour les 11 autres régions métropolitaines

     

  • Ce que l'on doit savoir

    Voici ce que dit la Miviludes sur les dérives sectaires:

    “Il s’agit d’un dévoiement de la liberté de pensée, d’opinion ou de religion qui porte atteinte à l’ordre public, aux lois ou aux règlements, aux droits fondamentaux, à la sécurité ou à l’intégrité des personnes. Elle se caractérise par la mise en œuvre, par un groupe organisé ou par un individu isolé, quelle que soit sa nature ou son activité, de pressions ou de techniques ayant pour but de créer, de maintenir ou d’exploiter chez une personne un état de sujétion psychologique ou physique, la privant d’une partie de son libre arbitre, avec des conséquences dommageables pour cette personne, son entourage ou pour la société“.

    https://www.derives-sectes.gouv.fr

    https://ripostelaique.com/limmaturite-totale-et-profonde-du-monde

    Terroristes islamistes : “C’est la même mécanique que pour les nazis“:
    https://www.sudouest.fr

    Terrorisme et déséquilibres psychiatriques: ces troubles de la santé mentale beaucoup plus répandus au sein de certaines catégories de la population:
    https://www.atlantico.fr/decryptage/3585758/terrorisme-et-desequilibres-psychiatriques–ces-troubles-de-la-sante-mentale-beaucoup-plus-repandus-au-sein-de-certaines-categories-de-la-population

    Islamisme : la mise en garde du général Antoine Roch Albaladéjo (Légion étrangère) dont nos gouvernants n’ont tenu aucun compte :
    https://www.medias-presse.info/islamisme-la-mise-en-garde-du-general-antoine-roch-albaladejo-legion-etrangere-dont-nos-gouvernants-nont-tenu-aucun-compte/43577/

    L’islam, ce cancer de l’humanité :
    https://ripostelaique.com/lislam-ce-cancer-de-lhumanite.html

    Et les incontournables :

    Livre-choc de Wafa Sultan, édité par RL : « L’islam fabrique de déséquilibrés ? » :
    https://ripostelaique.com/livre-choc-de-wafa-sultan-edite-par-rl-lislam-fabrique-de-desequilibres.html

    “L’islam mis à nu par les siens“ de Maurice Saliba: découvrez la formidable préface du père Boulad:
    https://ripostelaique.com/lislam-mis-a-nu-par-les-siens-lisez-la-formidable-preface-du-pere-boulad.html

    Laurent DROIT

     

  • Toubib, toubib, où est-tu?

    Morts sur ordonnance?

    La situation actuelle n’est qu’une petite partie immergée d’un gigantesque iceberg. Pourquoi cette catastrophe sanitaire? Parce que certains ont cru avoir une idée de génie pour diminuer les dépenses de santé: diminuer l’offre.

    Par Gérard Maudrux.

    Je n’ai pas seulement présidé la Caisse de retraite des médecins, mais aussi la Caisse maladie des professions libérales de province, la plus grosse caisse après le régime général et la MSA, et je me suis toujours battu contre ce qui nous arrive.

    L’article que voici l’annonçait, il a été écrit il y a environ cinq ans.

    Une pénurie organisée

    La situation actuelle n’est qu’une petite partie immergée d’un gigantesque iceberg. Nous avons cinq ans pour connaitre une catastrophe sanitaire dont personne ne mesure l’ampleur.

    Des campagnes sans médecin généraliste à moins de 30 km, des villes de quelques dizaines de milliers d’habitants sans gynécologue là où il y en avait cinq, sans cardiologue, des départements sans ophtalmologiste. Les gardes ne pourront plus être assurées après des journées de 12 heures et si vous ne trouvez pas de médecin il vous restera le 15, tout aussi saturé et n’ayant rien d’autre à vous proposer.

    Ce n’est pas de la science-fiction, c’est demain. Déjà aujourd’hui, malgré plus de 10 000 médecins formés à l’étranger, des services hospitaliers et des hôpitaux entiers ferment, non par faute de moyens, mais de médecins. Sans eux, c’est l’ensemble de notre système hospitalier qui ferme, y compris les grands centres hospitaliers universitaires.

    Tout ceci a été volontairement organisé. Les responsables ne seront pas inquiétés, seuls les patients et les médecins en feront les frais.

    Sachez aussi qu’il n’existe pas de solution efficace, même en employant de grands moyens, et cela durera une dizaine d’années.

    Tout est inscrit depuis 20 ans et comme d’habitude, on gère au jour le jour, trop tard.

    Président de la Caisse de Retraite des médecins pendant 18 ans, je connaissais tous les médecins, ainsi que leur âge. Je savais à quelle date et combien prendraient leur retraite, et combien s’installaient, et tout ceci 20 à 30 ans à l’avance. Voici plus de 15 années j’alertais l’Ordre des médecins, qui depuis sort des statistiques identiques, sans que cela ne fasse bouger les autorités.

    Moins de médecins pour moins de dépenses

    Il y a plus de dix ans j’organisais une grande conférence de presse pour alerter sur le sujet, avertir que déjà avant 2000 nous passerions de 125 000 médecins libéraux à 100 000, alors que dans le même temps la population allait augmenter de 10%. Aucune réaction.

    Il y a trois ans je récidivais par un colloque avec l’Ordre des médecins, les syndicats, la Sécurité sociale et le ministère (invité mais absent). Le but était de lister les solutions. Aucun écho.

    Pourquoi cette catastrophe sanitaire?

    Parce que certains ont cru avoir une idée de génie pour diminuer les dépenses de santé: diminuer l’offre. Moins de médecins, moins de prescriptions, moins de soins et moins de dépenses.

    Comment ont-ils fait?

    En empêchant nos enfants de poursuivre des études de médecine, avec le fameux numerus clausus, passant de plus de 8500 médecins formés chaque année avant 1980 à 3500 de 1990 à 2000.

    Maintenant, chaque politique y va de sa solution: " augmentation d’un tiers du numerus clausus et ouverture de 1000 maisons de santé ". Ces gens ne connaissent rien à la démographie et feraient mieux d’écouter ceux qui savent au lieu de dire n’importe quoi pour créer d’autres problèmes déjà vécus.

    Des mesures inefficaces

     

    Pour ce qui est de l’augmentation du numerus clausus, nos données sont précises et connues: il existe un décalage de 11 ans entre les courbes du numerus clausus et celles des installations. Cette mesure sera sans effet au plus fort de la crise et la situation s’aggravera.

    Messieurs, il fallait le faire il y a 15 ans, vous êtes toujours en retard d’une guerre.

    Par ailleurs, en quoi les autres mesures, comme les primes à l’installation ou les  maisons médicales, permettraient d’augmenter le nombre de médecins?

    Vous pouvez construire des châteaux, le problème est qu’il n’y aura personne pour y loger. Les maisons médicales répondent au problème de changement de mentalité de nos jeunes confrères qui ne veulent plus être disponibles 24 heures sur 24 et 365 jours par an, mais comment trouver trois médecins là où on a du mal à en trouver un? Le résultat sera aussi de sur-doter les communes moyennes et sous-doter les petites.

    Les médecins étrangers?

    Tous les pays en manquent pour des raisons diverses et il y a le problème de la qualification. Un mauvais médecin est pire car un mauvais traitement nécessite l’intervention d’un autre praticien, et deux traitements coûtent deux fois plus! Par ailleurs, étant donné la manière dont les autorités traitent les médecins dans notre pays au lieu de les choyer, les premiers arrivés retournent chez eux, où ils gagneront moins mais vivront mieux.

    Le ministère continue d’ignorer le problème.

    Beaucoup de médecins peuvent rendre des services en exerçant des activités à temps partiel notamment des remplacements en secteur rural. Aujourd’hui un mois de remplacement engendre davantage de charges que de recettes; cela fait 15 ans que je fais des propositions sans coût pour la société, propositions toujours refusées ou ignorées par les autorités et les syndicats, qui se désintéressent du problème.

    Je prends date, il y aura des morts, car il n’existe pas de solution efficace. Les responsables sont tous les ministres et chefs de cabinet qui se sont succédé depuis 20 ans. Ne comptez pas sur eux pour trouver de bonnes solutions. Comme le disait Einstein, vous ne pouvez régler les problèmes avec ceux qui les ont créés.

    https://www.contrepoints.org/2019/11/26/358515-morts-sur-ordonnances

    Gerard MAUDRUX est chirurgien urologue. Il a aussi été durant 20 ans Président d’une des plus grosse caisse de retraite des libéraux, celle des médecins. Il est à l’origine de la transformation de la retraite de base des libéraux de trimestres en points, et d’une retraite à la carte à 62 ans pour la retraite complémentaire des médecins pour contrer les 67 ans demandés par la tutelle. Auteur également de " Retraites, le mensonge permanent " en 2000, qui a reçu le prix Turgot (catégorie grand public).

     

  • Lettre ouverte aux casseurs de tous poils et autres black-bloc

    Si vous aviez un Alzheimer, une sclérose en plaques, un Parkinson, un cancer et un fauteuil roulant sous les fesses, je vous assure que vous auriez d'autres chats à fouetter que d'avoir envie de tout casser autour de vous par simple conn… rie intellectuelle ou débilité mentale….

     

    Car, je suis sûre que vous ne savez pas que -les problèmes de santé ci-dessus indiqués: ON PEUT LES AVOIR TOUS ENSEMBLE

    Oui, vous avez lu: toutes ces maladies sur un même corps humain!… (c'est sûr et certain… prouvé… demandez aux médecins!).

    Au lieu de perdre votre temps à vous taper le cul par terre pour sauver la planète

    ou interdire la démocratie, le capital et le libéralisme, etc…

    ou pour anéantir  ceux qui vous débectent:

     

    VIVEZ!

    Faites l'amour.. faites des enfants… ou non, faites le tour du monde; travaillez même si cela vous débecte… ou devenez humanitaire…

     

    CAR

    Vous avez perdu d'avance! Vous serez obligé-e de rentrer dans le rang, que vous le vouliez ou non. Parole d'une soixante-huitarde!

    qui ne voulait pas foutre la merde et tout casser mais seulement avoir le droit de s'asseoir à la terrasse d'un café, boire une bière avec les copains et ne pas baisser les yeux lorsque l'on croisait des mecs dans le couloir de l'école! (oui! véridique) ... rien d'autre...

    Foin des destructions des sorbonnards et de toute la gauchiasse troskiste, léniniste et autres cocos réunis!

    (cherchez les leaders de mai 68 et regardez ce qu'ils sont devenus... rentrés dans le rang et déversant leur haine de la société, de la famille, des traditions ancestrales de la France...

    jusqu'à se soumettre et vendre la France, Notre Patrie, aux étrangers, qui n'ont pas la même tradition judéo-chrétienne...

     

    LA VIE EST TÊTUE: VOUS VIVEZ OU VOUS MOURREZ.

    QUOI  D'AUTRE?

     

     

  • Education

    Maurice Berger: "Non, la violence gratuite n’est pas due à la ghettoïsation"

    FIGAROVOX/GRAND ENTRETIEN - Les violences gratuites sont en augmentation constante en France. Pour le pédopsychiatre Maurice Berger, auteur d’un livre sur son expérience auprès des adolescents hyper-violents, elles sont le fruit de facteurs psychologiques et culturels.

    Maurice Berger est pédopsychiatre, psychanalyste, ex-professeur associé de psychologie de l’enfant. Il travaille en Centre Éducatif Renforcé et enseigne à l’École Nationale de la Magistrature. Il vient de publier, Sur la violence gratuite en France. Adolescents, hyper-violents, témoignages et analyses (L’Artilleur, 2019)

    FIGAROVOX.- En tant que pédopsychiatre dans un centre éducatif renforcé (CER), vous êtes confronté quotidiennement aux jeunes qui commettent des "violences gratuites". Un terme revient souvent dans le débat public, surtout récemment: jugez-vous que l’on assiste à un "ensauvagement" de la société?

    Maurice BERGER.- Toutes les deux minutes, une plainte est déposée à la police pour une violence gratuite et tout citoyen peut être confronté à une telle agression. Pour moi, l’ensauvagement, c’est lorsque la parole ne fait plus tiers, lorsqu’existe un différend même minime entre individus.

    Il y a quelques années, 85% des mineurs traduits devant la justice changeaient de comportement après leur rencontre avec l’institution judiciaire, la parole du juge. Ils ne sont plus que 65% actuellement, et c’est d’eux dont je parle ici. L’impulsivité prime, l’autre n’est plus considérée que comme un objet sur lequel décharger la tension qu’on ressent dans l’immédiateté, comme une gêne à éliminer. Ceci soulève la question de savoir quelles sont conditions nécessaires pour qu’un individu se civilise.

    En tant que médecin, j’affirme que ces comportements extrêmes sont de plus en plus fréquents et de plus en plus grave. Cette évolution n’est pas soudaine, j’en écrivais la certitude en 1992. L’attitude des gouvernements successifs a été de penser implicitement "après moi, le déluge", déluge qui est là maintenant ; et aussi de se plier à une idéologie qui définit comme "sécuritaire" et animée d’intentions électorales toute personne qui alarme sur ce sujet.

    En tant que médecin qui, depuis 40 ans, a le plus travaillé en France sur la prise en charge des enfants et adolescents violents, j’affirme que ces comportements extrêmes sont de plus en plus fréquents et de plus en plus graves. Un facteur parmi d’autres est l’impunité importante concernant la première atteinte aux personnes, que j’appelle le droit de tabassage.

    En réadaptation fonctionnelle, où je travaille aussi, je reçois des adultes qui gardent à vie des séquelles physiques ou cérébrales définitives après une agression pour un supposé mauvais regard, et dont l’agresseur mineur n’est puni que d’un sursis car il n’était pas récidiviste. La vie ou la qualité de la vie restante de la victime est ainsi démonétisée. Or c’est simple, quand on n’est pas puni, on recommence.

    FIGAROVOX - À partir de votre expérience, vous choisissez d’écrire ce livre pour dénoncer certaines idées reçues sur la violence: selon vous, l’explication par la "ghettoïsation" et la "stigmatisation" n’est pas la bonne, pourquoi?

    Lorsqu’il existe de graves dysfonctionnements familiaux, donner 3 000 euros à une famille tous les mois n’arrêtera pas, par exemple, un homme de frapper sa femme devant leurs enfants petits, maltraitance qui est souvent liée dans mes recherches à une culture intégrant l’inégalité homme-femme. 69% des adolescents très violents ont été exposés à des scènes de violences conjugales pendant les deux premières années de leur vie. Ils ont en eux l’image violente de leur père qui resurgit lorsqu’ils subissent une bousculade ou un mauvais regard. Détruire, comme frapper, est le jeu de ceux qui n’ont pas d’imagination.

    Les causes premières de la violence se situent dans la petite enfance. Les mères elles-mêmes ont souvent eu une enfance tellement désastreuse qu’elles sont incapables de sourire à leur bébé, de lui parler, de comprendre quand il a besoin d’être rassuré par un câlin. Surtout, ces parents ne jouent jamais avec leur enfant petit (les jeux vidéos ne sont pas de vrais jeux). Ces enfants n’apprennent jamais le "faire semblant", et devenus adolescents, leur pensée est pauvre, le mot qui revient le plus souvent dans mes entretiens est "normal", sans plus d’explication sur leurs actes.

    Quand on n’a pas joué à faire des accidents avec des petites voitures, ou avec des figurines de pompiers qui viennent éteindre le feu en faisant "pin pon", on ne sait jouer qu’en vrai. Un jeune m’explique "on s’ennuyait, alors on a mis le feu à un entrepôt" (coût 1.700.00 euros totalement remboursés par les assurances responsabilité civile scolaires).

    Pas de "comme si" signifie que tout mot peut être pris au sens littéral. Ces adolescents ne comprennent pas le mot "rêvasser". Quand je demande ce qu’ils feraient s’ils gagnaient un million d’euros au loto, rêverie universelle, la réponse est "votre question est bête, je n’y penserai que lorsque j’aurai le million posé devant moi".

    Dans ce contexte, détruire, comme frapper, est le jeu de ceux qui n’ont pas d’imagination. Faire venir les pompiers pour les attaquer n’est pas une révolte contre l’uniforme en général, c’est un jeu des plus sommaires, qui peut être à "mort réelle".

    Il est évident qu’avec une pensée aussi endommagée, la scolarité au collège unique est vouée à l’échec et que ces sujets ne progressent qu’avec des dispositifs qui passent par des apprentissages manuels: "Il faut me montrer pour que je comprenne". Faute d’attention et d’échanges avec leurs parents, certains jeunes que vous accompagnez ne sont même pas capables de reconnaître les émotions d’autrui…

    Un bébé ne sait qu’il sourit que s’il rencontre un sourire en miroir sur le visage du parent, il ne reconnaît ses émotions que si un adulte lui nomme ce qu’il ressent. Conséquence, certains de ces jeunes ne sont pas capables de comprendre la structure d’un visage. Les émotions qu’exprime le visage d’autrui peuvent être aussi indéchiffrables et ses mimiques sont alors interprétées comme menaçantes, donc il faut l’attaquer. Aucun des jeunes que j’ai rencontrés n’a manifesté de réel sentiment de culpabilité pour ses violences.

    Le plus grave est l’absence d’empathie, de capacité de comprendre ce que l’autre peut ressentir. Ainsi je demande à un jeune qui a mis un adulte dans le coma pour un supposé mauvais regard, pourquoi il n’a pas tué sa victime. Réponse: "parce qu’un copain m’a tiré en arrière par mon sweat". Je l’interroge sur ce que cela aurait fait à la mère de sa victime si son fils était mort. "Elle aurait été triste un moment, puis il faut passer à autre chose, ne pas s’apitoyer toute sa vie, c’est ballot. Il aurait dû mourir un jour de toute manière". Aucun des jeunes que j’ai rencontrés n’a manifesté de réel sentiment de culpabilité pour ses violences, ce qui est très déstabilisant pour les professionnels, il faut passer par d’autres voies.

    FIGAROVOX - En quoi les structures familiales sont-elles en partie responsables de l’apparition de comportements violents?

    Je demande à chaque jeune que je rencontre de me raconter son histoire, et il apparaît que dans la région où je travaille, la grande majorité de ces mineurs sont issus de l’immigration originaire du Maghreb. Ce qui m’a amené à travailler à partir des écrits de psychologues maghrébins, et les membres de l’équipe de Centres Éducatifs Renforcés, en majorité originaires eux aussi d’Afrique du Nord, m’ont aidé à comprendre. Les codes du groupe priment sur la loi extérieure.

    Les familles concernées ici, et ce n’est pas le cas de toutes les familles d’origine maghrébine en France, où prime la solidarité, ont un fonctionnement clanique, c’est un corps dont chaque individu est un membre, sous l’autorité d’un patriarche ou d’une matriarche. Si un sujet s’éloigne géographiquement, ou se met à penser différemment, le groupe se vit comme amputé d’un membre et va chercher à le récupérer.

    Alors que le but d’une famille devrait être que les parents cherchent à ce que leur enfant se construise une pensée personnelle et puisse s’éloigner d’eux pour se construire un projet personnel, dans une famille clanique le mode de pensée est indifférencié, le but n’est pas qu’un sujet pense par lui-même, son identité est d’abord d’appartenir au groupe. Ainsi 50% des jeunes admis au CER ont pour projet de vivre à l’âge adulte dans l’appartement familial ou dans le même immeuble, et quand je demande ce qui se passerait si leur épouse souhaitait un appartement avec plus d’intimité, la réponse est "elle dégage".

    Dans ce cadre indifférencié, certains parents nous déclarent avoir décidé de ne jamais dire non à leur enfant! Les conséquences de ce fonctionnement sont d’abord que les codes du groupe priment sur la loi extérieure. Et la représentation que ces jeunes ont de la relation n’est pas de personne à personne mais de groupe à groupe. Si l’un d’eux est en difficulté dans une relation, il rameute son groupe: "mes frères vont venir te tuer". Un autre demande que le stage professionnel que l’éducateur lui cherche se situe précisément dans l’arrondissement où il vit. Le terme de ghettoïsation est donc inexact, car on est enfermé dans un ghetto ; alors qu’ici au contraire, la contrainte est intérieure, auto-sécrétée, car c’est l’éloignement qui est angoissant, en pensée, ou physiquement hors du territoire.

    FIGAROVOX - En quoi la réponse judiciaire est-elle insuffisante? Comment "mettre une butée", pour reprendre votre expression?

    Le plus souvent, il n’y a pas eu d’interdit cohérent dans ces familles, mais des moments de collage alternant avec des moments de rejet.

    Ces jeunes ont besoin d’un interdit d’agir réel, d’une butée matérialisée, pour comprendre que la loi a une existence.

    Les pères sont souvent partis car pas intéressés par l’enfant. Dans ces conditions, aucune loi ne peut être intégrée, sauf celle du plus fort. Nous, nous n’avons pas besoin d’agir pour savoir que la loi existe, alors que ces sujets n’ont pas la loi dans la tête, certains me disent que les lois ne servent à rien, et ils ont besoin d’un interdit d’agir réel et non symbolique, d’une butée matérialisée, pour comprendre que la loi a une existence et arrêter de commettre des actes au moment même où cela leur vient à l’esprit.

    Nous avons du mal à comprendre qu’il faut d’abord empêcher ces sujets d’agir pour qu’ils se mettent à penser. La décision judiciaire est très souvent le seul repère qui fournit à un jeune un reflet de la gravité de ses actes. La progressivité de la sanction prive certains de ce miroir nécessaire qui leur indique ce qui est permis ou défendu, sans même parler de ce qui est bien ou mal. Et certains jeunes ne profitent du travail éducatif qu’après un passage dans un lieu de privation de liberté, privation de la liberté de frapper. La question n’est pas la prison en soi, mais la qualité de contenance et de pensée qui peut y être proposée.

    La multiplication des sursis, cette justice de la dernière chance, peut alors être pour ces sujets précisément une perte de chance. Ceci est loin d’être compris par beaucoup de responsables politiques. Et c’est souvent seulement lorsqu’une réponse judiciaire est suffisamment ferme que certaines familles sont obligées de venir s’interroger sur leurs dysfonctionnements.

    FIGAROVOX  - Jugez-vous qu’en règle générale, y compris en l’absence de drames familiaux comme ceux évoqués précédemment, cette autorité tend à diminuer?

    Oui, l’autorité diminue. Elle vise à réguler les désirs de chacun, à passer du "je" veux ça au "nous". Qu’est-ce que cela donnerait si tout le monde faisait comme moi et ne respectait pas les lois? Mais pour un parent, poser un interdit cohérent nécessite d’accepter de ne pas être aimé temporairement par son enfant, de souhaiter avoir un enfant aimable par les personnes extérieures à la famille et qui ait envie d’être un citoyen; d’être un parent capable de sortir de son confort personnel pour faire l’effort d’interdire, donc de délaisser temporairement la télévision ou son jeu vidéo, et ne pas se dire que l’école ou le club de foot fera ce travail à sa place.

    Tout ceci est d’autant plus difficile à comprendre qu’à notre époque, les interdits ne sont plus "portés" par le groupe social, beaucoup de parents ne prennent plus en compte le "qu’en-dira-t-on", le regard des autres qui souligne que "ça ne se fait pas", sorte de honte qui aidait les parents à réguler les comportements de leurs enfants. Difficile aussi à notre époque où beaucoup de médias tournent systématiquement en dérision toute tentative de rétablissement des interdits nécessaires. Pourtant il est devenu inévitable de re-légitimer un principe d’autorité très ferme à tous les niveaux (école, respect de la police, etc.) pour restructurer notre fonctionnement collectif et pour empêcher la perte de toute idée de "bien commun".

    https://www.lefigaro.fr

  • Un robot ménager islamophobe tue une voilée

    On ne plus faire de gâteau en France ma bonne dame, sans risquer sa vie  quand on est une "bonne" musulmane! Il va falloir envisager d’interdire les robots qui finalement se comportent comme Terminator pour les voilées!

    Quand j’ai entendu cette nouvelle, j’ai été pris d’un doute!  Faisait-il si froid chez cette dame pour justifier un foulard?

    Puis, un peu espiègle, un rien blagueur, je me suis demandé si ce ne serait pas une dame portant un voile islamique? Parce qu’en fait, les médias ne se sont pas éternisés sur la victime! On ignore son nom alors même que, si cela avait une Christine, ou une Paulette, nous aurions su toute de suite qui était cette victime! J’ai pensé à Rosette et à son meurtre! On ne sait même pas la marque du robot!  Il faut croire qu’il doit faire partie des annonceurs! Ah la magie publicitaire!

    En conséquence, mes doutes se sont raffermis!

    Puis j’ai lu un article de Bladi.net, un site marocain qui, lui, annonce dans son titre la mort d’une femme voilée en faisant un gâteau! (Source)

    Elle aurait été "happée" par son robot! J’avais vu ça une fois sur un escalator! Une voilée s’était fait "happer" par une marche en haut de l’escalator à la Défense dans le 92! Cris et hurlements! D’autres diraient "crimes et châtiments"! Bref, on était tous pliés de rire! Ce n'est pas gentil, je sais… La mise à poil n’a pas eu lieu!

    Mais poursuivons: Alors qu’une mère de famille de 58 ans faisait du gâteau avec son fils âgé de 10 ans le dimanche 10 novembre à leur domicile, situé dans le quartier de La Métare à Saint-Étienne, elle meurt étranglée par un robot multi-cuiseur.

    La première question qui m’est venue a été de me demander pourquoi cette femme, étant chez elle, portait un voile assez encombrant pour gêner son activité culinaire!

    La réponse serait que son dieu d’amour, de paix, et de tolérance lui aurait fait une misère dans l’au-delà?

    Enfin, c’est pas sérieux! C’est ce que disent des musulmans au sujet du voile islamique! Pas tous bien sûr, car je sais que toutes les musulmanes ne portent tout simplement pas le voile, d’autres, pas en permanence, pas dans leur cuisine, la salle de bains, ou aux toilettes, ni  dans la chambre… quoique! J

    Je ne sais pas finalement! Quand on voit ces femmes voilées dans la rue, qui acceptent de se transformer en Belphégor, on se dit que la bêtise n’a pas de limite!

    La deuxième question qui m’est venue, c’est pourquoi le gamin a-t-il attendu pour éteindre le robot? La panique nous dit l’article!  Paniqué, son fils a appelé les pompiers et l’équipe du Samu. Il aurait pourtant suffit de débrancher l’appareil!

    On pense à Terminator, lui au moins avait une grosse autonomie! En moins de deux, il aurait flingué tout ce qui bouge, le gamin avec! La voilée serait-elle la génitrice d’un futur résistant,  je n’ose dire patriote? Bon, je délire, ce n’est pas possible!

    Le robot est de 2019, il est multi-cuiseur et pas plus! On peut affirmer sans crainte qu’il n’a pas été formaté pour assassiner les voilées qui l’utilisent…. Cela se saurait, tout de même!

    J’en déduis que le gamin de 10 ans pour Bladi.net, de 15 ans pour les médias français, n’a pas eu la présence d’esprit de débrancher le robot.

    Il est vrai que la présence d’un esprit en musulmanie, c’est plutôt haram. On n’aime pas les esprits, surtout s’il est Saint!  Il a donc préféré téléphoner aux pompiers et au Samu pour savoir ce qu’il devait faire, tout en regardant sa mère se faire étrangler! Le moins que l’on puisse dire, c’est qu’il a manqué sérieusement de réaction! D’autres diront qu’il avait la tête ailleurs, tandis que celle de sa mère était dans le bol du robot!

    À l’heure actuelle, personne ne sait ce qu’est devenue la préparation pour faire le gâteau…?

    Sans doute embarquée avec la dame, en même temps que le robot "tueur"!

    On ne sait pas si l’équipe du Samu a retiré le foulard de la dame?

    Ni même si le gamin simplet, par son manque de réaction, a protesté le soir venu auprès d’Allah, à la prière du soir, de n’avoir pas attendu la fin de la cuisson!  Il n’y a pas que les robots pour tuer, une gazinière peut le faire aussi! Mais là, cela aurait été plus difficile à expliquer!

    Gérard Brazon

    https://ripostelaique.com/un-robot-menager-islamophobe-tue-une-voilee.html

    A savoir que dans ces pays où on emballe les femmes, il y a recrudescence de la maladie sclérose en plaques car, ne pouvant se mettre au soleil, elles manquent de vitamine D, reconnue comme un des plus important vecteur de cette maladie immunitaire...

    A savoir aussi, qu'au Canada où le soleil n'est pas brillant, la Sep est la maladie qui frappe le plus de monde. Le gouvernement de ce pays à rendu obligatoire la prise de vitamine D durant la grossesse et jusqu'à l'âge de 8 ou 10 ans.

    Les emballeurs de gonzesse sont en train de détériorer leur capital de boniche à vitesse grand V.

    On peut être attaqué par la Sep de la naissance au 4e âge... oui, j'ai lu sur un forum qu'une dame âgée de 81 ans a été diagnostiquée sépianne!

    Le manque de soleil n'est pas le seul vecteur; il en existe 4 autres: la faute à pas de chance, le tabac (hélas, j'ai fumé 3 paquets par jour durant 20 ans) une violente émotion et une suspicion génétique (que j'ai aussi, manque de chance!).

    Moralité, ne jouez pas les Belphégor, ça augmentera vos chances!