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Santé - Page 27

  • Micro-plastique dans l'eau à table: les dangers

    Dans son rapport rendu public le 22 août dernier, l’Organisation mondiale de la santé estime qu’à leurs niveaux actuels, les micro-plastiques présents dans l’eau potable ne constituent pas encore de risques pour la santé. Si le message se veut être rassurant, l’Agence sanitaire alerte cependant sur les dangers à venir.

    Des données limitées et encore peu d’études fiables sur le sujet

    Lors d’une conférence de presse, l’OMS a surtout souhaité rassurer les consommateurs d’eau de robinet et d’eau en bouteille dans le monde entier quant aux effets sur la santé humaine des micro-plastiques présents dans l’eau potable. L’analyse réalisée a essentiellement porté sur les risques d’ingestion, les risques associés à la présence de biofilm ou bactéries agglomérées, et les risques chimiques.

    Les travaux menés par les chercheurs ont révélé que les micro-plastiques de taille supérieure à 150 micromètres ne sont pas absorbés par l’organisme. Par contre, l’absorption des particules de plus petite taille, en particulier celles de taille nanométrique, pourrait être plus importante. Toutefois, les études fiables et les données disponibles à ce jour sont encore limitées.

    Maria Neira, directeur du Département Santé publique à l’OMS, appelle ainsi à approfondir la question. Il est indispensable de procéder à des évaluations plus poussées, avec des méthodes standardisées. Pour cause, il est difficile de réaliser une analyse comparative des études sur le sujet et de leurs résultats. Des recherches supplémentaires sont donc nécessaires afin d’obtenir plus de précisions.

    Des risques pour la santé humaine et les écosystèmes aquatiques

    Si les taux de micro-plastiques actuellement enregistrés dans l’eau potable ne sont pas encore une menace pour la santé humaine, il est impératif de lutter contre la pollution plastique dans le monde entier, insiste l’OMS. Si les émissions de plastique dans l’environnement continuent à une telle vitesse, les conséquences se feront sentir d’ici un siècle au plus tard.

    Les micro-plastiques constituent un véritable danger pour l’avenir des écosystèmes aquatiques. Il a été vérifié que leur absorption par les animaux marins affecte leur reproduction. Ce qui ne devrait pas être sans effet sur la santé humaine.

    Outre la nécessité de réduire significativement la pollution plastique au niveau mondial, il convient aussi de traiter les eaux usées.

    Les experts de l’Agence sanitaire onusienne rappellent que le traitement des eaux usées revêt une importance capitale. Il permet d’éliminer plus de 90 % des micro-plastiques qui polluent ces eaux. Malheureusement, bon nombre de pays dans le monde ne disposent toujours pas de systèmes adéquats pour le traitement des eaux usées. Il est également urgent d’investir dans ce secteur.

    Déjà qu'ils ne peuvent pas supprimer les molécules pharmaceutiques des eaux du robinet!!!

     

  • Au secours!

    journée aux urgences de Poissy: vive la diversité!

    Avant d’entamer ma bafouille autour de certaines choses vues, je tiens à planter le décor: les urgences de l’hôpital de Poissy – Centre Hospitalier Intercommunal Poissy/Saint-Germain-en-Laye, exactement. Cet hôpital se trouve au cœur d’un de ces quartiers bucoliques que nous vantent les progressistes, lesquels s’interdisent toutefois d’y vivre pour des raisons qui n’ont rien à voir avec celles que les vilains petits canards racistes invoquent… évidemment!

    Le quartier en question – La Coudraie – a même connu son heure de gloire artistique, puisqu’il a servi de décor à un film du réalisateur français Jacques Audiard, récompensé entre autres d’une palme d’or au festival de Cannes: " Dheepan ". Un film qui, pour n’avoir pas exalté le bonheur de ces lieux enchanteurs, a reçu de la part de la presse bien-pensante de sévères réprimandes. Ainsi, les inénarrables Inrockuptibles se sont irrité le gosier face à ce tableau si noir d’une diversité qu’ils veulent à toute force heureuse, évoquant avec ironie une: "peinture délirante d’une cité française proche du New York 1997 de Carpenter, entièrement aux mains de gangs de dealers qui guettent tels des snipers-sentinelles du haut de barres d’immeuble/miradors. Heureusement que Dheepan est là pour nettoyer la racaille au Karcher".

    Mais je m’égare. Revenons à nos moutons…

    Jeudi 15 août, à la suite d’une chute bête comme nous en avons tous connu, une amie a été accompagnée par les pompiers aux urgences de l’hôpital de Poissy, me demandant dans l’intervalle de l’y rejoindre pour ensuite la ramener chez elle. Les urgences de l’hôpital de Poissy, il faut vous le dire, chers amis lecteurs, provoquent des sueurs froides à tous ceux qui les ont fréquentées. Car là-bas c’est le règne de la diversité la plus décomplexée et il n’est pas rare d’y croiser de longues barbes et des hijabs en veux-tu en voilà, avec la bienséance qui les caractérise!

    Sauf que je ne m’attendais pas à ce que le personnel – clamant pourtant à longueur de banderoles son désarroi et son intérêt pour les patients – suive la route tracée par sa "clientèle" majoritaire.

     

     

    En français dans le texte, la personne que j’assistais dans cette épreuve que sont, hélas, les urgences françaises, souffrait terriblement au niveau de son genou gauche, sur lequel elle était malencontreusement tombée dans sa chute.

    Voici qu’après un certain temps arriva un médecin –lui-même de la diversité–; il ausculta sa patiente, l’envoya à la radio, revint, toujours après un certain temps, la voir, tandis que les urgences, ce soir-là, n’étaient pas trop encombrées, même si l’on entendait gémir de douleur des patients laissés là sur des brancards et sans aucun mot de réconfort. Là, le médecin nous dit que nous pouvions y aller et qu’un Doliprane ferait l’affaire. Devant l’impossibilité pour mon amie de mettre le pied par terre, je suggérai au praticien qu’il serait peut-être judicieux de lui procurer au moins une attelle. Ce qu’il accepta, après une hésitation qui me fit douter de ses compétences, je le confesse.

    Et c’est là que ça devient formidable…

    Une infirmière, plus occupée à plaisanter et minauder avec ses collègues masculins que faire ce pour quoi elle était payée – je l’observais depuis un certain temps, à accomplir des allers et retours sans but dans le couloir –, arriva en traînant des pieds et frappant par jeu lesdits collègues avec l’attelle. Mon amie, toujours en proie à la douleur physique, je lui dis, devant l’infirmière occupée à lui mettre son attelle: "Si tu souffres trop on reste ici".

    L’infirmière en question me balance alors, avec le ton de la Grosse Bertha crachant le feu de l’enfer: "Excusez-moi mais ce n’est pas vous qui décidez!".

    Moi de lui répondre qu’on ne laisse pas partir comme ça une patiente en état de souffrance, qu’ici c’est un hôpital, me semble-t-il".

    Déjà, vous vous calmez!" se met-elle à grogner, faute d’arguments valables à m’opposer. Et de monter en puissance, de plus en plus menaçante, agitant violemment les bras pendant qu’elle éructe, reprochant à mon amie d’avoir refusé de prendre un Doliprane pour la soigner – un Doliprane aurait-il la vertu de soigner? Jusqu’à ce que je la menace à mon tour d’appeler le commissariat si elle continue ses invectives et ses gestes dignes d’une recrue des cités environnantes…

    Soudain, tandis que deux mâles de la diversité, eux aussi employés de l’hôpital, surveillaient la scène avec le regard mauvais comme il faut, j’ai décidé de laisser tomber car je savais par avance que j’avais tout contre moi et que je risquais de me faire démolir le portrait au moindre geste suspect, ainsi qu’une condamnation en bonne et due forme…

    Avant de partir, j’ai quand même pris le temps de dire à la furie qu’elle avait raison, que j’étais un "imbécile" mais que je n’en resterai pas là, même si je savais par avance qu’elle jouirait d’une totale impunité en cas de plainte. Au fait, m’aurait-elle parlé sur ce ton si j’avais porté une djellaba et mon amie un niqab? J’en doute…

    Dernier point: sur la fiche de sortie de mon amie, il était écrit qu’elle n’était pas accompagnée. C’était faux bien sûr, mais on n’avait plus la force de se frotter à ce petit monde et lui signifier son incompétence.

    Le lendemain, nous sommes allés dans une clinique privée où l’accueil et la compétence, justement, étaient plus notables! Bilan: une IRM – imagerie par résonance magnétique – a été programmée car, selon un avis médical avisé cette fois, ce pourrait être plus grave qu’un simple bobo ne nécessitant qu’un Doliprane. Les ligaments pourraient être touchés, toujours selon le praticien de la clinique. Au fait, l’hôpital de Poissy possède tout le matériel nécessaire pour faire passer une IRM!

    Je tiens aussi à préciser que j’ai fréquenté plusieurs autres urgences d’hôpitaux publics français et que je n’avais, jusqu’à présent, jamais été confronté à une pareille épreuve. Je suis aussi conscient de tout le travail accompli par le personnel soignant en général. Mais les urgences de Poissy sont décidément fidèles à leur déplorable réputation…

    Ghislaine Dumesnil, avec son édifiant témoignage – "Mahomet au volant, la charia au tournant" –, nous avait déjà alertés sur l’atmosphère islamique au sein des transport en commun; nous savions que l’Éducation nationale préférait l’exotisme aux faces de craie ; nous savions ce qu’il en était des tribunaux – où le Blanc est ontologiquement coupable tandis que la diversité bénéficie presque immanquablement de circonstances atténuantes – ; nous n’ignorions pas, notamment à travers le mouvement des Gilets jaunes, que les forces de l’ordre avait comme consigne de cogner plus volontiers sur le peuple réel de France que les hordes des cités; nous constations que les migrants avaient plus de droits que le pauvre clochard visage pâle, juste bon à crever dans la rue, etc. En sera-t-il de même pour la Santé, pleine d’empathie pour l’Autre et de mépris pour l’Autochtone? Question brûlante et non moins effrayante.

    Malgré toutes ces preuves, les progressistes montent sur leurs ergots parce que nous autres, Français de cœur, nous révoltons contre cet état de fait. Nous avons simplement peur de voir notre mode de vie anéanti par de sombres volontés destructrices qui fantasment un monde sans identités ni frontières ; un monde qui n’est qu’une promesse de chaos, comme ces urgences où l’on se défoule sur les proies faciles, à savoir nous, les Blancs! Attention toutefois: "La peur peut faire faire des choses bien plus dangereuses que la colère" (Bernardin de Saint-Pierre).

    Charles Demassieux

     

  • Menteurs!

    Royaume-Uni: le prince Harry révèle qu’afin de sauver la planète, lui et Meghan Markle n’auront que deux enfants

    Surtout, elle est trop vieille pour faire des gosses… combien elle en a déjà?

    Quand on fait des bébés lorsque l'on est trop âgée, on prend des risques…

    tout le monde sait cela!

     

  • La preuve

    que j'avais annoncé la sécheresse et la canicule pour 2019

     

    http://www.cuisine-toulousaine.com/archive/2018/12/27/secheresse-et-canicule-en-2019-6116135.html

     

  • Si bête et si tache!

    Sibeth Ndiaye : les Français mangent “plutôt des kebabs” que du homard

    Evoquant la démission de François de Rugy, la porte-parole du gouvernement a affirmé que “tout le monde ne mange pas du homard tous les jours, bien souvent on mange plutôt des kebabs”.

    Accusé d’avoir donné des dîners fastueux aux frais de l’Etat, François de Rugy a démissionné du gouvernement ce mardi 16 juillet, estimant qu’il ne pouvait pas se défendre correctement en restant en fonction. Un choix qui a surpris alors que le ministre démissionnaire n’avait de cesse de se défendre et de jouer la transparence depuis les révélations de Mediapart. Invitée à réagir à cette démission, la porte-parole du gouvernement Sibeth Ndiaye a évoqué l’affaire des homards, dont des photos ont été publiées par Mediapart. " On doit à chaque fois avoir de la mesure, avoir une certaine forme, parfois, de frugalité car je suis bien consciente, nous le sommes tous, que tout le monde ne mange pas du homard tous les jours, bien souvent on mange plutôt des kebabs ", a déclaré la porte-parole du gouvernement.

    Ne pas confondre vie personnelle et vie publique

    Une manière de simplifier les choses et les goûts culinaires des Français, que certains internautes n’ont pas hésité à moquer sur les réseaux sociaux. " Il faut que nous ayons cette raison qui fait qu’on sait apprécier les choses et on sait doser au bon niveau ses frais de représentation. A aucun moment il ne faut confondre ce qui est notre vie personnelle et les dépenses qu’on a dans un cadre personnel et ce qui est notre vie publique, ce sont deux choses différentes ", ajoute-t-elle. Selon la membre du gouvernement, " notre exemplarité se mesure aussi à notre capacité à bien discerner les choses ".

    Lors d’une interview sur RMC vendredi 12 juillet, François de Rugy s’était défendu en affirmant qu’il était allergique aux fruits de mer. En annonçant sa démission sur Facebook, le ministre a expliqué que " les attaques et le lynchage médiatique dont ma famille fait l’objet me conduisent aujourd’hui à prendre le recul nécessaire. La mobilisation nécessaire fait que je ne suis pas en mesure d’assumer sereinement et efficacement la mission que m’ont confiée le président la République et le Premier ministre ".

    PERSO: je n'en ai jamais mangé: et que le croquemitaine me croque si j'en avale un jour!

    Je préfère la viande de mon boucher: au moins, je sais ce que je mange!

    LA BONNE CUISINE TOULOUSAINE: cliquez

     

     

  • C'est complètement fou!

    Un jour j'ai vu passer un article (avec photo) montrant des collégiens sodomisant un âne dans un bled pas catholique…

    Marly-la-Ville (95): Louis, 12 ans, harcelé et violé au collège

    Qui imaginerait des collégiens de 6e harceler un élève au point de lui infliger agressions sexuelles et viol ? C’est ce qui est arrivé à Louis [Le prénom a été modifié], scolarisé au collège Françoise-Dolto, à Marly-la-Ville (Val-d’Oise). Au paroxysme de cet enfer, il a cherché à mettre fin à ses jours. Il est encore sous traitement et suivi psychologique en raison de tendances suicidaires. Ses parents ne le lâchent pas d’un pas.

    Ce grand garçon (1,78 m) de 12 ans aux yeux bleus évoque ces sévices d’une voix calme et timide. "Ils font le jeu de l’olive. On prend quelqu’un et on cherche à lui mettre un doigt dans l’anus", explique-t-il. À plusieurs reprises, ses agresseurs lui ont mis un doigt, un stylo ou un témoin de relais d’athlétisme entre les fesses. L’épisode le plus violent date de juin. "Il était accoudé à une barre en cours de sport, relate Julia [Le prénom a été modifié], sa mère.

    Un des gamins est arrivé derrière lui et a plongé ses mains jointes dans son derrière. "La doublure de son short est trouée. "Ça a été très douloureux, car très profond. Je saigne encore beaucoup", témoigne-t-il. […]

    D’autres agressions surviennent. À nouveau l’établissement est contacté. Les parents préviennent qu’ils porteront plainte la prochaine fois. Leur fils sombre dans le mutisme. Ils comprennent que le harcèlement n’a pas cessé quand Louis évoque les propos qui visent sa sœur. "Ils ont dit qu’ils allaient la sodomiser", indique-t-il. Elle était en CM2 cette année. "Du coup, j’ai très peur parce qu’elle rentre au collège l’année prochaine. Je ne voudrais pas qu’elle subisse ça à cause de moi", ajoute le jeune garçon.

    Le Parisien

    Sale pourriture!