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Société - Page 189

  • Climat: une seule planète nous suffit amplement

    Chaque fois que j'entends cela je me dis: comment font-ils pour calculer leurs dires? on nous dis cela tous les ans à la bisto de naz, j'en suis sûre... pour faire peur aux gens... et tous les débiles qui manifestent pour que les gouvernements réagissent aux problèmes climatiques sont décérébrés par ces oiseaux de mauvais augure... même chose que: ne mangez pas de la viande, ça donne le cancer...

    Nous n’avons pas besoin d’une deuxième planète, mais d’institutions qui permettent à l’homme de s’adapter aux inévitables évolutions de son environnement.

    Depuis une dizaine d’années, les médias nous annoncent la fin du monde en titrant par exemple: " Depuis ce matin, l’humanité vit à crédit; la totalité des ressources renouvelables de la planète a été épuisée"… donc il nous faut une deuxième planète pour survivre.

    Depuis Malthus à la fin du XVIIIe siècle les prophètes de malheur se sont succédé et leurs prévisions apocalyptiques se sont toujours révélées fausses.

    Il est cruel mais nécessaire de citer Stanley Jevons, René Dumont, Paul Ehrlich, Lester Brown, Teddy Goldsmith… relayés par le Club de Rome, le WWF, Greenpeace, Worldwatch Institute, France Nature Environnement… et même par le Vatican (Encyclique Laudato Si).

    Comment en est-on arrivé à répéter année après année de telles contrevérités alors que l’état de la planète s’améliore?

    Dans les années 1970, la communauté scientifique se préoccupait du refroidissement climatique. Ainsi que le constatait l’écologiste britannique Kenneth Watt en 1970, " si la tendance actuelle continue, la planète va se refroidir de quatre degrés en 1990 et de onze degrés en 2000. C’est à peu près le double de ce qui nous conduirait à une ère glaciaire".

    Le plus remarquable est que ces mêmes prophètes  non seulement ne reconnaissent pas leurs erreurs mais persistent en déclarant que leurs prévisions étaient justes mais simplement précoces! " Tout se passe comme si le fait d’avoir toujours eu tort par le passé les confortait dans l’idée qu’ils auraient raison dans l’avenir".  (Tertrais, 2011).

    Abondance des ressources

    Il convient de rappeler qu’entre 1850 et 2018 les prix (indicateurs de la rareté) des matières premières ont été divisés par 5 tandis que la population mondiale a été multipliée par 5 et le revenu par habitant par 10… et tout indique que cette extraordinaire performance se poursuit au XXIe siècle. Faut-il aussi préciser que les pays placés en tête dans les classements en matière de liberté économique et de revenu par habitant sont également ceux qui disposent du meilleur état écologique.

     

    À ce point nous devons considérer le modèle proposé par la courbe environnementale de Kuznetz. Bien qu’approximative et contestée, cette courbe, fondée sur l’observation de deux siècles de croissance économique, met en évidence que si, dans un premier temps, à l’augmentation de la richesse correspond une dégradation de l’environnement, la courbe s’inverse dès lors qu’apparaît l’abondance (autour de 10 000 euro/an et par habitant).

    Dans la mesure où l’on escompte une sortie massive de la pauvreté il faut donc s’attendre, toutes choses étant égales par ailleurs, à une pression importante sur les ressources environnementales. Ceci est bien illustré par la Chine qui a probablement atteint le point d’inflexion de la courbe environnementale de Kuznetz et commence à se préoccuper des externalités insoutenables liées à sa croissance.

    Il est probable que ce phénomène va concerner tous les pays échappant à l’extrême pauvreté. Il faut donc s’attendre au cours des 20 prochaines années à une croissance économique mondiale susceptible de porter atteinte à la qualité environnementale des pays concernés mais aussi de l’ensemble de la planète. Mais, comme par le passé, l’évolution des technologies, et des institutions (dont l’échange et les droits de propriété) permettront de poursuivre l’amélioration environnementale et le bien-être de l’humanité.

    Aujourd’hui, c’est le contraire qui est prédit: sous la pression d’une communauté scientifique politisée et des media avides de catastrophisme, le réchauffement de la planète est devenu un thème central, relayé sans relâche par le Groupe d’experts intergouvernemental, GIEC-IPCC, sur l’évolution du climat rattaché aux Nations Unies, dont les affirmations répétées sont devenues des vérités incontestables, quelle que soit leur véracité scientifique.

    Ceci devrait nous rappeler Lyssenko ou le scandale des avions renifleurs des années 70 à savoir qu’une hypothèse relayée massivement par les institutions devient vérité officielle incontestable sous peine de sacrilège.

    Ainsi les modèles de prévision du réchauffement onusiens établis à la fin du siècle dernier se sont déjà révélés approximatifs ou erronés, ce qui permet de douter du catastrophisme à l’horizon de la fin de notre siècle. Comme l’a encore montré l’économiste Rémy Prud’homme, le réchauffement repose sur une science fragile. D’ailleurs beaucoup de décideurs n’y croient pas vraiment: les milliardaires continuent d’acheter de somptueuse villas les pieds dans l’eau et le Conservatoire du Littoral de maîtriser le foncier sur des zones qui seront submergées à brève échéance!

    Une autre voie

     

    Si l’on accepte la réalité d’un réchauffement il est temps d’encourager et de mettre en œuvre des politiques susceptibles d’y faire face et de concilier croissance et environnement.

    Tout d’abord, puisque l’aide aux pays en voie de développement sous sa forme actuelle est largement inefficace et parfois même contreproductive (corruption), il convient soit de la supprimer soit d’en modifier le contenu. À savoir:

    encourager la responsabilité individuelle par la diffusion des droits propriété privés ou en commun;

    renforcer l’État de droit (Rule of law) et le pouvoir des citoyens.

    En fin de compte, comme le précisait The Economist, dès 2005 " la main invisible verte: les marchés constituent un atout pour l’environnement pour autant que les écologistes puissent apprendre à les aimer " que le Président Clinton résumait " la main invisible du marché a aussi un pouce vert!".

    Dénoncer l’imposture

    La pensée unique, politiquement correcte diffusée par les media répond à une logique bien analysée par Jean de Kervasdoué dans son excellent ouvrage " Ils pensent que la nature est bonne " (2016):

    Il n’y a pas d’autres domaines que l’écologie ou les préoccupations les plus justifiées voisinent avec les plus évidentes bêtises, ou la confusion des concepts est aussi manifeste, où les croyances l’emportent sur la raison, où la pression sociale est aussi sirupeuse que violente, ou l’idéologie prend le masque de la vérité, où les intérêts se cachent sous la bannière de la générosité, où les informations sont partielles, partiales et souvent truquées. Cette bouillie de faux concepts, de grands sentiments et d’intérêts camouflés conduit les hommes les plus respectables à proférer doctement les plus évidentes contrevérités… et, surtout, à prendre les plus incontestables bienfaits de la science pour le plus grand des dangers. Pourquoi ce fossé entre la réalité et sa perception?

    En fait il s’agit d’un combat idéologique affirmant que la Nature est innocente et bonne et que l’Humanité est mauvaise, une version sécularisée du jardin de l’Eden.

    Pour conclure, le pessimisme n’est plus de saison et l’espoir est là pour autant que les institutions permettent la liberté et la responsabilité des hommes. La pauvreté et la destruction des ressources environnementales associées à la rareté, peuvent être résolues en recourant aux institutions élaborées et sélectionnées par les hommes au cours des siècles. Depuis des millénaires l’humanité a su s’adapter et survivre à des  modifications climatiques de grande ampleur et les media et certains scientifiques rendent un mauvais service à la cause environnementale en refusant d’ouvrir le débat et en reprenant en boucle des slogans flattant le catastrophisme.

    Nous n’avons pas besoin d’une deuxième planète, mais d’institutions qui permettent à l’homme de s’adapter aux inévitables évolutions  de son environnement. Max Falque

    icrei.org

     

     

     

     

     

     

    Climat: une seule planète nous suffit amplement

    Nous n’avons pas besoin d’une deuxième planète, mais d’institutions qui permettent à l’homme de s’adapter aux inévitables évolutions de son environnement.

    Depuis une dizaine d’années, les médias nous annoncent la fin du monde en titrant par exemple: "  Depuis ce matin, l’humanité vit à crédit; la totalité des ressources renouvelables de la planète a été épuisée "… donc il nous faut une deuxième planète pour survivre.

    Depuis Malthus à la fin du XVIIIe siècle les prophètes de malheur se sont succédé et leurs prévisions apocalyptiques se sont toujours révélées fausses.

     

    Il est cruel mais nécessaire de citer Stanley Jevons, René Dumont, Paul Ehrlich, Lester Brown, Teddy Goldsmith… relayés par le Club de Rome, le WWF, Greenpeace, Worldwatch Institute, France Nature Environnement… et même par le Vatican (Encyclique Laudato Si).

    Comment en est-on arrivé à répéter année après année de telles contrevérités alors que l’état de la planète s’améliore?

    Dans les années 1970, la communauté scientifique se préoccupait du refroidissement climatique. Ainsi que le constatait l’écologiste britannique Kenneth Watt en 1970, " si la tendance actuelle continue, la planète va se refroidir de quatre degrés en 1990 et de onze degrés en 2000. C’est à peu près le double de ce qui nous conduirait à une ère glaciaire".

    Le plus remarquable est que ces mêmes prophètes  non seulement ne reconnaissent pas leurs erreurs mais persistent en déclarant que leurs prévisions étaient justes mais simplement précoces! " Tout se passe comme si le fait d’avoir toujours eu tort par le passé les confortait dans l’idée qu’ils auraient raison dans l’avenir".  (Tertrais, 2011).

    Abondance des ressources

    Il convient de rappeler qu’entre 1850 et 2018 les prix (indicateurs de la rareté) des matières premières ont été divisés par 5 tandis que la population mondiale a été multipliée par 5 et le revenu par habitant par 10… et tout indique que cette extraordinaire performance se poursuit au XXIe siècle. Faut-il aussi préciser que les pays placés en tête dans les classements en matière de liberté économique et de revenu par habitant sont également ceux qui disposent du meilleur état écologique.

     

    À ce point nous devons considérer le modèle proposé par la courbe environnementale de Kuznetz. Bien qu’approximative et contestée, cette courbe, fondée sur l’observation de deux siècles de croissance économique, met en évidence que si, dans un premier temps, à l’augmentation de la richesse correspond une dégradation de l’environnement, la courbe s’inverse dès lors qu’apparaît l’abondance (autour de 10 000 euro/an et par habitant).

    Dans la mesure où l’on escompte une sortie massive de la pauvreté il faut donc s’attendre, toutes choses étant égales par ailleurs, à une pression importante sur les ressources environnementales. Ceci est bien illustré par la Chine qui a probablement atteint le point d’inflexion de la courbe environnementale de Kuznetz et commence à se préoccuper des externalités insoutenables liées à sa croissance.

    Il est probable que ce phénomène va concerner tous les pays échappant à l’extrême pauvreté. Il faut donc s’attendre au cours des 20 prochaines années à une croissance économique mondiale susceptible de porter atteinte à la qualité environnementale des pays concernés mais aussi de l’ensemble de la planète. Mais, comme par le passé, l’évolution des technologies, et des institutions (dont l’échange et les droits de propriété) permettront de poursuivre l’amélioration environnementale et le bien-être de l’humanité.

    Aujourd’hui, c’est le contraire qui est prédit: sous la pression d’une communauté scientifique politisée et des media avides de catastrophisme, le réchauffement de la planète est devenu un thème central, relayé sans relâche par le Groupe d’experts intergouvernemental, GIEC-IPCC, sur l’évolution du climat rattaché aux Nations Unies, dont les affirmations répétées sont devenues des vérités incontestables, quelle que soit leur véracité scientifique.

    Ceci devrait nous rappeler Lyssenko ou le scandale des avions renifleurs des années 70 à savoir qu’une hypothèse relayée massivement par les institutions devient vérité officielle incontestable sous peine de sacrilège.

    Ainsi les modèles de prévision du réchauffement onusiens établis à la fin du siècle dernier se sont déjà révélés approximatifs ou erronés, ce qui permet de douter du catastrophisme à l’horizon de la fin de notre siècle. Comme l’a encore montré l’économiste Rémy Prud’homme, le réchauffement repose sur une science fragile. D’ailleurs beaucoup de décideurs n’y croient pas vraiment: les milliardaires continuent d’acheter de somptueuse villas les pieds dans l’eau et le Conservatoire du Littoral de maîtriser le foncier sur des zones qui seront submergées à brève échéance!

    Une autre voie

     

    Si l’on accepte la réalité d’un réchauffement il est temps d’encourager et de mettre en œuvre des politiques susceptibles d’y faire face et de concilier croissance et environnement.

    Tout d’abord, puisque l’aide aux pays en voie de développement sous sa forme actuelle est largement inefficace et parfois même contreproductive (corruption), il convient soit de la supprimer soit d’en modifier le contenu. À savoir:

    encourager la responsabilité individuelle par la diffusion des droits propriété privés ou en commun;

    renforcer l’État de droit (Rule of law) et le pouvoir des citoyens.

    En fin de compte, comme le précisait The Economist, dès 2005 " la main invisible verte: les marchés constituent un atout pour l’environnement pour autant que les écologistes puissent apprendre à les aimer " que le Président Clinton résumait " la main invisible du marché a aussi un pouce vert!".

    Dénoncer l’imposture

    La pensée unique, politiquement correcte diffusée par les media répond à une logique bien analysée par Jean de Kervasdoué dans son excellent ouvrage " Ils pensent que la nature est bonne " (2016):

    Il n’y a pas d’autres domaines que l’écologie ou les préoccupations les plus justifiées voisinent avec les plus évidentes bêtises, ou la confusion des concepts est aussi manifeste, où les croyances l’emportent sur la raison, où la pression sociale est aussi sirupeuse que violente, ou l’idéologie prend le masque de la vérité, où les intérêts se cachent sous la bannière de la générosité, où les informations sont partielles, partiales et souvent truquées. Cette bouillie de faux concepts, de grands sentiments et d’intérêts camouflés conduit les hommes les plus respectables à proférer doctement les plus évidentes contrevérités… et, surtout, à prendre les plus incontestables bienfaits de la science pour le plus grand des dangers. Pourquoi ce fossé entre la réalité et sa perception?

    En fait il s’agit d’un combat idéologique affirmant que la Nature est innocente et bonne et que l’Humanité est mauvaise, une version sécularisée du jardin de l’Eden.

    Pour conclure, le pessimisme n’est plus de saison et l’espoir est là pour autant que les institutions permettent la liberté et la responsabilité des hommes. La pauvreté et la destruction des ressources environnementales associées à la rareté, peuvent être résolues en recourant aux institutions élaborées et sélectionnées par les hommes au cours des siècles. Depuis des millénaires l’humanité a su s’adapter et survivre à des  modifications climatiques de grande ampleur et les media et certains scientifiques rendent un mauvais service à la cause environnementale en refusant d’ouvrir le débat et en reprenant en boucle des slogans flattant le catastrophisme.

    Nous n’avons pas besoin d’une deuxième planète, mais d’institutions qui permettent à l’homme de s’adapter aux inévitables évolutions  de son environnement. Max Falque

    icrei.org

     

     

     

     

  • Les magouilles de macrouille

    Toulouse: l’aéroport privatisé revendu par les Chinois

    Mes chères impertinentes, mes chers impertinents,

    En avril 2015, l’aéroport de Toulouse est privatisé et revendu en grande partie à un consortium chinois sorti un peu de nulle part. À l’époque, nous sommes en 2014, c’est le ministre de l’Économie qui intervient sur ce sujet directement, un ministre de l’Économie qui n’est autre… qu’Emmanuel Macron, devenu entre-temps président de la République.

    Or, à peine 3 ans après, les Chinois qui avaient acheté l’aéroport cherchent à le revendre presque 200 millions d’euros plus cher que ce qu’ils l’ont payé, tout en ayant soigneusement pompé, semble-t-il, la trésorerie de la structure distribuée sous forme de plantureux dividendes.

    Une bonne affaire donc, mais pas pour le " con-tribuable".

    On fait taire les débats avec le chantage à l’emploi

    Evidemment, si nous voulons vendre des Airbus à la Chine et faire travailler les "Françaises zet les Français, toutes zet tous", il faut bien vendre nos bijoux de famille à vil prix, c’est le prix à payer pour vendre nos avions…

    Sauf que c’est un marché de dupes, et que les Chinois achèteront, dans les années qui viennent, de moins en moins d’Airbus pour la simple et bonne raison qu’ils vont être en mesure de produire leur propre appareil en grande série d’ici quelques années. La Chine n’a pas vocation, et c’est une évidence, à continuer à nous acheter des avions alors qu’elle est le plus gros marché pour l’aérien!

    Comprendre rapidement ce dossier et les doutes de la Cour des comptes

    Avril 2015, l’État vend 49,99% du capital de la société de gestion de l’aéroport de Toulouse à Casil Europe, holding française créée par le groupe d’État chinois associé à un fonds d’investissement de Hong Kong.

    Deux phases sont prévues pour cette privatisation. D’abord une vente de 49,9% des parts, puis 10,01% supplémentaires deux ans plus tard.

    Ces 60% appartiennent à l’État. Le reste, soit 40% des parts, est détenu par la région, le département, la métropole de Toulouse et la CCI, qui tempêtent fortement devant la gouvernance douteuse des Chinois qui pillent la trésorerie de la société de gestion de l’aéroport de Toulouse. Ils font donc pression sur l’État pour qu’il ne vende pas les 10% restant et qui empêchent du coup la CASIL d’avoir la majorité absolue.

    Début 2018, l’État officialise son refus, du coup, les Chinois prennent la décision de mettre en vente les parts qu’ils détiennent de l’aéroport en confiant un mandat de vente à la banque d’affaires Lazard. On reste entre amis et beau linge.

    Comme quoi, on pouvait prendre les raccourcis et ne pas vendre nos aéroports à des Chinois qui ne nous ont pas plus acheté d’avions, pillent nos technologies, copient, espionnent, produisent leurs propres appareils et vident la trésorerie des entreprises qui se portent bien à la vente…

    Une procédure de revente très rapide

    D’après le site L’Écho touristique, "la procédure est très courte. Les marques d’intérêt doivent être déposées pour le 6 février prochain. Parmi les intéressés, Vinci Airports, qui vient de débourser 3,2 milliards d’euros pour mettre la main sur 50% de l’aéroport de Gatwick, la Banque populaire occitane et la Caisse d’Épargne Midi-Pyrénées adossées aux fonds de Natixis, le fonds français Ardian associé au groupe de BTP espagnol Ferrovial, Eiffage ou encore l’Australien Macquarie"!

    Cela est une procédure très rapide, car il n’y a que quelques jours laissés aux acquéreurs potentiels pour racheter les parts, ce qui, dans ce genre d’affaires, est très rare, car en quelques jours, vous n’avez pas du tout le temps ni les moyens matériels par exemple de….vérifier les comptes.

    Et de préciser que… "à la revente Casil se serait fixé un objectif de prix de 500 M€ alors qu’il avait acheté les 49,9% pour 308 M€".

     

    Comme quoi, si le profit est aussi important en aussi peu de temps c’est que la mise à prix avait été particulièrement mal réalisée.

    Pourtant, la Cour des comptes l’avait bien dit…

    Dans son rapport en novembre dernier, la Cour des comptes avait critiqué ce rachat et la situation de l’aéroport de Toulouse en disant: " un acquéreur dont le profil soulève des inquiétudes "quant à" son manque d’expérience en matière de gestion aéroportuaire", "son manque de transparence financière" et ses "liens avec la puissance publique chinoise".

    Plus grave, le rapport soulignait la situation "ambiguë et instable d’une entreprise dont le capital est majoritairement public, mais dont le contrôle appartient à l’actionnaire privé par l’effet du pacte d’actionnaires qu’il a conclu avec l’État".

    En clair, les Chinois ne détenaient que 49,9% des parts, et étaient donc minoritaires, mais le contrôle des décisions leur appartenait pleinement, car un pacte d’actionnaires, c’est-à-dire un accord, avait été conclu entre l’État et la Casil, abandonnant tout pouvoir à cette dernière. Absurde évidemment, et totalement contraire aux intérêts nationaux et de ceux des… "con-tribuables" de notre pays.

    Les privatisations sont l’organisation "légale" du pillage de notre pays !

    Il se passe la même chose dans tous les pays du monde.

    Les profits sont privatisés.

    Les pertes, socialisées.

    On vend aux copains, ce qui est très rentable, et on garde dans la sphère publique ce qui coûte cher et dont personne ne veut.

    La Russie a été pillée par les oligarques que Poutine s’est chargé de mettre en prison en nettoyant les écuries d’Augias de son prédécesseur Boris Eltsine.

    Les privatisations des autoroutes ont privé notre pays d’une manne récurrente, et chaque augmentation de tarif vient désormais augmenter les dividendes d’actionnaires privés.

    Ce patrimoine est un bien commun qui ne doit en aucun cas être bradé à vil prix.

    Pourtant, le gouvernement s’apprête à recommencer en vendant tout ce qui pourra l’être.

    À l’arrivée, comme la Grèce, nous aurons tout cédé, mais la dette aura continué à grimper, inexorablement.

    Miette à miette, petit à petit, nous démantelons notre pays.

    Quand nous aurons vendu notre dernier actif, nous nous rendrons compte qu’il ne nous reste plus que du… passif !

    Rien ne semble plus en mesure d’arrêter le pillage de notre pays.

    Il est déjà trop tard, mais tout n’est pas perdu. Préparez-vous!

    Charles SANNAT

    " Insolentiae " signifie " impertinence " en latin

     Pour m’écrire charles@insolentiae.com

    "À vouloir étouffer les révolutions pacifiques, on rend inévitables les révolutions violentes" (JFK)

    www.insolentiae.com

     

  • France en danger de mort

    Pendant que macrouille fait le pitre dans des débats stériles, la pourriture continue de moisir la France

    Calais: construction d’un mur " anti-migrants " autour d’une station-service afin d’empêcher les clandestins de grimper dans les camions

    Un nouveau mur est en construction à Calais, à l’initiative de la préfecture du Pas-de-Calais, autour d’une station-service Total pour empêcher les migrants de grimper clandestinement dans des camions à destination de la Grande-Bretagne, a-t-on appris jeudi de sources concordantes.

    La construction de cette "nouvelle protection" entourant la station-service, "la plus importante du Calaisis" , s’est faite "à la suite d’un travail de concertation menée entre les services de l’État et le groupe Total" , a indiqué la préfecture du Pas-de-Calais qui précise que les travaux ont été "entièrement financés par Total" .

     (…) Située sur la zone industrielle Marcel Doret à l’est de Calais, cette station est fréquentée chaque jour par des dizaines de camions en partance pour l’Angleterre. Ce site était " devenu un lieu de prédilection des passeurs avec de nombreuses tentatives d’intrusion dans les camions, avec parfois des chauffeurs pris à partie", a affirmé la préfecture.

    "La protection et la surveillance du site mobilisaient la nuit les forces de l’ordre qui subissaient souvent des agressions", a ajouté cette source.

    La construction de ce mur en béton de 3m de haut devrait s’achever en mars.

     (…) France 3

  • Gj: Comment “ils“ se payent votre tête!

    Le CNC divise par 3 ses aides pour la restauration des films anciens: aides du fonds "images de la diversité": +65% en 2018)

    Rififi et embrouillamini dans la restauration cinématographique. Le Centre national du cinéma et de l’image animée (CNC) (NDR: financé par le Ministère de la Culture) se voit contraint, pour des raisons budgétaires, de réduire drastiquement les aides qu’il accordait, depuis 2012, à la numérisation des films de "patrimoine", ceux dont la sortie en salle est antérieure à dix ans. L’établissement public espérait que sa solution pour atténuer ce manque à gagner – un recours au mécénat avec la bénédiction de Bercy – allait séduire. Or, il n’en n’est rien. (…)

    Dans toute la filière, chacun se désole évidemment du tarissement de la manne des 64,5 millions d’euros qui a permis de numériser 1123 films. Les aides, qui étaient de 9 millions d’euros en 2018, vont tomber à 2,8 millions par an jusqu’en 2021.

    Mis en place en 2007, la Commission Images de la diversité a été créée auprès de l’Agence nationale pour la cohésion sociale et l’égalité des chances et du Centre national du cinéma et de l’image animée (CNC).

    Le Fonds Images de la diversité a pour objectif de soutenir la création et la diffusion des œuvres cinématographiques, audiovisuelles, multimédia ou de jeux vidéo contribuant à donner une représentation plus fidèle de la réalité française et de ses composantes et à écrire une histoire commune de l’ensemble de la population française autour des valeurs de la République, et favorisant l’émergence de nouvelles formes d’écritures et de nouveaux talents, issus notamment des quartiers prioritaires de la politique de la ville.

    Pour répondre à ces objectifs, la commission images de la diversité soutient la création, la production et la diffusion d’œuvres cinématographiques, audiovisuelles, multimédias et de jeux vidéo dont l’action se situe principalement en France et qui:

    Représentent l’ensemble des populations immigrées, issues de l’immigration et ultramarines qui composent la société française, et notamment celles qui résident dans les quartiers prioritaires de la politique de la ville ;

    Représentent les réalités actuelles, l’histoire et la mémoire, en France, des populations immigrées ou issues de l’immigration, ainsi que des populations ultramarines et des quartiers prioritaires de la politique de la ville situés en territoire urbain ;

    Concourent à l’égalité entre les femmes et les hommes, à la politique d’intégration et à la lutte  contre les discriminations dont sont victimes les habitants des quartiers défavorisés, notamment celles liées au lieu de résidence et à l’origine réelle ou supposée ;

    Contribuent à la reconnaissance et à la valorisation de l’histoire, du patrimoine et de la mémoire des quartiers de la politique de la ville.

    Les subventions versées dans le cadre de ce fonds " images de la diversité " sont passées de 666000 € en 2017 à 1086000€ en 2018 (+63%)

    Composition de la commission

    Président: M. Reda Kateb, acteur

    1ER COLLÈGE

    Vice-Président: Chad Chenouga, comédien, scénariste et réalisateur

    Titulaires:

    Xiaoxing Cheng, réalisateur

    Alice Diop, réalisatrice

    Alexandre Gavras, producteur (KG Production)

    Isabella Pisani, directrice des achats et coproductions documentaires (LCP- AN)

    Mathilde Le Ricque, directrice de l’association Mille Visages

    2ÈME COLLÈGE

    Vice-Présidente: France Zobda, productrice (Eloa Prod)

    Titulaires:

    Pascal Blanchard, historien et documentariste

    Pierre Cattan, producteur (Studio Small Bang)

    Hakim Jemili, humoriste, auteur, comédien

    Olivier Wotling, directeur fiction (ARTE)

    Edouard Zambeaux, journaliste et réalisateur

    Liste des "œuvres" ayant reçu une subvention de la part du CNC dans le cadre du fonds "images de la diversité" depuis 3 ans:

    Le Monde - 22/01/2019

     

     

  • Comment on culpabilise les mâles blancs!...

     

     

    Juste pour information:

    Sophier Daumier était atteinte de sclérose en plaques et son mari en a profité pour divorcer… Elle est décédée il y a quelques années…

    Son mari? Guy Bedos…

    Pensez-y quand vous irez cherchez des places pour le voir sur scène…

    N'engraissez pas ce pov' type!

     

  • Pas loin de chez moi, la maire de Montauban Brigitte BAREGES

    (Montauban? moins de 50 km de chez moi)

    Brigitte BAREGES, Les Républicains a sauvé l’honneur

    Face au petit Nicolas Flamel élyséen, elle a réussi à sortir quelques vérités:

    — les étrangers ont des droits supérieurs aux Français, notamment en termes de protection sociale (avec l’aide médicale d’État (AME), un étranger peut s’offrir des lunettes et des soins dentaires sans frais)

    — dans certaines écoles de sa ville aux 70 fichés S, l’arabe a remplacé la langue nationale

    — un Algérien en situation irrégulière a sodomisé une vieille dame montalbanaise de 81 ans sans que cela n’émeuve particulièrement la presse…

    et les pétasse de meetoo ou des balance ton porc, elles sont où, les chiennes de garde... perdues dans leur gauchiasserie décervelée, sans doute.

    Brigitte Barèges a lancé que les Gilets jaunes ne sont pas protégés par les ONG contrairement aux immigrants illégaux. Elle a ajouté que le politiquement correct est en train de ruiner la France.

    Et ses collègues au lieu de l’applaudir l’ont sifflée, huée, auraient bien aimé la lyncher mais le p’tit Macrouille n’a pas souhaité que l’on aille jusque-là. La prochaine fois peut-être?

    Les médias du régime ont persisté dans le train-train habituel: Madame Barèges serait une dame pas très honnête, elle serait soupçonnée de détournement de fonds publics, a refusé un mariage gay avant d’y être contrainte par… un juge.

    La réponse du maître de la jactance a été claire: “L’accueil et l’hébergement sont inconditionnels, c’est un vrai investissement de l’État, il a encore augmenté, c’est environ deux milliards d’euros, mais il faut s’en féliciter“.

    Deux milliards d’euros, le chiffre de notre organisateur de l’inoubliable Fête de la musique sur le perron de l’Élysée paraît approximatif.

    Les mineurs non accompagnés, l’AME, le logement des immigrants illégaux, la scolarisation de leurs nombreuses progénitures, leurs inscriptions dès qu’ils sont régularisés, la délinquance dont ils sont les grands pourvoyeurs (arnaques, viols et petits meurtres), l’installation d’un islam de conquête (mosquées et prétendus centres cultuels), le suivi des fichés S, les massacres à la Kalachnikov ou au couteau, l’apparition de nouvelles maladies et la recrudescence d’anciennes (gale, Sida, tuberculose…), l’augmentation des cas d’IST (Infections sexuellement transmissibles) et de MST (maladies sexuellement transmissibles), les détournements, les fraudes, les escroqueries à la Sécu et aux retraites, ne coûteraient que deux milliards.

    Le banquier de l’Élysée sait-il compter?

    Et pendant ce temps, nos vieux, nos paysans, nos jeunes de souche, nos artisans crèvent dans la France périphérique.

    Après les politicards, les médias, la justice, les forces de l’ordre : les maires.

    Qui, demain, par ses courbettes ternira notre fierté d’être français?

    Les syndicats? C’est déjà fait.

    Les intellectuels? Pour la plupart c’est fait aussi.

    Les enseignants? Pas très brillants avec leur soutien aveugle à l’immigration.

    Les infirmières?

    Les pompiers?

    Espérons que pour ces deux derniers ce ne sera jamais le cas.

    Marcus Graven

    A Toulouse, y'avait une blague qui courrait dans les années soixante:

    Un jour, le chef de gare de Montauban -qui annonçait dans ce temps-là les arrivées des trains dans sa gare au micro- n'a pas coupé assez vite celui-ci et tous les voyageurs ont entendu ceci:

    "Montauban, Montauban, tout le monde descends!....

    et la phrase hilarante: "les cons, comme les intelligents"....

    Et bien, quarante ans plus tard, il y a plus de cons que d'intelligents, à Montauban! C.Q.F.D.