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Société - Page 234

  • Ignoble de tout temps…

    ignoble jusqu'à la mort!... vu son âge, déjà un pied dans la tombe!

    Avant l'interview de Macron, Valls trouve qu'"on passe beaucoup de choses à Monsieur Plenel

    L'ex-premier ministre dénonce les anciens écrits du journaliste de Mediapart a propos de l'attentat des JO de Munich.

    Par Alexandre Boudet

    Il ne voulait pas dire de mal. "Je ne peux pas commenter les choix du Président de la République ou des médias. Mediapart est un site dont chacun connaît la qualité et l'engagement", a d'abord affirmé Manuel Valls. Mais l'ancien premier ministre n'a pas pu s'empêcher de tacler Edwy Plenel quelques heures avant l'interview d'Emmanuel Macron que le fondateur de Mediapart va faire avec Jean-Jacques Bourdin.

    L'ancien premier ministre qui s'oppose au journaliste notamment sur sa vision de la laïcité a repris à son compte un argument largement répandu ces derniers jours dans les rangs de la droite et de l'extrême droite. Au cours du Grand Rendez-vous Europe 1, CNews, Les Echos, le député de l'Essonne est revenu sur les propos écrits dans les années 70 par Edwy Plenel.

    "Si un journaliste classé à l'époque à l'extrême droite et qui aurait évolué depuis -parce qu'on fait tous des erreurs de jeunesse, parait-il- avait écrit en 1973 qu'il se réjouissait de l'attentat aux Jeux olympiques de Munich contre les athlètes israéliens, je suis convaincu qu'il ne pourrait pas interviewer le président de la République", affirme Manuel Valls.

    Et l'ancien socialiste d'estimer plus largement qu'on "passe beaucoup à Monsieur Plenel et à ses engagements du passé qu'on retrouve d'ailleurs dans la forme de violence qui est la sienne".

    Le Pen scandalisée, Plenel s'explique

    Il y a quelques jours, Marine Le Pen s'était dite "scandalisée" par le fait que l'interview du président de la République soit menée par Edwy Plenel.

    "C'est un homme qui a justifié et défendu un acte terroriste ignoble", dénonçait la présidente du FN. Ces critiques étaient arrivées jusque dans l'hémicycle de l'Assemblée nationale, le député Les Républicains Jean-Charles Taugourdeau critiquant le choix d'Emmanuel Macron.

    Pour rappel, voici ce qu'écrivait Edwy Plenel, sous le pseudonyme de Joseph Krasny, pour justifier et célébrer l'attentat de 1972 ! Et c'est à ce genre de personnage que le Président de la République accorde un entretien fleuve ! MLP pic.twitter.com/wbOMEFBeal

        — Marine Le Pen (@MLP_officiel) 10 avril 2018

    Le cofondateur et patron de Mediapart avait confirmé à Libération le 2 avril avoir soutenu le groupe palestinien auteur de l'attentat de 1972.

    "Ce texte, écrit il y a plus de 45 ans, dans un contexte tout autre et alors que j'avais 20 ans, exprime une position que je récuse fermement aujourd'hui. Elle n'avait rien d'exceptionnel dans l'extrême gauche de l'époque, comme en témoigne un article de Jean-Paul Sartre, le fondateur de Libération, sur Munich dans La Cause du peuple–J'accuse du 15 octobre 1972", répondait Edwy Plenel.

    "J'ai toujours dénoncé et combattu l'antisémitisme d'où qu'il vienne et sans hésitation. Mais je refuse l'intimidation qui consiste à taxer d'antisémite toute critique de la politique de l'Etat d'Israël", précisait-il aussi.

    https://www.huffingtonpost.fr

  • Il n’y aurait pas eu d’attaque chimique!!!

    VIDÉO – Les Russes accusent les Anglais d’avoir fait de fausses vidéos. Il n’y aurait pas eu d’attaque chimique

    Cette vidéo est-elle vraie? Est-elle fausse? Les vidéos que l’on nous montre nous montrent-elles la réalité, jusqu’où doit-on douter et, plus important encore, jusqu’où avons-nous le devoir de douter?

    Cette question n’est pas anodine. C’est celle-ci qui devrait animer chacune et chacun de nous, et surtout ceux qui, par leur position d’information et je pense aux journalistes, ne doivent pas se faire instruments passifs de propagandes mais être en permanence à la recherche de la vérité.

    Parfois, il faut savoir dire… "je ne sais pas si ce qui s’est passé est vrai ou pas"!.

    Imaginez un peu Macron prenant la décision d’embarquer le pays vers une aventure militaire hasardeuse, le tout basé sur des informations erronées. Cela serait gênant.

    Nous devons garder les images en tête de Colin Powell, secrétaire d’État à la Défense, brandissant un flacon verdâtre en disant voici les armes chimiques de Saddam Hussein. C’était en 2003. Nous sommes en 2018 et nous les cherchons toujours. L’Irak n’est plus qu’un champ de ruines. Les victimes se comptent par centaines de milliers.

    Nous verrons demain, preuves à l’appui, que les preuves avancées par notre pays pour justifier les frappes sont assez minces, et qu’au minimum, un véritable débat doit pouvoir avoir lieu sur des sujets aussi graves que la paix… ou la guerre!

    Charles SANNAT

    La vidéo est sur le site: https://insolentiae.com/video

    Ici aussi, c'est à lire: bien documenté, très précis... même si vous trouvez que c'est long (il faudrait aussi apprendre à lire, à bien lire....)

     

    https://www.les-crises.fr

    Franchement, "ils" nous prennent tous pour des billes: Macron a téléphoné à Poutine la veille pour lui dire qu'ils allaient bombarder....

    ... et donc, les "ennemis" ont tout planqué avant qu'on ne leur envoie les missiles...

    comment voulez-vous que les usines de productions d'armes s'en sortent si personne ne les utilisent?

    Hein?

    Et puis aussi: si on bombardait vraiment, le gaz s'échapperaient et quid des populations aux alentours???

    Libre à vous d'y croire!!!

     

  • Message à faire passer...

     

    hyg mains.pdf

     

    Incroyable, non?

     

  • Gauchiasse, punie par sa propre connerie!

    Collèges "ghettos" à Paris: le choix cornélien des "parents blancs, de gauche"

    Le propos est fort, presque provocateur, et on le doit à… Gilles Pécout, recteur de l’académie, un homme extrêmement urbain, spécialiste de l’histoire italienne, faisant preuve en toute occasion d’une tempérance de sénateur romain. Oui, Paris est une ville d’apartheid, c’est dur à admettre, mais c’est une réalité. Faut-il éviter le public ? Contraindre le privé ? Ou trouver d’autres voies?

    Dans tous les quartiers de la capitale un tant soit peu mélangés, le melting-pot culturel et social dont sont si fiers les Parisiens se transforme – dans la sphère scolaire – en une mosaïque complexe d’écoles blanches, noires, ou plus ou moins métissées.

    Dans les écoles à dominante noire, qui se trouvent être les plus socialement et scolairement défavorisées, les parents blancs, de gauche, se retrouvent confrontés à un choix cornélien : respecter leurs principes en scolarisant leur rejeton dans l’établissement du quartier, ou suivre la grande majorité de leurs pairs qui font désormais le choix du privé.

    […] En ségrégant son public, Paris opère par ailleurs un tri scolaire sans pitié: d’un côté une multitude de collèges excellents – majoritairement privés – dépassant les 95% de réussite au brevet, de l’autre une bonne trentaine – tous publics – fluctuant entre 50 et 75%, bien en-deçà des moyennes nationales, dont l’état dégradé étonne même les enseignants et principaux venus de Seine-Saint-Denis ou des quartiers nord de Marseille. […]

    Dans ces affaires de mixité, on s’intéresse beaucoup aux parents, essentiellement pour les culpabiliser. Non sans raisons. Comme le souligne le recteur Pécout, le "Parisien n’est guère raisonnable". A l’ouest, il est traditionnellement attaché au privé par conviction religieuse, ou, plus souvent, par attachement atavique à l’entre-soi bourgeois. Au centre et à l’est, il dégaine volontiers ses principes généreux, mais les remballe aussi vite, lorsque sa progéniture se rapproche du cap anxiogène de l’entrée au collège. […]

    Nouvel Obs

  • Note aux escrocs et autres fifrelins...

    Bien évidemment, l'extrait d'acte de notoriété que vous avez téléchargé dans des buts d'escroqueries diverses et avariées ne sert strictement à rien. Il y a belle lurette que ce certificat a changé de présentation!

    Il devait être présenté avec un certificat supplémentaire d'enregistrement et paiement des droits: et oui, il faut payer pour obtenir un certificat de notoriété -pour ce genre-là s'entend.

    J'ai dû le refaire en 1993 et donc, la présentation est totalement différente. Mais, celui-ci, vous ne l'aurez pas!