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Société - Page 37

  • Général Martinez: le McKinseygate est une trahison qui disqualifie Macron

    Dans une excellente vidéo de 10 minutes, le général Martinez nous livre une brillante analyse de l’affaire MacKinsey, ce monumental scandale d’Etat que la presse fort embarrassée évoque timidement et de façon très superficielle, afin de ne pas entraver la campagne de celui qui règne sans partage depuis cinq ans.

     

    https://www.youtube.com/watch?v=g0WrOSGN0G0

    Il faut dire qu’en ayant la mainmise sur les quatre pouvoirs, législatif, exécutif, judiciaire et médiatique, il est beaucoup plus facile pour Macron de s’extirper d’une très sale affaire, que pour François Fillon, qui a lutté seul contre tous, face à une terrible machination politico-judiciaire outrageusement médiatisée.

    Pourtant, François Fillon n’a jamais coûté un seul sou au contribuable, ce qui n’est pas le cas d’Emmanuel Macron, qui jongle allègrement et impunément avec les millions de l’Etat, pour mener sa politique ruineuse, qui nous a largement appauvris avec 600 milliards de dettes supplémentaires.

    Toutes les affaires plus ou moins douteuses, qui ont parsemé la carrière politique de Macron, depuis le dépeçage d’Alstom jusqu’à l’affaire McKinsey, en passant par le scandale Benalla, marqué par le sabotage des deux enquêtes parlementaires, ainsi que par la dissimulation de preuves, en faisant disparaitre le coffre-fort de Benalla. Tout cela est la caractéristique d’un Etat mafieux.

    Et n’oublions pas les soupçons de financement de sa campagne de 2017 par des oligarques algériens. Un autre dossier sorti récemment mais très vite enterré.

    Toutes ces affaires plus que troubles, n’ont jamais inquiété ni la presse ni les juges, alors que les deux costumes reçus par Fillon ont mis la France en ébullition et ont torpillé son élection à la présidence.

    L’extrême médiatisation de l’affaire Fillon, n’a d’égal que l’étourdissant silence des juges et des médias, dès lors que c’est l’hôte de l’Elysée qui est soupçonné de nager en eaux troubles. Macron a verrouillé l’Etat au point d’être devenu intouchable et il règne en maitre absolu sur le pays, ne craignant aucun acharnement judicaire ou médiatique.

    Il vient d’ailleurs de limoger le patron du renseignement militaire, dont les services n’auraient pas été suffisamment performants, comparés aux renseignements américains, concernant l’offensive russe en Ukraine.

    Pour ma part, j’avoue avoir un sérieux doute quant à cette version. Je crois plutôt que ce général a dû exprimer sa propre analyse du conflit, peu compatible avec la version officielle qui fait du méchant Poutine l’agresseur absolu, donc le seul coupable, sans jamais évoquer les véritables raisons de cette offensive, ni les lourdes responsabilités de Washington, de l’Otan et de Kiev.

    Il est clair que Macron veut des agneaux étoilés totalement soumis à la tête de son armée, comme il l’avait déjà prouvé en 2017, en écartant sans ménagement le général Pierre de Villiers qui n’avait fait que défendre son budget. Sa trépignante colère incontrôlée, particulièrement grotesque, a ainsi révélé le caractère éminemment teigneux de notre petit président, qui ne souffre aucune contestation. Colérique et rancunier, il n’est pas aimé.

    Jugé incapable de gérer sainement le pays, puisque 84 % des Français ne veulent plus de lui, il est néanmoins très craint puisqu’il baisse le pouce sans états d’âme pour condamner ceux qui s’opposent à lui. Macron a bien une âme de dictateur, qui ferait bien des ravages si elle n’était pas freinée par nos remparts démocratiques.

    Mais revenons à l’affaire McKinsey

    Je rappelle que cette enquête du Sénat a nécessité 4 mois d’auditions.  Des millions de Français ont visionné les débats.

     

    Le général Antoine Martinez analyse le rapport du Sénat concernant le cabinet de conseil McKinsey, un sujet explosif susceptible de bouleverser les résultats de l’élection présidentielle.

    Ce McKinseygate, somme toute très modestement évoqué par les médias, révèle en réalité trois scandales à lui seul.

    1) Il y a bien entendu l’aspect économique et financier du dossier, le plus diffusé par la presse mais loin d’être le plus grave. Deux ministres ont tenté d’éteindre l’incendie, preuve qu’à quelques jours du scrutin l’affaire embarrasse l’Elysée.

    Le Sénat dénonce une explosion des recours à ces cabinets de conseil, qui met au grand jour une inquiétante dépendance de l’Etat vis à vis de ces officines privées. Ce qui interroge quant à la compétence et à l’utilité de nos hauts fonctionnaires, systématiquement écartés des instances de décision. En 2021, le gouvernement a dépensé 1 milliard pour rémunérer ces cabinets de conseil.

    A ce tarif, autant supprimer la haute fonction publique qui ne sert plus à rien. Le coût journalier d’un consultant est de 2200 euros, soit sept fois plus qu’un haut fonctionnaire. L’Etat en a rémunéré des milliers.

    Le sénat dénonce ensuite les dérives de l’optimisation fiscale, qui ont permis au cabinet McKinsey de ne payer aucun impôt sur les sociétés pendant 10 ans, contrairement aux affirmations d’un cadre de ce cabinet, pourtant faites sous serment !

    Le Sénat vient donc de saisir le procureur de la République.

    2) Le second scandale de ce McKinseygate, beaucoup plus grave, est l’expansion illimitée de ces cabinets au coeur même de l’Etat, au point d’exercer une influence croissante sur les décisions politiques, le tout dans une opacité totale.

    C’est un véritable réseau tentaculaire que ces officines ont tissé dans tous les rouages de l’Etat. La gestion de la crise sanitaire, avec ses multiples ratés,  interroge, puisqu’Emmanuel Macron a fait appel à ce même cabinet McKinsey pour l’aider.

    Qui a décidé d’interdire aux médecins d’exercer et de soigner leurs patients ? Qui a décidé du tout vaccinal ? Qui a décidé de l’euthanasie de nos anciens dans les Ehpad ? Qui a décidé du confinement et des atteintes aux libertés publiques ? Qui a décidé d’imposer le passe sanitaire et le passe vaccinal ?

    L’influence des officines privées s’exerce dans tous les domaines, économie, sécurité, défense, immigration. C’est ainsi qu’Angela Merkel a été conseillée par McKinsey pour ouvrir les frontières de l’Europe en 2015, ce qui a conduit à la submersion dévastatrice que l’on sait. Qui avait intérêt à un tel chaos en Europe ? Il est permis de s’interroger.

    Le seul cabinet McKinsey oeuvre dans 65 pays. Cet entrisme généralisé ne peut que jouer contre les intérêts des Etats et des peuples.

    3) Enfin, le troisième scandale, le plus grave, est la mise au jour d’un acte de trahison contre les intérêts de la France et des Français. McKinsey a accédé au coeur même de l’Etat, obtenant une masse d’informations sur son fonctionnement, ce qui représente un risque certain pour notre pays.

    Des informations pouvant relever du secret d’Etat ou du secret défense et qui peuvent tomber entre des mains étrangères, remettant ainsi en cause notre souveraineté nationale. N’oublions pas que MacKinsey est un cabinet américain…

    Cette atteinte aux intérêts fondamentaux de la nation est donc bien une trahison.

    Le scandale McKinsey est d’autant plus explosif qu’il survient à quelques jours des élections.

    Un scandale de nature à bouleverser les résultats de l’élection, car il révèle l’extrême légèreté de notre président, qui livre à une officine privée et étrangère des informations confidentielles dont la divulgation pourrait être extrêmement dommageable pour la nation.

    Pour ma part, après tant de scandales, de mensonges, d’abandons de notre souveraineté et pour tout dire de trahisons, j’estime qu’Emmanuel Macron est indigne de la fonction présidentielle.

    Comme pour l’affaire Benalla, Macron le prend de haut, s’estimant au dessus des lois. « Portez donc plainte » dit-il goguenard, comme il clamait naguère « Venez me chercher », bien à l’abri dans son palais élyséen.

    Il nous reste huit jours pour signifier à ce fossoyeur de la France son congé définitif.

    Jacques Guillemain

  • Et, ça veut être président de la République française, ce crétin?

    Quand des enfants apprennent au député européen EELV Yannick Jadot que la Bulgarie et la Roumanie sont dans l’UE ainsi qu’où se situent l’Estonie et la Lituanie (MàJ : “la géographie, j’ai toujours eu du mal”)

        "La géographie, j'ai toujours eu du mal", admet Jadot après avoir confondu l'Estonie et la Lituanie sur une cartehttps://t.co/Lb1aFwAPOi pic.twitter.com/9XlZhkHysa

     

        — BFMTV (@BFMTV) March 28, 2022

     

        Passage incroyable. Jadot député européen apprend dans l'émission "au tableau" que la Bulgarie et la Roumanie sont dans l'UE. Il ne sait également ps placer sur une carte la Lituanie et l'Estonie et ne connait ps leurs capitales. Mais il est pour une Europe fédérale! #AuTableau pic.twitter.com/C29bRg85rN

        — Arthur Cohen

  • Toujours plus de sur-délinquance due à l’immigration !

     

     

     

    Semaine 12: du 19 au 25 mars.

    19/03 – Morlaix (29): Un migrant de nationalité guinéenne et âgé de 23 ans a été condamné à dix ans de prison pour deux viols commis en juillet et décembre 2018. Sera-t-il expulsé?

    Canet-en-Roussillon (66): Harcelée, lynchée, menacée d’égorgement " Ma fille s’est fait tabasser et jeter à terre. J’ai envie d’exploser " déclare le père de Sandrine, 15 ans, devenue le souffre-douleur de deux collégiennes du même établissement, le collège – mal nommé – de la Côte radieuse. L’agression a été diffusée sur les réseaux sociaux. Ses parents ont déposé plainte.

    Argenteuil (95): Une centaine d’individus se sont affrontés avec des armes à feu et des barres de fer, près du stade Auguste-Delaune. Appelée par des riverains, la police a été, à son tour, victime de jets de pierre. Il s’agissait d’un affrontement entre "jeunes" des quartiers Joliot-Curie et de la ZUP. Trois voyous, de 16 à 18 ans, ont été interpellés rue d’Épinay: "ils avaient des taches de sang sur leurs vêtements".

    20/03 – Albi (Tarn): Identifié sur l’A88, entre Albi et Marssac, pour sa conduite dangereuse, un automobiliste a refusé d’être contrôlé. Il a blessé deux policiers en fonçant sur eux. L’un d’eux a utilisé son arme sans parvenir à le stopper. Ce sont les gendarmes qui l’ont arrêté et placé en garde à vue.

    Nevers (Nièvre): Un migrant en situation irrégulière, âgé de 30 ans, et d’origine soudanaise est entré par effraction dans un sauna réservé aux gays, le "Poseïdon", et a tenté de poignarder le gérant: "Il avait un couteau à la main et m’a dit qu’il allait faire couler du sang blanc si je ne partais pas puis il s’est précipité sur moi". Objet d’une OQTF, il était hébergé juste en face de l’établissement dans un centre pour sans-abri. Il n’a opposé aucune résistance aux forces de l’ordre.

    Quimperlé (29): Un Afghan a violé une collégienne de 14 ans. L’homme, d’origine étrangère et âgé d’une trentaine d’année, conduit la jeune fille dans son logement pour demandeur d’asile et malgré son refus l’allonge sur le lit et la contraint à un rapport sexuel. Par peur elle n’ose pas se débattre et il prend des photos de la collégienne nue avant de lui offrir de l’argent pour "acheter son silence". Le violeur reste, pour le moment, introuvable.

    21/03 – Hyères (Var): Stéphane Rambaud, conseiller régional, a été agressé par des "antifas" alors qu’il collait des affiches du Rassemblement National avec son équipe.

    Vedène (84): Tout comme à Hyères, des militants RN ont été attaqués par les "antifas", lors d’une étape du bus de campagne de Marine Le Pen. Un militant a été dirigé vers les urgences.

    Lyon (Rhône): Dans le quartier de La Duchère, 9e arrondissement, au niveau du point de deal de la rue Andreï Sakharov, 5 mineurs ont été blessés par des tirs de kalachnikov et sans doute par une grenade, dont la goupille a été découverte sur les lieux. Une enquête a été ouverte pour "tentative d’assassinat".

     

    22/03 – Clermont-Ferrand (63): Alors qu’ils sécurisaient une intervention des pompiers, trois policiers ont été légèrement blessés par des tirs près d’un campement des gens du voyage situé à l’angle de la rue des Ronzières et du chemin de la Tonne-Ronde, dans le secteur du puy de Crouël.

    Broglie (27): Elle fumait tranquillement une cigarette sur le perron de sa porte ce 1er avril 2020, vers 13 h 30, à Broglie quand un individu, déjà connu des services de police, lui a asséné 16 coups de couteau. Comme ça. Devant ses enfants. L’assassin de cette jeune mère de 28 ans ne sera pas jugé puisque "considéré comme pénalement irresponsable".

    Paris – Sur le boulevard Haussmann, les policiers ont pris en chasse deux délinquants récidivistes" originaires de Garges-lès-Gonesse (Val d’Oise) qui circulaient sur un scooter et venaient de commettre une infraction routière. En voulant échapper au contrôle ils ont fauché un prêtre, qui a été gravement blessé. Appréhendés, ils ont été placés en garde à vue. Le conducteur a été testé positif au cannabis.

    Lamotte-Beuvron (41): Mustapha Kelouache, 40 ans et déjà condamné 35 fois, est jugé actuellement " en appel", devant la cour d’assises du Loiret, pour le viol d’une jeune femme de 19 ans et l’agression sexuelle sur une autre de 22 ans, en janvier 2018. Condamné une première fois à 12 ans de réclusion criminelle.

    Enveitg (66): Deux migrants clandestins, âgés de 20 et 28 ans et en situation irrégulière, ont agressé, volé et violé (contraint à une fellation avec violence), un jeune travailleur handicapé, âgé de 20 ans.

     

    23/03 – Roanne (42): Il avait enlevé une fillette de 11 ans, transporté vers un centre pour migrants et l’avait agressée sexuellement. Ce migrant nigérian, âgé de 20 ans, vient d’être condamné à trois ans de prison (8 ans avaient été demandés) par le tribunal correctionnel de Roanne (Loire) et une interdiction définitive du territoire français. Quand sera-t-il expulsé?

    Sarcelles (95): Une rixe a opposé une dizaine de personnes au niveau de l’allée Max Jacob, dans le quartier Camille Saint-Saëns, et deux adolescents de 16 ans ont été blessés, dont l’un grièvement d’une balle en pleine tête, transporté en urgence absolue, son pronostic vital engagé.

    Toulouse (Haute-Garonne): Un prétendu mineur isolé, âgé de 27 ans et d’origine maghrébine, a été interpellé pour une tentative de meurtre commise à Bordeaux en octobre 2021 dans le quartier Saint-Michel. Il était arrivé en traversant l’Espagne, par la frontière d’Hendaye.

    Dijon (Côte-d’Or): Non loin du lycée " Les Marcs d’Or", sur le chemin du Fort-de-la-Motte-Giron, un jeune homme de 19 ans a été roué de coups et poignardé en pleine rue par un groupe d’individus. Il a été évacué dans un état grave vers l’hôpital. Ce sont des témoins qui ont donné l’alerte.

    Cergy (95): Ce sont les étudiants de l’ESSEC qui nous font part du climat d’insécurité qui s’est installé autour du campus: "La situation a énormément empiré ces derniers temps, elle est devenue invivable. Ce n’est pas normal de mettre sa vie en danger pour étudier". Il est question d’agressions, de vols avec violence et même de tentatives d’enlèvements. Selon le commissariat de police "Dans le Val d’Oise, la délinquance fait partie du décor".

    Lannoy (59): Lucienne, 68 ans, a été retrouvée dans la baignoire de son logement, 14 rue Nationale, par ses voisins. Égorgée par arme blanche au niveau du cou, Lucienne était décédée plusieurs heures avant d’être découverte. "C’était pire que bestial!".Tout le logement avait été retourné.

    Corbeil-Essonnes (91): Dans la cité des Tarterêts, une nouvelle fois un affrontement spectaculaire a opposé la police à des bandes de voyous, à coups de mortiers d’artifice. Du moins c’est la police qui a subi cette attaque… pas les voyous.

    24/03 – Compiègne (60): Dans le quartier du Clos-des-Roses, au niveau du square Baudelaire, un homme a été poignardé et lynché par une bande d’individus. Après avoir reçu plusieurs coups de couteau, il a pu se réfugier dans un restaurant avant de s’effondrer. Son pronostic vital était engagé quand il a pu être secouru.

    Orléans (Loiret): "Il m’a regardé bizarrement avec ses copains" ; Fayer Houmadi, 18 ans, poursuit un passager dans le tramway armé d’un couteau, le frappe et sème la panique, à hauteur de l’arrêt Croix Saint-Marceau.

    Noyon (60): Déjà condamné 17 fois, Aziz Rabah, 38 ans, injurie les gendarmes, après une course-poursuite: "Tes enfants, je vais leur vendre de la drogue et ta femme je vais la baiser toutes les nuits, c’est moi le "Sheitan" (diable) et je t’encule comme le procureur. Va te laver le cul, vous êtes tous des mange-merdes". Il devait comparaître devant le tribunal ce 18 mars mais, bien entendu, il ne s’est pas présenté. On le recherche

    Nantes (Loire-Atlantique): Comme des dizaines d’habitants de Nantes, une maman de 36 ans et sa fille de 10 ans ont dû fuir leur logement "aux Dervallières" et trouver refuge dans le département des Vosges, auprès de leur famille: "Nous avons surpris une transaction de drogue" et, depuis, menacée par les dealers, elles ont vécu des semaines de cauchemar. Il y a quelques années, Nantes était la ville préférée des Français, ensuite c’était le tour de Bordeaux et, à présent d’Angers, mais pour combien de temps?

    Lyon (69): Une balle traverse la fenêtre de son salon, situé dans un appartement, avenue des frères Lumière, dans le 8e arrondissement. Le coup a été tiré de l’immeuble d’en face. La propriétaire n’a pas été touchée. Les policiers du RAID sont intervenus et ont interpellé trois clandestins algériens et leur arme.

     

    25/03 – Marseille (13): À la sortie du campus, dans le secteur de la Timone, les étudiants en médecine sont rackettés et agressés au couteau quasi quotidiennement et cela malgré des patrouilles de police plus fréquentes. Il y a deux semaines, une jeune étudiante s’est pris deux coups de couteau dans le ventre.

    Le Mans (Sarthe): Trois individus ont été interpellés, dont un clandestin irakien en situation irrégulière, pour avoir tué à coups de couteau un jeune adolescent de 16 ans, près d’une fête foraine située dans la zone d’activité du Panorama. Les assassins, âgés de 15 et 18 ans, l’un d’eux connu des services de police, ont été placés en garde à vue.

    Hauts-de-Seine (92): Dans le centre commercial de La Défense, un vigile a été sauvagement agressé. Il se trouve actuellement dans le coma. L’auteur a pris la fuite. Il est activement recherché.

     

    **Au moment du déclenchement de la guerre en Ukraine, environ 23 000 étudiants africains se trouvaient dans le pays (selon l’Unesco). " Ils ne veulent pas être rapatriés chez eux " et cherchent à rester en Europe de l’Ouest: " Je ne veux pas retourner en Algérie " affirme Israa Aelle, arrivée à Lyon en train depuis l’Ukraine et, comme elle, la majorité des étudiants souhaite rester en Europe. L’Ukraine leur permet d’obtenir un statut de résident permanent.

    **Pour Rokhaya Diallo "accueillir des réfugiés ukrainiens" ce serait du racisme "car ils bénéficieraient d’un privilège blanc". Cet élan d’humanité vient de leur culture européenne et même de leur appartenance raciale, toujours selon elle. " Être réfugié et blanc confère le privilège de voir son humanité pleinement reconnue". Sans doute n’a-t-elle pas réalisé que les réfugiés ukrainiens fuyaient une guerre dramatique et non pas, comme des centaines de milliers "d’autres réfugiés" profiter des aides sociales offertes par la France !

     

    Espagne – Barcelone: À la sortie d’une discothèque, un migrant d’origine marocaine, âgé d’une trentaine d’années et connu des services de police, a très violemment agressé une jeune femme de 20 ans. Il l’a traînée jusqu’à la plage, la frappant avec une pierre et, profitant qu’elle était blessée, il l’a violée. Le violeur fait partie d’une bande de voleurs qui opère actuellement dans la zone du port olympique de Barcelone.

    Toujours en Catalogne, plusieurs familles ukrainiennes ont été dépouillées sur les aires d’autoroutes au cours de ces derniers jours par des bandits sans scrupule. On avait sans doute négligé de les prévenir de ne jamais s’arrêter sur les aires d’autoroutes en Catalogne car depuis des années, et quotidiennement, ces vols se répètent. Cette fois-ci il s’agissait d’une aire de " l’Empordà". Émus, les policiers ont organisé une collecte pour leur venir en aide.

     

    Belgique – La Louvière: Alors que se déroulait le carnaval, une voiture a foncé sur la foule à vive allure et a fauché un grand nombre de personnes. Bilan 6 morts et 12 blessés graves, selon la déclaration du maire à l’AFP. La voiture a été interceptée et le conducteur appréhendé. L’enquête nous en apprendra davantage.

    Toujours en Belgique, dans un quartier de Molenbeek, considéré comme une zone islamiste, un chef de gang salafiste fait régner "sa loi", menaçant violemment les femmes qui ont le malheur d’être "blanches", non musulmanes et non voilées. Nathalie doit se voiler pour pouvoir sortir sans être inquiétée "On m’a déjà crachée dessus et obligée à me couvrir la tête".

     

    Allemagne – Bavière: L’attaque au couteau dans un train, en novembre 2021, par un migrant syrien arrivé en 2014, qui avait fait quatre blessés graves, était bien un attentat islamiste, vient d’indiquer le parquet de Munich: "Il a agi sur la base de convictions islamiques“.

     

    Suède – Des réfugiées ukrainiennes, recueillies dans une résidence, ont été terrorisées dans leurs chambres par des groupes de migrants somaliens qui tentaient de pénétrer de force: "Nous étions terrifiées. En Ukraine ces choses-là n’arrivent jamais. C’est dangereux ici, nous avions très peur. On dit que la Suède est un pays sûr, nous n’avons pas vu ça".

    Toujours en Suède, à Malmö, deux employées d’un lycée ont été assassinées par un élève, âgé de 18 ans et armé d’un couteau et d’une hache. Il a été interpellé sans résistance. À l’heure actuelle, aucun mobile n’a pu être établi. 

     

    Italie – Rome: Deux migrants tunisiens armés de couteaux ont violé en pleine rue un jeune Italien de 17 ans. Ils l’ont forcé à leur pratiquer une "fellation" puis, ensuite, ont menacé de le tuer " s’il ne les emmenait pas chez lui". Une fois dans son domicile, dans le quartier Casa Monastero, ils ont violé la mère de famille, âgée de 54 ans en lui posant le couteau sur la gorge, puis ont pris la fuite. Appréhendés quelques heures plus tard " ils s’étaient échappés d’un centre de détention pour mineurs".

    Manuel Gomez

  • Macron: gonflé!

    Macron : "Qu’on regarde les cinq ans qui s’achèvent!" D’accord, regardons!

    Nathalie MP Meyer

    Puisque M. Macron nous y invite si aimablement jetons un œil sur les cinq ans écoulés.

    Incroyable déclaration d’Emmanuel Macron devant les journalistes convoqués la semaine dernière pour assister à la présentation de son programme présidentiel pour 2022-2027 :

    Qu’on regarde le quinquennat qui s’achève ! Ce que j’ai fait n’a jamais existé dans notre histoire politique contemporaine.

    Pour la modestie, on repassera. Mais puisque M. Macron nous y invite si aimablement, tout en esquivant la confrontation directe avec ses concurrents autant que les pratiques de la Vème République le lui permettent, jetons un œil sur le quinquennat écoulé.

    Du côté de l’autosatisfaction permanente, force est de constater que le niveau est resté au plus haut.

    En 2017, le très jupitérien Macron s’auréolait déjà d’une « pensée complexe » qui ne pouvait se satisfaire du jeu ordinaire des questions-réponses avec les journalistes. Plutôt se mettre en scène face à un Laurent Delahousse tout sourire-tout serpillère et commencer à broder sur le thème de l’homme jeune, 39 ans à peine, sorti de nulle part, sans parti politique, et qui accède à l’Élysée par la vertu de ses seules puissantes qualités. Commentaire du nouveau président à l’époque :

    La France a stupéfié l’Europe et le monde par son choix de mai dernier.

    En 2022, rebelote.

    Même pratique, même rhétorique. Après l’entretien de décembre dernier sur TF1 et LCI, mélange plus ou moins habile de faux regrets et de vraie promotion satisfaite, voici à nouveau cette certitude gonflée de vantardise d’avoir chamboulé de fond en comble le petit train-train politique qui prévalait jusqu’alors.

    Ce qui “n’a jamais existé dans notre histoire politique contemporaine“ et dont lui, Macron, a été le précurseur glorieux, le premier praticien à succès, c’est d’avoir été élu sans antériorité politique et d’avoir ensuite été capable de réunir des ministres et des parlementaires de toutes les sensibilités autour d’un programme clair.

    Comme si les transhumances politiques d’un Castaner (ex-PS) ou d’un Le Maire (ex-LR), d’un Le Drian (ex-PS) ou d’un Castex (ex-LR) étaient une nouveauté en politique ! Ça s’appelle aller à la gamelle, mais bien sûr, on peut préférer parler de recomposition du paysage politique français ; c’est incontestablement plus flatteur même si cela reste cousu de fil blanc. Voir Éric Woerth, ex-LR récemment converti aux promesses macroniennes : tout ce qu’il a dit pendant cinq ans contre la politique budgétaire du gouvernement s’est évanoui d’un seul coup devant les sondages.

    Une mauvaise gestion des finances publiques

    En tant que président de la Commission des Finances de l’Assemblée nationale, Éric Woerth est pourtant bien placé pour savoir à quel point Emmanuel Macron a laissé les finances publiques dériver dans la dépense, les déficits et la dette.

    À entendre le ministre de l’Économie Bruno Le Maire (ex-LR) et son ministre délégué aux Comptes publics Olivier Dussopt (ex-PS) roucouler sans fin dans les médias sur la fabuleuse croissance de 7 % et sur le taux de chômage descendu à 7,4 % en 2021, on pourrait facilement s’imaginer que l’économie française se porte à merveille.

    La pandémie de Covid-19 a certes porté un coup terrible à de nombreux secteurs, nous disent-ils avec une mine dûment attristée, mais par bonheur, la politique économique menée depuis 2017 ainsi que les mesures de soutien prises dès mars 2020 et le plan de relance à 100 milliards adopté ensuite ont permis de retrouver le niveau d’activité de 2019 dès l’automne 2021. Bref, bilan impeccable. Que demande le peuple ?

    Ce joli tableau souffre néanmoins de quelques omissions de taille.

    Tout d’abord, covid ou non, notre taux de chômage reste élevé au sein de l’Union européenne. Ensuite, la croissance de 7 % en 2021 succède à un recul du PIB de 8 % en 2020. Y voir un effort extraordinaire du gouvernement et des Français est simplement absurde. Outre la part de rebond mécanique après les mises à l’arrêt administratives de nombreuses activités, il faut se rappeler que tous ces « bons résultats » ont été obtenus par du « quoi qu’il en coûte » financé à crédit.

    Comme le disait Woerth lui-même, la dépense publique a augmenté, non seulement du fait des mesures d’urgence et de relance mais également du fait de la dérive constante des dépenses ordinaires. Trop facile de n’incriminer que la malheureuse conjoncture covid (et maintenant les aides et sanctions liées à la guerre en Ukraine). Il existe en France une tendance à la dépense forcenée et désordonnée qu’Emmanuel Macron n’a nullement enrayée, bien au contraire.

    Ce dont la Cour des comptes, pointant une accentuation malsaine du déficit structurel, s’était fait l’écho dans ses commentaires sur le Projet de loi de finances pour 2022 :

    Résultat, le véritable bilan budgétaire du quinquennat se résume selon moi à un seul chiffre, celui de la dette publique. De 2254,3 milliards ou 98 % du PIB à fin 2017, elle est passée à 2834,3 milliards au 3ème trimestre 2021, soit 116,3 % du PIB. Autrement dit, une augmentation qui frôle les 600 milliards d’euros sur cinq ans (et 460 milliards depuis la fin de 2019) :

    Ne nous y trompons pas, ces considérations sur les comptes publics ne sont pas « que techniques ». Ajoutées à notre célèbre corpus d’obligations et d’interdictions, elles reflètent directement notre espérance de prospérité et de liberté. Un État dépensier à hauteur de 55,4 % de son PIB comme l’était la France avant le covid et a fortiori à hauteur de 61,6 % du PIB comme elle l’est actuellement (chiffre 2020) est un État qui étouffe la création de richesse et qui s’est largement substitué à ses citoyens dans l’organisation de leur vie la plus personnelle.

    Au-delà du régalien qu’on attend de lui, il s’est immiscé de façon insensée dans l’éducation, la santé, les retraites, l’énergie, l’agriculture, la gestion sociale des entreprises… – tous domaines qu’il est une fois de plus question de réformer tant leur situation actuelle tourne au désastre. Pour ne citer qu’un exemple absolument frappant, quoi de plus aberrant que d’entendre Emmanuel Macron vouloir réintroduire davantage d’heures de mathématiques au lycée au bout de cinq ans d’un mandat placé par moult discours plus intello-ampoulés les uns que les autres sous le signe startupeur de l’innovation, de la transition numérique et de la french tech !

    Un assaut sur les libertés publiques

    Les libertés publiques elles-mêmes ont été soumises à rude épreuve depuis cinq ans, révélant combien Emmanuel Macron en a une approche étroite et foncièrement liberticide.

    D’un côté, on l’a vu monter au créneau pour les défendre, comme dans son hommage à Samuel Paty, cet enseignant décapité pour avoir utilisé des caricatures du prophète Mahomet lors d’un cours sur la liberté d’expression. Mais d’un autre côté, on l’a vu prendre prétexte des Lumières pour tomber lui-même dans « l’obscurantisme » qu’il prétend combattre, et grignoter, que dis-je, amputer consciencieusement nos libertés au nom… de la défense des valeurs des démocraties libérales !

    Qui, si ce n’est Emmanuel Macron, s’est évertué depuis son accès au pouvoir à inscrire les états d’urgence et les situations d’exception dans le droit commun ? Qui a tenté en catimini de faire de même avec l’état d’urgence sanitaire ?

    Qui a introduit une loi contre les fake news ? Qui a rêvé de faire advenir une sorte de service public de l’information ? Qui a voulu contrôler la liberté d’expression sous le gentil prétexte de faire reculer la haine ? Qui a prétendu limiter la liberté d’informer sous le non moins gentil prétexte de protéger nos forces de l’ordre ? Qui a obtenu l’élargissement des possibilités de fichage des activités politiques, des appartenances syndicales et des données de santé au nom de la sécurité intérieure ?

    Qui a expliqué noir sur blanc dans les pages du Parisien qu’il avait très envie « d’emmerder » la « toute petite minorité qui est réfractaire » aux vaccins, allant jusqu’à dénier aux non-vaccinés le statut de citoyen ? Et finalement, qui vient de lever le pass vaccinal par pur opportunisme électoral ?

    Tout ceci n’est pas follement emballant.

    Oh bien sûr, quand on voit que les intentions de vote pour la seconde place de l’élection présidentielle tendent maintenant à se concentrer autour de Marine Le Pen pour l’extrême droite et Jean-Luc Mélenchon pour l’extrême gauche, on a du mal à voir en quoi ces alternatives (et toutes les autres, au demeurant) constitueraient un franc progrès vers un peu plus de libéralisme.

    Mais mon propos ici n’est pas de dire pour qui ou contre qui il faudrait voter. Il est d’analyser ce que signifie chaque vote au regard de ma perspective libérale. Il est de souligner l’importance du couple prospérité-liberté. Il est de congédier tous les constructivismes. Il est d’inviter chacun à se montrer plus exigeant avec les élus et les prétendants à l’élection. Avec l’espoir qu’une candidature vraiment respectueuse des droits des individus émergera un jour.

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