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actualité - Page 15

  • En même temps...

    Lège-Cap Ferret (33): " C’est très dur!", un couple de retraités handicapés contraint de vivre dans leur voiture

     

    Michèle Baril et Frédéric Tavitian, un couple de retraités handicapés, vit dans sa voiture à Lège-Cap-Ferret. Expulsés de leur dernière location, Michèle Baril et Frédéric Tavitian ont dû quitter le camping qui les accueillait. Ils vivent dans leur voiture à Lège-Cap-Ferret, en Gironde, depuis début novembre. Ces retraités n’ont pas trouvé de logement à prix abordable et adapté à leur handicap.

    Leur Clio est devenue leur maison. Michèle et Frédéric vivaient depuis plusieurs mois sous une tente au camping d’Arès sur le Bassin d’Arcachon, après avoir été expulsés de leur dernier logement. Mais l’établissement a fermé pour l’hiver, fin octobre. Ils dorment depuis dans leur voiture, où ils ont entassé leurs affaires. Pas de logement adapté malgré 2000 euros de revenus

     

    Malgré 2000 euros de revenus mensuels, ce couple de retraités n’a pas trouvé de logement dans ce secteur prisé du Nord-Bassin. Et la dernière offre d’appartement social à Andernos-les-Bains, dans un immeuble sans ascenseur, n’était pas adapté à leur handicap, explique Frédéric.

    Il y a près de 2 ans, le couple vivait encore dans une location jusqu’à son expulsion dont ils s’estiment victimes.

    " On nous a dit que nous n’avions pas assez de revenus pour nous loger. C’est faux! On a 2000 euros de revenus mensuels et le loyer était de 600 euros, ça ne tient pas debout. "

    Le maire de Lège-Cap Ferret a été informé de la situation des retraités et a contacté notamment plusieurs centres d’action sociale du Bassin d’Arcachon. " Nous allons travailler avec les CCAS d’Andernos, d’Arès ou de Lège pour essayer de faire une proposition à ce couple, de façon à ce qu’il puisse avoir un logement décent. " a affirmé, Philippe de Gonneville, maire SE de Lège-Cap Ferret

    En attendant, Michèle et Frédéric continuent de vivre dans leur voiture stationnée sur une aire de parking. Des conditions spartiates pour ce couple qui réclame un toit en s’acquittant d’un loyer.

    France 3-régions

  • Bravo!

    BRAVO! bis

    A Lyon, hier, les supporters ont rendu hommage aux Poilus morts dans les tranchées pour défendre la patrie.

  • Hommage aux poilus de 14-18

    Le Clairon

    Le clairon sonne au loin, forçant les fatigues.

    Des regards morts sur des visages meurtris

    Se lèvent, affirmant le doute, l’incompris.

    Des larmes s’écoulent rompant l’immense digue.

     C’est un soleil et non le temps d’une boucherie

    Qui, ce jour, se lève. Des ombres s’avancent,

    Le long des tranchées de la désespérance.

    De la terre, s’ouvrent des bouches noires de carie.

     –

    Le clairon balaye les frontières de mort.

    Des cris et des rires venant de l’ennemi,

    Se mêlent aux joies de tous nos soldats amis.

    Oubliée la haine, le désespoir et les torts.

     –

    Des tranchées sortent des hommes vivants sous terre,

    L’uniforme invisible, ils regardent le ciel.

    Le clairon sonne la fin des combats. Si fier.

    Redonnant la vie, face au monde fou et cruel !

    Les hommes titubent. L’officier devient le frère.

    Les larmes écoulant le trop-plein de haine

    Les rancunes, les frères morts laissés en terre

    La guerre est finie. La paix entre en scène.

     –

    Ils reviendront dans leurs foyers ces gueules cassées

    Ces soldats d’une guerre civile. La grande guerre !

    Guerre ou l’Europe entière s’est suicidée

    Apportant un siècle de lutte et de misère.

     –

    Le clairon sonne la fin des combats, la paix !

    L’avenir porte un nom. L’espoir d’une autre vie!

    Une vie qui retrouve un prix. Souvent oublié !

    Ce jour à un autre goût. La guerre est finie.

    Gérard Brazon

  • Ce crétin de ministre: plus sinistre que ministre !

  • Totalement fous!

    Allemagne : un Monet aspergé de purée par des militants écologistes

    L’art est-il responsable de tous les maux de la société ? A priori, non. Mais les écologistes les plus extrêmes ont décidé, pour d’obscures raisons, de faire payer aux musées leur contribution à “l’appropriation culturelle” et au “barbarisme politique”. Après Londres et le saccage d’un tableau de Van Gogh, ils ont réitéré ce week-end leur expédition punitive. Cette fois-ci, la cible de leur courroux était le musée Barberini de Potsdam, en Allemagne.

    Leur acte est une nouvelle fois prémédité. Grimés en ouvriers de chantier, deux militants du groupe de désobéissance civile Letzte Generation se glissent entre les visiteurs.

    Brusquement, ils déversent des seaux de purée sur une toile du maître français Claude Monet, les Meules. Ce chef-d’œuvre de l’impressionnisme est réduit à une grosse tâche grasse, dégoulinant sur les moulures du cadre.

    Les deux activistes se précipitent ensuite dans le carré consacré à la toile, se collent les mains puis mettent un genou à terre, en s’écriant: "Les gens meurent de faim, de froid, les gens meurent. Nous vivons une catastrophe climatique. Et tout ce dont vous avez peur, c’est de la soupe de tomate ou de la purée de pomme de terre sur un tableau".

    Affligeant.

    Tellement CONS!