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fille - Page 24

  • Saviez-vous?

    Drapeau européen et Vierge Marie

    Quand, en 1950, le Conseil de l'Europe se met en tête d'avoir un symbole pour le représenter, il met la barre haute : il faudra traduire "les valeurs spirituelles et morales qui sont le patrimoine commun des peuples qui le composent". Après avoir refusé plusieurs projets, la commission chargée de cette mission retient celui d'un fonctionnaire du Conseil, discret et artiste.

    Arsène Heitz conçoit un drapeau bleu sur lequel se détachent douze étoiles, pointes hautes, formant un cercle. Les membres du Conseil de l'Europe apprécient ce ciel sans nuage et se reconnaissent dans la symbolique des douze étoiles, rappelant la perfection, la plénitude et l'unité.

    “Un signe grandiose est apparu dans le ciel, une femme revêtue du soleil, la lune sous ses pieds, et sur la tête une couronne de douze étoiles“.

    Ce qu'Arsène Heitz ne précise que bien plus tard, en 1989, c'est que la petite médaille miraculeuse qui orne son cou est sa première source d'inspiration.

    L'objet – bien connu des fidèles de la chapelle Notre-Dame de la Médaille miraculeuse, lieu d'apparitions mariales situé rue du bac, à Paris – montre la Sainte Vierge couronnée d'un cercle d'étoiles qu'évoque l'Apocalypse de saint Jean. Arsène Heitz a aussi déclaré avoir été touché par un texte de la liturgie de la solennité de l'Assomption, célébrée le 15 août: "Un signe grandiose est apparu dans le ciel, une femme revêtue du soleil, la lune sous ses pieds, et sur la tête une couronne de douze étoiles“.

    Quant au Conseil de l'Europe, il signe le texte portant adoption du drapeau le… 8 décembre 1955, jour de la fête de l'Immaculée Conception.

     

    Hé, hé...

     

  • VIVE TOULOUSE!!!!! Je viens de recevoir ce mail; quel plaisir de vous le transmettre!!!

    GRANDE PREMIERE EN FRANCE SI C’EST BIEN VRAI

    ON Y ARRIVE....


    Enfin une bonne nouvelle qui ne peut donner cours à aucune polémique.

    Mais ça n'a pas fait les gros titres.

    ENFIN une bonne nouvelle.

    Finalement, de temps en temps, il y a quand même de bonnes nouvelles, non ?

    Rappelez-vous cette magnifique oeuvre littéraire, cet ouvrage qui s'intitulait "Nique la France" !

    Et dont l'auteure était cette admirable Houria BOUTELDJA,


    Eh bien cette poétesse de caniveau vient d'être mise en examen...

    Si, si... c'est une "Première"; pour "racisme anti-français" !!!




    Le juge d'instruction de Toulouse a fait signifier sa mise en examen à Madame Bouteldja par son collègue compétent territorialement, c'est-à-dire celui de son lieu de domicile.

    Elle sera très probablement jugée par le tribunal correctionnel de Toulouse.

    Par ailleurs, la procédure contre le livre «Nique la France»

    édité par l'association de Madame Bouteldja dans la même veine de haine anti française est en cours.




    Source : AFP

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    C'est la première fois à notre connaissance qu'une plainte pour racisme anti français est portée devant la Justice et déclarée recevable
    par un magistrat, dont nous saluons ici la décision, car elle a valeur de message.

    Soyons attentifs aux jugements et arrêts qui seront prononcés par les tribunaux dans cette affaire : ils feront jurisprudence.




    Les responsables de l'Institut du Monde Arabe, à Paris, qui emploient Houria Bouteldja,
    apprécieront sans doute médiocrement ce procès impliquant l'une de leurs employées,
    qui les place dans une situation assez inconfortable.




  • Le présitante, le nouveau dictateur après flamby

    Oradour-sur-Macron

    Il faisait chaud et beau, les calvities précoces ou tardives rissolaient sèchement, en cette fin de matinée.

    Le 10 juin 44, si j’en crois la rumeur, il avait d’abord fait lourd, puis le ciel s’était dégagé. Il faut de la chaleur et beaucoup de soleil pour donner à une division SS l’idée de tout passer par le feu — les vivants et les morts.

    Belle idée d’avoir gardé les ruines en l’état. Lisbonne de même n’a jamais voulu rebâtir le couvent des Carmes, mis à bas par le tremblement de terre du 1er novembre 1755 — celui même dont Candide tire la preuve que tout n’est peut-être pas pour le mieux dans le meilleur des mondes.

    En ce 10 juin 2017, les cameramen escaladaient les tas de pierres pour obtenir le plan le plus significatif sur le président de la République qui remontait les rues du village dévasté, escorté par une noria d’élèves venus de toute la France (1).

    Comme personne ne peut me soupçonner de macronisme aigu, et que d’aucuns me reprochent de ne pas avoir hurlé avec les lèche-culs entre les deux tours de la présidentielle, j’ai d’autant plus de liberté pour dire que le discours que prononça samedi dernier le président de la république était un bon discours. Qu’il ait été écrit, dit-on, par Sylvain Fort (2) importe guère, et l’ex-nègre que je suis sait reconnaître de la belle ouvrage.

    Il y est question d’Histoire, forcément, mais surtout de transmission.

    "Voyez ces ruines qui sont derrière vous, déjà la pluie et le soleil après tant de décennies ont effacé les traces noires de l’incendie dévastateur. L’herbe du Limousin a repoussé dans ce sanctuaire, l’impact des balles tirées ce jour-là sur les hommes, les femmes, les enfants s’est poli sur ces murs et se confond avec l’érosion de la pierre.

    "Il en va de même la mémoire, elle aussi forcément s’érode.

    "Ce qui se transmet risque de s’affadir, sans cesse nous devons raviver la flamme et lui redonner sens. C’est pourquoi j’ai voulu que vous soyez présents ici, présents au côté des enfants d’Oradour et de Limoges, vous, centaines d’enfants des écoles de France, pour que la mémoire soit transmise dans sa substance par la vision des ruines, des tombes, des noms.

    Je sais que cette journée restera pour vous un moment singulier, parce que vous aurez vu ces lieux de vos yeux, parce que vous aurez serré la main du dernier rescapé. C’est ainsi que se perpétue le fil de l’histoire. J’ai voulu que vous deveniez vous aussi des témoins".

    Ce que j’ai entendu là — peut-être la présence de Jean-Michel Blanquer est-elle pour quelque chose dans l’enchaînement de mes idées —, c’est une condamnation de l’enseignement de l’Histoire tel qu’il est censé être pratiqué au nom des programmes de Najat Vallaud-Belkacem (en grand danger d’être définitivement enterrée dans les poubelles de l’histoire par les habitants de Villeurbanne, dimanche prochain — sans doute vendra-t-elle le pied-à-terre qu’elle avait cru bon d’y acheter pour prouver son attachement à un terroir auquel elle n’appartenait pas). Et une réhabilitation d’une Histoire chronologique, de ce "récit" (et non, pas "roman" !) historique que les programmes de Darcos avaient voulu mettre en place, et que condamnent si fort les pédagos d’Aggiornamento et autres officines du désastre. Réhabilitation d’une Histoire de la transmission des savoirs, faisant de nous, selon le mot de Bernard de Chartres, "des nains sur des épaules de géants" — nani gigantum humeris insidentes, comme on dit vulgairement.

    (J’ai d’autant plus de plaisir à renvoyer le lecteur à cet article qui a déjà deux ans que le Point.fr a cru bon de me remercier — pour cause d’enthousiasme insuffisant à la vague aujourd’hui en marche. Je suis d’ailleurs un tout petit pion dans le rééquilibrage des médias: Paris Première, France 2 ou Europe 1 font le ménage en grand pour complaire à un président dont on ne sait s’il a demandé le grand nettoyage, ou si les rédactions anticipent ses desiderata supposés. La démocratie est un combat, la courtisanerie est une reddition…)

    J’ai passé l’année à faire cours sur la Mémoire — c’était l’un des deux sujets mis au concours des IEP de province. L’année à rappeler à mes étudiants de Bac + 1 — une classe qui n’est pas composée d’héritiers, loin de là — qu’ils sont les derniers maillons, à ce jour, d’une très longue chaîne, et que comme l’a fort bien résumé Laurent Wirth, s’il y a un droit à la mémoire — pour les martyrs d’Oradour comme pour tous ces sacrifiés de tant de guerres, de tant de journées qui ont fait la France (eh non, ce n’est pas une vision réactionnaire! C’est la construction de la nation au sens le plus noble du terme — "Ô soldats de l’an II !"), il y a surtout un devoir d’Histoire.

    Et ce ne sont pas des hommes de droite qui l’expliquent, mais Pierre Vidal-Naquet ou Pierre Nora, qui valent bien les petits coqs du pédagogisme et leurs éructations hystériques. De vrais historiens qui protestent contre l’abus des lois mémorielles, qui permirent à des associations quelque peu partisanes de traîner en justice Olivier Pétré-Grenouilleau, parce qu’il tenait sur l’esclavage un discours vrai mais peu conforme à la loi Taubira. Liberté pour l’Histoire! ont demandé un bon nombre d’historiens — de gauche principalement, car la science n’a pas de couleur politique. Le "politiquement correct" n’a rien à voir avec l’enseignement de cette discipline à hauts risques.

    Ni lois mémorielles, ni "roman" national. Il ne s’agit pas non plus de faire de l’Histoire comme dans le Tour de France de deux enfants, où l’on exaltait l’Histoire et ses mythes pour préparer la revanche. Mais il faut retisser un récit, suivi, chronologique, qui permette aux générations présentes et à venir de penser leur futur en regardant prudemment en arrière. Un coup d’œil dans le rétro n’a jamais empêché d’aller droit — bien au contraire. Savoir d’où nous venons incite à mieux définir où nous allons. La vraie pédagogie, c’est celle-là, et il n’y en a pas d’autre.

    Célébrer Oradour, avec ou sans trémolos malruciens de circonstance, c’est tisser du lien avec le passé, avec les hommes et les femmes du passé; c’est savoir d’où nous sommes issus — et il n’est pas tout à fait indifférent que ce soit de ce passé et non d’un autre. Savoir que la France n’est pas seulement un enchaînement de plaines et de montagnes, mais un paysage sculpté par des générations, légué aux générations à venir comme une œuvre collective qu’il convient de reconnaître, posséder, célébrer.

    Il faut nécessairement réécrire les programmes d’Histoire de la dernière réforme — ou simplement en revenir à ceux de 2008, qui n’étaient pas mauvais, quitte à les amender çà et là. Et s’en tenir là une bonne fois pour toutes. Retrouver le fil de la continuité française, de la geste héroïque française, afin de redonner confiance en la nation — sous peine que les jeunes déboussolés aillent se chercher des exemples héroïques dans quelque Orient compliqué.

    Jean-Paul Brighelli

    (1) Je signale à ce propos au rédacteur qui a publié sur le site de l’Elysée le discours de l’événement que Riom s’écrit avec un "m", et non un "n"…

    (2) Nous avons un point de contact: j’ai jadis servi de nègre à Pierre Brunel, qui fut son patron de thèse

    http://blog.causeur.fr/bonnetdane/oradour-sur-macron-001699.html

     

  • Délirant: avec eux, la France va, encore plus, plonger!!!

    https://youtu.be/HmtUTpWmdK0

     

    https://youtu.be/F8iXtWtsSaQ

     

    https://youtu.be/fHtmEf0FlJ8

     

    https://youtu.be/tYuloLLJBek

     

    https://youtu.be/r-uVn006Lbg