Témoignage: comment mon pays s’est islamisé, votez bien pour ne pas vivre cette horreur et disparaître
Les discussions au sujet de l’élection présidentielle française me surprennent, car mon entourage se préoccupe beaucoup plus des aspects économiques du programme des deux candidats que de leur plan de lutte contre l’insécurité en général et le terrorisme en particulier.
L’aspect économique a son importance, mais je crois que le véritable enjeu de ces élections est civilisationnel.
La question cruciale est celle de l’immigration incontrôlée, et de sa conséquence directe, qui est l’islamisation de la France et du reste de l’Europe.
Un pays peut survivre à une crise économique, mais pas à sa propre disparition!
Ceux qui se soucient de l’économie ne réalisent-ils pas le coût abyssal de l’immigration massive et de l’islamisation de la France,
Soit nous votons pour un candidat dont le patriotisme ne fait aucun doute, soit nous coulons.
Ne comptons pas sur d’autres signes alarmants avant le basculement du pays. Il y a déjà eu suffisamment de signes avant-coureurs de notre naufrage imminent.
Des signes alarmants, il y en a eu aussi dans le pays où je suis née, où chrétiennes comme musulmanes portaient des mini-jupes en ville, et des bikinis à la plage. Le jour où un homme a tranché d’un trait de rasoir horizontal la peau de l’arrière des genoux d’une jeune fille en mini-jupe, nous avons cru à un incident isolé, car cela ne s’était jamais produit auparavant. Nous n’étions pas en Arabie, tout de même!
Mais je me souviens avoir ressenti un profond malaise en apprenant qu’un policier musulman présent sur les lieux a souri en voyant les jambes ensanglantées de la jeune fille paniquée, et n’a pas tenté de lui porter secours. A l’époque, il n’y avait pas de groupes islamistes visibles dans le pays.
Quand un parti islamiste a été fondé, et que deux barbus sont entrés à la Chambre des Députés du pays, certains ont ri: comment ces deux guignols allaient-ils s’y prendre pour islamiser un pays comme le nôtre, en marche vers le progrès (grâce aux chrétiens), et où l’illettrisme était en voie de disparition (grâce aux écoles chrétiennes),
Aujourd’hui, les chrétiens ne sont plus majoritaires dans le pays, il y a une bonne quinzaine de barbus à la Chambre des Députés, qui ne font plus rire personne.
Ensuite quelques jeunes musulmanes commencèrent à circuler voilées. C’était si rare que nous nous retournions sur leur passage. Quand elles sont devenues plus nombreuses, on nous a dit qu’elles étaient payées par un pays musulman étranger pour porter le voile, mais que le jour où elles ne seraient plus payées, elles ne se voileraient plus. Donc il n’y avait pas d’inquiétude à avoir.
Aujourd’hui, elles sont toujours voilées, et elles sont plus nombreuses que lorsque j’étais petite.
Puis quand le pays s’embrasa, j’étais si jeune que j’ai cru ceux qui nous ont rassurés: c’étaient juste des "évènements", des "heurts inter-confessionnels" qui allaient se tasser, puisque nous étions, à ce qu’il paraît, un exemple de cohabitation pacifique entre différentes communautés religieuses.
Mes grands-parents n’étaient pas de cet avis, et m’avaient raconté par la suite comment les musulmans turcs (qui étaient les maîtres de la région durant quatre siècles) avaient organisé un blocus pendant la première guerre mondiale pour affamer les chrétiens montagnards du pays, réussissant à en tuer 200.000, sur un total de 400.000 (1)
Ils m’ont aussi parlé des terribles massacres de chrétiens perpétrés longtemps avant leur naissance, entre 1840 et 1860, par leurs voisins et compatriotes musulmans, sous l’oeil complaisant de la puissance turque.
Fidèle à sa tradition de protectrice des chrétiens d’Orient depuis le Roi de France Saint Louis, la France a dû intervenir, sur ordre de Napoléon III, pour mettre un terme à ces massacres. Les forces militaires françaises sont restées stationnées dans le pays pendant un an, pour assurer la sécurité des chrétiens.
Chacune de ces horreurs générait un sentiment d’insécurité et de perte de confiance chez les chrétiens survivants, régulièrement endeuillés, et qui ne pouvaient plus retourner dans leurs villages, retrouver leur maison, leur travail, leurs repères. Ils subissaient une sorte d’exil intérieur, ne se sentaient plus chez eux sur la terre de leurs ancêtres, et étaient donc acculés à quitter leur pays. Une vague d’émigration de chrétiens, notamment vers les Etats-Unis, suivait chaque massacre.
On veut donc nous faire croire que nous sommes un exemple de cohabitation entre chrétiens massacrés et musulmans massacreurs, sous prétexte que cela fait quelques décennies qu’il n’y a pas eu de génocide contre les chrétiens, mais juste des petites tueries deci delà. On nous fait espérer que les conflits vont s’arranger, qu’il y a forcément un moyen de " vivre-ensemble " avec les musulmans, qui sont pourtant responsables de l’invasion et l’islamisation forcée de 57 pays, entraînant la mort de plus de 270 millions de victimes en 14 siècles.
En grandissant, j’ai réalisé que les non-musulmans survivent mal au vivre-ensemble avec l’islam. Ils ont toujours la peur au ventre, n’osent pas faire des projets sur le long terme, investir, construire, car ils vivent en permanence avec l’épée de Damoclès de l’islam au-dessus de leur tête.
Ce climat de peur existe actuellement en France: dans les banlieues islamisées, la vie n’est guère facile pour les non-musulmans, et beaucoup d’entre eux ont soit déménagé, soit se sont convertis à l’islam " de leur plein gré ", sans couteau sous la gorge, mais à force de pressions " amicales ": c’est à dire pour avoir la paix.
En France aussi, on ose vous parler de vivre-ensemble avec l’islam. Et on cherche à vous faire croire que l’islam est un danger nouveau pour la France, une idéologie que vous ne connaissez pas bien, et sur laquelle vous n’avez pas le droit d’émettre un avis, sauf si c’est un avis positif.
Pourtant l’islam est l’ennemi traditionnel de la France et du reste de l’Europe. Et la France s’est construite non seulement avec le christianisme, mais surtout contre l’islam, sa barbarie, et ses incessantes tentatives d’invasion de l’Europe.
Quand je suis arrivée en France, mes amis français voyaient régulièrement à la télévision les ruines de ma ville natale suite aux combats qui faisaient rage. Ils me disaient parfois:
"Eva, tu verrais mon appartement en ce moment, tout y est à l’envers! Il ressemble à ta ville natale“!
Ma ville était donc synonyme de chaos. Mes amis ne l’avaient vue que dans cet état lamentable. Mais elle n’avait pas toujours été ainsi. Dans ma ville, il y avait un conservatoire de musique, une cité sportive, des jardins, des écoles, beaucoup d’écoles, un centre-ville vibrant, un port en pleine activité, une vie nocturne, une vie culturelle, des cinémas, des piscines, des universités, des hôpitaux, un club d’équitation. Et quelques musées et théâtres aussi.
Des artistes, locaux et étrangers, venaient se produire dans un site archéologique grandiose, devant le grand temple romain remarquablement bien conservé. Sous la voûte étoilée du ciel, dans l’air tiède du soir, mes parents y ont assisté à un ballet de la troupe de Maurice Béjart. Ils ont été charmés d’y voir Rudolph Noureev danser " Roméo et Juliette ", le ballet composé par Sergueï Prokofiev. Ils ont également écouté dans ce cadre féérique l’orchestre philharmonique de Berlin, sous la baguette de Herbert Von Karajan.
Je n’ai jamais décrit à mes amis français ma vie d’avant le chaos, dans la sérénité de mon quartier chrétien, mes promenades d’enfant au crépuscule, quand je rentrais de l’église silencieuse où j’allais me recueillir quotidiennement pour un court moment. Je ne leur ai pas raconté les effluves de gardénia ou de jasmin qui m’enveloppaient quand je longeais les arcades des maisons traditionnelles, qui me consolaient de la laideur des immeubles en béton. L’odeur vivifiante de l’iode faisait partie de mon univers olfactif, car la mer n’était jamais loin.
De la terrasse de notre appartement familial, je voyais tous les matins le disque presque blanc du soleil se lever pudiquement de derrière la montagne, qu’il nimbait d’un halo éblouissant. Tous les soirs, il se couchait presque écarlate dans une mer qu’il faisait flamboyer.
Quand je vais à Nice dans le sud de la France, ou à Thessalonique (2) dans le nord de la Grèce, et que je vois les jolis immeubles alignés sur le front de mer, je ne peux pas m’empêcher de penser avec amertume que c’est à cela que ma ville natale aurait pu ressembler si le père de Mahomet s’était retiré à temps.
Alors quand mes amis français comparaient leur appartement dévasté à ma ville natale, j’avais envie de protester que ces ruines qu’ils voyaient aux informations télévisées, ce déluge de feu, ce chaos, cette désolation…avant, c’était un pays!
C’était mon pays.
Refusons que ce même malheur frappe la France. En votant le 7 mai prochain, ne pensons pas à notre pouvoir d’achat, ni à nos avantages sociaux, mais à la survie de la France, menacée par l’islam et par l’immigration massive et incontrôlée en provenance de pays musulmans.
Cela fait des années que j’entends les musulmans médiatisés chanter le même refrain:
"Arrêtons de parler de l’islam, les Français ont des problèmes bien plus importants, le chômage, la baisse du pouvoir d’achat, la précarité…c’est de cela que nous devrions parler“.
Faut-il que ces musulmans éprouvent un profond mépris pour les Français, pour tenter de faire diversion d’une manière aussi triviale! Pensent-ils que si les Français atteignent un niveau de vie correct, ils vont fermer les yeux sur l’islamisation de leur pays, et tolérer que leurs enfants soient en danger à chaque fois qu’ils sortent de la maison, à cause du terrorisme et de l’insécurité liés à l’islam,
J’ai écouté attentivement les consignes de vote des imams, des organisations islamistes, et des islamo-collabos. Tous ont conseillé le même candidat, sans donner la raison de leur choix, à part celle de " faire barrage " à l’autre candidat, qui est connu pour son patriotisme, et qui est la bête noire des islamistes. (3)
Ni Emmanuel Macron, ni son porte-parole n’ont rejeté le soutien des islamistes ou des organisations islamistes:
http://www.fdesouche.com/848223-marion-le-pen-au-porte-parole-de-macron-rejetez-vous-le-soutien-des-islamistes-de-luoif-il-ne-repond-pas?utm_source=dlvr.it&utm_medium=twitter
Il est donc évident qu’un patriote doit voter pour le candidat que redoutent les imams, les islamistes, et les islamo-collabos. Car ce candidat ne s’est jamais compromis avec des islamistes, et n’a jamais dit qu’un musulman ayant commis des actes radicaux est néanmoins " un type très bien ":
Sur #BeurFM, #Macron ne sait pas que le live n’est pas coupé et confie que son référent #MohamedSaou est radical mais que c’est un type bien pic.twitter.com/fQwJrrsiYz
— Madame Lenvie