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france - Page 65

  • Celui qui se prend pour Jeanne d'Arc!

    Au fou! lâchez les chiens! appelez l'exorciste!

    "J’ai l’impression de vivre avec Jeanne d’Arc" c’est ce que déclare Brigitte Trogneux sa femme dans les dîners en ville. Que se passe-t-il donc dans la tête d’Emmanuel Macron ? Alors qu’il multiplie les déclarations énigmatiques, l’ancien ministre de l’Economie serait "habité" comme Jeanne d’Arc.

    Les confidences d’un ami à des journalistes triés sur le volet : "Emmanuel est apeuré et habité"

    Sa femme Brigitte aussi est lucide sur le sujet : "Il y a des jours où j’ai l’impression de vivre avec Jeanne d’Arc", déclare-t-elle ainsi en privé alors que son cher et tendre parle du "temps de l’incarnation".

    De Jeanne d’Arc au Messie. Décidément, Macron ose tout!

    Si, pour certains, Emmanuel Macron partage certaines similitudes avec Jeanne d’Arc, pour d’autres, il se prend carrément pour le Messie! "Il est habité par une sorte de délire messianique", et ce n’est pas sa récente interview et sa déclaration choc : " La politique c’est mystique " qui va rassurer sur son état.

    "Ces sorties visent naturellement à faire passer Emmanuel Macron pour une personne différente, hors norme. Il est évident que des électeurs pourraient entendre favorablement cette description mystique" selon le psychologue Vincent Triboulet.

    Souvenez-vous en 2012, Hollande avait bien eu nombre d’électeurs lorsqu’il s’était fait passé pour "une personne normale, qui deviendrait un Président normal". Et les français ont vu ce que cela a donné. Il fallait donc que Macron soit tout sauf un homme normal. On comprend mieux, dès lors, pourquoi certains journalistes vont jusqu’à nous vendre ce concept du "Macron Mystique". On n’a pas fini de rigoler.

    En savoir plus sur http://www.lagauchemorale.com/actualites/article/hallucinations-auditives-emmanuel-macron-entend-des-voix#TVjUGdGS4CAZ4QLz.99

     

  • Regardez ce type dans les yeux

    il ne sourit pas des yeux: ils sont froids, glacial, indifférents.

    Il fait peur.

    C'est une machine. Un robot. Pas de cœur, pas d'empathie.

    Ce mec se fout des Français... il n'y a que sa panse qui l'intéresse.

     

    https://youtu.be/Nitji_7sRss

  • Je ne sais plus si on doit rire ou pleurer -2

     

    Il ne faut jamais se moquer des personnes handicapées de la cervelle!!!

  • Je ne sais plus si on doit rire ou pleurer -1

    Envoyé par une amie, son explication

    > c'est bizarre, cela sonne creux... comme s'il répétait un " cours", mais qu'il n'avait pas vraiment " compris"

    > ceci dit, je ne comprends pas pourquoi il parle d'une forme d'irrédentisme dans la république ?

    > s'est il mélangé les pinceaux entre le territoire ( la france,  plus ou moins l'alsace et la lorraine ) et le mode de fonctionnement de l'état ( la république )?

    > L'irrédentisme (italien irredentismo, de irredento, non libéré, non délivré ; Italia irredenta, Italie non libérée) trouve son origine dans une doctrine politique, énoncée en 1870 en Italie, revendiquant l'unification politique de l'ensemble des territoires de langue italienne ou ayant fait partie des anciens États italiens.

    > Par extension, le terme est utilisé pour qualifier une doctrine nationaliste qui défend l'adjonction à un État de certains territoires devant à ses yeux « légitimement » y être rattachés, par exemple parce qu'ils en ont autrefois fait partie ou parce que leur population est considérée par ces nationalistes comme historiquement, ethniquement ou linguistiquement apparentée.

    > dans une autre vidéo, nous aurons appris que nous avons des amis arbres, poissons, des frères et des sœurs (voir plus bas)

    > de temps à autre, il donne des idées très basiques : il y a des jours pluvieux, il y aura des jours ensoleillés, le printemps etc.. (métaphores faciles)

    > puis paf, un mot que les sans dents ne connaissent pas: irrédentisme, ipséité etc....

     

    Il ne faut pas rire, c'est un handicapé de la cervelle

     

     

  • MACRON: arrêtez ce fou!!!! et d'ailleurs, comme il est irrécupérable, banissez-le de France, ce vendu!

    Macron veut rétablir la charia à Mayotte: polygamie, répudiation des femmes, délit de blasphème

    Il aime l’islam cet homme-là. Et comme il est nul et en géographie et en histoire, il ne sait pas que Mayotte, étant devenu un département français, doit appliquer la loi française…

    Alors, il a promis à l’un de ses directeurs de campagne à Macron, Mohamadi Bacar Mcolo, de restaurer les pouvoirs locaux des cadis.

    "Les cadis ont été dépouillés de leur pouvoir local et on sait très bien que le cadi c’est un pilier de la cohésion sociale à Mayotte et Emmanuel Macron est d’accord pour remettre ces pouvoirs-là".

    Or, les cadis, avant 2010, avaient des pouvoirs fort étendus… puisqu’ils rendaient la justice dans de très nombreux cas en ayant pour toute formation intellectuelle et universitaire… une formation en droit coranique reçue à l’étranger.

    Ces cadis, au grand dam de la population locale, de décider selon les règles musulmanes et d’appliquer à tous les lois d’Allah, à savoir la charia. Autant vous dire que polygamie, droit de répudiation réservé aux hommes, avantages réservés aux mêmes hommes pour les successions…  avaient le vent en poupe.

    Extraits d’un article ancien, officiel (du Sénat)  sur la situation des cadis. Ou la description de ce que Macron veut voir revenir à Mayotte :

    Mayotte garde des spécificités très fortes par rapport aux départements d’outre-mer dont elle aspire à acquérir le statut. Dans la perspective d’une consultation de la population sur la départementalisation et d’un processus d’évolution statutaire en cas de réponse positive, il convient de prendre en compte ces spécificités.

    En effet, certaines pourront être préservées, en particulier lorsqu’elles relèvent de la sphère privée et de l’identité culturelle, qui constitue l’une des richesses de Mayotte ; d’autres devront être abandonnées pour assurer le respect des principes fondamentaux de notre République.

    MAYOTTE, TERRE D’ISLAM ET DE TRADITIONS : LE STATUT CIVIL DE DROIT LOCAL ET LA JUSTICE CADIALE

     […]

    Le droit coutumier inspiré du droit musulman et des coutumes africaines et malgaches s’applique à ceux des Mahorais qui ont conservé leur statut personnel, comme le leur permet l’article 75 de la Constitution16(*).

    La loi du 11 juillet 2001 relative à Mayotte maintient ce statut civil de droit local et précise les modalités de renonciation à ce statut au profit du statut civil de droit commun.

    Le statut personnel, statut de droit civil, concerne essentiellement les droits de la personne et de la famille, ainsi que les droits patrimoniaux. Dans ces domaines, les Mahorais ayant conservé leur statut personnel sont donc soumis à des règles particulières: polygamie, possibilité de répudiation de la femme par le mari, inégalités des sexes en matière de droit successoral. Ils bénéficient en outre d’une exception de juridiction. Cependant, la grande majorité de la population méconnaît son propre statut.

    Les Mahorais (c’est-à-dire les Français considérés comme originaires de Mayotte, même s’ils sont nés aux Comores ou dans le Nord-ouest de Madagascar) musulmans sont automatiquement soumis à un statut personnel dérogatoire (article 6 du décret du 1er juin 1939 sur la législation civile indigène) tant qu’ils n’y ont pas renoncé, cette renonciation étant irréversible. Il n’y a donc pas de possibilité d’option de statut à titre provisoire.

    Les autres résidents de Mayotte (métropolitains ou étrangers même musulmans) relèvent du droit commun. En outre, le statut civil de droit local ne peut être transmis que par deux parents ayant eux-mêmes conservé le statut personnel.

     […]

    Les cadis sont recrutés sur concours et investis par le préfet, après avis du procureur de la République près le Tribunal supérieur d’appel et d’une commission présidée par le président du Tribunal supérieur d’appel et composée de quatre personnalités religieuses désignées par le préfet et par le Grand cadi. Toutefois, aucun concours n’ayant été organisé pendant plusieurs années, les plus jeunes cadis ont un statut de contractuel.

    Lors d’une rencontre avec le grand cadi et l’ensemble des cadis, vos rapporteurs ont constaté que la justice cadiale disposait de peu de moyens et que le niveau moyen de formation des cadis était faible. La plupart ont suivi une formation en droit coranique, parfois à l’étranger, mais aucun n’a de formation universitaire en droit français. Plusieurs d’entre eux rencontrent des difficultés pour s’exprimer et rédiger leurs décisions en français.

    Mohamed Hachim, grand cadi, a expliqué que les cadis jouaient un rôle de médiation sociale avec les étrangers en situation irrégulière de confession musulmane, qui ne peuvent s’adresser qu’à eux pour régler leurs conflits. Il a estimé que les cadis étaient avant tout des médiateurs sociaux, des hommes de paix veillant au respect de l’islam.

     […]

    En effet, le conseil général a augmenté le nombre de cadis afin de parvenir à la création d’un tribunal de cadi dans chaque commune. Ainsi, alors que l’on ne comptait que 11 cadis en 1989, on en dénombre 22 aujourd’hui : 17 dans les communes, 2 auprès du grand cadi à Mamoudzou, le grand cadi, un cadi aumônier et un cadi siégeant à la commission de révision de l’état civil pour y suppléer le cadi.

    Le mécontentement de la population a toutefois conduit le conseil général à demander une modification assez profonde de l’institution par la délibération du 24 novembre 1995 visant soit à ouvrir une option de juridiction entre les tribunaux de droit commun compétents en matière locale et les tribunaux de cadis, soit à limiter les attributions des cadis à leurs seules compétences de conciliation et notariales à l’exclusion de toute fonction juridictionnelle et en matière d’état civil.

    En effet, l’application de certains principes du droit coutumier (répudiation, polygamie, double part successorale des hommes…), est aujourd’hui rejetée par une partie de la population et le fonctionnement même de la justice cadiale est critiqué.

    Les cadis ne disposent souvent d’aucune documentation et leur connaissance aléatoire du droit musulman entraîne des divergences de jurisprudence d’autant plus dommageables que le taux d’appel demeure très faible. De plus, l’absence de formule exécutoire rend l’exécution des décisions hypothétique.

    Par ailleurs, la quasi inexistence de règles procédurales, la méconnaissance du principe du contradictoire et de la représentation par avocat font de la justice cadiale une justice aléatoire, sans garantie pour le justiciable.

    Enfin, la justice cadiale est un facteur de complexité car les cadis jugent également des litiges concernant des justiciables qui relèvent en fait du droit commun, qu’il s’agisse de ressortissants comoriens en situation irrégulière, habitués dans leurs pays d’origine à faire appel à la justice musulmane ou dans l’impossibilité de s’adresser à la justice de droit commun, ou encore de citoyens persuadés à tort de relever du statut civil de droit local.

     […]

    L’article 8 de l’accord sur l’avenir de Mayotte de 2000 prévoyait que le rôle des cadis serait recentré sur les fonctions de médiation sociale. Le statut défini en 2001 et les modifications apportées en 2003 au statut personnel entraînent ainsi un déclin progressif de la justice cadiale.

    Selon Mme Cris Kordjee, représentante de l’association pour la condition féminine et l’aide aux victimes de Mayotte, pour les affaires compliquées, telles que les questions de pension alimentaire, les Mahorais préfèrent s’adresser à la justice de droit commun parce qu’ils savent que leurs droits y seront mieux défendus.

    https://www.senat.fr/rap/r08-115/r08-11510.html

    Il ne faut pas s’étonner, Macron ne jure que par DES cultures, par le communautarisme, par l’immigration, la société multiculturelle, c’est le règne du "tout se vaut"…

    On comparera avec l’attitude de Marine, qui, lorsqu’elle est allée à Mayotte, a rappelé aux cadis qu’il n’y avait qu’une seule loi, la loi républicaine et a fait un tabac en promettant de lutter contre l’immigration illégale.

    http://resistancerepublicaine.eu/2016/12/02/marine-fait-un-tabac-a-mayotte-sur-limmigration/

    On appréciera que, reçue à bras ouverts par les cadis, Marine leur rappelle immédiatement qu’ils ne peuvent pas se mêler de politique au sens étymologique (la vie de la cité), que c’est à l’Etat et non aux cadis qu’il appartient de faire régner l’ordre". Je pense que la République doit remplir son rôle et ne pas transférer ce qui relève de sa responsabilité à des autorités religieuses ". Bref, un simple rappel de la loi de 1905, indépendance de l’Etat et des Eglises. Gageons que si, depuis 40 ans, tous nos dirigeants avaient tenu le même discours, on n’en serait pas là où en est.

    http://resistancerepublicaine.eu/2016/12/02/marine-elle-rappelle-aux-cadis-la-loi-de-1905-mais-se-fait-encore-des-illusions-sur-lislam/

    La décision de E M pourrait diviser la population de l’île de façon préoccupante. Mayotte doit faire face à une immigration clandestine massive, presque un tiers de la population https://www.senat.fr/rap/r07-461/r07-4615.html.

    Les mahorais ont choisi la France en 1975. Ils ne voulaient pas de la loi comorienne. Je doute que la décision d’Emmanuel Hollande fasse l’unanimité au sein de la population mahoraise qui pourrait immigrer massivement à la Réunion voire en métropole.

    MACRON: un illuminé qui veut plaire à tout le monde et ne réfléchit pas au sens et aux conséquences de ses actes.

  • Diffamation : Anne Hidalgo condamnée en appel

    Selon une dépêche AFP datant du 10 mars 2017, le maire socialiste de Paris, Anne Hidalgo, a été condamné en appel pour diffamation à l’encontre d’un architecte du patrimoine qui s’est opposé à des projets de la ville

    La cour d’appel confirme la condamnation d’Anne Hidalgo

    La cour d’appel de Paris a confirmé jeudi la condamnation du maire PS de la capitale, Anne Hidalgo, pour avoir diffamé l’architecte Jean-François Cabestan, en lui reprochant d’avoir utilisé des documents municipaux "à des fins personnelles pour un colloque".

    A l’amende de 500 euros avec sursis et l’euro de dommages et intérêts, la cour d’appel a ajouté une mesure de publication judiciaire.

    L’édile avait tenu les litigieux propos dans les colonnes du Parisien du 24 octobre 2014, sur fond de polémiques autour de la Commission du Vieux Paris, chargée de la conseiller pour les questions de protection du patrimoine. Commission dont Mme Hidalgo renouvelait la composition.

    Parmi ses critères pour ce renouvellement, elle évoquait entre autres "le respect des règles" et déclarait: "C’est pourquoi Jean-François Cabestan, qui a utilisé des documents municipaux à des fins personnelles pour un colloque, n’a pas été renouvelé".

    Une liberté de parole bafouée

    A la question de savoir s’il s’agissait d’une sanction à l’encontre de quelqu’un qui s’était prononcé contre plusieurs projets soutenus par la ville, Mme Hidalgo avait assuré que la "liberté de parole est garantie pour chacun des membres de la commission".

    La Cour relève une intention de nuire du maire de Paris

    Dans son arrêt, la cour estime que Mme "Hidalgo a manqué de prudence, sinon même fait preuve d’une intention de nuire en évoquant spontanément le cas de M. Cabestan, sans que ce dernier n’ait eu l’occasion de protester éventuellement sur les motifs d’une +éviction+ dont il n’était pas encore officiellement informé".

    En savoir plus sur http://www.lagauchemorale.com