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france - Page 9

  • Les Chance pour la France nous aiment bien….

    ... et nous remercient à leur façon!

    En Europe occidentale, on pensait certaines maladies définitivement disparues et pourtant, elles sont de retour : tuberculose, gale, peste et même la lèpre.

    La syphilis, refait, elle aussi, sa réapparition

    "On croyait que cette maladie appartenait au passé. En 2000, elle a même été retirée de la liste des maladies à déclaration obligatoire en raison du faible nombre de cas. Pourtant, contre toute attente, la syphilis fait son retour sur le territoire français, Le Parisien évoque ce vendredi 400 à 500 nouveaux cas déclarés par an. " (BFMTV du 26/02/2016)

    Les médias expliquent cette recrudescence par des comportements sexuels " à risque ", notamment chez les homosexuels ou un désintérêt pour le préservatif chez les jeunes. Mais, sujet tabou, personne ne fait un lien possible entre la réapparition de la syphilis ou d’anciennes maladies avec l’arrivée massive de nouvelles populations en Europe.

    L’inquiétante explosion des cas de syphilis et de gonorrhée en Angleterre

    "Un mal qui touche principalement les populations noires, les minorités ethniques, les jeunes et les gays".

    "Public Health England, l’agende de santé publique anglaise, vient d’annoncer que la syphilis bat des records en Angleterre. En 2017, 7.137 nouveaux cas ont été recensés, soit une augmentation de 20% par rapport à l’année précédente, un niveau jamais atteint depuis 1949 (date de la création du premier test sérologique qui permet de dépister plus facilement l’infection).

    Le rapport de la Public Health England sur les infections sexuellement transmissibles (IST) publié ce mardi 5 juin note aussi une augmentation des cas de gonorrhées : +22% en un an. Un chiffre qui inquiète les autorités sanitaires“. (Slate.fr du 05/06/2018)

    Dix fois plus de cas de syphilis en Belgique

    "Qui craint encore la syphilis et ses chancres pustuleux qui fleurissent sur les sexes, la bouche ou l’anus? Qui redoute encore les ganglions gonflés dans le creux de l’aine qu’elle engendre, les taches sur le corps et les muqueuses, les attaques du cerveau et les troubles du comportement qui s’en suivent, les atteintes cardiaques, problèmes oculaires et auditifs, dégénérescence de la moelle et les douleurs terribles qui s’en suivent?".

    "La maladie sexuelle transmissible n’a pas disparu. Bien au contraire le nombre de cas augmente en Belgique […] Entre 2003 et 2015, le nombre rapporté de diagnostics de syphilis est passé de 46 en 2002 à 906 en 2015. " (SoirMag.be du 22/09/2017)

  • Les NOTRES aussi, sont courageux!

    Belle histoire

    Un caporal du 28e RT d'Issoire secourt un enfant suspendu à un balcon à Lyon

    Vendredi 1er juin, le caporal Steven, membre du 28e régiment de transmission (RT) d'Issoire, est intervenu pour secourir un enfant de 18 mois dont les deux jambes étaient suspendues dans le vide à un balcon, situé au 1er étage d'un immeuble du 7e arrondissement de Lyon.

    Depuis un mois, le caporal Steven participait à l'opération sentinelle dans la capitale des Gaules. Vendredi, alors qu'il était en repos entre deux patrouilles, il se promenait dans les rues du 7e arrondissement lorsqu'il a aperçu un enfant de 18 mois accroché au balcon du premier étage d'un immeuble.

    "Il ne pleurait pas mais il était terrifié et j'ai eu du mal à le décrocher du balcon"

    Caporal Steven (Militaire du 28e RT intervenu pour sauver un enfant)

    Le militaire du 28e RT d'Issoire a immédiatement sauté sur le mur d'enceinte de la résidence, puis a réussi à atteindre le balcon pour sauver l'enfant de la chute. " Il ne pleurait pas mais il était terrifié et j'ai eu du mal à le décrocher du balcon. Il avait échappé à la surveillance de ses parents et souhaitait récupérer sa chaussette, tombée plus bas", raconte le jeune homme de 26 ans.

    Avertis par un motard passé par là et une jeune serveuse témoin de la scène, les pompiers sont intervenus très rapidement sur les lieux et ont pu constater que l'enfant était en pleine forme. Le militaire a reçu les remerciements des parents avant de s'éclipser, en toute discrétion.

    Ce mercredi, le caporal Steven doit rentrer à Issoire, et retrouver son épouse, qui attend un heureux événement pour l'été.

    La Montagne

  • Quand la gauchiasse dit ce que tu dois faire....

    ... pendant qu'elle escroque et arnaque à tout va!

    Edwy Plenel: quand la lutte finale n’empêche pas la lutte fiscale !

    Edwy Plenel dénonce les subventions reçues par les milliardaires de la presse écrite, mais il en a déjà eu et il n’est pas contre leur extension à la presse numérique au nom de "l’équité".

    Vous connaissez certainement Edwy Plenel, ce journaliste moustachu et grande gueule, issu du trotskisme, passé par la direction de la rédaction du journal Le Monde, "face cachée" incluse, puis fondateur du site de presse Mediapart en 2008 et interlocuteur d’Emmanuel Macron avec Jean-Jacques Bourdin lors du dernier grand show télévisé du Président.

    S’il compte quelques belles enquêtes à son actif, l’affaire Cahuzac par exemple, il a aussi ses fiascos, dont une accusation fantaisiste de financement du PS par le dictateur du Panama Noriega. Bien que Tariq Ramadan, (nananère toujours en tôle!) tête d’affiche des Frères musulmans en France, soit sous le coup d’une mise en examen pour viol, il demeure l’un de ses fidèles soutiens et il évolue indiscutablement et bruyamment dans le sillage de la gauche de la gauche, comme en témoignent clairement les récents articles de ses journalistes sur la réforme de la SNCF ou les Paradise Papers.

    C’est précisément là que les choses deviennent amusantes. Car si la moustache d’Edwy frémit d’indignation lorsque des entreprises ou des particuliers recherchent en toute légalité (cas des Paradise Papers) des taux d’imposition plus doux que ceux réservés à ses contribuables par la fiscalité française, il est bien évident que lorsque Plenel décide en toute illégalité et en toute connaissance de cause d’appliquer à Mediapart une TVA de 2,1% limitée à l’époque à la presse papier au lieu des 19,6% (puis 20%) prévus pour la presse en ligne, ce n’est ni de la fraude ni de l’optimisation fiscale, ce n’est même pas une malencontreuse erreur, c’est un combat citoyen et démocratique pour la pluralité de la presse et la liberté d’expression!

    Mieux, c’est une question de concurrence équitable entre la presse numérique et la presse papier dans laquelle Mediapart joue sa survie. Formidable! Devenu chef d’entreprise lui-même, Plenel a compris qu’une fiscalité confiscatoire et mal ficelée peut fausser le jeu naturel du marché et entraîner les entreprises à la faillite!

    Du reste, dans un article de mars dernier où il présentait la situation de Mediapart après 10 ans d’existence, il nous révélait des résultats financiers que beaucoup de chefs d’entreprise pourraient envier:

    Atteignant 13,7 millions d’euros en 2017, le chiffre d’affaires a augmenté de 20% par rapport à 2016. Le résultat net, après impôt, est de 2,2 millions d’euros, représentant 16% du chiffre d’affaires, taux exceptionnel dans notre secteur.

    Notons au passage que LVMH, dont nous allons parler plus bas, est à 13% de profit en 2017 selon le même critère.

    Comprenez-moi bien, chers lecteurs, je ne suis nullement en train de critiquer les profits ou plaider pour une fiscalité élevée. Je me borne à constater combien il est aisé pour un Edwy Plenel (exactement comme pour un Cahuzac, du reste) de faire la morale aux autres tout en ayant rigoureusement les mêmes préoccupations de gestion, quitte à les emballer dans un discours musclé contre les riches et les médias dominants qui sonnera agréablement aux oreilles trotskistes.

    Médiapart n’aura pas mené son combat en vain puisque le taux de TVA applicable à la presse, tous supports confondus, a été harmonisé à 2,1% à partir de février 2014.

    Ce qu’il faut noter cependant, c’est que les gens comme Plenel ont généralement l’habitude d’exiger des alignements sur le haut du barème, lequel n’est jamais assez élevé pour eux quand ils n’y sont pas assujettis. Dès qu’il est question de supprimer une taxe sur les riches, comme on l’a vu avec la limitation de l’ISF à la fortune immobilière, ils sont pris de graves palpitations morales. Mais comment va-t-on financer encore plus de transports en commun gratuits, encore plus de panneaux solaires et encore plus de Pass culture? Une question idiote, mais récurrente chez la gauche "morale" – que Plenel évite de se poser quand ça l’arrange.

    Et ce qu’il faut noter en outre, c’est que ce taux réduit est en quelque sorte une faveur à la presse, une de ces mesures qui ressemblent furieusement à une subvention – bien que Plenel se défende d’en recevoir – puisque l’immense majorité des biens et services reste assujettie au taux plein de 20 %. Même Bernard Arnault, bête noire officielle des anti-capitalistes et propriétaire du Parisien, Aujourd’hui en France et Les Échos, collecte essentiellement de la TVA à 20 %à travers ses autres activités dans LVMH.

    Mediapart n’est sans doute pas le média qui reçoit le plus d’aides directes à la presse alors que Bernard Arnault en est l’un des principaux bénéficiaires. Mais si Plenel en fait systématiquement un argument choc pour manifester sa parfaite indépendance médiatique contre les " médias dominants " et s’il ne manque jamais de dénoncer " les milliardaires de la presse gavés d’aides publiques et privées ", n’oublions pas que ses journalistes profitent comme les autres (mais contrairement au régime normal des salariés) d’un abattement spécial sur le revenu.

    De plus, Mediapart aurait reçu 200 000 € de subventions étatiques en 2009. La martingale sémantique est la suivante: les sites concernés ne demandent pas des aides publiques – ils sont contre, indépendance, blabla … – mais de l’équité !

    Nous étions d’abord demandeurs d’équité, étant entendu que les aides attribuées aux sites des médias traditionnels constituaient des distorsions de concurrence dans ce nouveau secteur de l’information en ligne.  (Rue89)

    Ajoutons que le Syndicat de la presse indépendante d’information en ligne (SPIIL), dont Mediapart est membre fondateur, milite activement pour obtenir que "le principe de neutralité des supports (guide) l’ensemble du soutien public à la presse" exactement comme il a guidé l’harmonisation du taux de TVA.

    Autrement dit, afin de garantir pluralité de la presse et concurrence non faussée, il conviendrait que les organes de presse numériques puissent bénéficier des aides d’État au même titre que la presse papier. Une évolution que la Cour des comptes recommande dans son rapport public annuel 2018 sur les aides à la presse (voir page 22 du lien).

    Ce développement n’est pas encore acquis, mais victoire, victoire, Plenel a au moins gagné "son" combat sur la TVA. Il n’empêche que le tribunal administratif, qui a rendu son jugement le 22 mai dernier, considère que la société éditrice de Médiapart est bien redevable de l’écart entre les deux taux pour l’entièreté de la période où elle s’est appliquée 2,1% sans justification fiscale, soit 3,3 millions d’euros. Disons-le simplement mais nettement: Mediapart a bel et bien été condamné.

    S’exprimant sur la question dans ses propres colonnes lundi dernier, Edwy Plenel se décerne cependant moult certificats de bonne conduite et parle de "première victoire judiciaire". Mediapart échappe en effet aux majorations de 40% du redressement fiscal qui lui auraient été appliquées si la cour avait été convaincue de son intention d’éluder l’impôt.

    À mon sens, Mediapart bénéficie surtout d’une forme d’indolence de l’administration fiscale. Celle-ci l’avait prévenu dès 2008 par courrier que le taux applicable à son activité était 19,6 % et non 2,1%. Le site n’en a pas tenu compte, silence radio de la part du fisc, et c’est seulement en décembre 2013 qu’est arrivé un contrôle fiscal. Résultat de ce retard à l’allumage, l’État est condamné à payer 1000 € à Mediapart. Pour Plenel, pas de doute, ce contrôle purement vengeur est venu "d’en-haut" suite aux révélations de Mediapart sur l’ex-ministre du budget Jérôme Cahuzac.

    Après tout, c’est possible. Mais gardons en mémoire que Plenel a l’habitude de se faire passer pour la victime des malversations vengeresses des autres. Lui est toujours tout blanc, qu’il s’agisse de Tariq Ramadan, de sa TVA ou de ses " profits ".

    Résumons: Edwy Plenel dénonce les subventions reçues par les milliardaires de la presse écrite, mais il en a déjà eu et il n’est pas contre leur extension à la presse numérique au nom de "l’équité". Il fustige l’optimisation fiscale des riches, mais il a pratiqué lui-même sa propre " optimisation ", ce qui lui a valu un redressement fiscal. Il fait partie de ces gens qui font une moue méprisante quand on leur parle de marché libre mais il réclame pour lui une concurrence non faussée. Il vilipende les profits des sociétés du CAC40, mais en 2017 son entreprise Mediapart a été encore plus profitable que LVMH !

    Tout ceci manque de cohérence, mais que voulez-vous, il est de gauche, ses intentions sont forcément pures et sans reproches!

    Contrepoints.org

     

  • ATTENTION: FRANCE EN DANGER!

    Un membre du GIGN nous dit de nous préparer!

    Suite à la fusillade de Marseille, un membre du GIGN avertit les Français: " préparez-vous"!

    Bobard? Réelle information? Intox? Libération de la parole chez les forces de l’ordre?

    Laurent Obertone nous livre le message d’un membre du GIGN, suite à la fusillade de la Busserine, à Marseille, ce lundi 21 mai.

    https://fr-fr.facebook.com/obertone.laurent/

    Laurent Obertone, journaliste, écrivain, auteur de "France Orange mécanique", de "La France Big Brother" et de "Guérilla" est un spécialiste des faits divers, mais de ceux qui n’intéressent pas la presse de gauche.

    Il estime en effet que "les deux tiers des infractions sont commis par des individus issus de l’immigration, ce qu’il considère comme un sujet tabou, nié pour des raisons morales".

    La fusillade du quartier de la Busserine, une cité de 4000 habitants connue pour ses trafics en tout genre, n’a fait aucun blessé grave. Était-ce une sorte d’avertissement de la part de narco-gangsters en butte avec des rivaux?

    "Une action d’intimidation" pour Le Monde, seulement "des policiers mis en joue" pour Libé qui rappelle qu’en février 2015, " une spectaculaire fusillade avait éclaté entre des policiers et des trafiquants de drogue qui avaient recruté des "mercenaires kosovars" pour une opération commando contre des concurrents dans une autre cité sensible de Marseille, à La Castellane ". Là aussi, sans faire de blessés.

    Bref, comme d’habitude, rien de méchant pour les médias.

    Pour les forces de l’ordre, il en va autrement: ce sont " des signaux faibles " pour les politiques mais les prémices d’une guérilla à venir pour les professionnels de la sécurité et du renseignement. Pour ne pas dire, qui sait, une guerre civile dans 10, 20 ou trente ans?

    Ce message, s’il émane véritablement d’un membre du GIGN, est étonnant pour plusieurs raisons:

    Car venant d’un militaire soumis au devoir de réserve et à la confidentialité, et plus encore, d’une unité d’élite

    Car mélangeant actualité mondaine, faits divers, revendications et considérations politiques, comme un " tract syndical "

    Car posant une énigmatique injonction: "préparez-vous"

    Ce " préparez-vous " est-il destiné aux voyous? Au Français? Et pour ces derniers, se préparer à quoi?

    Car enfin, la population autochtone reste bien démunie face à des racailles islamisées munies d’armes de gros calibre. Que pourrait-elle leur opposer: des bombes au poivre? Des fusils à plombs? Du calibre 12? Sans compter des lois et des juges impitoyables avec les tenants de la légitime défense. Alors la constitution de milices armées et d’opérations commando, n’en parlons pas!

    Sans partager sa ligne éditoriale, le site Breizh Atao analyse assez clairement la situation:

    "La population civile hexagonale, notamment dans les grands centres urbains de France, est à la fois sous l’étroite surveillance politique du gouvernement et exposée à une rééducation systématique, notamment via les médias d’état, sur la nature fondamentalement positive et bénéfique du processus de libanisation ethnique de l’Hexagone.

    Tout propos contredisant cette vérité d’état se conclut, pour le citoyen déviant, par un cocktail mêlant menaces de la part de la police sur ordre de la magistrature – donc du gouvernement – et procès politiques à spectacle.

    Si l’ultra-gauche bénéficie d’une bienveillance évidente de la part de la presse d’état et du gouvernement, qui vient par exemple d’allouer des centaines d’hectares aux Zadistes de Notre-Dame des Landes, le moindre local associatif réunissant des citoyens sceptiques quant à l’immigration de masse, l’islam radical ou le caractère criminogènes des bandes ethniques, est immédiatement ciblé par le sommet du pouvoir.

     

    En d’autres termes, il ne peut y avoir aucune "préparation" car l’instinct de conservation des populations a été méthodiquement détruit pour permettre, précisément, la balkanisation raciale et religieuse de l’Hexagone de s’opérer à leur détriment.

     […]

    Le socialisme d’état français […] tient la population autochtone comme le véritable ennemi stratégique et non pas les millions d’allogènes établis en France.

    L’État Français a déjà acté de son islamisation comme le démontre l’attitude d’Emmanuel Macron, ouvertement allié aux Frères Musulmans. Dans ces conditions, tout ce qui s’oppose à cette " évolution politique " soutenue au plus haut niveau est identifié comme un obstacle à éradiquer.

    Toute " préparation " des autochtones amènera, invariablement, l’État Français à durcir ses opérations contre la population hexagonale tentant de se révolter. "

    https://breizatao.com/2018/05/22/marseille-un-membre-du-gign-invite-la-population-francaise-a-se-preparer-a-un-scenario-de-guerilla-faute-de-reaction-politique/

    Mais face au terrorisme islamiste, aux embrasements réguliers des zones de non-droit, à l’invasion migratoire et, de facto, à l’islamisation de la société, museler les voix dissidentes, de plus en plus nombreuses, deviendra un exercice difficile voire intenable pour le gouvernement et ses serviteurs. Plus encore si les forces de l’ordre se rallient en masse à la cause identitaire, à la défense de la France et des vrais Français de cœur.

    Est-ce le sens de ce martial "préparez-vous"?

  • Cela fait très longtemps que ça dure…. et on n'en parle pas!

    Deux jeunes Afghans demandeurs d'asile s'en sont pris à une Dijonnaise âgée de 33 ans lui reprochant une tenue vestimentaire trop légère.

    Les médias français relatent que les deux individus ont insulté la victime, 33 ans, à cause de sa tenue vestimentaire qu'ils jugeaient trop légère. Selon Le Bien Public, la femme portait un décolleté.

    Les policiers ont ensuite interpellé les deux suspects, des demandeurs d'asile afghans âgés de 19 et 23 ans habitant à Dole, dans le Jura. Ces derniers seront convoqués prochainement devant le tribunal correctionnel.

    ANECDOTE VRAIE

    Il y a 7 ans, une de mes amies, médecin, habitant centre ville de Strasbourg, une rue menant à la mosquée sort de chez elle avec un top, donc épaules découvertes. Un groupe de Chance pour la France -qui allaient à la mosquée- en passant la traite de salope et autres joyeusetés de notre vocabulaire.

    Il Y A 7 ANS DEJA!

     

  • N'importe quoi, macrouille!!

    Rwanda: les raisons de l’intérêt soudain pour la Francophonie

    Les intérêts du Rwanda pour la francophonie sont ailleurs.

    Par Isidore Kwandja Ngembo.

    L’Organisation internationale de la Francophonie (OIF) est une institution fondée essentiellement sur le partage de la langue française comme levier de coopération, et a pour vocation à promouvoir des valeurs fondamentales communes telles que la primauté du droit, la gouvernance démocratique, la consolidation de l’État de droit, le respect des droits de la personne et des libertés fondamentales.

     

    De par les mandats qui lui sont confiés par les États et gouvernements membres, d’agir notamment pour prévenir et résoudre pacifiquement des conflits dans l’espace francophone, l’OIF est reconnue également comme un acteur international qui contribue en faveur de la paix et de la sécurité mondiales.

    Le secrétaire général, clé de voûte de la Francophonie, est chargé justement de mettre en œuvre l’action politique et diplomatique, d’animer et de coordonner la coopération entre les États et gouvernements membres en vue d’atteindre les objectifs que ceux-ci se sont fixés.

    En effet, il nous paraît assez suspect l’intérêt soudain du Rwanda de prétendre à la direction de la Francophonie, lui qui a toujours accusé la France de complicité de génocide et a même banni la langue française dans l’enseignement et l’administration publique.

    Un soutien incompréhensible

    Le soutien potentiel de la France à cette probable candidature de la ministre rwandaise des Affaires étrangères nous paraît tout aussi incompréhensible que cela puisse paraître et difficilement justifiable compte tenu de l’état actuel des relations diplomatiques entre les deux pays.

    Rappelons que, depuis le génocide de 1994 et l’arrivée au pouvoir des autorités politiques actuellement au Rwanda, la France a déployé des efforts considérables pour rétablir le dialogue en vue de renouer les liens brisés avec ce pays, mais le Rwanda rechigne toujours à rétablir les relations diplomatiques saines avec celle-ci. La crise de confiance perdure encore, en dépit de toutes les tentatives bien intentionnées de la France.

    Les relations bilatérales entre les deux pays sont, pour ne pas dire exécrables, manifestement tendues, et ce, peu importe le nombre de fois où les deux présidents, Emmanuel Macron et Paul Kagame, se sont entretenus.

    En tout état de cause, la candidature rwandaise n’est certainement pas pour œuvrer au rayonnement de la langue française, ni pour faire la promotion des valeurs démocratiques prônées par l’OIF. Bien au contraire, cela aura pour effet d’annihiler tous les efforts déployés jusqu’ici par cette organisation en vue d’accompagner le processus de transition démocratique en cours dans un certain nombre de pays de l’Afrique francophone notamment.

    D’autre part, le Rwanda a fait preuve d’un certain laxisme dans l’acquittement de sa contribution statutaire à l’OIF dans les temps requis, et ce, pendant des années. En 2014, par exemple, l’Organisation a dû lui accorder une réduction de 50 % et s’entendre sur un calendrier de paiement régulier. Mais, malgré cela, le compte est resté en souffrance pour une maigre contribution de 30 000 euros l’an. Dans une récente réunion, le Comité sur les arriérés est revenu à la charge pour exiger du Rwanda le paiement de ses arriérés pour les années 2015, 2016, 2017 et 2018.

    Qu’à cela ne tienne, le Rwanda, pour des raisons que l’on ignore encore, est déterminé à prendre la direction de la Francophonie. Et, sa diplomatie s’active en coulisse autant sur les plans bilatéral et africain pour y parvenir. Les puissants médias de l’espace francophone sont mis à profit pour assurer une couverture médiatique ouvertement favorable à la candidature de Louise Mushikiwabo.

    Tout compte fait, les raisons sous-jacentes qui peuvent expliquer l’intérêt soudain du régime rwandais à l’égard de la Francophonie sont à rechercher ailleurs que dans la volonté de faire avancer les objectifs contenus dans la  » Déclaration de Bamako « , renforcée par la  » Déclaration de Saint-Boniface « , deux textes normatifs de référence, l’un sur le respect des règles de la gouvernance démocratique et de l’État de droit, l’autre sur la sécurité humaine et la responsabilité de protéger.

    Que reproche-t-on à Michaëlle Jean ?

    Sous la gouverne de Michaëlle Jean, l’OIF est fortement engagée dans un élan, à la fois, de la défense et la promotion de la langue française et de la diversité culturelle, et de la promotion des valeurs démocratiques chères à l’organisation.

     On se rappellera qu’en 2014, lorsqu’elle s’était lancée dans la campagne pour accéder à la direction de l’OIF, Michaëlle Jean promettait de faire de la Francophonie, une organisation toujours plus agissante, dans un monde en plein bouleversement et en perpétuel changement.

    Quatre ans après, elle a tenu sa promesse, sans désemparer, de hisser l’OIF à la place qui lui revient, au cœur du système multilatéral. Aujourd’hui, l’Organisation qui rassemble 84 États et gouvernements membres et observateurs, est tellement attractive que le nombre de demandes d’adhésion ne cesse d’augmenter.

    Michaëlle Jean a su positionner l’Organisation sur tous les enjeux de l’heure : objectifs de développement humain et économique durable et inclusif, changements climatiques, crises migratoires, lutte contre le terrorisme, prévention et gestion des crises, défense des droits et des libertés fondamentales, soutien à l’entrepreneuriat des jeunes et des femmes, renforcement des politiques et programmes en faveur de l’éducation, de la formation technique et professionnelle, stratégie numérique, appui structurant au renforcement des institutions, mobilisation de la jeunesse autour de la responsabilité citoyenne et dans la lutte contre la radicalisation, stratégie pour l’égalité entre les femmes et les hommes, etc.

    Qu’on le veuille ou non, l’OIF a considérablement intensifié ses efforts et continue de développer ses moyens d’action dans les différents domaines relevant de son mandat. Et, Michaëlle Jean poursuit sereinement la mise en œuvre de réformes substantielles en vue d’améliorer le fonctionnement et la gestion interne de l’Organisation.

    Par ailleurs, Michaëlle Jean est persuadée que c’est en adoptant une approche concertée et mieux coordonnée, en faveur de la paix, de la sécurité, du dialogue inclusif, du respect des processus démocratiques, que nous pourrons obtenir les meilleurs résultats. C’est ainsi que l’OIF est résolument engagée sur le terrain, en synergie avec ses partenaires internationaux, pour agir efficacement.

    En effet, les nouvelles réalités mondiales nous rappelle qu’aucun État, aussi puissant soit-il, ne peut à lui seul relever les immenses défis qui nous attendent, ni dicter sa volonté au monde, mais cela exige l’instauration d’un ordre international fondé sur un multilatéralisme plus efficace. Ainsi, au lieu d’affaiblir la Francophonie en la déstabilisant dans son action, il vaudrait mieux reconnaître et investir davantage dans sa plus value, en lui apportant des moyens supplémentaires à la hauteur de l’ambition légitime qu’elle porte et qui la définit.

    Il va sans dire qu’il serait préférable pour les chefs d’État et de gouvernement, dans leur grande sagesse, de faire preuve de réalisme en faisant en sorte de ne pas briser la dynamique engagée par ses prédécesseurs et poursuivie de façon accélérée par l’actuelle Secrétaire générale dès sa prise de fonction, et de la reconduire pour un second et dernier mandat, afin de poursuivre inlassablement tous ces efforts qu’elle a su engager pour assurer la pérennité des actions entreprises et des programmes déployés dans l’exécution de l’ambitieuse feuille de route qui lui a été confiée à Dakar.

    contrepoints.org