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occitanie - Page 239

  • Petit jeu

    Voyez les sondages de la présidentielle premier tour:

     

    Depuis combien de mois nous dit-on que la France est à droite?

     

    Faites le total des voix de Macron, Hamon et Mélenchon...

    et vous trouvez que la France est à droite?

    ou que les sondeurs se f....ent de notre gueu.....?

  • Selon qu'il fasse partie ou non de la gauchiasse.... il sera traité CQFD

    L’Inspection générale des finances soupçonne Macron d’un délit de favoritisme (Màj: Le Parquet national financier n’ouvre pas d’enquête)

    Le "Canard Enchaîné" affirme que des soupçons de favoritisme entourent l’organisation d’une soirée à Las Vegas, en 2016, alors qu’Emmanuel Macron était ministre de l’Économie.

    L’Inspection générale des finances (IGF) soupçonne un délit de favoritisme concernant l’organisation d’une soirée à Las Vegas en 2016, où Emmanuel Macron, alors ministre de l’Économie, avait rencontré des entrepreneurs français, affirme Le Canard enchaîné dans son édition de mercredi.

    Le 6 janvier 2016, en plein Consumer Electronics Show (CES) de Las Vegas, aux États-Unis, grand-messe mondiale de l’innovation technologique, Emmanuel Macron avait été ovationné par plus de 500 personnalités et dirigeants de start-up français.

    "Cette opération de séduction, montée dans l’urgence, à la demande expresse du cabinet du ministre, a été confiée au géant Havas par Business France (l’organisme de promotion de la French Tech dépendant de Bercy) sans qu’aucun appel d’offres ait été lancé ", révèle Le Canard Enchaîné.

    100.000 euros "rien que pour l’hôtel“. La commande de la prestation Havas est susceptible de relever du délit de favoritisme ", souligne l’IGF après enquête, peut-on lire dans le journal satirique, qui précise le coût de la soirée: " 381.759 euros, dont 100.000 rien que pour l’hôtel, où la moindre chambre était facturée plus de 300 euros la nuit ".

    Reprenant les conclusions de l’IGF, le "Canard" révèle que Business France ou certains de ses salariés " pourraient être incriminés pour ‘favoritisme’  " et Havas France ou ses dirigeants " au titre de la complicité ou du recel“.

    Les "canards" bien pensants, petits ou grands, enchaînés ou déchaînés, sont bien prompts ces jours-ci à révéler les turpitudes de nos élus. C’est tant mieux et il n’est jamais trop tard pour "bien" faire.

    Cependant il n’aura échappé à personne que ces révélations sont très sélectives

    Si les indiscrétions fuitent de toutes parts lorsqu’elles concernent certaines cibles bien identifiées, elles s’évanouissent curieusement lorsqu’il s’agit des "amis":très grande discrétion sur la déclaration de patrimoine mensongère du candidat Macron

    tout aussi grande discrétion sur la mise en examen du candidat Hamon

     

  • Message transféré --------

    Sujet :     TR: A gauche les emplois fictifs ils ne connaissent pas

    *Il y en a eu.......des poursuites judiciaires !!!!!!!!*

    *Les Pilleurs d'Etat crient ' haro sur le baudet ! '*

    *Salaires fictifs, détournements de fonds, abus de biens sociaux, escroqueries, captations d'héritages, faux et usages de faux... tout est bon pour les socialistes qui, pour cacher leurs malversations permanentes, hurlent avec toute la presse de gauche : " haro sur le baudet... Fillon " !*

    Une députée PS, Sylvie Andrieux (photo ci contre) condamnée à 4 ans de prison pour détournement de fonds publics et qui siège toujours à l'Assemblée avec son bracelet électronique'

    un élu ayant détourné 20 millions d'euros qui n'est condamné qu'à 20.000 euros d'amende avec sursis' des dizaines de parlementaires qui s'achètent un appartement avec l'indemnité représentative de frais de mandat (IRFM), laquelle n'est ni déclarable ni justifiable'

    Après "/*Délits d'élus ' 400 politiques aux prises avec la justice*/" paru en 2014,*Philippe Pascot*a publié en mai un nouveau livre, "* Pilleurs d'Etat *", dans lequel il dénonce tout le système des abus et des privilèges inouïs dont bénéficie la " mafia " des politiques, que ces pratiques soient légales ou illégales'*Ancien adjoint au maire Manuel Valls à Evry*, ancien conseiller régional, il milite désormais pour la transparence de l'exercice de la vie politique.

    La liste de ces délits d'élus est impossible à établir de façon exhaustive.. Néanmoins il est plus qu'évident que dans le hit-parade se trouve une majorité de socialistes, à l'instar de MM. Michel Vauzelle et Michel Delabarre, nommés " préfets " (fictifs) par François Mitterrand pour encaisser la paye... et la retraite sur le dos des contribuables !

    *Emplois fictifs '.. pour des préfets fictifs !*

    Les emplois fictifs ne datent pas d'hier et certains, n'ont suscité aucun commentaire de la Presse servile ! A l'instar de ces " politiques " nommés préfets pour bénéficier d'avantages liés à la fonction' sans jamais en avoir exercé la moindre compétence.

    Parmi ces préfets fantômes, figurent deux stars de la politique, les députés et anciens ministres de François Mitterrand, Michel Vauzelle, alors âgé de 66 ans, et Michel Delebarre, alors âgé de 65 ans. Tous deux indiquent, sur le site informatique de l'Assemblée nationale, la même profession : préfet. Pourtant, le premier est avocat de profession et le second cadre supérieur de collectivités locales. En fait, ces deux grands notables locaux du Parti socialiste qui n'ont jamais exercé les fonctions de préfet avaient été nommés à ce titre, de manière discrétionnaire, par le président François Mitterrand, en 1985 pour le premier et en 1983 pour le second. Quel intérêt de nommer un préfet fantôme ' C'est un joli cadeau' financier, facile à comprendre. Le 28 avril 2011, Michel Delebarre a fait valoir ses droits à la retraite de préfet, à l'âge de 65 ans, tout comme l'avait fait le 15 août 2010 Michel Vauzelle. Cela permet à ces deux caciques du PS de toucher aujourd'hui une pension mensuelle de 4.000 ' brut, qui vient s'ajouter à leurs indemnités de parlementaires et d'élus locaux : soit 15.124 ' brut (Michel Delebarre) et 9.760 ' brut (Michel Vauzelle). Sans compter pour chacun une indemnité (forfaitaire) représentative de frais de mandat de député de 6000 ' net. Et cela, en toute discrétion.

    Et ce n'est là qu'une infime partie des abus de la caste socialiste sur le dos des " finances publiques " et donc de tous les contribuables !

    *Rappelez vous....*

    *Jean-Christophe Mitterrand*, fils aîné de l'ancien président de la République, le surnommé " Monsieur Afrique " qui a été pendant plusieurs années salarié (fictif) d'une fondation suisse, financée par Elf : le CRES ou Centre de Recherches Entreprises et Sociétés... avec un salaire de 30.000 Francs/mois...

    En 1993 et 1994, Jean-Christophe Mitterrand a été mis en examen par la justice française dans le cadre de l'affaire des ventes d'armes à l'Angola. Il était suspecté d'avoir mis ses relations politiques au service de Pierre Falcone pour vendre des armes russes au gouvernement angolais du président José Eduardo dos Santos. Il sera relaxé de cette accusation par la cour en octobre 2009.

    Le 22 décembre 2000, Jean-Christophe Mitterrand est écroué à la prison de la Santé par le juge Philippe Courroye pour complicité de trafic d'armes, trafic d'influence par une personne investie d'une mission de service public, recel d'abus de biens sociaux, recel d'abus de confiance et trafic d'influence aggravé. Il est suspecté d'avoir reçu illégalement d'importantes sommes d'argent pour faciliter la vente d'armes en 1993 et 1994 au gouvernement angolais. Il reconnaît avoir perçu une rémunération de 1,8 million de dollars (13 millions de francs) de la Brenco sur un compte en Suisse, mais nie toute participation à un trafic d'armes.

    Le 11 janvier 2001, Jean-Christophe Mitterrand est libéré contre le versement d'une petite caution de 770 000 euros (5 millions de francs), que sa mère Danielle Mitterrand s'est chargée de réunir " auprès de la famille et auprès d'amis " en qualifiant la somme de " rançon déshonorante ".

    La procédure ayant été annulée par manque de plainte du ministre de la Défense, seul habilité à saisir la justice, Jean-Christophe Mitterrand est remis en examen, pour complicité de trafic d'armes par les juges Philippe Courroye et Isabelle Prévost-Desprez.

    Le 17 octobre 2001, Jean-Christophe Mitterrand est de nouveau mis en examen pour recel d'abus de biens sociaux par le juge Courroye. Il est accusé d'avoir bénéficié d'un virement de 300 000 dollars effectué par la Brenco, correspondant, selon son avocat, à des " prestations de conseil à M. Falcone ". La veille, il avait déposé une plainte pour faux en écriture publique contre le juge Courroye, concernant une ordonnance rédigée en juillet 2000 par le magistrat.

    En 2004, selon une expertise financière remise en mai au juge Philippe Courroye chargé de l'affaire, 2,2 millions d'euros (14,3 millions de francs) ont été virés par Pierre Falcone sur un compte suisse appartenant à Jean-Christophe Mitterrand qui en a retiré 1,7 million d'euros (11,5 millions de francs) en espèces pour les transférer sur celui de sa société de pêcherie d'Iwik Investissement en Mauritanie. Jean-Christophe Mitterrand a déclaré avoir été consultant auprès de Pierre Falcone, mais, concluent les auteurs du rapport, n'a pu expliquer la nature exacte des missions qui lui étaient confiées et qui pourraient justifier des rémunérations d'une telle importance.

    mais aussi et encore... depuis les années 80'

    *Monnate, Emmanuelli, Laignel, Pezet, Sanmarco... L'affaire Urba*

    19 avril 1989 : début de l'affaire. A Marseille, les policiers découvrent, au siège de la société Urba (dirigée par Gérard Monate, un ancien syndicaliste policier), des documents du directeur administratif établissant un financement occulte du Parti socialiste.

    1990 : une dalle de béton s'effondre sur un chantier de construction. Deux salariés de l'entreprise Heulin trouvent la mort.

    8 janvier 1991 : un juge d'instruction du Mans, Thierry Jean-Pierre, enquête sur l'accident. Il interroge un ancien responsable socialiste qui passe aux aveux : le système, qui a fonctionné de 1973 à 1990, reposait sur la facturation de prestations fictives à des clients qui bénéficiaient par ailleurs de contreparties sous forme de marchés communaux ou autres. L'argent était reversé au PS.

    Avril 1991 : le juge Jean-Pierre perquisitionne au siège parisien de la société Urba.

    Janvier 1992 : fait sans précédent : le nouveau juge d'instruction, Renaud Van Ruymbecke, perquisitionne le siège du PS.

    Septembre 1992 : président de l'Assemblée nationale, Henri Emmanuelli est inculpé de " recel et de complicité de trafic d'influence " à propos de fonds récoltés dans la Sarthe par la SAGES, filiale d'Urba. Une poursuite qui s'explique par les anciennes responsabilités de l'homme politique : à l'époque des faits, il était le trésorier du PS.

    Statuant sur le volet marseillais de l'affaire Urba, la chambre d'accusation de la cour d'appel de Lyon a ordonné vendredi le renvoi en correctionnelle d'Henri Emmanuelli et d'André Laignel, en qualité d'anciens trésoriers du Parti socialiste pour "complicité de trafic d'influence", parmi les 50 personnes prévenues dans ce dossier. Au total, 50 personnes se retrouveront devant le tribunal correctionnel: élus, responsables des bureaux d'études Urba, chefs d'entreprises. Au côté d'Henri Emmanuelli et André Laignel, parmi les prévenus les plus connus figurent Michel Pezet et Philippe Sanmarco, anciens députés socialistes des Bouches-du-Rhône, Gérard Monate, ex-PDG des bureaux d'études Urba et Joseph Delcroix connu pour ses cahiers, saisis par l'inspecteur Gaudino, décrivant tout le système. La chambre d'accusation a prononcé huit non-lieux au bénéfice de dirigeants de sociétés satellites d'Urba et de dirigeants de sociétés. Les chefs de prévention varient selon leurs fonctions: les quatre responsables d'Urba sont poursuivis pour trafic d'influence, les 10 élus pour complicité de trafic d'influence et les 36 chefs d'entreprises pour corruption active.  L'instruction concerne la période allant du 11 mars 1988 à avril 1989, date à laquelle l'inspecteur Antoine Gaudino a effectué la perquisition dévoilant l'affaire.

    A la suite de ses découvertes et après son éviction de la police, l'inspecteur Gaudino avait publié un livre sur ce dossier intitulé l'Enquête impossible.

    Le montant total des fausses factures transitant par les cabinets d'études Urba s'élève à 9,4 millions uniquement pour les marchés marseillais ! Condamné pour complicité dans l'affaire Urba, Emmanuelli a également été mis en examen en 1998 dans le cadre de l'affaire Destrade de financement illégal du Parti socialiste.

    A noter également qu'Henri Emmanuelli, comme Jack Lang et Maitre Lombard... furent inquiétés dans l'affaire de captation d'héritage de l'Héritière Suzanne de Canson en 1987. Une affaire sordide démélée par le juge toulonnais Jean-Pierre Bernard et qui, in fine, se traduisit par le dépouillement de la milliardaire décédée... au profit d'officines du Parti Socialiste !

    *Gérard Colé et les emplois fictifs d'Air France !*

    L´affaire des emplois fictifs d´Air France débusquée par un juge d´instruction de Nanterre, en juin 1995, au siège de la compagnie aérienne. Enquêtant sur les fiches de paye de Gérard Colé, ex-conseiller à l´Elysée payé par Air France par un salaire fictif (28.000 F par mois), le juge découvre une série d´autres cas identiques. Parmi eux, Michel Vauzelle (toujours lui), alors porte-parole du président de la République.

    Le magistrat, qui n´est saisi que du cas de*Gérard Colé*, communique les autres dossiers au parquet de Nanterre et suggère l´ouverture d´enquêtes distinctes.

    "/Premier enterrement/", constate Maître Baduel.

    > > > > En avril 1996, cet avocat pugnace décide d´alerter le parquet de Paris./" Un an plus tard, raconte-t-il, je recevais un avis de classement

    indiquant que le parquet saisissait la Cour des comptes. /

    /J´attends toujours "/, poursuit-il.

    Gérard Colé, ami de Jacques Séguéla et de Jacques Pilhan fut récompensé par Tonton qui le fit Président du Loto en 1989 et de la Française des Jeux !

    Il faudra attendre 1994 et 1995 pour qu'enfin la Justice s'intéresse à son cas.

    Il sera mis en examen pour abus de biens sociaux, ingérence, faux en écritures, et obstacle aux vérifications des commissaires aux comptes. Au cours d'une instruction pénale qui s'étalera sur 6 années les chefs d'inculpation s'effondreront les uns après les autres et Gérard Colé ne sera condamné qu'en 2001 à une amende ridicule .

    *En 2011 : le sénateur Pastor et ses fausses factures*

    Le sénateur Jean-Marc Pastor (PS) est accusé de " notes de frais frauduleuses et fausses factures " le 27 juin 2011 après avoir transmis à la trésorerie du Sénat deux factures de restaurant émises dans le Tarn, son département, pour un montant total de 2492 '. Médiapart révèle l'histoire et Pastor pour éviter le clash, produit un faux communiqué de Gérard Larcher, alors Président du Sénat, avant de se rétracter et de rembourser l'intégralité des sommes extorquées.

    et puis, sans oublier ...

     

    *Pierre Mauroy*, Premier secrétaire du PS décédé le 7 juin 2013 (mais aussi Sénateur) fut condamné à 20 000 ' d'amende " avec sursis " pour abus de confiance et devra rembourser 19 654 ' à la suite d'une condamnation en 2011 pour " emplois fictifs ".

    *Jean-Paul Huchon*(PS), alors président de la Région Ile de France, a été condamné pour prise illégale d'intérêt sur marchés publics en 2007, condamnation confirmée en appel en 2008 et en 2011 par le Conseil d'Etat.

    *Harlem Désir*(n°2 du PS Député européen) condamné en 1998 à 18 mois de sursis et 30 000 F d'amende pour recel d'abus de confiance. De novembre 1986 à octobre 1987, il a reçu un*_salaire fictif mensuel de 10 500 francs_*de l'Association régionale pour la formation et l'éducation des migrants, basée à Lille. L'actuel n° 2 du Parti socialiste occupait alors la présidence de SOS-Racisme

    *Bertrand Delanoë*, condamné en 2010 pour atteinte au droit du travail, a financé avec l'argent du contribuable une bonne trentaine de postes de permanents CGT, planqués dans une des mutuelles de la ville : la MCVPAP !

    *Jean-Christophe Cambadelis*, premier secrétaire du PS, a été condamné en 2006, alors qu'il était député PS de Paris, pour recel d'abus de confiance... à 6 mois de prison avec sursis et à 20 000 ' d'amende, dans*_l'affaire des emplois fictifs de la MNEF_*.

    Il avait été rémunéré par la mutuelle proche du PS entre 1991 et 1995, à hauteur de*620 500 francs*au titre d'une activité fictive de conseil.

    *Jérôme Cahuzac et ses comptes cachés*

    Le pompon en matière de fraude fiscale et de fuite de capitaux cachés... revient assurément à Jérôme Cahuzac,  ministre délégué chargé du Budget auprès du ministre de l'Économie et des Finances, au sein des gouvernements Ayrault, (du 16 mai 2012 au 19 mars 2013)...

    Malgré de nombreux dénis mensongers, il fut obligé de démissionner après les graves accusations de fraude fiscale qui pesaient sur lui. Face au scandale... Il fut ensuite exclu du PS et du renoncer à retrouver un mandat de député. Le 8 décembre 2016, il fut condamné à trois ans d'emprisonnement ferme et cinq ans d'inéligibilité pour " fraude fiscale " et " blanchiment de fraude fiscale " dans l'affaire de ses comptes cachés en Suisse et à Singapour.

    *Et la liste ne s'arrête pas là...*

     (voir sur Internet)

    *KUCHEIDA JEAN-PIERRE *(Député-maire PS) le soutien de Hollande, mis en examen dans UNE AFFAIRE DE CORRUPTION PEUT ÊTRE DE GRAND AMPLEUR AU SEIN DE LA FÉDÉRATION PS DU PAS DE CALAIS Condamné le 21 mai 2013 à 30 000 ' d'amende dans une affaire d'ABUS DE BIENS SOCIAUX. Nouvelle mise en examen EN JANVIER 2014 pour corruption et recel d'abus de biens sociaux.

    *NAVARRO ROBERT*(Cadre PS) dans l'équipe de campagne de François Hollande, objet d'une plainte du PS pour enrichissement personnel et ABUS DE CONFIANCE EN 2012, pour des frais personnels et des pizzas entre 2008 et 2010 pour 42.000 ' ...Soutien de François Hollande à la primaire socialiste, il intègre son équipe de campagne durant l'été 2011.

    *DOUCET PHILIPPE *député PS du Val d'Oise et ancien maire d'Argenteuil (3e ville d'Ile-de-France), qui a ruiné la ville en un mandat et qui fait l'objet d'une enquête du Parquet national financier pour FAVORITISME, TRAFIC D'INFLUENCE ET DÉTOURNEMENT DE FONDS PUBLICS

    *DESTRADE JEAN-PIERRE*(Conseiller Général PS) Condamné en 2005 à 3 ans de prison dont 2 avec sursis et 10.000 euros d'amende dans une affaire d'ESCROQUERIE ET TRAFIC D'INFLUENCE, une peine couverte par sa détention provisoire

    *TEULADE RENÉ*sénateur-maire PS d'Argentat (Corrèze), avait été condamné en juin 2011 à 18 mois de prison avec sursis et 5.000 euros d'amende pour abus de confiance par le tribunal correctionnel de Paris. En octobre 2012, Hollande lui avait rendu hommage lors du Congrès de la Mutualité Française :"Je salue les présidents qui ont marqué l'histoire de votre organisation. René Teulade auquel je suis lié par une fidélité corrézienne (....)

    *ABDI MOHAMED*conseiller spécial de Fadela Amara, la secrétaire d'État chargée de la politique de la Ville, a été condamné par la Cour de cassation à la mi-octobre à 18 mois de prison dont douze avec sursis pour escroquerie

    *ANDRIEUX SYLVIE*(Député PS) condamnée aujourd'hui à 3 ans de prison dont deux avec sursis, à 100.000 euros d'amende et à 5 ans d'inéligibilité. complicité d'escroquerie et détournement de fonds publics.

    *ANNETTE GILBERT*(PS) Actuel Maire de Saint-Denis de la Réunion, ancien Député,condamné en 1996 à 200 000 francs d'amende, cinq ans de privation de ses droits civiques et trente mois de prison dont douze avec sursis pour CORRUPTION DANS DES PROCÉDURES DE MARCHÉS PUBLICS À LA VILLE DE SAINT-DENIS

    *BATHO DELPHINE*la nouvelle Ministre délégué à la Justice, refuse toujours de quitter, son logement du parc social de Paris alors qu'elle encaisse 22.650 euros par mois selon LE MONDE, et même après en avoir été "priée" par le Maire de Paris de dégager les lieux

    *BERNARDINI FRANÇOIS*(Maire PS) condamné en 2002 pour une ingérence, détournement de fonds publics, abus de confiance et abus de biens sociaux. à 18 mois de prison avec sursis, 400 000F d'amende et cinq ans d'inéligibilité.

    *CIOT JEAN-DAVID*le premier secrétaire fédéral et collaborateur de Guérini, mis en cause pour recel de détournement de fonds publics.

    *DALONGEVILLE GÉRARD*(Maire PS) condamné faux en écriture et usage de faux, détournements de fonds publics, favoritisme et recel de favoritisme

    etc, etc....

    *Il faudrait plusieurs tomes pour arriver au bout de cette longue liste de " Ripoux " socialistes, payés avec l'argent des contribuables !*

    *Et sans doute un seul tome pour traiter des " pilleurs de deniers publics " que sont Jack Lang et Laurent Fabius.*

     

  • Le scandale des nounous musulmanes voilées

    Les assistantes maternelles et familiales accueillent à leur domicile 1 à 4 enfants jusqu’à l’âge de 4 ans.

    Quelques 5000 stagiaires sont formées par des professionnels de l’éducation, de la puériculture, du paramédical et du médical, en 60 h par an avant tout accueil, suivies de 60 h après le premier accueil d’enfants.

    Leur formation est censée leur procurer les moyens de s’occuper correctement des enfants et des relations avec les parents.

    L’enquêteur Jacques Maisonneuve a recueilli, dans sa vidéo, le témoignage frappant d’une responsable de formation de ces " nounous ". D’origine maghrébine, elle a manifesté ses profondes inquiétudes devant les pratiques " radicales " envahissantes de certaines  assistantes maternelles musulmanes voilées.

    Face au climat actuel de menaces possibles sur sa vie sociale et de retombées judiciaires absurdes, mais bien réelles, elle a choisi la prudence de l’anonymat pour s’en protéger.

    https://youtu.be/rmWzi3f46zw

    Première constatation: le nombre de musulmanes dans la profession est en très nette augmentation. Dans la formation qu’elle dirige, sur une vingtaine de stagiaires, près d’une quinzaine sont voilées. Ces nounous musulmanes voilées créent de nombreux problèmes Problèmes de comportements:

    – outre le voile, stigmate religieux ostentatoire, porté jusqu’à l’illégalité de la burka, le tabou alimentaire du porc s’élargit même aux non musulmans.  Des parents français se voient refuser de fournir à leurs enfants des repas contenant du porc. Les enfants non musulmans se retrouvent obligés de consommer une viande religieusement halal.

    – certaines nounous musulmanes voilées refusent de serrer la main d’un homme, ce qui est à mettre en parallèle avec l’attitude de musulmans hommes refusant de serrer la main d’une femme (les non-musulmans étant considérés comme " impurs " par l’islam).

    – un comportement de mépris envers les règles élémentaires de l’hygiène a été constaté chez certaines de ces nounous musulmanes (faire manger sur le sol les enfants dont elles ont la charge, " pour imiter le prophète ").

    – on a aussi signalé le cas d’enfants non-musulmans forcés de participer aux prières islamiques par leur nounou voilée.

    Problèmes de revendications réitérées et d’exigences interminables:

    – demandes insistantes de salles de prière dans les lieux de formation (allant jusqu’à exiger le retrait des crucifix accrochés aux murs de la salle) ; sonneries bruyantes sur leur téléphone portable pour indiquer les heures de prière durant les réunions de formation, parents mécontents des attitudes ouvertement religieuses des assistantes maternelles musulmanes, enfants soumis à des placements multiples, face à l’intolérance et à l’intrusion du religieux non choisi dans leur existence.

    – arrogance agressive de nounous voilées devant toutes critiques portant sur leurs compétences ou leurs fautes, critiques dénoncées comme étant " discriminatoires, racistes, xénophobes… ", et accompagnées parfois de menaces et de plaintes aberrantes, mais efficaces.

    La hiérarchie, comme dans nombre d’institutions (RATP, SNCF, aéroports, etc.) recommande systématiquement  de " ne pas faire de vagues " et de fermer les yeux, quand elle ne menace pas les spécialistes de terrain, qui alertent sur les dérives et les dysfonctionnements, de " faire le jeu des fachos " ou de mesures administratives de rétorsions, en cas de récidive…

    Notre témoin a aussi signalé que des stagiaires " radicales " et incompétentes ont reçu l’agrément dans leurs fonctions alors que le rapport de stage préconisait un refus pour incompétence.

    Lâcheté des autorités, absence de soutien, déni de réalité, ou les 3 ensemble?

    De plus, la crainte d’actions judiciaires dans un contexte de complaisance unilatérale de certains juges renforce l’absence de fermeté et l’extrême faiblesse des réactions des responsables hiérarchiques.

    Dans tous les cas, la diffusion de ces réalités dérangeantes est considérée comme une atteinte à l’ensemble de l’institution, donc susceptible de sanctions.

    En attendant, dans bon nombre d’occurrences, le bon vouloir des musulmanes voilées prosélytes influe négativement sur la structure psychique des enfants en cours de développement et sans défenses.

    Les comportements de certaines nounous voilées pose le problème récurrent de l’introduction progressive de l’islam dans le quotidien banalisé et de ses conséquences délétères surmultipliées.

    Guy SAUVAGE

    http://ripostelaique.com/video-choc-le-scandale-des-nounous-musulmanes-voilees.html

  • Tout finit par se savoir!

    La bobosphère se rend compte que, comme pour Théo, Adama et ses frères sont des délinquants…

    La diversité ne déçoit jamais. Après les mises en examen de membres de la famille de Théo Luhaka pour détournement de fonds publics, c’est le grand retour en force de l’affaire Adama Traoré dans les dossiers des juges d’instruction. Adama, souvenez-vous, c’est ce jeune délinquant mort pour s’être lui-même essoufflé dans sa tentative d’échapper à un contrôle policier, en juillet dernier. Les merdias et le PAF avaient déroulé le tapis rouge au déferlement d’amour ayant suivi l’affaire (attaque de commissariat au bus bélier, tirs de mortier et de fusil, incendies de voitures…).

    http://www.francetvinfo.fr/faits-divers/ce-que-l-on-sait-de-la-mort-d-un-homme-de-24-ans-lors-de-son-interpellation-a-beaumont-sur-oise_1555761.html

    Un décryptage un peu plus poussé révèle cette histoire sous un autre jour.

    http://www.valeursactuelles.com/societe/exclusif-lautre-verite-sur-laffaire-adama-traore-59738

    Au cœur de la nouvelle enquête judiciaire visant la famille Traoré: le grand frère Bagui. Déjà en cellule pour outrages et violences à l’égard de policiers municipaux, voilà qu’il se trouve en première ligne dans l’enquête concernant les tentatives d’assassinat sur les forces de l’ordre lors des émeutes.

    http://www.20minutes.fr/paris/2022075-20170228-adama-traore-frere-garde-vue-soupconne-avoir-tire-gendarmes

    Une crème, ce Bagui. Entre autres affaires judiciaires dans lesquelles il a traîné: extorsion, vol avec effraction, port d’une arme de sixième catégorie… Un parfait " grand frère " pour Adama qui affiche, lui, pas moins de dix-sept procédures à son compteur. On ignore si les Traoré sont forts en maths, mais ils ont déjà donné du fil à retordre aux statisticiens du commissariat de Beaumont-sur-Oise.

    Pour en revenir aux émeutes, la poussière déborde sérieusement du tapis et Le Parisien ne peut que constater les dégâts:

    "Douze gendarmes et un policier avaient été blessés par des tirs qui visaient le plus souvent les visages selon les éléments de l’enquête. Ils avaient été touchés malgré le port des gilets pare-balles et des casques. Signe de la violence des affrontements, un fourgon de gendarmerie, parmi ceux visés par les tirs, présentait environ 400 impacts de plombs. Trente-huit gendarmes ont déposé plainte pour tentative d’homicide".

    Quatre suspects ont déjà été mis en examen et incarcérés. Bien qu’activiste central dans ces débordements, Bagui n’est qu’un nom de plus sur la liste, probablement non exhaustive.

    Les merdias semblent avoir du mal à prendre en considération toutes les données de l’affaire. Il faut avouer que, comme avec Théo, elle prend une tournure pas très " vivre-ensemble ". Plus de tribune accordée à Assa Traoré dans Médiapart, quelle tristesse !

    Pourtant, la jeune femme a des choses à dire. Elle accuse la Justice de vouloir " étouffer l’affaire " et dénonce un " acharnement " à l’endroit de sa famille.

    http://www.lemonde.fr/police-justice/article/2017/02/28/un-frere-d-adama-traore-en-garde-a-vue-soupconne-d-avoir-tire-sur-des-gendarmes_5087100_1653578.html

    Il est vrai que ses amis de Beaumont se sont limités, grands sages, à un demi-millier de coups de feu contre les forces de l’ordre.

    Le comité de soutien de la famille a annoncé de nouveaux débordements, pardon une nouvelle mobilisation samedi. Gageons que cette fois encore, les " djeun’s " sauront faire montre de leur profonde humanité… en toute parcimonie.

    http://resistancerepublicaine.eu/2017/03/01/theo-adama-blagui-netaient-pas-des-heros-mais-des-delinquants-choc-pour-la-bobosphere/

  • La retraite d'un sénateur?

    La retraite d’un sénateur au terme d’un seul mandat de 6 ans: 1 932 euros bruts par mois

    On croyait tout savoir du manque d'exemplarité des 348 sénateurs et de leurs privilèges monarchiques: 6 000 euros mensuels de frais "remboursés" sans justificatif, super-retraites, absentéisme endémique... L'auteur révèle les privilèges fiscaux que se sont octroyés légalement ces princes de la République et le vaste système de triche qui permet à une partie d'entre eux, les "intouchables", de ne rien faire ou presque... Extrait de "Le Sénat - Un Paradis pour des parlementaires fantômes", d'Yvan Stefanovitch, aux éditions du Rocher 2/2

    Dans Enquête sur les super-privilégiés de la République, nous avions publié l’étude du régime de retraite des sénateurs par l’association Sauvegarde Retraites, qui entend promouvoir l’équité entre la retraite des salariés du privé et celle des autres actifs (fonctionnaires, ressortissants des régimes spéciaux…). Ce travail soulignait le " rendement hors norme " du régime du Sénat: compte tenu de l’espérance de vie et de son âge de départ en retraite (67,5 ans), un sénateur " moyen " percevra, avant son décès, 4,90 euros de pension pour chaque euro cotisé pendant sa carrière – contre 1 euro de pension environ pour un salarié du privé et 2 pour un fonctionnaire.

    Un ex-sénateur ayant effectué un unique mandat de six ans empoche 1 932 euros de retraite mensuelle bruts. Soit, explique Sauvegarde Retraites, " 30% de plus que la retraite moyenne d’un salarié du privé après une carrière complète ". Seule condition, presque toujours remplie: avoir cotisé double, comme tout sénateur en a la possibilité pendant ses quinze premières années dans la " maison " (480  euros de cotisation "  salariale  " par mois). Cette cotisation double est aujourd’hui interdite. La réversion (retraite de veuf et veuve d’élus) est aussi bien plus favorable que dans le régime général, soit un taux de " réversion " de 66 % de la pension d’un sénateur contre 50 % dans la fonction publique et 54 % dans le privé. Enfin, " les plus vernis étaient les sénateurs issus de la fonction publique (39 % de l’Hémicycle) ", écrit Sauvegarde Retraites. Ils pouvaient continuer à cotiser 7,85  % du salaire qu’ils auraient touché dans leur administration d’origine, l’État ajoutant 60,14 % comme pour tous ses agents. Au final, ils cumulaient donc retraite pleine de fonctionnaire et retraite de sénateur, sans plafond. Aujourd’hui, c’est également interdit depuis quelques années.

    La pension mensuelle moyenne nette de retraite d’un sénateur, hors les 10 % de majorations pour enfants, était en juin 2015 d’environ 4 512 euros. L’âge auquel les sénateurs peuvent prétendre au versement de leur retraite est passé progressivement de 60 ans, pour ceux nés avant 1951, à 62 ans, pour les autres nés à compter de 1955. La durée de la cotisation a été relevée à 41 ans.

    Cette apparente générosité n’empêche pas la caisse des sénateurs d’afficher une belle santé financière. Et ce, malgré la mauvaise situation démographique de ses ressortissants: 1,7 pensionné pour 1 cotisant (contre 1 retraité pour 1,4 actif dans le régime général). Par quel miracle? Un soutien massif des contribuables? Pas vraiment: la cotisation " employeur ", versée par le Sénat, représente 2,4 fois la cotisation " salariale " des sénateurs. C’est plus que dans le privé mais nettement moins que dans la fonction publique ou tout autre régime spécial (pour les députés, le contribuable verse 7 fois plus que les élus eux-mêmes !).

    http://www.atlantico.fr/decryptage/retraite-senateur-au-terme-seul-mandat-6-ans-1-932-euros-bruts-mois-senat-paradis-pour-parlementaires-fantomes-yvan-stefanovitch-2717960.html#olHlOFb7RoErAUoY.99