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occitanie - Page 71

  • L'hyper-folle!

    Pour plaire aux LGBT, Emmanuelle Béart ose trahir l’œuvre de son père

    "Qu’on est bien dans les bras d’une personne du sexe opposé": on n’a plus le droit de chanter ça!

    C’est certainement offensant pour les minorités LGBT. Emmanuelle Béart s’en est avisée.

    Guy Béart était chanteur. Il était aussi un lamentable hétérosexuel. En vertu de quoi il a fabriqué une fille: Emmanuelle Béart. Pas sûr qu’elle lui en soit reconnaissante.

    On connaît sa chanson la plus célèbre: " Qu’on est bien dans les bras d’une personne du sexe opposé ". Il fut un temps où elle ne posait pas de problème. Un homme avait le droit d’aimer une femme. Et une femme pouvait prendre un homme dans ses bras.

    Cette triste et scandaleuse époque est révolue. Emmanuelle Béart est de son temps. Elle vient de sortit un album en modifiant les paroles de la chanson de son père. Et ça donne: " Qu’on est bien dans les bras d’un genre qui vous va". Et aussi: "qu’on est bien dans les bras d’un genre désiré". Ça  a une autre gueule que de vanter les tristes étreintes entre un homme et une femme.

    Sur cette voie progressiste, il y a encore du chemin à faire. Le misérable Brassens chantait "quand je pense à Fernande je bande". Fernande sera remplacée par Fernand qui fera bander encore plus. Et Pénélope la salope "qui se vautrait nue sous le premier venu" sera, elle, interdite.

    D’autres possibilités s’offrent également à nous. Nombre d’œuvres littéraires étant désormais dans le domaine public, on aura toute liberté pour les changer.

    La belle Desdémone deviendra le beau Desdémon. La Juliette de Roméo disparaîtra au bénéfice d’un charmant Julien. La Loreleï d’Apollinaire cèdera la place à Le Loreleï qui attirera les hommes encore plus. Au lieu d’être amoureux de Mathilde de La Mole, Julien Sorel tombera sous le charme de Thibault de La Mole.

    Dans un souci œcuménique, j’ai sélectionné deux chansons qui plairont à tout le monde et auront sans doute l’imprimatur d’Emmanuelle Béart. " Mon petit cul " d’Anne Léonard: c’est ouvert à tous. "Par devant, par derrière" de Marie Josée Neuville: tous les goûts sont respectés.

    Benoît Rayski

    C'est ici:

     

    Emmanuelle Béart, après avoir dit pis que pendre de son père et l’avoir accusé de tous les maux, est bien contente de retrouver les chansons de papa pour relancer sa carrière.

    Pas sûr -d’ailleurs- qu’elle assure avec la même classe que lui.

    Déjà, en changeant les paroles des chansons, elle le trahit et montre qu’elle doit avoir sacrément besoin d’argent.

     

     

  • Une agression gratuite toutes les 44 secondes!

    DRAMATIQUE!

    Enquête Insee 2018:

    Face à la violence gratuite, qui fait 2 000 victimes par jour et dont Macron et Darmanin se foutent éperdument, les Français abandonnés par l’État et  la justice n’ont d’autre choix que de raser les murs ou risquer la mort.

    Une étude de l’Insee de 2018 indiquait une violence gratuite toutes les 44 secondes, soit  2 000 agressions quotidiennes.

    Frapper par haine et par cruauté, tel un barbare, une violence sauvage qui mène souvent à la mort, que l’État a toujours minimisée et que les médias occultent massivement.

    Suite ici:

  • Une histoire de cul... dans les années 2020

    Affaire Darmanin-Spatz: une histoire de cul devient un viol par surprise consenti! (sic)

    Nouvelle proie pour Caroline de Haas, un ministre! Encore des plateaux télé, excellent pour le business!

    Je n’aime pas beaucoup Darmanin. Un traître, un arriviste, un type qui revendique ses origines outre-méditerranéennes – grand-père tirailleur algérien – pour que l’on joigne sa silhouette de petit carnivore à la diversité.

    Mais j’aime encore moins les féministes totalitaires dont de Haas est plus qu’une caricature. Repoussoir, monstre à cauchemars, déglinguée du suprématisme femelle, “élargisseuse” de trottoirs à ses heures perdues pour que la racaille –qu’il faut nommer “diversité”– ait moins la tentation de violer nos compagnes, elle tient maintenant le rôle de coach dans une ténébreuse histoire de cul.

    Résumons: une ancienne call-girl, – en français d’hier, celui avant que les féministes ne le réduisent en novlangue: une prostituée – aurait pris contact, en 2009, avec Darmanin alors jeune chargé de mission au service des affaires juridiques de l’UMP, autant dire un politicard avec l’envergure d’un moineau désailé.

    La call-girl, Sophie Spatz, née Olga Patterson, condamnée en 2004 à 10 mois de prison avec sursis et 15 000 euros de dommages et intérêts pour harcèlement et chantage envers son ex pour récupérer de l’argent qu’il lui aurait volé, se rapproche de Darmanin, pour qu’il l’aide à nettoyer un casier judiciaire un peu trop odorant.

    Contre la promesse d’écrire au Ministre de la Justice pour qu’il examine le dossier de Mademoiselle Spatz, Darmanin obtient quelques faveurs de celle qu’il est difficile de qualifier “d’oie blanche”. Petite virée aux Chandelles, club libertin, escale dans un hôtel pour une séance de gym en chambre.

    Entre 2009 et 2012, Spatz et Darmanin échangent des SMS d’une grande qualité littéraire. Devant le peu d’avancement de son cas, Sophie Spatz envoie: "Quand on sait l’effort qu’il m’a fallu pour baiser avec toi! Pour t’occuper de mon dossier."

    Darmanin, ou l’homme dont le numéro correspond à celui qui est aujourd’hui ministre, répond: "Tu as raison je suis sans doute un sale con. Comment me faire pardonner?"

    Mais malgré une lettre au garde des Sceaux d’alors, Michèle Alliot-Marie, dont Darmanin fait parvenir la copie par courriel à sa petite affaire d’un soir, la jeune femme ne s’apaise pas. Elle dénonce les “pratiques” du “tire ailleurs” à Jean-François Copé. Le groupe UMP "l’invite à intenter une action en justice", ce que l’ex-call-girl ne fait pas.

    En apprenant l’arrivée de Darmanin au gouvernement, madame Spatz reprend du poil de la bébête qui monte. Elle veut la peau (de zob ?) du ministre. Pierre Spatz envoie un courrier à François Bayrou, garde des Sceaux qui fit fiasco, accusant Darmanin d’avoir abusé de sa femme. Le dossier est transmis au procureur et plainte est déposée.

    Convoquée au commissariat, Sophie Spatz-Patterson ne s’y rend pas. Air connu: elle avait peur. Et les policiers sont si sexistes…

    Et là, Caroline de Haas, tout à sa guerre des sexes (qui finira par avoir lieu – à moins que les féministes ne l’ait déjà gagnée) intervient. Elle contacte le mari de Sophie Spatz et une avocate spécialisée dans les affaires d’agressions sexuelles, Elodie Tuaillon-Hibon. Cette dernière, s’appuyant sur la notion de consentement, estime que les faits pourraient être qualifiés de viol "par surprise".

    L’avocate Elodie Tuaillon-Hibon, inventeuse du fumeux concept du viol par surprise consenti…

    La machine à “foutre en l’air” (si j’ose!) est en marche.

     

    Darmanin va-t-il être le premier à être la cible de ce que l’ectoplasmique “défenseur des droits”, Jacques Toubon, aimerait mettre en place: la fin de la charge de la preuve pour l’accusation ?

    En tout cas, c’est ce que font les féministes depuis quelques mois sur tous les médias.

    Comme, aux dernières nouvelles, il n’y avait pas de témoin dans la chambre d’hôtel, pourquoi une femme déjà condamnée une fois pour chantage serait-elle plus crédible que Darmanin ?

    Dans le lynchage médiatico-féministe de Darmanin, nous n’avons pas pour l’instant le côté amusant des dénonciations américaines.

    Une des dernières en date est celle d’une photographe de 23 ans qui lapide sur le site féministe Babe.net, l’humoriste et acteur Aziz Ansari, dans un article intitulé "J’ai eu un rencard avec Aziz Ansari. C’est devenu la pire soirée de ma vie".

    Venue discuter appareils photos (vitesse d’ouverture du diaphragme, longueur du zoom, je te montre le mien, montre-moi le tien) avec Ansari, après un verre, la photographe monte dans l’appartement de l’acteur.

    Et nous avons une description de la relation: ils s’embrassent, tripotage, sexe oral consentant, lui sur elle, elle sur lui. Mais attention en silence. "J’ai exprimé mon inconfort (…). J’ai arrêté de bouger mes lèvres et je me suis figée", témoigne la donzelle.

    Et après une ultime fellation, le couple d’un soir se sépare.

    Et soudain très déprimée, l’adolescente photographe – une étude britannique nous a appris que maintenant, on est ado entre 10 et 24 ans – accuse maintenant son partenaire d’avoir ignoré ses "signaux non-verbaux clairs" de refus d’une relation.

    Reste à Darmanin à lire ses exploits dans les journaux mainstream, à faire acte de repentance, à adhérer à une organisation féministe, à demander une cure de désintoxication sexuelle et à suivre les conseils de Samantha Bee, qui dans son talk show, a lancé à Ansari: "Si tu dis que tu es féministe, alors baise comme un féministe." Je ne sais pas si elle a ensuite fourni le mode d’emploi.

    Comment ne pas comprendre avec Nietzsche que nous sommes entrés dans l’ère des derniers des hommes, ceux de la modernité, hommes faibles, désarmés, châtrés, hommes dont la sexualité sous les coups de reins médiatiques des féministes est en involution.

    En espérant que le prochain surhomme, le prochain héros de ses dames après Superman, Spiderman, Batman ne soit pas Musulman.

    Marcus Graven

    C'est ici:

  • Le vendu vs traître à la France Éternelle

     Macron à Abou Dhabi: “Nos religions sont liées, nos civilisations sont liées, et ceux qui veulent faire croire que l’islam se construit en détruisant les autres religions sont des menteurs et vous trahissent“.

    C'est çui qui dit, qui est!

    Pas une demi-seconde je crois que ce type va supprimer l'islam politique et/ou radical en France!

     

  • L'enfer est -toujours- pavé de bonnes intentions

    Les criminels de SOS Méditerranée menacés de mort par les migrants recueillis !

    Vendredi 3 juillet, par un communiqué pathétique et révélateur de son irresponsabilité, l’ONG criminelle SOS Méditerranée nous informe que son navire négrier, l’Ocean Viking, a été déclaré en état d’urgence suite à une violente mutinerie de sa cargaison humaine.

    Ce que nous dit ce communiqué de déclaration d’état d’urgence.

        Cette étape inédite a été provoquée par la détérioration rapide de l’état psychique d’une quarantaine de migrants sur les 180 à bord,

        Multiples tentatives de suicide, personnes en crise de démence se jetant par-dessus bord, tentative de suicide par pendaison,

        Multiples bagarres,

        Menaces de mort et agressions de membres de l’équipage,

        État d’urgence déclaré à bord.

     

    etat-d-urgence-sur-l-ocean-viking-en-proie-a-des-troubles-securitaires-03-07-2020-2382956_24.php

     

    La presse nous en dit plus. Le magasine Le Point  nous révèle ce que ne dit pas SOS Méditerranée; à savoir, une situation extrêmement tendue, des bagarres entre groupes ethniques ainsi que la peur panique de l’équipage. Il cite notamment la déclaration de l’un des membres de l’équipage qui déclare ne pas se sentir en sécurité; alors que le responsable des opérations à bord parle de situation très inquiétante et de risque de mort.

    A lire:

    Une situation à bord analogue à celle que vivent à terre et à grande échelle les Européens chez qui sont déversées ces cargaisons. Cette ONG irresponsable est en train de vivre à ses dépens et de son seul fait exactement la même situation que celle qu’elle impose aux populations européennes non consentantes.

    Il n’est que de voir la litanie quotidienne, partout en Europe, des coups de folie meurtrière des migrants que nous imposent ces ONG: attaques meurtrières au couteau, meurtres barbares, violences de tous ordres, viols de femmes, d’hommes, d’enfants, attaques d’une barbarie invraisemblable, actes de cruauté inouïs sur des personnes et sur des animaux, vols, trafics, rébellions, incivilités de toutes sortes, vindicte incessante, demandes de droits extravagantes, caprices de toutes natures, exigences indues notamment liées à leur religion, mais aussi à leurs mœurs incompatibles avec les nôtres…

    Bref, l’équipage irresponsable de l’Ocean Viking est en train de vivre à son bord et à son échelle réduite ce qu’il nous fait vivre à grande échelle depuis des années; et qu’il s’acharne à reproduire, toujours plus, encore et encore.

    État d’urgence, double standard. À la différence de celui que nous subissons depuis des années contre notre volonté, l’état d’urgence à bord de ce navire ne résulte que des propres turpitudes de cette ONG. Car, bien que la dénonciation en soit brutalement censurée, c’est bien un état d’urgence permanent que vivent les populations européennes qui subissent cet épandage continu de millions d’allogènes dont elles ne veulent pas. À cet égard, il est intéressant de noter que cette ONG en panique devant les conséquences directes de ses actes parle d’état d’urgence quand elle est la victime des migrants qu’elle importe, mais de devoir humanitaire et de chances pour nos pays quand elle nous les impose.

    Double langage, double standard. Si nous invoquons un état d’urgence sécuritaire face à la submersion migratoire que ces ONG nous imposent, nous sommes traités de racistes, poursuivis et condamnés.

    Si ces ONG évoquent un état d’urgence face à la barbarie soudaine de leurs protégés, elles nous taxent encore de racisme parce que les ports européens refusent le débarquement de ces cargaisons. Double langage, double standard: état d’urgence justifié pour les ONG en panique, état d’urgence interdit car raciste pour les populations européennes submergées.

    La réalité c’est que nos peuples sont objectivement en état d’urgence permanent face à la submersion migratoire et aux violences qu’elle importe dans nos sociétés.

    Détérioration de l’état psychique. C’est le communiqué même de cette ONG qui en fait état: probablement à juste titre. Car en effet, la promesse irresponsable d’un Eldorado qui n’existe pas et d’une obligation d’accueil que nos sociétés ne peuvent pas et ne veulent pas assumer conduisent obligatoirement à une frustration génératrice de graves troubles psychiques sur des populations déjà fragilisées.

    En effet, même s’il est consenti, le déracinement, l’éloignement des migrants de leurs familles, l’angoisse du voyage, le prix à payer qui endette lourdement les familles, et surtout la violence et les souffrances d’un voyage qui dure des mois, voire des années, pour arriver sur les côtes de Libye; tous ces éléments fragilisent les personnes et les rendent vulnérables à la dépression, aux crises d’angoisse, à la démence; et donc à la violence et à l’expression incontrôlée de leur barbarie. C’est vrai sur le bateau, c’est encore plus vrai une fois à terre.

    Oui la migration voulue par les mondialistes est une violence faite aux populations déracinées.

    Oui la migration voulue par les mondialistes est une souffrance pour les populations européennes submergées.

    Non, nous ne voulons pas de ces gens dont la culture, les mœurs, la religion et l’état psychique dégradé sont incompatibles avec nos sociétés trop fragilisées par leur sophistication, par leur niveau de civilisation et de complexité.

    Il n’y a pas de naufrage, pas de rescapés, que des naufrageurs et des escrocs au droit maritime. Un naufrage est une catastrophe maritime due à un élément aléatoire et accidentel. Or, dans ces faux naufrages, il n’y a rien d’accidentel, tout est provoqué. Il n’y a rien d’aléatoire dans ces mises en scène provoquées par des irresponsables qui poussent ces malheureux à se jeter à l’eau dans des conditions aussi précaires.

    Non, les ONG naufrageuses ne peuvent pas nous opposer le droit maritime et exiger le débarquement des migrants dans les ports européens. En droit maritime la baraterie ou fait de provoquer un faux naufrage au détriment de toute personne intéressée est une infraction pénale. Ici la baraterie est provoquée par les ONG au détriment des peuples d’Europe auxquels sont imposées des cargaisons humaines en infraction du droit maritime.

    SOS Méditerranée coupable de crime contre l’humanité. La définition du crime contre l’humanité est nécessairement évolutive tant le génie des criminels est immense. Cependant, l’article 7 du statut de la CPI en donne une définition ouverte.

    Entre autres, les éléments constitutifs peuvent être les suivants:

        la réduction en esclavage,

        la déportation ou le transfert forcé de population,

        la torture,

        le viol, l’esclavage sexuel, la prostitution forcée, la grossesse forcée, la stérilisation forcée ou toute autre forme de violence sexuelle de gravité comparable,

        la persécution de tout groupe ou de toute collectivité identifiable pour des motifs d’ordre politique, racial, national, ethnique, culturel, religieux ou sexiste, ou en fonction d’autres critères universellement reconnus comme inadmissibles en droit international, en corrélation avec tout acte visé dans le présent paragraphe ou tout crime relevant de la compétence de la Cour,

        la disparition forcée de personnes,

        d’autres actes inhumains de caractère analogue causant intentionnellement de grandes souffrances ou des atteintes graves à l’intégrité physique ou à la santé physique ou mentale.

    De leur propre et pitoyable aveu, les ONG en mer créent les conditions de souffrances psychiques graves qui se traduisent par des atteintes à l’intégrité mentale et physique. 

    Par ailleurs, elles assurent la phase finale de la migration en liaison et en coresponsabilité avec les passeurs et avec tous les acteurs en amont de la migration. Au bout du voyage, elles prétendent garantir aux migrants le débarquement dans les ports européens.

    Elles sont donc à l’initiation de la migration par la promesse de l’Eldorado et à sa conclusion par l’opération finale de transport vers l’Europe. Par conséquent, elles sont solidairement responsables de tout ce qui s’est passé lors de la migration, entre le point de départ et le point d’arrivée. Sans ONG en mer, pas de promesse d’Eldorado, pas de décision de départ, pas de migrations à travers le désert vers la Libye, pas de passeurs, pas de traite négrière, pas d’éléments constitutifs du crime contre l’humanité.

    Par ailleurs, l’élément intentionnel pourra être retenu contre les ONG en mer;  notamment au regard de leur parfaite connaissance en temps réel des disparitions en mer qu’elles ont vues, filmées et médiatisées, et néanmoins persisté à provoquer en créant un faux espoir, une fausse garantie et en incitant ces malheureux à prendre tous les risques pour se jeter à l’eau.

    Oui, SOS Méditerranée et toutes les ONG qui provoquent de faux naufrages en mer sont toutes coupables et coresponsables du crime contre l’humanité que constituent globalement l’exploitation et la traite négrière des migrants à travers l’Afrique. Elles sont comptables des morts en mer. Un jour ou l’autre leur responsabilité pénale devra être recherchée devant les tribunaux internationaux.

    En attendant, les pouvoirs publics européens doivent mettre immédiatement un terme à leurs activités criminelles en mer.

    Martin Moisan

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