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France: la dette invisible des 3.200 milliards d’euros du “hors-bilan” que rien n’arrête…
Les derniers “coups de pouce” annoncés par le gouvernement sont pointés du doigt comme étant des “cadeaux” qui vont un peu plus creuser la dette publique. Sauf qu’une autre dette, bien plus imposante que l’officielle, continue à croître bien loin des radars de l’opposition.
C’est le même rituel à chaque fois que l’exécutif décide d’engager des dépenses supplémentaires, vues comme des “cadeaux” par ses opposants (comme actuellement pour les enseignants, les instituteurs ou les élus municipaux): le rappel du montant de la dette. Avec en sus, une petite tape sur les doigts de la part de Bruxelles, qui appelle la France à ne pas creuser un peu plus sa dette publique. Qui s’élève approximativement, en ce milieu d’année 2016, à 2.100 milliards d’euros, et commence à se rapprocher de la barre symbolique des 100% du PIB.
Problème: il existe un autre type de dette, qui n’apparaît pas dans les chiffres officiels communiqués pour connaître l’Etat du budget français, et dont le passif ferait tourner de l‘œil ceux qui s’inquiète déjà du chiffre de 2.100 milliards.
Le “hors-bilan”, comme son nom l’indique, représente l‘ensemble des engagements futurs de l’Etat, c’est-à-dire soit les dépenses déjà prévues au-delà de l’année en cours, soit de sommes que l’Etat s’engage à payer si un autre acteur, dont il est caution, devient défaillant. En France, en 2016, le montant du “hors-bilan” atteint approximativement le chiffre de 3.200 milliards d’euros. Plus de 1.000 milliards de plus donc que ce déficit qui fait tant couler d’encre, et sur lequel les futurs programmes politiques seront sommés de se positionner.
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L’affaire Benzema : Foot et Grand Remplacement
Chronique de Paysan Savoyard
L’affaire Benzema : le foot, illustration tangible du Grand Remplacement
Karim Benzema a déclaré que D. Deschamps ne l’avait pas sélectionné parce qu’il avait cédé à la partie raciste de la France. J. Debbouze a ajouté qu’il trouvait anormal qu’il n’y ait aucun maghrébin dans l’équipe de France. E. Cantona, dans le rôle du « dhimmi » islamo-gauchiste, a estimé que si D. Deschamps n’avait pas sélectionné de maghrébin, c’était peut-être « parce que personne dans sa famille n’est mélangé avec quelqu’un, comme les Mormons d’Amérique ». Cette affaire Benzema et l’évolution du football de façon plus générale, offrent une illustration parlante de ce qui est en train de se produire en France et en Europe.
-L’immigration se traduit par le communautarisme.
Elle ne débouche pas sur l’intégration, encore moins sur l’assimilation : dans une société multiculturelle et multiraciale, chacun raisonne en fonction d’une logique communautaire. Cette société communautarisée est nécessairement conflictuelle, chaque communauté cherchant à prendre le pas sur les autres. L’évolution du football en France et en Europe illustre cette situation.
On peut ainsi constater que la plupart des joueurs Français issus de l’immigration ne chantent pas la Marseillaise. Il en est de même en Allemagne, où les trois joueurs immigrés (Boateng, Ozil et Khédira) ne chantent pas l’hymne national. De même les supporteurs Français d’origine immigrée montrent qu’ils ne se sentent pas membres de la communauté nationale : ils supportent les équipes de leur pays d’origine, en arborent les drapeaux et les maillots ; lors des matches France-Algérie, les supporteurs Français d’origine algérienne sifflent l’hymne national.
Les joueurs Français manifestent également leur différence religieuse. F. Ribéry fait un signe d’appartenance à l’islam, auquel il est converti, en entrant sur le terrain. Anelka et Benzema arborent une barbe d’aspect manifestement islamiste. Les joueurs musulmans ont obtenu que la nourriture servie soit halal (selon ce que l’on a compris, même les joueurs non musulmans sont conduits à manger halal).
-Le football illustre le Grand Remplacement qui est à l’œuvre.
Les Blancs sont désormais en minorité dans les équipes de France de football (équipe première et espoirs) ; dans la plupart des équipes de clubs aux différents niveaux ; dans plusieurs autres sports collectifs.
Les jeunes de souche européenne en effet fuient les clubs de football : parce qu’ils y sont minoritaires ; parce que l’islam y occupe une place croissante ; parce qu’ils n’ont pas l’habitude des rapports de force que leur imposent les joueurs d’origine immigrés.
Le football illustre également le fait que les Blancs sont la cible de l’hostilité des personnes d’origine immigrée. Ils sont insultés et méprisés. Lors de la coupe du Monde en Afrique du Sud, il semble que le sélectionneur R. Domenech ait été traité de « fils de pute » par N. Anelka. Le joueur du PSG S. Aurier a qualifié l’entraîneur L. Blanc de « fiotte » sur les réseaux sociaux. On a cru comprendre également qu’en Afrique du Sud, J. Gourcuff avait été mis à l’écart car trop représentatif du joueur Français et Blanc.
Ces jours-ci, alors même que les Blancs sont depuis longtemps minoritaires en équipe de France, les responsables Français du football sont pourtant accusés de racisme pour ne pas avoir sélectionné de maghrébin.
-Une partie de la société française appuie les revendications des immigrés
C’est le troisième constat que le football permet d’illustrer. La classe dirigeante Française prend le plus souvent le parti des immigrés et de leurs revendications. A l’occasion de l’affaire Benzema, on voit ainsi différents intellectuels expliquer que le communautarisme et l’esprit vindicatif des immigrés, dans le football comme ailleurs, sont une réaction au comportement de la société française à leur égard. Les immigrés étant victimes du racisme, des discriminations et des difficultés sociales, leur susceptibilité et leur agressivité seraient compréhensibles.
Dans le même registre anti-Français un certain nombre de commentateurs expliquent que le nombre important d’immigrés en équipe de France prouve leur supériorité sportive. L’explication ne repose pourtant sur rien de tangible : l’Italie championne du monde en 2006 ne comprenait aucun immigré ; l’Espagne vainqueur en 2010 idem. Les immigrés n’étaient que trois dans l’équipe d’Allemagne championne en 2014.
https://leblogdepaysansavoyard.
1) une serveuse dans un bar, musulmane se fait insulter
2) Deux jours plus tard, un abruti vient lui donner un coup de poing dans le visage alors qu'elle prend une pose devant la porte du bar (filmé par la vidéo)
3) l'agresseur est retrouvé, lire ci-après: on tombe des nues!
Ramadan à Nice: l’agresseur de la serveuse est un clandestin
[...] Selon nos informations, l’agresseur est un habitué des lieux et consommait régulièrement de l’alcool dans ce bar quelques jours avant le début du Ramadan. Ce dernier a été identifié et est déjà connu des services de police pour des infractions à la législation sur les étrangers et pour port d’arme prohibé.
Le Parisien
1) Deux hommes attablés un peu plus loin se sont mis à insulter et menacer la serveuse avant de faire semblant de quitter le bar.
2) L’un d’entre eux est ensuite revenu et a frappé la jeune femme à l’arcade sourcilière, lui causant un gros hématome. [...]
Selon le patron de l’établissement, les deux individus avaient déjà essayé trois jours avant de le dissuader de servir de l’alcool durant tout le mois du ramadan.
3) L’un des hommes serait un étranger en situation irrégulière bien connu dans le quartier. [...]
La Dépêche
Cet incident a suscité de multiples réactions politiques. Le propriétaire de l’établissement a confirmé une information de Nice-Matin. Cette serveuse, qui présente un hématome important à l’arcade sourcilière, a porté plainte pour agression, de même que le propriétaire de l’établissement, qui a également porté plainte pour menaces, les mêmes individus ayant déjà tenté, trois jours auparavant, de le dissuader de vendre des boissons alcoolisées pendant le mois de jeûne. Une enquête est en cours et a été confiée à la sûreté départementale des Alpes-Maritimes.
Matelas en feu, bouteilles de gaz, les techniques des migrants pour arrêter les camions à Calais (VIDÉO) sur le site
Une vidéo que nous nous sommes procurée montre des individus en train de poser un barrage enflammé sur la rocade portuaire de Calais. Prise il y a une dizaine de jours, elle témoigne des nouvelles techniques, particulièrement dangereuses, employées par les migrants qui tentent de prendre d’assaut les camions en partance pour l’Angleterre sur la rocade portuaire de Calais: ils enflamment leurs barrages, n’hésitant pas à faire exploser des bouteilles de gaz, obligeant les poids lourds à s’arrêter.
La scène a été filmée il y a une dizaine de jours.
La vidéo, qui dure 1’14’’, montre une partie de la rocade portuaire qui relie l’A16 au port de Calais. Elle est prise sur une partie sécurisée par une double rangée de clôtures, dont une surmontée de barbelés (l’autre partie de la rocade est en cours en cours de sécurisation ). Les grilles ont été découpées auparavant, permettant de se frayer un passage. Durant les premières secondes, on peut voir trois ou quatre individus: deux sont positionnés entre les deux rangées de grilles, les autres sont plus en retrait. Tous semblent faire le guet tandis que de l’autre côté de la barrière, le long de la glissière de sécurité de la rocade, on aperçoit un matelas blanc posé au sol.
Les individus s’accroupissent. L’un d’eux, le plus à l’avant et qui semble diriger l’opération, franchit alors la grille pour mettre le feu au matelas. Deux autres individus le suivent, dont un qui porte une bouteille de gaz: ils saisissent le matelas enflammé et le jettent sur la chaussée, de l’autre côté de la glissière de sécurité. Puis tout s’enchaîne: les trois hommes balancent rapidement divers matériaux – ce qui semble être un chariot, de grosses branches d’arbres, ainsi que la bouteille de gaz qui roule vers le matelas – sur les voies. Tandis qu’une voiture passe sur la voie de gauche, en évitant le barrage, ils décalent le matelas pour qu’il bloque aussi cette voie. L’un des individus ressaisit cette bouteille pour la placer juste devant le barrage en feu, puis tous repassent les deux grilles pour se cacher dans les buissons, en retrait. La vidéo s’arrête là.
Cette technique consistant à enflammer les barrages, en utilisant au besoin des bouteilles de gaz, est utilisée depuis début mai environ. Auparavant, les assauts sur la rocade se limitaient à la pose de barrages contenant divers matériaux (branchages, pneus, ballots de paille, caddies), que certains chauffeurs routiers n’hésitaient pas à percuter de plein fouet pour continuer leur route vers le port. D’après le député PS Yann Capet, qui a passé la nuit de mercredi à jeudi sur la rocade, une autre technique est désormais utilisée: elle consiste à poser de grosses pierres sur les voies, à proximité du port. Une zone qui, jusqu’ici, était préservée des barrages de migrants. Pour rappel, cette nuit a été marquée par de nombreux incidents sur la rocade: cinq migrants ont été blessés, ainsi qu’un CRS qui a reçu un projectile à la tête.
http://www.lavoixdunord.fr/region/matelas-en-feu-bouteilles-de-gaz-les-techniques-des-ia33b48581n3561511