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J'ai reçu cela! s'ils savaient que je déteste toute cette gauchiasse....
J'ai une poésie, de Jean de La Fontaine (Le chat et les rats) me semble-t-il qui me revient en mémoire:
J'ai maint conciles vu
Qui pour néant se sont ainsi tenus....
Les guguss du gouvernement:
ça parle, ça parle... le temps passe.. rien ne va... regardez les infos...
Et puis, je veux aussi dire,
A tous les gendarmes et à toutes les polices:
84% des Français vous aiment!
Moi aussi!
RESPECT
Le 17/05/2016 à 19:13, ORGANISATION PRESSE a écrit :
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> PRÉSIDENCE
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> DE LA
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> RÉPUBLIQUE
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> Service de presse
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> Paris, le 17 mai 2016
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> NOTE AUX REDACTIONS
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> Le Président de la République, François HOLLANDE, présidera la Conférence nationale du Handicap, qui se tiendra le jeudi 19 mai 2016 au Palais de l’Elysée, en présence de Mme Najat VALLAUD-BELKACEM, ministre de l’Education nationale,
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> de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, Mme Marisol TOURAINE, ministre des Affaires sociales et de la Santé, Mme Myriam EL KHOMRI, ministre du Travail, de l'Emploi, de la Formation professionnelle et du Dialogue social,
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> Mme Emmanuelle COSSE, ministre du Logement et de l'Habitat durable et Mme Ségolène NEUVILLE, secrétaire d’Etat chargée des Personnes handicapées et de la Lutte contre l'exclusion.
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> Programme prévisionnel
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> 9h00 Ouverture de la Conférence par Marisol TOURAINE et Ségolène NEUVILLE.
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> Pool image et presse accréditée
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> 9h20 Interview de Marie-Sophie DESAULLE, chargée du projet « Une réponse accompagnée pour tous » par Etienne PETITMENGIN, modérateur et secrétaire général du Comité interministériel du handicap.
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> Pool image et presse accréditée
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> 9h40 Tables rondes successives sur les thèmes suivants :
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> - Le logement accompagné ;
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> - L’emploi accompagné ;
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> - La scolarisation, l’enseignement supérieur et la formation tout le long de la vie.
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> Pool image et presse accréditée
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> 11h05 Visite du Président de la République de l’exposition valorisant les innovations liées au handicap.
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> Pool image
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> 11h25 Table ronde finale en présence du Président de la République.
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> Pool image et presse accréditée
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> 12h00 Allocution du chef de l’Etat.
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> Pool image et presse accréditée
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> Merci de vous accréditer avant le mercredi 18 mai à 17h auprès de :
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> organisationpresse@elysee.fr
Des adolescents attaquent et mettent le feu chez une personne handicapée
Croissy-sur-Seine (78)
Deux adolescents de 15 ans ont été interpellés, dans la nuit de jeudi à vendredi à Croissy-sur-Seine, après une agression commise au domicile d’une personne handicapée. A 1 h 05, les jeunes hommes s’introduisent au domicile de la victime, placée sous tutelle.
Pour une raison encore obscure, ils aspergent l’appartement de White-spirit et mettent le feu dans la cuisine. La victime parvient à maîtriser les flammes en jetant un seau d’eau et prévient la police. Les adolescents sont interpellés alors qu’ils sont encore dans l’appartement. Ils ont été placés en garde à vue dans les locaux du commissariat de Saint-Germain-en-Laye.
Le Parisien
Plus de 20% de la population mondiale souffre d’allergie ou d’intolérance alimentaires. Une origine environnementale à ces réactions alimentaires secondaires est fortement suspectée. Dans ce contexte et pour la première fois, une équipe de chercheurs de l’Inra à Toulouse vient de montrer qu'une exposition périnatale à de faibles doses de Bisphénol A (BPA), considérées sans risque pour l'Homme, pouvait augmenter le risque de développer une intolérance alimentaire à l’âge adulte. Ces résultats appuient la décision des pouvoirs publics français qui ont interdit l'utilisation du BPA dans les contenants alimentaires destinés aux nourrissons dès 2013, et pour tous les emballages alimentaires en 2015.
L’exposition humaine aux perturbateurs endocriniens, en particulier celle au bisphénol A, est omniprésente dans notre quotidien. Les risques potentiels pour le consommateur de ce contaminant chimique issu majoritairement des emballages alimentaires ont fait l'objet de plusieurs rapports, parfois contradictoires, des agences sanitaires françaises et internationales au cours des cinq dernières années. L’Agence nationale de sécurité sanitaire de l'alimentation, de l'environnement et du travail (Anses) a publié en avril 2013 un avis sur le bisphénol A recommandant de limiter l'exposition à cette substance et de revoir à la baisse les seuils toxicologiques sur lesquels est basée l'évaluation du risque. L’Autorité européenne de sécurité des aliments (EFSA) a d'ailleurs, quelques mois plus tard, proposé d'appliquer au bisphénol A une valeur limite dix fois plus faible que celle jusque-là en vigueur, soit 5µg/kg poids corporel/jour.
Les chercheurs de l’unité de Toxicologie alimentaire (TOXALIM) de l’Inra à Toulouse ont démontré chez des rats qu’une exposition périnatale (in utero et pendant l’allaitement) au bisphénol A (BPA), à de faibles doses, a des conséquences sur le développement du système immunitaire et prédispose leur descendance à une intolérance alimentaire à l’âge adulte.
Dans leur étude, les chercheurs de l’Inra ont utilisé deux groupes de rates gestantes. Un groupe a reçu par voie orale une dose quotidienne de BPA, à 5 μg/kg de poids corporel, depuis la gestation jusqu’au sevrage des nouveau-nés à 21 jours. L’autre groupe (témoin) n’a pas reçu de BPA. Ce sont ensuite les nouveau-nés issus de ces deux groupes qui ont été étudiés. A l’âge adulte, soit à 45 jours, ces animaux ont été nourris avec de l’ovalbumine, une protéine du blanc d’œuf, qui ne figurait pas précédemment dans leur régime alimentaire. Les scientifiques ont alors observé une réaction immunitaire dirigée contre l'ovalbumine chez les animaux qui avaient été exposés au BPA au cours de leur développement. Les rats descendant du groupe témoin ont quant à eux développé une tolérance alimentaire vis-à-vis de l'ovalbumine, qui se traduit par une absence de réponse immunitaire. De plus, l’administration orale répétée de l’ovalbumine chez les rats exposés par leur mère au BPA a induit une inflammation du côlon de ces animaux, attestant d’une intolérance alimentaire.
Dans l’étude réalisée à l’Inra les chercheurs ont testé différentes doses (0,5, 5 et 50μg/kg poids corporel/ jour) et mis en évidence une relation non linéaire entre les doses de BPA et les effets indésirables observés. En particulier les perturbations les plus importantes ont été observées à la dose de 5μg/kg poids corporel/jour, c'est-à-dire à la dose considérée sans risque pour l'Homme par l'EFSA. Ces nouvelles données soulèvent la difficulté de fixer une dose journalière tolérable sûre pour le BPA.
Ces nouveaux résultats contribuent à caractériser les effets délétères du BPA sur le système immunitaire, à de faibles niveaux d'exposition, et à des âges auxquels l'individu est particulièrement vulnérable car immature : le fœtus et le nourrisson.
Ces résultats appuient la décision des pouvoirs publics français qui ont interdit l'utilisation du BPA dans les contenants alimentaires destinés aux nourrissons dès 2013, et pour tous les emballages alimentaires en 2015. Les approches mises en place pour étudier les effets du BPA sur le système immunitaire pourront être appliquées à d'autres perturbateurs endocriniens, en particulier aux substances candidates au remplacement du BPA pour les emballages alimentaires de nouvelle génération.
L'étude a été menée par des équipes de l’unité Toxicologie alimentaire (Toxalim) au centre Inra de Toulouse Midi-Pyrénées, et financée par le département " Alimentation humaine " de l’Inra et par l'Agence Nationale pour la Recherche, dans le cadre du projet PERINATOX coordonné par Eric Houdeau depuis 2010.
Référence
Menard, S., Guzylack-Piriou, L., Leveque, M., Braniste, V., Lencina,C., Naturel, M., Moussa, L., Sekkal, S., Harkat, C.,Gaultier, E., Theodorou, V., Houdeau, E. Food intolerance at adulthood after perinatal exposure to the endocrine disruptor bisphenol A. The FASEB Journal, August 2014. doi:10.1096/fj.14-255380
Toutes les informations des poisons toxiques en cuisine ici:
La liste des organismes français arrosés par Coca-Cola, que publie ce mois-ci l’ONG Foodwatch, laisse pantois.
Après plusieurs mois, l'ONG allemande Foodwatch a obtenu de Coca-Cola que la société donne le détail des sommes qu'elle a versées à des organismes, associations et sociétés entre 2010 et 2015.
On y trouve en bonne place l’Association française des diététiciens nutritionnistes (AFDN). Cet organisme qui se présente comme une "association référente de la profession", a empoché entre 2010 et 2015 pas moins de 117 764 euros de Coca-Cola au titre de "partenariat". On se demande quel type de partenariat une association qui a pour vocation de dire aux patients, au public, aux médecins ce que c’est que bien manger, peut conclure avec Coca-Cola. Quelle crédibilité lui accorder" ? Quels autres "sponsors" la gratifient de leurs largesses ?
Et la plongée dans l’absurde ne s’arrête pas là. Après l’AFDN, on se frotte les yeux en découvrant que la Fédération française des diabétiques a reçu 232 582 euros de Coca-Cola, c’est-à-dire l’un des moteurs de l’épidémie mondiale d’obésité et… de diabète !
L’Institut Pasteur de Lille, qui, par l’intermédiaire du directeur de son département nutrition, ne manque pas une occasion de donner dans la presse des leçons d’orthodoxie nutritionnelle, a reçu 33 500 euros de Coca-Cola. Auxquels il faut bien sûr ajouter les sommes versées par les autres « partenaires ».
L’université de Poitiers a encaissé un chèque de 228 104 euros pour – ne riez pas – "le développement d’un programme de promotion d’un mode de vie sain et actif auprès d’étudiants".
On est moins surpris d’apprendre que Dietecom, une manifestation annuelle tout entière livrée à l’agrobusiness (mais qui se présente pourtant comme "le 1er salon dédié à la nutrition destiné aux professionnels de santé") a aussi bénéficié des largesses de Coca: 124 450 euros.
Coca-Cola, c’est bien connu, rime avec équilibre nutritionnel chez les sportifs. Voilà pourquoi, probablement, le Centre National pour le Développement du Sport, un organisme public qui dépend du Ministre chargé des sports, s’est vu gratifier la coquette somme de 1 118 926 euros pour lutter contre... l'obésité des jeunes. Le Comité National Olympique et Sportif Français s’est montré un peu moins convaincant : 300 000 euros quand même ! Suivent la Société Française de Médecine de l’Exercice et du Sport ou encore l’Institut National du Sport, de l’Expertise et de la Performance.
Et encore n’a-t-on là que les "Coca-Cola Papers". Quid des Danone Papers, des Pepsi Papers, des Nestlé Papers, des Kellogg’s Papers, des Unilever Papers, des Kraft Papers, des Monsanto Papers? C’est alors qu’on réalisera, comme nous l’avons hélas souvent dit, que l’influence de l’agrobusiness sur l’information nutritionnelle, largement ignorée du public et des médias, est pourtant sans commune mesure avec celle qu’exerce l’industrie pharmaceutique sur les leaders d’opinion.
http://www.lanutrition.fr/
Selon Cyclamed, 8 Français sur 10 participent au recyclage des médicaments en rapportant ceux qu'ils n'utilisent pas en pharmacie. Les Limousins sont les plus vertueux.
Rien que pour l'année 2015, ce sont 15 477 tonnes de déchets issus de médicaments qui ont été collectées par les pharmacies françaises et regroupées par les grossistes répartiteurs avant leur valorisation à des fins énergétiques. C'est le bilan de l’association Cyclamed qui a pour mission de collecter et de valoriser les Médicaments Non Utilisés (MNU) à usage humain, périmés ou non, rapportés par les patients dans les officines.
Plus exactement, le tonnage réel des MNU, avec le poids des cartons et des produits de parapharmacie soustraits, atteint 12 108 tonnes, en progression de + 0,4 % par rapport à 2014. La moyenne nationale s'établit donc à 185 grammes par habitant. Et pour savoir à quoi sert ce comportement civique, Cyclamed explique que " la valorisation énergétique de ces MNU permet d’éclairer et de chauffer l’équivalent de 7 000 logements ". Un acte utile donc que les Français s'approprient de plus en plus.
80% des Français recyclent les médicaments
L’étude menée par l’institut BVA en février 2016 révèle que 80 % de nos concitoyens déclarent rapporter leurs MNU chez le pharmacien, dont 74 % d’entre eux le font " toujours " (contre 69 % en 2015). " Cela montre une forte fidélisation de ce réflexe auprès d’une grande partie de la population ", se félicite l'association. Ce sont surtout les plus de 50 ans (86 %), les femmes (85 %), et les personnes habitant des communes rurales qui ont adopté ce geste éco-citoyen.
Parmi ces gens, 24 % séparent déjà les boîtes en carton et les notices en papier des médicaments. Chez ces Français, la protection de l’environnement est très bien perçue (93 %), eux qui n'ignorent pas que le dispositif permet d’éviter les rejets médicamenteux dans la nature (décharge, eaux de surface et souterraines).
Par ailleurs, l’adhésion à la valeur de la sécurité sanitaire est en croissance cette année (90 %). Elle permet de prévenir les risques d’intoxications ou de confusions médicamenteuses au sein du foyer.
C'est donc logiquement que pour la troisième année consécutive, le poids des MNU baisse dans chaque foyer français de manière importante (-8 % en 2012, -18 % en 2014 et -10 % en 2016), "ce qui confirme la prise de conscience des citoyens sur la nécessité de préserver son environnement et sa sécurité sanitaire domestique", écrit l'association. Le gisement en masse annuel des MNU reste tout de même de 19 000 tonnes, soit 323 grammes par foyer et par an en 2016.
Les Limousins meilleurs recycleurs
Et face à cet enjeu, certaines régions se distinguent plus que d'autres. Les plus vertueuses sont, comme en 2014, le Limousin (340 g de médicaments non utilisés rapportés par personne) devant la Bourgogne (243 g) et le Picardie (242).
Les meilleures progressions sont à mettre au crédit des D.O.M (+10 %), de la Bourgogne (+6 %), et enfin de la Corse (+3 %).
Tant de pays dans le monde dont les gens meurent parce qu'il n'y a pas de médicament dans le pays!