société - Page 21
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Joyeux Noël
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La fin du ticket de caisse au 1er janvier
.... est une atteinte supplémentaire à la vie privée
Ils nous refont le coup de la protection des données personnelles, mais ils veulent désormais savoir précisément ce que vous avez acheté et où vous l’avez acheté.
La fin du ticket de caisse papier au profit de la note virtuelle d’achats est la dernière grosse ficelle en date pour pister le consommateur.
Les cartes de fidélité et les coupons de remises promotionnelles inhérentes étaient déjà de parfaits mouchards pour le marketing.
Mais avec la suppression du ticket de caisse automatique au 1er janvier prochain, soi-disant bonne pour l’écologie, c’est une nouvelle étape dans l’intrusion de la vie des clients captifs qui se profile.
Alain Escada, président de Civitas, avertit :
"Ce que nous pensons, à travers ce que nous achetons, tel est le but de la fin des tickets de caisse. S’il vous plaît, dépensez de l’argent réel, sauvez l’argent réel !"
Dans un contexte de passe énergétique et de restrictions sans précédent des libertés individuelles, pas besoin d’être Jérémie pour comprendre que les détails de tous les achats seront connus, examinés, utilisés et stockés, même si le RGPD se veut rassurant. Ce qui relève de l’arnaque à la lecture de presse qui relate régulièrement des cas d’usage abusif et de « fuite » de données confidentielles.
Sont concernés:
les tickets de carte bancaire produits dans les surfaces de vente et dans les établissements recevant du public ;
les tickets émis par des automates ;
les tickets de carte bancaire ;
les bons d’achat et tickets promotionnels ou de réduction.
POUR OBTENIR UN TICKET DE CAISSE IMPRIME, LE CONSOMMATEUR DEVRA DESORMAIS LE DEMANDER EXPRESSEMENT AU COMMERÇANT.
Mais, indique Service public:
"Ne sont pas concernés par ce changement les tickets de caisse relatifs à l’achat de biens dits "durables" tels que les appareils électroménagers, les équipements informatiques ou appareils de téléphonie par exemple.
La liste complète des biens concernés se trouve à l’article D211-6 du code de la consommation. Les tickets de carte bancaire relatifs à des opérations annulées ou faisant l’objet d’un crédit feront, eux aussi, toujours l’objet d’une impression systématique
https://entreprendre.service-public.fr
Ce qui change avec la fin du ticket de caisse obligatoire.
https://youtu.be/0Lxi0fzBMQ4
Pour refuser l’envoi par e-mail, les principales enseignes indiquent qu’en tant que client de la carte de fidélité vous recevrez automatiquement vos tickets de caisse par e-mail.
Sinon, le désabonnement à ce service est possible par retour d’e-mail ou à la borne du magasin.
ATTENTION
En cas d’absence de consentement du consommateur et de non-impression du ticket de caisse, la seule trace de l’achat sera l’affichage en caisse du montant de la transaction.
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Enfin; les gens se rebiffent!
https://ripostelaique.com/action-exemplaire-a-montpellier-contre-sos-mediterranee.html
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Bon à savoir
Le Smic est revalorisé chaque année au 1er janvier.
Il est indexé sur l’inflation mesurée pour les 20 % des ménages ayant les revenus les plus faibles. La revalorisation du Smic est effectuée sur la base de la moitié du gain de pouvoir d’achat du salaire horaire moyen des ouvriers et des employés.
Repères
https://www.service-public.fr/particuliers/vosdroits/F2300
https://www.urssaf.fr/portail/home/taux-et-baremes/smic.html
https://www.insee.fr/fr/statistiques/1375188
À compter du 1er août 2022, le montant mensuel du Smic brut est de 1 678,95 euros sur la base de 35 heures hebdomadaires avec un Smic brut horaire de 11,07 euros.
Le montant du Smic net mensuel est de 1 329,05 euros avec un Smic net horaire de 8,76 euros.
Le Smic, instauré en France depuis la loi du 2 janvier 1970, est le salaire minimum légal pour les salariés âgés de 18 ans et plus. Cela assure aux travailleurs une rémunération pour leur garantir un niveau de vie minimum. Pour respecter cet objectif, le montant du Smic est déterminé chaque année selon des indicateurs liés à l’inflation et au pouvoir d’achat.
Smic veut dire: Salaire Minimum Interprofessionnel de Croissance
Il existe des exceptions à ce salaire minimum pour les salariés. Des abattements sont applicables pour les personnes mineures et les salariés en contrat d’apprentissage. Leur rémunération est par conséquent moins élevée que le Smic “classique”… https://www.aide-sociale.fr/smic-horaire-brut-net/
Avant 1970, on l'appelait: Smig ou Salaire Minimum Interprofessionnel Garanti
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Le sombre avenir international du régime Macron II
L’avenir du rayonnement de la France sous le régime " Macron II " ressemble à un crépuscule déclinant.
Depuis sa réélection en avril dernier, le président Macron porte une attention privilégiée quasi exclusive à la politique internationale au détriment des affaires nationales.
Un constat alarmant d’effacement volontaire de la France et de soumission à de nouveaux maîtres
Des formidables atouts et acquis de la France, qu’il dénigre volontiers comme étant "des oripeaux du passé", Emmanuel Macron n’a de cesse d’en accélérer l’abandon par reniement et le transfert de souveraineté, de rayonnement et d’autorité, vers d’autres institutions et intérêts;
–Union européenne (approbation des décisions autoritaires, outrancières et antinationales de la Commission empêtrée dans des scandales d’incompétence et de corruption liés à la crise sanitaire du covid, décisions invasives de la Cour européenne des droits de l’Homme);
— ONU (engagements illégitimes, dont le Pacte félon de Marrakech sur les migrations, 2018) ; OTAN (alignement inconditionnel sur la politique étatsunienne);
— Francophonie (dilution de la France, nomination incongrue comme marraine d’une activiste issue de l’immigration hostile à notre pays);
— Forum de Davos (sous influence ahurissante du gourou mondialo-progressiste Klaus Schwab);
— Instances non élues de gouvernance mondiale dont le G7 des pays les plus industrialisés, le G20 des plus développés, où la France ne sert plus que d’estafette entre les puissances qui comptent vraiment;
— Discours incantatoires et métaphoriques creux en guise d’aveux d’impuissance lors du Sommet annuel de la Coopération économique pour l’Asie-Pacifique (Apec) où la France, qui y détient la majeure partie de sa zone économique exclusive (ZEE), deuxième du monde, perd continûment des contrats stratégiques, du poids et de la crédibilité ;
— DOM-TOM abandonnés à l’insécurité et à la submersion migratoire, en état de quasi guerre civile ;
— Politique volontariste d’effacement culturel, de retrait militaire et de recul économique en Afrique par une politique masochiste permanente de repentance injuste et contre-productive.
etc.
Ainsi, la liste est sans fin et douloureuse de trahisons par reniements et de provocations internes envers tous les acquis et les symboles de la France, de soumission volontaire à des influences étrangères, à des intérêts et à des lobbies idéologiques et économiques concurrents et prédateurs. Dans tous les domaines, le président actuel de la France, incontrôlable car intouchable et non rééligible, joue "contre son camp", CONTRE LES INTERETS DE LA NATION ET DU PEUPLE QU’IL REPRESENTE.
Pour deux raisons principales.
L’usure accélérée du pouvoir faute de projet et de cohérence
Rappelons que le candidat Macron est parvenu au pouvoir présidentiel en 2017 à la faveur de la déstabilisation orchestrée de François Fillon son principal concurrent représentant la majorité nationale. Macron a été élu par surprise, par rejet et par défaut. Par une addition de minorités qui ne constituent une majorité que dans le dépouillement indistinct des urnes. Dans un flou magistral quant à un projet indéfini de société ("En marche" vers quoi?). Sur la base d’un malentendu intégral quant à un programme inexistant faute de réflexion, d’épaisseur et de compétence (une fuite en avant du changement pour lui-même, déguisé en progrès).
Dans ces conditions, la seule feuille de route présidentielle et gouvernementale a consisté, depuis plus de cinq ans à systématiquement "casser tous les codes" dans tous les domaines. Elle n’a fait que diviser, déconstruire et détruire, sans rien construire. L’accumulation des frustrations de toutes les catégories électorales, trompées par des discours et des promesses démagogiques reposant sur un principe mensonger, cynique et intenable du "en même temps", ont privé l’illusionniste Macron de toute crédibilité et de marge de manœuvre politique intérieure.
La vacuité politique et morale d’Emmanuel Macron a livré la France en pâture à la triple alliance la plus nuisible qu’on puisse imaginer, entre des courants jusque-là cantonnés séparément dans des élucubrations marginales mais parvenue, groupée quoique disjointe, au pouvoir exécutif et législatif; le mondialo-progressisme multiculturaliste et scientiste macronien, l’extrémisme islamogauchiste mélenchonien, l’écologisme aberrant et incompétent rousseau-jadotien. Le cadre étriqué d’une France déchirée n’apportant désormais à Macron que des coups à prendre et des comptes à rendre, ce qu’il a le don malin d’éviter avec l’agilité d’une anguille, il ne lui reste qu’à se concentrer sur son avenir personnel sur la scène internationale.
L’AMBITION PERSONNELLE A L’ECHELLE INTERNATIONALE
La double présidence d’Emmanuel Macron dont l’ascension nationale était au départ aussi incertaine que soudaine (succès par culot d’un joueur plutôt qu’audace d’un leader) a été une opportunité inespérée dont il a su tirer un profit personnel comme d’un tremplin pour une nouvelle carrière internationale qui convient mieux à son ambition abyssale.
Champion d’art oratoire manipulatoire, vainqueur par confusion rhétorique et par chaos idéologique davantage que par KO rationnel face à de faux contradicteurs sélectionnés et inconsistants (le Grand Débat-llage national et autres monologues à des tribunes internationales), son vibrionisme politique de président hyperactif a agacé, lassé puis exaspéré autant, sinon plus, de ses homologues et interlocuteurs internationaux, qu’il n’en a séduit.
Dans ces conditions, Emmanuel Macron, ayant réussi sans aucune conviction personnelle à ouvrir les champs du possible dans tous les domaines, surtout du pire, n’a pas d’autre choix pour assouvir sa soif mégalomaniaque de puissance et poursuivre sa quête pathologique de reconnaissance que de se créer tous les choix possibles de reconversion dans le projet mondialiste qu’il a choisi de servir. Cela pourrait passer, consécration officielle, par le très politisé prix Nobel de la paix tant convoité, pour récompenser ses efforts permanents de conciliation et d’apaisement. Par des discours toujours lisses et des initiatives décalées, pour se distinguer et affirmer une personnalité indépendante. Par exemple, en maintenant (à juste titre) un canal de communication avec la Russie, condamnée sans nuances par l’Union européenne. Pour se donner une stature internationale et se mesurer aux dirigeants des grandes puissances, dont ne fait plus partie la France. Le lien entre Alfred Nobel et la carrière d’Emmanuel Macron, par laquelle il cherche à se tailler une statue de granit, est la dynamite. Ou, la théorie politique du "chaos créateur" (cf. George Friedman, fondateur de Stratfor) pour imposer dans une totale opacité un mode de gouvernance d’une " mondialisation techno-financière " dont il tire profit.
Ainsi, l’avenir du rayonnement de la France sous le régime "Macron I " ressemble à un crépuscule déclinant. C’est l’aboutissement de l’accélération en marche forcée d’un programme implacable de déconstruction sociétale continu depuis quatre décennies. En cassant systématiquement et irrémédiablement tous les codes, par remplacement. En effaçant tous les acquis, par reniement et dénigrement. L’avenir personnel d’Emmanuel Macron est assuré, il se prépare activement à une nouvelle aube encore diffuse mais pleine de promesses, prélude à une aurore éclatante vers des fonctions et des prix les plus brillants. Avec la même assurance et la même ambition, sans limites, et une même détermination, sans failles.
Au détriment de la France.
Jean-Michel Lavoizard - contrepoints.org
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Hold-up!
… de 90 milliards du pouvoir sur les caisses de retraites complémentaires
L’État français est en faillite de 600 milliards. Autant dire qu’il n’y a plus un centime dans les caisses, et cela, depuis fort longtemps. Comment le gouvernement compte-t-il apurer cette dette abyssale ? Je n’ai pas entendu le ministre des Finances nous l’expliquer. Bruno Le Maire a-t-il un plan ? Probablement pas. Sinon, il serait heureux de pouvoir l’annoncer.
Revenons au siphonnage des caisses de retraite Agirc-Arrco. Le projet concocté par la Première ministre, Le Maire et vraisemblablement Macron est d’abord de saisir l’argent des caisses afin de faire face aux dettes criantes, et ensuite, de transférer les cotisations Agri-Arrco vers l’URSSAF. Or, nous savons que l’organisation est un panier percé.
En marge de la ponction dans les caisses complémentaires, le projet maintes fois repoussé est de nationaliser le système social. Si les dirigeants politiques réussissent leur coup, ce sont les 13 millions de retraités, qui verront une baisse substantielle de leur retraite.
Y a-t-il une acrimonie envers les caisses de retraites complémentaires ? Pas du tout. Depuis 75 ans, les comptes de l’Agirc-Arrco sont en équilibre. La caisse est excédentaire de plus de 3,7 milliards d’euros en cotisations salariales. Or, le régime des retraites des fonctionnaires est lui déficitaire de 26 milliards. Vous saisissez la manœuvre. L’État macronien veut s’emparer de l’argent des caisses de retraites complémentaires du privé. Pour financer celles des fonctionnaires. Si l’opération de siphonnage est entreprise, c’est une fois de plus, la destruction d’un élément majeur du pacte social.
Un dépeçage de plus dans la France à la casse.
Raphaël Delpard