sociéte - Page 41
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humour
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Bon à savoir
L’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) publie régulièrement la liste des effets secondaires associés aux « vaccins » utilisés en France contre le Covid-19. Du moins ceux qui lui ont été remontés du terrain : de nombreux praticiens préfèrent, pour des raisons qu’on devine aisément (la profession pratique volontiers l’adage « pour vivre heureux, vivons cachés »), éviter d’alerter l’ANSM par l’intermédiaire de sa plateforme dédiée et attribuer l’état de leurs patients à des causes annexes. l’ANSM utilise également les synthèses des enquêtes menées les centres régionaux chargés de la pharmacovigilance et des mises à jour du suivi des vaccins. Ces enquêtes sous-estiment vraisemblablement fortement les remontées du terrain. Pour l’instant, en France, seuls deux praticiens ont eu le cran d’assigner un laboratoire en justice.
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Après ceux liés aux vaccins de Moderna et Pfizer, l’ANSM publiait le 29 avril dernier la liste mise à jour des effets indésirables associés au vaccin AstraZeneca (prudemment renommé Vaxzevria par le laboratoire anglo-suédois… ). La liste est longue : prenez votre souffle, cher lecteur :
Saignements cutanéo-muqueux (principalement des ecchymoses et des saignements du nez),
Elévation de la pression artérielle,
Dyspnées et asthme associés à des syndromes pseudo-grippaux,
Pathologie démyélinisante centrale,
Erythème noueux,
Colite ischémique,
Vascularites,
Surdité/baisse de l’audition,
Myocardites/Péricardites,
Troubles du rythme cardiaque,
Echecs vaccinaux,
Vascularites cutanés,
Artérites à cellules géantes,
Pancréatites,
Syndrome de Parsonage-Turner,
Sarcoïdose,
Maladie de Still,
Evénement thromboembolique veineux et artériel,
Infarctus du myocarde,
Pseudopolyarthrite rhizomélique,
Réactivations virales,
Vascularite nécrosante systémique,
Syndromes pseudo-grippaux : l’Agence européenne du médicament (AEM) a conclu à l’existence d’un lien entre le vaccin AstraZeneca-Vaxzevria et la survenue de syndrome pseudo-grippaux.
Thromboses associées à une thrombocytopénie : à ce jour, on retient un total de 30 cas répondant à la définition de thrombocytopénie thrombotique immunitaire induite par le vaccin (TTIV),
Syndrome de fuite capillaire : l’AEM a conclu que le vaccin AstraZeneca-Vaxzevria peut entraîner de façon extrêmement rare un syndrome de fuite capillaire et a considéré que le vaccin AstraZeneca-Vaxzevria ne doit pas être utilisé chez les patients ayant des antécédents de syndrome de fuite capillaire. Le résumé des caractéristiques du produit (RCP) et la notice ont été mis à jour avec ces informations,
Syndrome de Guillain-Barré (SGB) : après une analyse des cas de syndrome de Guillain-Barré déclarés en Europe, l’AEM considère qu’ils constituent un effet secondaire possible très rare du vaccin AstraZeneca-Vaxzevria. La mention de cet effet indésirable figure dans le RCP et la notice de ce vaccin,
Thrombopénies immunitaires : l’AEM a conclu à l’existence d’un lien entre le vaccin AstraZeneca-Vaxzevria et le risque de thrombopénies immunitaires. La mention de cet effet indésirable, accompagnée d’un avertissement pour les professionnels de santé et les patients figure désormais dans le RCP et la notice de ce vaccin,
Paralysie faciale : l’AEM a conclu à l’existence d’un lien entre le vaccin AstraZeneca-Vaxzevria et le risque de paralysie faciale. La mention de cet effet indésirable figure désormais dans le RCP et la notice de ce vaccin,
Myélite transverse : l’EMA a conclu à l’existence d’un lien entre le vaccin AstraZeneca-Vaxzevria et le risque de myélite transverse.
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Attention aux wokes
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Avec Foutriquet et sa perruque, le pire n’est pas une option
Longtemps, l’on s’est moqué de l’Italie et du guignolo Berlusconi! Ah! L’on ricanait bien de ses lifts, de ses cheveux peinturlurés, de ses inclinations sexuelles…
Avez-vous réalisé ce qui vient de nous advenir ? En termes d’image de marque, ce n’est pas mieux voire pire…
On vient d’en reprendre pour cinq ans avec un ado mal fini qui a tendance à toucher tout le monde et surtout les hommes… C’est un cinglé qui ne sait pas se tenir et se croit tout permis. A quarante-quatre ans, l’on peut diagnostiquer un cas grave à problèmes multiples !
Tentant de dissimuler sa calvitie, il balade partout une perruque ridicule, de plus en plus longue et frisotée. Très fier de son nouveau look, il va vouloir le faire admirer de la totalité de la planète.
Donc depuis cinq ans et pour cinq ans encore, nous aurions pour Potiche officielle un monsieur, de 77 ans, déguisé en dadame lequiel, alors que son mari fait la promo des transsexuels, ne s’assume pas.
Étant plus que narcissique, il est probable que Foutriquet refasse son portrait officiel. Le monde entier s’étant moqué de ses photos barbe de trois jours, en sweat-shirt façon je fais la guerre comme Volodo, il devrait y arborer un costard cravate, à moins qu’il nous la joue manches retroussées et chemise ouverte sur son poitrail survelu, comme à Marseille…
Pour changer du pédophile Gide, il pourrait poser sur son bureau : Cette fille c’était mon frère d’Anne Peters, Le grand bazar de Daniel Cohn-Bendit, Lolita de Nabokov et les œuvres complètes du marquis de Sade. Et aux murs différents tableaux de Balthus…
Et ce sera l’occasion de nous divertir plus encore. D’aucuns pourront vérifier dans chaque mairie que, contrairement aux Français qui ne sont rien, le génial Macron a tellement plus de cheveux qu’en 2017 et, grâce à Photoshop, moins de rides encore.
La France n’est plus qu’une république bananière représentée par l’imposture, l’indécence et la vulgarité.
Cette réélection nous aura enseigné que pour avoir fait le choix d’un tel individu, 58% des inscrits et la totalité des abstentionnistes ne savent plus ce que honte signifie et vont l’apprendre à nos dépens.
Daphné Rigobert
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Horreur, malheur!
Un locataire: j'ai honte de la France… oui, moi aussi
Depuis 70 jours, l’immeuble au 178 route de Genas, dans le 3e, est amputé d’un mur porteur. Et durant tout ce temps, les habitants, interdits d’accès, ont vu leurs appartements cambriolés au moins quatre fois. Une situation pénible, qui dure.
Le 22 février dernier, la vie des habitants de tout un immeuble a basculé. Au 178 route de Genas, à la frontière du 3e arrondissement de Lyon et Villeurbanne, un pan de mur s’est effondré et la vie s’est arrêtée sur une petite zone désormais inaccessible de la route, mais aussi du jardin associé à la propriété attenante. Pourtant, l’incident n’a fait que deux blessés légers, mais la situation, liée à un arrêté de péril n’a pas évolué pour les locataires et les propriétaires depuis 70 jours.
Quentin habite, ou plutôt habitait au 1er étage. Il n’était pas présent lors de l’effondrement. " Depuis, je me suis débrouillé par moi-même " explique-t-il. Ma chance, c’est que j’avais, avec moi, mes papiers et ma carte bleue. Car…
16/04/2022
Le mardi 22 février 2022, vers 15h30, les sapeurs-pompiers de Lyon sont intervenus après l’effondrement d’un immeuble d’habitation de deux étages route de Genas, dans le 3e arrondissement de Lyon.
Léa*, qui vivait seule dans un appartement qu’elle loue dans cet immeuble depuis bientôt deux ans, est, depuis le 22 février, relogée chez des amis. En plus d’avoir été forcée de quitter cet immeuble à moitié effondré, elle déplore avoir subi des pillages et des squats.
Un arrêté de péril imminent a été déposé sur cet immeuble, dont un pan s’est effondré. Concrètement, même si certains appartements comme celui de Léa n’ont pas été touchés, les risques de nouveaux effondrements ne sont pas écartés. Il est donc interdit de venir récupérer ses affaires.
"On n’a pas le droit de rentrer", déplore Léa. "Ils vont mettre des portes anti-intrusion, mais maintenant, c’est trop tard. Il fallait faire ça avant! C’est triste. On a tout perdu. Nous, on respecte les règles et au final, on vient nous dépouiller".
(…)
J’ai peur que ça retourne contre nous alors qu’on est victime : si ça s’écroule sur les pilleurs ou les squatteurs, ce sont les propriétaires qui sont responsables. Ce n’est pas normal, c’est à la Métropole et à la Ville de Lyon de sécuriser l’immeuble. C’est le monde à l’envers.
Léa, victime de l’effondrement de l’immeuble route de Genas, à Lyon
Cinq logements ont été cambriolés de la même manière. "Ils ont touché le jackpot, ils se sont bien servis. C’est un truc de dingue. On est suivis par des psychologues, on n’arrive plus à dormir, on fait des cauchemars. J’ai honte de la France“.
"On n’a aucun soutien"
Selon Léa, " la mairie et la métropole ne nous appellent pas, on n’a aucun soutien. Ils proposent des relogements provisoires, mais je n’y suis pas“ : ils m’avaient trouvé un hôtel résidence, mais avec mon travail, ce n’est pas possible, c’est trop loin".
(…)
On vit un cauchemar. On se fout de notre gueule. On ne va pas se laisser faire. On est encore sous le choc, tous, et le mot est faible. Ils nous ont brisé nos vies. Rien n’a été fait, il faut agir. On a vraiment tout perdu. C’est très violent psychologiquement. Si on n’est pas fort mentalement on se fout en l’air.
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Parlez français, non de d….!!
Franglais, dialecte des banlieues et mots creux: 3 menaces pour la langue française
Nous sommes profondément attachés à la grandeur et à l’influence de la France dans le monde dont une des composantes majeures réside dans une Défense nationale puissante et crédible.
Mais la défense de notre langue en est un des facteurs non moins essentiels et vitaux non seulement pour tenir notre rang international mais également afin de maintenir la cohésion nationale au sein d’une communauté d’appartenance.
De nos jours en effet, la langue française est aux abois. Elle est attaquée simultanément par trois menaces dont les effets délétères se cumulent et dilapident notre patrimoine linguistique.
L’usage intempestif du " franglais"
L’émergence corrosive d’un dialecte des banlieues
L’inflation de mots creux et d’expressions passe-partout
L’usage intempestif du "franglais"
Il est démontré par l’Académie française en 2021. Pour illustrer ce constat, un exemple concret a été choisi : il s’agit de la création de la nouvelle carte d’identité nationale (CNI). Cette récente version bilingue (traduite in extenso en anglais), entre en contradiction avec la Constitution, la loi Toubon de 1994 qui stipule que toute inscription ou annonce destinée à l’information du public doit être formulée en langue française, et surtout la vérité.
En effet, cette carte n’est pas un passeport de voyage. Si l’on entre aux USA, on a besoin d’un passeport, pas de la CNI. En outre, avec la sortie du Royaume Uni de l’Union européenne, il n’y a pas de raison de privilégier l’anglais.
Que le gouvernement établisse une carte bilingue en choisissant l’anglais, c’est le signe d’un aveu terrifiant : au fond, le français ne compte plus. D’ailleurs, le gouvernement lui-même explique, toute honte bue, qu’il est préférable que ce document soit en anglais car le français ne serait plus compris !
C’est la démonstration d’une démission coupable qui rejoint dans sa tragique ampleur le déni de notre Histoire et la politique de repentance affichés par nos gouvernants.
Cette démission tend à reléguer notre langue nationale au statut d’un parler local, d’un dialecte tribal.
Cependant, le monde francophone s’insurge de cette situation et sonne l’alarme. Cette indignation grandissante souligne l’aberration que constitue cette abdication institutionnelle. Nous assistons à l’invasion générale du vocabulaire scientifique, de la culture, de la communication, de l’information par des anglicismes.
L’anglicisation s’est généralisée et s’est accélérée durant les cinq dernières années. Il y a désormais une lame de fond qui est en train de subvertir le français. La diffusion des anglicismes s’est encore amplifiée avec la crise sanitaire Covid ( par exemple l’emploi répété, à l’envi, de "cluster " au lieu de " foyer ").
Néanmoins, cette propagation des anglicismes se heurte à l’exaspération croissante des Français.
Ces derniers ne veulent pas du franglais, ils croient en la valeur de leur langue. Les stratégies de communication ne portent pas.
Les gens ne comprennent pas les messages qu’on leur impose ni pourquoi ce sabir se substitue au français.
Cela montre une fracture entre une frange privilégiée des élites représentant le haut du panier national sensé être inventif et productif et le reste de la société , invité à penser que l’ascenseur social passe par l’adoption d’un jargon débilitant qui confine désormais aux tics de langage.
Il s’ensuit pour la population française le risque d’un double clivage linguistique: SOCIAL d’une part, le fossé se creusant entre les publics suivant qu’ils sont imprégnés ou non des nouveaux codes de langage. Le ton badin, parfois futile devenu la règle en matière de communication institutionnelle , prête le flanc à un rejet fréquent , né d’une perplexité et souvent d’une incompréhension des destinataires pouvant aller jusqu’à un sentiment d’exclusion: "être people-minded est notre raison d’être" et GéNéRATIONNEL d’autre part, les plus jeunes étant particulièrement réceptifs aux usages numériques et mieux à même de les assimiler, mais d’autant plus exposés au risque d’être cantonnés à un vocabulaire approximatif et n’avoir qu’une très faible maîtrise de la langue.
En utilisant largement un vocabulaire anglais (cf annexes) incompris d’une grande partie du public, les services en ligne contribuent à alimenter la défiance qu’on a vu se développer ces dernières années vis à vis des différentes autorités, qu’elles relèvent des pouvoirs exécutif, législatif, judiciaire, mais également de l’administration , du monde politique , de la sphère économique et dans le domaine de la santé.
– L’émergence corrosive d’un dialecte des banlieues
A l’oreille, on comprend bien qu’il s’agit désormais d’un parlé " dur ", hostile, forgé dans l’exclusion ou le repli communautaire.
Avec l’émergence de réseaux terroristes au cœur même de notre Nation, un phénomène de division, de dilution affecte notre population.
Il s’agit du repli d’une partie des "citoyens" vers un quant- à- soi géographique, socio-économique et religieux intégriste.
Cette fragmentation va bien au-delà de ce qu’il est convenu d’appeler les différences ou la diversité. Cet émiettement tribal passe par un langage spécifique dont on mesure l’importance et la portée dès que des troubles éclatent dans les banlieues et quartiers de nos villes.
Cette fracture linguistique véhiculée par un langage de combat n’a plus rien de comparable avec ce qui existait il y a encore quelques années à l’époque des fantaisies du verlan, de l’accent beur ou des mille facettes de l’argot des cités sublimé par la plume gouleyante d’un Frédéric Dard, d’un Alphonse Boudard ou encore d’un Michel Audiard.
La fracture constatée dépasse le problème de l’école ou celui des cités. Rien n’est plus dangereux que cette lente dislocation à l’œuvre dans les tréfonds démocratiques, dont l’apparition d’un idiome appauvri et verrouillé, d’un patois dissident au sein de la ville, est le symptôme le plus corrosif.
Quand les mots eux-mêmes se décomposent, quand la parole elle-même se délite, c’est que rôde en effet un péril majeur.
Parmi les produits empoisonnés de cette dissidence, il faut désigner désormais le djihadisme.
L’inflation de mots creux et d’expressions passe-partout
On disait il y a quelques années encore: " il parle comme un livre"
La formule s’est inversée et aujourd’hui, on dira plutôt " il écrit comme il parle". Comme notre façon actuelle de nous exprimer, celle de la publicité, des médias, du monde politique est atteinte profondément par une contamination de mots sans signification, d’expressions vides de sens, notre langage est devenu singulièrement indigent.
Dès lors, il se satisfait de formules imprécises employées à tout bout de champ et souvent délibérément puisées dans le vocabulaire économique.
Prenons quelques exemples :
Le verbe "impacter " dérivé à tort du mot "impact" est utilisé très souvent pour relater des évènements de nature différente plus ou moins importants :
"La consommation est impactée par la hausse des prix
La pollution impacte la planète
La guerre en Ukraine va impacter l’élection présidentielle "
Alors que notre langue propose dans ces exemples là: freiner, ralentir, influencer, influer, agir, peser, menacer, mettre en péril… qui apportent des nuances et des précisions qui enrichissent la compréhension des idées émises.
Demain, nous sourirons qu’on ait pu discourir avec sérieux:
De notre "capital" santé, de notre "capital" beauté, de notre "investissement" conjugal, des "dividendes" affectifs .
Ou encore du concept de "déficit" mis à toutes les sauces du verbiage cher aux journalistes :
" Déficit" démocratique, "déficit" social, "déficit" visuel, "déficit" de popularité, "déficit" d’image.
Demain, nous sourirons ou peut- être nous pleurerons que les Chefs d’Etat, qui se sont succédé depuis trente ans, aient pu dire, redire, se contredire, proclamer :
" e crois à l’inversion de la courbe de chômage"
" la priorité des priorités est (selon l’humeur ou la pression des évènements): la sécurité, le chômage, l’hôpital, les retraites, la taille des allumettes, le pouvoir d’achat, le prix du timbre-poste , l’école, l’industrie, l’agriculture …… "
"Nous sommes à la croisée des chemins ", phrase qui peut être suivie ou précédée de "le bout du tunnel est en vue".
" Cette réforme d’ampleur sera la crème de toutes les batailles":
La sécurité sociale, le conditionnement des couche-culottes, la mise en place des 35 heures, la remise en cause des 35 heures, la prochaine loi de programmation militaire sanctuarisée…
Ces expressions passe-partout composées de mots forts en apparence sont les symboles d’une langue désincarnée, d’un langage convenu et rigide destiné à dénaturer la vérité.
Elles ont perdu par, l’usage d’une absurde répétition contredite par les faits, leur substance au fil du temps et sont devenues les vecteurs futiles de messages désormais inaudibles.
En 1967, Maurice Genevoix, qui depuis de nombreuses années, défend sur tous les fronts la langue française, conscient de la menace que représente la déliquescence de tout langage écrivait :
" Le langage n’est pas neutre. Né d’une culture, expression d’une culture, si par malheur il dégénère, il agit sur les structures mentales qu’il affaiblit sournoisement. Si ce processus devait encore s’aggraver, la langue ne dirait plus, elle cacherait, elle déroberait.
Les mots devenus tabous, feraient peur. Ils cesseraient alors de signifier, ils voileraient, ils trahiraient.
Ils deviendraient des moyens d’intimidation, des instruments d’un terrorisme au service d’intentions moins innocentes, peut-être qu’il n’y paraît ".
Face à cette évolution préoccupante de notre langue,
L’Académie française peut ainsi conclure :
"La communication actuelle est caractérisée par une dégradation qu’il est essentiel de ne pas considérer comme une fatalité.
Il est de la responsabilité mais aussi de l’intérêt de ceux qui disposent des canaux d’information et de diffusion de veiller à redonner à la communication institutionnelle la qualité et l’efficacité que l’ensemble des publics est en droit d’attendre.
Il s’agit avant tout d’une question de volonté générale étayée par la prise de conscience de la Gravité et de l’Urgence de la Situation ".
Daniel Péré
10 avril 2022
Sources : Rapport Académie Française 2021
Le Figaro (Mme Carrère d’Encausse) janvier 2022
Ouest-France Articles des 30 septembre 2011, 27 septembre 2021,
17 février 2022, 19 mars 2022
Sud-ouest Article 10 avril 2016
Biographie M.Genevoix de A.Luneau et J. Tassin 2019
Prochainement un article qui prouve que la pauvreté du langage nous a fait descendre au niveau du QI.