Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

société - Page 176

  • Pourquoi une telle ignominie?

    20 avril 2019 place de la République: pourquoi une telle ignominie?

    Il faudra bien comprendre comment on peut en arriver à une telle extrémité? 20 avril 2019, place de la République à Paris, en marge du XXIIIème acte des Gilets Jaunes. Des violences, des flammes. Puis l’impensable.

    "Suicidez-vous, suicidez-vous, suicidez-vous!" ont hurlé certains manifestants aux forces de l’ordre. Des vidéos les montrent vêtus de gilets jaunes ou non, scander ces paroles face à des forces de l’ordre que l’on peut voir, casquées, à plusieurs mètres.

    "Honte à ceux qui se sont livrés à une telle ignominie! a réagi en début de soirée sur Twitter le ministre de l’Intérieur. Soutien total à nos forces mobilisées, et à leurs familles. L’immense majorité des Français sait ce qu’elle leur doit".

    La veille les syndicats de forces de l’ordre appelaient à une mobilisation pour alerter sur le nombre élevé et croissants de suicides dans leurs rangs. Le même jour Eric Morvan, 62 ans, directeur général de la police nationale (DGPN), dans une lettre envoyée à tous les policiers invitait la profession au dialogue et à la libération de la parole face ce phénomène – un sujet longtemps tabou chez les forces de l’ordre. Aujourd’hui Le Monde consacrait sa manchette au phénomène: "Suicides dans la police: l’état d’urgence",

    "Ignominie : Action, parole basse et déshonorante.

    ‘’Nous vivons dans un âge fréquent en lâchetés, abondant en ignominies, fertile en crimes’’". Une phrase signée Anatole France; extraite de "Sur la pierre blanche", roman philosophique, à la fois historique et d’anticipation.

    L’œuvre traite dans son ensemble de l’évolution de l’Humanité et esquisse la possibilité d’une création des États-Unis du monde. Elle se termine par la description d’un idéal socialiste/communisme en l’an 2270, et par une remarque sur les limites biologiques et temporelles de l’espèce humaine, qui ont pour conséquence que non seulement l’Humanité disparaîtra, mais que d’autres espèces, peut-être plus intelligentes, prendront la suite.

    L’ouvrage fut publié en 1905. Nous sommes en 2019, place de la République, à Paris.

    Le communisme? plus de 130 millions de morts depuis 1915!!!

     

  • “Je crois à la mémoire des pierres“

     Sylvain Tesson rend hommage à Notre-Dame

    Nous publions un témoignage qui nous projette dans l’intimité de l’écrivain-voyageur Sylvain Tesson. Après un accident qui aurait pu lui coûter la vie, il était censé se “rééduquer“ chez un kinésithérapeute. Il a préféré gravir chaque jour les escaliers conduisant au sommet de Notre-Dame-de-Paris. Un exercice autant physique que spirituel.

     (…) Chaque jour, je sentais les forces revenir. Il y avait quelque chose d’alchimique dans ces heures d’exercices. Comme si le mystère, la puissance de Notre-Dame irriguait mes chairs. À présent, je suis remis, je marche droit et je salue toujours les tours de Notre-Dame quand je passe à leurs pieds. Je leur rends bien modestement par ces lignes le bienfait qu’elles m’ont offert.

     

    MOI AUSSI, JE CROIS EN LA MEMOIRE DES PIERRES

    https://youtu.be/h-VdKZPGS70

     

     

     

  • Il a touché combien?

    Le pactole à 15 milliards d’euros offert par François Hollande aux autoroutiers

    Un jackpot de 15 milliards d’euros pour les concessionnaires d’autoroutes. Le référé de la Cour des comptes épingle l’Etat et son plan de relance autoroutier (PRA). Signé en 2015 entre François Hollande et son gouvernement et les concessionnaires autoroutiers, il consent un allongement d’un à plus de trois ans de la durée des concessions. En échange, les sociétés d’autoroutes, comme Vinci, Eiffage et Abertis, doivent réaliser pour 3,2 milliards d’euros de travaux d’amélioration du réseau d’ici 2024.

    Pour l’Etat, ce plan doit relancer l’économie et notamment le secteur du BTP. À la clé, la création de plusieurs milliers d’emplois. Sauf que la Cour des comptes a fait ses calculs. Aux 3,2 milliards d’euros d’investissement pour élargir certains tronçons autoroutes, rénover des ouvrages d’art ou reconfigurer des échangeurs, les concessionnaires vont récupérer une quinzaine de milliards d’euros de recettes supplémentaires grâce à des concessions plus longues. Soit un euro investi pour presque cinq euros gagnés.

    (…) Par ailleurs, la Cour relève que plusieurs chantiers auraient dû être réalisés dans le cadre des contrats de concession initiaux et non à travers le fameux plan de relance. En clair, l’Etat a payé deux fois les mêmes travaux ! Des doublons présents dans deux autres contrats du même type : le '" paquet vert '" (1 milliard d’euros) signé en 2010 et le plan d’investissement autoroutier (PIA) (700 millions d’euros) signé en 2016. Pis, la Cour a découvert un cas de travaux programmé dans le cadre du plan de relance alors que le concessionnaire s’était engagé à financer le chantier auprès des collectivités territoriales concernées.

     

  • L'ordre mondial change

    Lisez

    Dans l'intro ce que recouvre la notion de "grand jeu" ( le Rimland et le heartland ), concept qui date de l'époque Victorienne 

    http://www.chroniquesdugrandjeu.com

    http://www.chroniquesdugrandjeu.com

     

    Oui, je sais, c'est long... mais vous allez apprendre de drôles de choses! et, notre pays risque d'avoir de plus graves soucis, de vrais graves....

     

  • Hier, dimanche des Rameaux

    Le tressage, une tradition qui se perd

    Rares sont les artisans dans le Vieux Nice qui perpétuent la tradition des palmes tressées. Devant la cathédrale de Nice, il n’a y a plus que deux étals. Ils appartiennent à la même génération, car la technique se transmet de génération en génération.

    Motifs traditionnels ou fantaisistes, simples ou élaborés, depuis plus de 80 ans, la famille Vaseli tresse des motifs avec le cœur des palmiers.

     […] La fête des Rameaux marquera alors le début de la semaine sainte. Signe de vitalité, il était autrefois déposé sur les tombes ou exposé dans le foyer.

    "Les fidèles portent les rameaux chez eux et se souviennent que dans la vie, il y a lumière et ténèbres, joie, peine et difficultés et que c’est tout cela qui tisse une vie humaine“. Père Michel Angella, Recteur de la cathédrale Sainte-Réparate,

    Ne répondant à aucune prescription de l’Église, les rameaux en France présentent une grande variété de végétaux correspondant à la variété des zones climatiques: laurier, olivier, buis, romarin… Si la coutume est respectée, tous ont un point commun: être brûlés au bout d’une année. L’entrée d’un jeune rameau dans sa maison marque le début d’une nouvelle année liturgique.

    Source : France 3

    A Toulouse, les rameaux sont de buis ou laurier