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  • Vol d’oiseaux noirs au-dessus de Noël

    Des sapins dans les vitrines, les halls d’immeubles, les maisons, des guirlandes de toutes les couleurs qui clignotent, les yeux des mômes qui brillent, une ambiance étrange, comme s’il allait se passer quelque chose. Mais non! Pas question, il y en a qui ne veulent pas.

    Qui cela dérange-t-il, la magie (hélas pâlissante) de Noël? Des gens qui ne veulent pas voir les enfants heureux? Qui interdisent aux grandes personnes de rêver par instants que leur vie est encore à ses débuts, quand tout était nouveau et magique?

    Qui veut empêcher les parents de s’attendrir devant la joie des petits? Et pourquoi faudrait ôter aux gens qui ont la foi le bonheur de se recueillir dans une église en pensant à la naissance d’un bébé sauveur du monde?

    A vrai dire, bien que Noël soit évidemment une fête religieuse, il ne touche ou ne ravit pas que les croyants. Beaucoup le ressentent comme une parenthèse d’enchantement, un répit, une trêve dans la bataille de la vie, avec ses rivalités d’ambition et d’argent, avec ses menaces de violences.

    Les gens qui n’ont pas la foi ont aussi des rêves un peu fous et des espoirs déraisonnables. Ce ne sont pas les projets réalistes qui nous font vivre, tous autant que nous sommes. Ce n’est pas l’achat d’une bagnole ou d’un lave-linge qui nous donne envie de vivre et nous maintient dans cet espoir fou qui est l’exact contraire du désespoir.

    Alors, qui sont ces sombres crétins qui veulent en finir avec Noël, qui veulent nous l’interdire? Quels abrutis que la vue d’une crèche offusque, eux qui chaque jour affrontent, comme tout le monde, des spectacles scandaleux plein les rues et les écrans? Qu’est-ce qui les gêne, les tracasse, les empêche de dormir, sans doute? La lueur merveilleuse dans le regard des gosses, le réconfort des vieux dont on se rappelle soudain l’existence? Les échanges de cadeaux, pas toujours heureux, mais qui valent mieux que des coups de poing dans la gueu?

    Qu’est-ce que ça leur retire, à ces oiseaux noirs, s’ils ne croient en rien, s’ils n’aiment rien ni personne, en quoi cela peut-il leur nuire? Ou alors, c’est le bonheur de gâcher le plaisir des autres, la malveillance peut-être… Sans compter, évidemment, ces musulmans qui ne tolèrent pas d’autres manifestations religieuses que les leurs, mais à qui il est facile de rappeler qu’ils ont trouvé refuge dans un pays chrétien, ou au moins de culture chrétienne, et qu’il ne manque pas de pays musulmans qui sans doute n’attentent qu’eux, comme cette immense Arabie Saoudite qui n’a pas besoin d’argent mais de bras pour fertiliser les immenses étendues de terre semi-aride, avec des techniques désormais connues et maîtrisées.

    Toutes ces "polémiques" grotesques à propos de Noël et des crèches de la Nativité illustrent de manière brutale le pourrissement du débat politique et social dans notre pays. C’est la gauche, souvent associée désormais avec les islamistes, qui a introduit dans le débat les insultes, la grossièreté, les imprécations, les menaces, le mépris.

    Tous ceux qui ne sont pas d’accord, ou émettent seulement des objections, sont des fachos, des nazis, des nauséabonds, ou même des idiots. On l’a vu récemment avec un footballeur belge se risquant à critiquer la crèche affreuse et insultante qu’on a osé installer à Bruxelles. Il a eu droit à des milliers d’insultes d’une grande bassesse – cette bassesse qui semble se répandre partout et avilir les hommes.

    Et bien sûr, ce n’est pas tout. Tous ces organismes soi-disant de gauche qui portent plainte pour un oui ou pour un non, dans le but non dissimulé de ruiner par des condamnations ceux qui ont la honteuse impudence de ne pas penser comme eux et donc comme il faut. Pour ces gens-là, il n’y plus d’adversaires mais des ennemis.  Eh bien! ils sont donc nos ennemis, en effet.

    Alors, amis et même adversaires, n’ayez pas peur de fêter Noël, quelles que soient vos croyances et incroyances. Réjouissez-vous devant les guirlandes lumineuses et devant le bonheur, si réconfortant, des enfants heureux.

    C’est en voyant les bambini, si pleins de vie et d’audace, complétement eux-mêmes encore, spontanés, nature, c’est en regardant ces petits mouflets de moins de trois ou quatre ans qu’on sait que le monde ne peut pas être entièrement mauvais.

    Avec un peu d’avance: Joyeux Noël! (Et n’ayez plus peur de dire joyeux Noël, et non pas cet insipide "joyeuses fêtes".

    Didier Blonay   

  • Le cauchemar français ne fait que commencer

    image générée par I.A.

    Le cauchemar que je crains risque d’arriver bientôt en France où j’ai cru trouver la tranquillité face à la violence islamique lorsque j’ai décidé de m’y installer.

    Et à mon grand regret, j’ai découvert que la France des Lumières, que je croyais à l’abri de la cavalerie d’Allah, est désormais sur le point de basculer dans l’inconnu.

    La terreur islamique que j’avais quittée la peur au ventre, je viens de la retrouver au pays du blasphème.

    Il est fort probable que la nuit de l’islam " des Lumières "  sera effective en France, la fille de l’Église, dans une décennie ou deux. Son étendard s’étirera alors de Dunkerque à Marseille.

    Ce jour-là, on n’entendra sur les grands boulevards parisiens que des salems-salems et oksimou biallah (je jure par Allah). Au loin, tels des fantômes, on apercevra des femmes enveloppées dans un linceul noir qui arpentent dans un silence mortifère les ruelles, loin des regards des mâles dominants. Ces images seront comparables à celles que renvoient actuellement les villes de Kaboul ou de Médine. D’ailleurs, cette situation est déjà visible dans de nombreux quartiers de France et de Navarre livrés à l’ivresse et à la violence islamiques (vols à l’arraché, cambriolages, meurtres et viols des femmes de 10 ans à 99 ans).

    "Pas de quartier pour les mécréantes, c’est Allah qui l’exige", doit-on dire.

    Ce cauchemar ne saurait tarder face au nombre et la démographie galopante. Aucune force politique actuelle ne songe à ce fascisme noir rampant qui, tel une coulée de lave d’un volcan en éruption, est en train d’étouffer les verdoyantes plaines et les sommets enneigés de la douce France.

    Le crépuscule islamique déploie son étendard en ville comme en campagne. Le peuple de France semble hypnotisé par les prêches mielleux enrobés dans la sauce de la taqîya.  Et peu à peu, ce cauchemar deviendra réalité. Il sera la norme bientôt.

    Un jour, inchallah, viendra où les lumières de la démocratie s’éteindront et l’agora de la liberté ne sera qu’un lointain souvenir. Ce jour-là, la caste ne trouvera aucun endroit pour se réfugier, car les nations éveillées auront barricadé leurs frontières pour ne pas subir la nuit islamique.

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