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  • Qui est NAO ?

    Les français ont l'intelligence de créer un robot qui se présente comme une machine; les Japonais fabriquent des robots qui nous ressemblent! ça, c'est la catastrophe annoncée: un jour où l'autre, les humains s'entretueront à cause de machines ressenblantes parce que l'on ne saura plus si celui qui est devant nous est notre ami ou voisin de pallier ou si c'est une machine!

    GRÂCE AUX JAPONAIS: LA DESTRUCTION DE LA SOCIÉTÉ HUMAINE EST AVANCÉE!

     

    NAO est un robot humanoïde de 58 cm de haut. Il est petit, mignon, tout en rondeur, vous ne pouvez que l'aimer ! NAO est destiné à être un compagnon bienveillant dans vos maisons. Il peut se déplacer, vous reconnaître, vous entendre et même vous parler !

    Depuis sa naissance en 2006, il n'a cessé d'évoluer pour vous être agréable, vous distraire, vous comprendre et vous aimer. Bref, pour devenir un jour votre ami.

    Aldebaran a créé NAO pour être un véritable compagnon au quotidien : il est la petite créature qui saura vous aider à devenir meilleur. Sa forme humanoïde et son extrême interactivité le rendent très attachant et créateur d'émotions.

    Son histoire

    En attendant d'être prêt pour entrer dans vos foyers, NAO est devenu une star dans le monde de l'Éducation. Dans plus de 70 pays, il s'est installé dans les classes d'informatique ou de sciences, du primaire jusqu'à l'université. Grâce à lui, les étudiants apprennent la programmation de manière ludique et appliquée. Ils le programment pour le faire marcher, attraper de petits objets, ou encore pour le faire danser !

    Il a ensuite conquis les communautés de développeurs qui voient en lui un support puissant et incroyablement expressif pour la création d'applications. Imaginez-vous tout ce qu'il est possible de faire faire à NAO. C'est un nouveau monde d'applications qui s'ouvre à eux... pour la prochaine étape qui est sa commercialisation pour le grand public.

    NAO, bientôt dans vos foyers!

    Parlez, il vous répond !

    Demandez-lui quelque chose et il le fait ! Vous pourrez par exemple demander à NAO d'apprendre les tables de multiplication à vos enfants, de vous réveiller le matin, de surveiller votre maison en journée ou de vous apprendre de nouvelles choses dès que vous le demandez. Vous n'avez plus besoin de clavier, d'ordinateur ou de souris pour communiquer avec la technologie. Il suffit de lui parler et il vous répond !

    Un nouveau membre de la famille

    Imaginez maintenant qu'il puisse apprendre à détecter vos humeurs pour avoir toujours le bon mot, qu'il sache reconnaître les membres de votre famille par leur prénom, qu’il ait appris de vous vos goûts musicaux, culinaires ou cinématographiques.

    C'est l'objectif auquel travaille Aldebaran: en faire un compagnon interactif intéressant et complice. Sa forme humanoïde vous transporte dans un monde d'émotions et d'affection, sa gestuelle lui donne vie et le rend attachant, sa capacité d'interaction fait de lui un nouveau membre de la famille.

    http://www.aldebaran.com/fr/qui-est-nao

     

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  • TEXTE INTERDIT AUX MOINS DE 18 ANS

    Durex Fundawear: des sous-vêtements vibrants contrôlés par iPhone

    Oui, oui vous avez bien lu. Détournez le regard des enfants et accrochez un petit " -18″ en bas à droite de votre écran, aujourd’hui sur ScientiGeek on va parler sexe !

    Tout droit sorti des laboratoires de Durex, j’ai nommé Durexperiment (et oui, il faut aussi de la R&D pour les capotes), voici les Fundawear, des sous-vêtements qui vous permettront de toucher votre partenaire via internet !

     

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    Quésako ? Eh bien les Fundawear sont tout " simplement " des sous-vêtements high-techs, conçus pour pouvoir retranscrire le toucher de votre partenaire à distance via une application mobile (iOS).  Concrètement, il vous suffira d’enfiler ledit sous-vêtement, de lancer l’application Fundawear et de vous coupler via internet à celle de votre conjoint (attention à pas vous tromper d’identifiant, petits coquins). Le sous-vêtement de votre conjoint(e) apparaît sur le smartphone, avec des zones interactives, et vous n’avez plus qu’à toucher là où vous voulez titiller votre moitié ! Voici une petite vidéo officielle pour présenter le concept :

    Comme nous sommes des scientifiques, voyons comment tout cela marche. La technologie développée par le labo Durexperiment et Snepo Technologies se base sur un système électrique Arduino ATMEGA2560 (pour faire simple, c’est la partie qui est connectée à internet et fait le lien vers le sous-vêtement). Lorsqu’un des deux chauds lapins appuie sur une zone sur l’application pour aller titiller la/le conjoint(e), un signal est envoyé via internet vers les serveurs, avec une clé de cryptage pour éviter les risques de croisement de données ou hacking. Une fois le signal transmis, il part activer des piezo-actuateurs des zones recouvertes par les sous-vêtements, situés exactement sur les clusters de surfaces sensoriels (les " zones de sensibilité " couvertes par nos nerfs), pour les exciter ! Simplissime certes mais lorsqu’il faut cacher tout cela dans un bonnet ou un caleçon bien fourni…

    Bien sur, ce n’est pas la première initiative tentant de " rapprocher tactilement " les couples par l’électronique. Nous nous souvenons des recherches de l’équipe du Kajimoto Laboratory (University of Electro-Communications, Japon) qui ont développé une machine permettant de transmettre un baiser via Internet.

    Cette fantaisie rappelle tout de suite Demolition Man (mais si vous savez, le sexe par casques à réalité virtuelle… ça veut dire que les 3 coquillages vont aussi arriver ?!) et fait plutôt rire. D’ailleurs, cela ne nous étonnerait pas que l’objet se démocratise et se couple aux pratiques de type chatroulette comme Bazoocam !

    Bon au final, cette trouvaille est quand même assez marrante et nous ne pouvons qu’être curieux d’essayer (pour l’avancée de la science bien sur…). Malheureusement, le Durex Fundawear n’est pas encore commercialisé. Mais si vous avez la chance de résider en Australie, vous pourrez aller sur la page Facebook Durex Australia et vous proposer comme " cobaye ". Les autres chauds lapins devront attendre encore un peu...

     

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  • Première usine de production de médicament de thérapie cellulaire européenne

    CELLforCURE

    Les thérapies cellulaires désignent les greffes de cellules visant à restaurer les fonctions d’un tissu ou d’un organe lorsqu’elles sont altérées par un accident, une pathologie ou le vieillissement.

    Créée en 2010, CELLforCURE (filiale du groupe LFB) regroupe l'ensemble des activités de thérapie cellulaire du groupe. CELLforCURE développe une activité de services i) d’industrialisation des procédés de thérapies cellulaires dans un cadre conforme aux exigences ATMP, (ii) de production dans un cadre pharmaceutiques de lots pour des essais cliniques et commerciaux, et iii) pharmaceutiques et réglementaires nécessaires pour l’accès au marché du produit (études réglementaires, supply chain, distribution, enregistrement …etc).

    Coordonnateur du projet C4C retenu dans le cadre des investissements d’avenir fléchés sur "les projets structurants des pôles de compétitivité" CELLforCURE fabriquera notamment 5 produits de thérapie cellulaire en vue de l’obtention de leur autorisation de mise sur le marché (AMM) dans les 5 années à venir. 9 partenaires privés et publics sont impliqués :

    LFB – CellForCure (Les Ulis): mise en place de l’outil industriel, opérateur de la CMO, accompagnement pharmaceutique des partenaires

    Celogos (Paris): développement du MTI incontinence anale

    lean Cells (Bouffere): développement de tests pour la détection d’aberrations chromosomiques

    EFS (Bordeaux, Toulouse): développement de MTI hémopathies

    Hospices civils (Lyon): développement de la solution de conditionnement des lots

    CHRU (Nantes): développement du MTI mélanome

    CHRU (Toulouse): développement du MTI ischémies cardiaques sévères

    CHRU (Bordeaux): développement du MTI hémopathies

    CHRU (Lille): développement du MTI diabète

    C4C est un projet piloté par la société CELLforCURE (filiale du Laboratoire de fractionnement biologique - LFB) et co-labellisé par le pôle Atlanpole Biotherapies. Le projet vise à mettre en place le premier plateau technique français d’industrialisation des thérapies cellulaires. L’objectif est de produire des médicaments de thérapie cellulaire auto/allogénique et valider ce démonstrateur par la production de 5 médicaments de thérapie innovante (MTI). La finalité est de structurer une filière industrielle française en thérapie cellulaire. A terme, ce projet favorisera le traitement de nombreuses maladies comme certains types de diabète et de cancer : l’insuffisance cardiaque ou l’incontinence pourront à l’avenir être traitées par le remplacement de cellules défaillantes par des cellules opérationnelles.

     Le LFB spécialiste des MDP (médicaments dérivés du plasma) va ainsi engager 18 M€ sur sa plate-forme de bioproduction des Ulis (91), dans le développement d’un plateau d’industrialisation de thérapies cellulaires, autologues et allogéniques.

    Cette première plate-forme française sera dotée d’une capacité annuelle d’environ 5 000 lots thérapeutique cliniques comme de routine ; elle constituera la première unité européenne modulaire " capable d’accompagner jusqu’à la production industrielle les projets de R&D innovants issus de la recherche publique comme des PME ".

    Domaines d'application

    Cancérologie/Oncologie; Cardio-vasculaire; Métabolisme, Endocrinologie, Nutrition; Santé Humaine

  • Statistiques du blog septembre 2014

     

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    MERCI!

  • Magique!

    La cape d'invisibilité est tendance dans les laboratoires. Qu'elle soit recréée par un film contenant de "minuscules structures [capables] de manipuler la lumière", comme dans cette expérience en 2010, par agencement de miroirs et de lumière (en 2013) ou par imitation du caméléon (en 2014), les scientifiques ne se lassent pas de cet accessoire permettant de dérober la réalité au visage du monde. Par amour d'Harry Potter, ou peut-être parce qu'un dispositif d'invisibilité est tout de même bien pratique. Tel qu’il est décrit, le procédé rappelle beaucoup ces tours de magie où il s’agit de faire disparaitre certaines parties du corps par un système d’optique et de miroirs mais ici le principe est affiné et permet de rendre l’objet invisible quel que soit l’angle de vue que l’on puisse prendre par rapport à l’optique.

    Cette fois-ci, c'est Joseph Choi et John Howell de l'université de Rochester, aux Etats-Unis, qui nous apportent la dernière invention de ce goût-là, dont les résultats viennent d'être soumis au journal Optics Express, et publié sur ArXiv, site de publications scientifiques.

    Pour recréer l'invisibilité, ces deux chercheurs se sont penchés sur l'optique: ils ont trouvé "une manière d'arranger quatre lentilles afin qu'elles agissent comme une cape d'invisibilité qui peut être vue de plusieurs angles" différents, rapporte le site I Fucking Love Science. "Cette cape tord la lumière et l'envoie au travers du centre du dispositif, de telle façon que la zone de l'axe ne peut être bloquée ou masquée."

    Ce qui est intéressant ici c’est que si un autre élément est placé à l’extrémité de la première lentille, celui-ci sera en revanche parfaitement visible. En d’autres termes, cela veut dire qu’un tel système, une fois miniaturisé, pourrait permettre à un chirurgien de procéder à une intervention tout en " voyant " à travers ses propres mains (seule l’élément le plus proche est caché, le " fond " reste bien visible).

    "C'est le premier dispositif de notre connaissance qui permet une invisibilité tridimensionnelle et multidirectionnelle, et qui fonctionne en transmettant des rayons dans le spectre visible", à en croire Joseph Choi, cité dans un communiqué publié sur le site de son université.

    Cet appareillage pourrait selon lui trouver une application dans le domaine de la médecine, en aidant par exemple les chirurgiens à "voir au travers de leurs mains ce sur quoi ils travaillent", rapporte le Time. Le site ajoute que le dispositif pourrait aussi servir "aux conducteurs de voir leurs véhicules dans le point mort".

    C’est le résultat assez spectaculaire d’un procédé réalisé avec des moyens peu onéreux. Car c’est là un autre avantage de l’invention des chercheurs de Rochester : pas d’électronique sophistiquée ici, pas de composants hors de prix. La Cape d’invisibilité n’est pas encore pour tout de suite, mais il y a au moins quelques chances qu’elle soit accessible au commun des mortels.

    Néanmoins, il n'est pas encore parfait, note le communiqué de presse