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  • Encore un avertissement...

    Pour Elon Musk, créer de l’intelligence artificielle, c’est "invoquer le démon"

    Le célèbre PDG persiste et signe. Pour lui, l’intelligence artificielle représente une menace pour l’existence de l’humanité. Il préconise un contrôle règlementaire national ou international.

    Elon Musk voit déjà la fin de l'humanité. Il avertot que l'intelligence artificielle c’est dangereux. Ce serait même, selon lui, potentiellement plus dangereux que le nucléaire. Elon Musk, le patron de Tesla et SpaceX, confirme sa vision pessimiste sur l’intelligence artificielle. Invité spécial à l’occasion d’une conférence du MIT sur les technologies aéronautiques et spatiales, il est questionné par une personne du public qui lui demande ce qu’il pense de cette technologie et s’il compte la développer dans ses propres entreprises.  La réponse fut radicale. "Je pense que nous devrions être très prudents à propos de l’intelligence artificielle, explique-t-il. Si je devais deviner ce que serait notre plus grande menace existentielle, je dirais probablement que c’est ça. (...) Avec l’intelligence artificielle, nous invoquons le démon. Vous savez, ces histoires où il y a un gars avec un pentagramme et de l’eau bénite, et il est certain qu’il pourra contrôler le démon. Ça ne marche pas“.

    Elon Musk pense même qu’il faudrait créer un contrôle étatique sur cette recherche, une idée plutôt inhabituelle pour un homme d’affaires américain. "Je suis de plus en plus enclin à penser qu’il devrait y avoir une certaine surveillance réglementaire, peut-être au niveau national ou international, juste pour s’assurer que nous ne faisons pas quelque chose de très stupide", souligne-t-il.

    Ce n’est pas la première fois que PDG s’exprime de manière aussi négative sur ce sujet. Début octobre, dans le cadre du sommet Vanity Fair, il avait déjà mis en doute l’intelligence artificielle, mais ses mots n’étaient pas aussi dramatiques que maintenant. Matrix, Terminator et 2001, Odyssée de l’espace ne sont plus très loin. Dans ce dernier cas, la réalité serait en train de dépasser la fiction. "HAL9000 serait facile [à contrôler]. C’est un petit chiot [par comparaison à l’intelligence artificielle développée aujourd’hui],"

    Après le serial entrepreneur Elon Musk, c'est le grand physicien britannique Stephen Hawking qui a récemment fait part de ses craintes face au développement tous azimuts des technologies d'intelligence artificielle.

     Comme ces deux grandes figures des sciences et de la technologie, faut-il avoir peur de ce champ de recherche en plein essor? De l'homme augmenté aux voitures automatiques en passant par le cerveau connecté cher aux transhumanistes ou par les objets connectés.

    Selon Stephen Hawking, l’intelligence artificielle menacerait la race humaine. C'est aussi l'avis de l'entrepreneur américain Elon Musk.

    Selon Stephen Hawking, l’intelligence artificielle – c'est-à-dire le fait que des ordinateurs pensent comme des êtres humains – pourrait provoquer " l’extinction de la race humaine ". C’est ce qu’il a déclaré à la BBC.

    Le scientifique pense que le jour où les machines seront capables de se prendre en charge toutes seules, elles n’auront plus besoin des hommes et elles feront tout pour s’en passer. Un vrai scénario de science fiction, genre Matrix, Terminator et 2001 L’Odyssée de l’espace à la fois. En effet, Stephen Hawking explique que les humains sont défavorisés car ils sont limités par une lente évolution biologique alors que l’intelligence artificielle des ordinateurs, elle, va beaucoup plus vite. Imaginez des machines fabriquant elles-mêmes d’autres machines et que des ordinateurs programment d’autres ordinateurs. Stephen Hawking est considéré comme l’un des plus brillants scientifiques vivants. Autant dire que lorsqu’il s’exprime, on tend l’oreille.

  • Demain, jaunisse pour tous!

    Oh, les parigots: pourquoi vous ne vendez pas votre Tour Eiffel….

    ... au lieu de l'aéroport Toulouse-Blagnac?

    Cela vous ferait très mal aux tripes?

    Ben, c'est pareil pour nous, les Toulousains!

    Je dis que la gauchiasse a vendu un peu de l'âme toulousaine pour récupérer des nèfles!

    Si c'est saboteurs faisaient les vraies réformes structurelles, alors, nous aurions pu conserver des pans entiers de notre patrimoine français.

    J'appelle cela de la forfaiture!

    La gauchiasse vend la France aux étrangers, chaque jour un peu plus.

    Vite, faut les dégommer! Les déchoir de la nationalité française qu'ils salissent.

    Ils vendent leur âme pour du fric?

    Alors, leur retirer leurs biens et avoirs en France, les bannir eux et leur famille, de près ou de loin, qu'ont les perdent définitivement, que leurs noms soient maudis à jamais…. Hors la France: saboteurs!

    Définitivement!

    La France, la terre de France est notre bien, à nous, ceux qui triment et payent leurs impôts et taxes diverses à ces avariés de la tête à la panse remplie de nos désespoirs!

    Sortons ces affreux traitres de leurs dorures républicaines.

    Dehors tous! Démission, démission, démission!

    Dehors les traîtres de la France: le peuple souverain de France, te banni gauchiasse!

    Sortons-les! Mort aux cons, disait-ils en 68! Que les cons de 68 se regardent l'ombilic et voient la diarrhée merdique de haine et de “vouloir tout“ qui est leur apanage!

    Frottons-leur la cervelle au savon avant de les renvoyer!

    Félicitations et même respect! pour ces 18 000 toulousains qui ont tenté de sauver le navire Toulouse-Blagnac! Amis d'Airbus, protégez nos brevets! Le loup est dans la bergerie.

  • Attention aux robots!

    Stephen Hawking: "L'intelligence artificielle pourrait mettre fin à la race humaine"

    ENCORE UNE FOIS: j'ai raison

    http://www.legende-des-siecles.com/futur/index.html

    L'astrophysicien britannique Stephen Hawking a averti que le développement de l'intelligence artificielle pourrait signifier la fin de l'humanité. Dans un entretien avec la BBC, le scientifique a déclaré que ce type de technologie pouvait évoluer rapidement et dépasser l'humanité, un scénario comparable à celui des films Terminator ou 2001, l'odyssée de l'espace, ou du roman Robopocalypse.

    "Les humains seraient dépassés"

     "Les formes primitives d'intelligence artificielle que nous avons déjà se sont montrées très utiles. Mais je pense que le développement d'une intelligence artificielle complète pourrait mettre fin à la race humaine", a affirmé le professeur dans cet entretien. "Une fois que les hommes auraient développé l'intelligence artificielle, celle-ci décollerait seule, et se redéfinirait de plus en plus vite", a-t-il déclaré.

     "Les humains, limités par une lente évolution biologique, ne pourraient pas rivaliser et seraient dépassés", a poursuivi M. Hawking, considéré comme un des plus brillants scientifiques vivants.

    Un des premiers à être "connecté" à Internet et moi aussi, en 1996!

    Il reste en faveur des nouvelles technologies de communication et a déclaré avoir été un des premiers à être "connecté" aux débuts d'Internet. M. Hawking a déclaré qu'Internet avait apporté à la fois des dangers et des bénéfices, citant un avertissement du nouveau chef de l'agence d'espionnage électronique britannique GCHQ, selon lequel Internet était devenu un centre de commandement pour criminels et terroristes.

     "Les entreprises d'internet doivent faire plus pour contrer la menace, mais la difficulté est de le faire sans sacrifier la liberté et la vie privée", a soutenu l'astrophysicien âgé de 72 ans.

    Il a affirmé ne pas vouloir changer sa voix robotique

    Atteint de la maladie de Charcot, autrement appelée sclérose latérale amyotrophique ou SLA, Stephen Hawking se déplace en fauteuil roulant et parle à l'aide d'un ordinateur. Il a annoncé mardi que son système de communication, amélioré par le groupe américain Intel, serait accessible gratuitement à la communauté scientifique en janvier 2015.

    Tout en saluant les progrès, le scientifique a affirmé ne pas vouloir changer sa voix robotique, qui provient d'un synthétiseur conçu initialement pour un service d'annuaire téléphonique. "Cette voix était très claire bien qu'un peu robotique. Elle est devenue mon signe distinctif et je ne la changerais pas pour une voix plus naturelle avec un accent britannique", a-t-il dit à la BBC. "Apparemment les enfants qui ont besoin d'une voix synthétique en veulent une comme la mienne".

    OUI, ALLEZ LIRE ET ÉCOUTER MES AVERTISSEMENTS

    http://www.legende-des-siecles.com/futur/index.html

  • ...Sentant sa fin prochainne.... (le laboureur et ses enfants - LaFontaine)

    Des chercheurs américains de l'Université de Chicago, ont trouvé un lien entre l’incapacité à reconnaître des odeurs et le risque de mortalité.

    Selon une étude publiée mercredi dans la revue américaine Plos One, les personnes plus âgées, incapables d'identifier de simples odeurs comme celle de la rose ou de l'orange, ont un risque accru de mortalité dans les 5 ans.

    Sentir venir la mort... Selon une étude publiée mercredi dans la revue américaine Plos One, le dysfonctionnement olfactif s'avérerait être un meilleur indicateur du risque de mortalité qu'un diagnostic d'insuffisance cardiaque, de cancer ou de maladie pulmonaire.

    Seules des pathologies hépatiques graves sont un indicateur plus fort de la probabilité de décéder dans les cinq ans.

    L'équipe de chercheurs, qui comprenait des psychologues, des médecins, des sociologues et des statisticiens ont avancé plusieurs hypothèses pour expliquer ce phénomène. L'une d'entre elles est que le système olfactif est doté de cellules souches, capables de se régénérer. Une diminution de l'odorat pourrait donc signaler une baisse de la capacité générale de régénérescence de l'organisme avec l'âge, et accroître toutes les causes de la mortalité. "Cela n'est pas une cause directe de la mort mais un signe avant-coureur que quelque chose ne tourne plus rond dans l'organisme" tient à préciser le Dr Jayant Pinto, professeur adjoint de chirurgie à l'Université de Chicago, spécialisé dans la génétique et le traitement des maladies olfactives, et un des principaux auteurs de l'étude.

    Les résultats de cette recherche pourraient en tout cas, selon lui, "permettre de développer des tests cliniques utiles et pas chers, capables d'identifier rapidement des personnes courant un plus grand risque de mortalité".

    Ce travail, mené par des scientifiques de l'Université de Chicago, auprès de 3.000 hommes et femmes âgés de 57 à 85 ans, représentatifs de la population américaine, a en effet révélé que 39% des personnes sondées, qui n'avaient pas réussi à identifier des odeurs simples comme celle de la rose, de l'orange, du poisson, de la menthe et du cuir, sont décédées dans les cinq années suivant le début de l'étude. Contre 19% des personnes avec une perte modérée de l'odorat et 10% chez ceux pouvant sentir normalement. Et l'âge fait une différence: 64% des plus jeunes (57 ans) ont ainsi pu reconnaître toutes les odeurs qui leur étaient présentées pendant la phase de test, contre 25% seulement des plus âgés (85 ans).

    Un signe avant-coureur d'un dysfonctionnement de l'organisme

    L'équipe de chercheurs, qui comprenait des psychologues, des médecins, des sociologues et des statisticiens ont avancé plusieurs hypothèses pour expliquer ce phénomène. L'une d'entre elles est que le système olfactif est doté de cellules souches, capables de se régénérer. Une diminution de l'odorat pourrait donc signaler une baisse de la capacité générale de régénérescence de l'organisme avec l'âge, et accroître toutes les causes de la mortalité. "Cela n'est pas une cause directe de la mort mais un signe avant-coureur que quelque chose ne tourne plus rond dans l'organisme" tient à préciser le Dr Jayant Pinto, professeur adjoint de chirurgie à l'Université de Chicago, spécialisé dans la génétique et le traitement des maladies olfactives, et un des principaux auteurs de l'étude.

    Les résultats de cette recherche pourraient en tout cas, selon lui, "permettre de développer des tests cliniques utiles et pas chers, capables d'identifier rapidement des personnes courant un plus grand risque de mortalité".

    Une anosmie peut avoir de nombreuses causes. Lorsqu'elle est la conséquence d'une rhinite ou d'une sinusite, ce trouble cesse avec la maladie. Elle peut aussi être le symptôme d'une polypose (inflammation qui entraîne une congestion des muqueuses). Certaines affections virales peuvent entraîner une diminution non réversible de l'olfaction. Un traumatisme, notamment crânien, est également une cause fréquente (15-20%) d'anosmie non réversible.

    Ce trouble peut par ailleurs être associé à des intoxications (chrome, asphalte, plomb, zinc…), ainsi qu'à l'apparition de tumeurs. Il rentre également fréquemment dans le tableau clinique de pathologies neurologiques (SLA, sclérose en plaques, maladie d'Alzheimer, Parkinson…).

    Premier constat : 40% des 100 patients ayant reconnu moins de quatre odeurs… ont poussé leur dernier souffle dans les cinq années qui ont suivi.

    A priori, rien d'étonnant, puisque la plupart d'entre eux étaient âgés. Mais en y regardant de plus près, les scientifiques ont montré que, quel que soit leur âge, ces patients dits "anosmiques" avaient un risque de décéder dans ce laps de temps au moins doublé par rapport aux autres (sur-risque estimé entre +100% et +450%).

    Plus prédictif qu'un cancer ou un AVC

    Le fait d'être anosmique apparaît un facteur "prédictif" de décès – en d'autres termes, un indicateur de sur-risque de mortalité – plus pertinent que le fait d'avoir eu un cancer, d'avoir souffert d'une attaque cardiaque ou d'un AVC, voire d'être diabétique.

    Une des explications avancée par les chercheurs est que notre système olfactif est doté de cellules souches capables de se régénérer. Une diminution de l'odorat pourrait donc signaler une baisse de la capacité générale de la régénérescence de l'organisme, qui diminue de fait les risques de survie à toute maladie.

    Source : Olfactory Dysfunction Predicts 5-Year Mortality in Older Adults. J.M. Pinto et coll. PLOS One, 1er oct. 2014 doi:10.1371/journal.pone.0107541

     

  • Une ville sous-marine va naître au Japon

    Cette cité se présente sous la forme d'un gigantesque globe. Elle est capable d'accueillir 5000 résidents permanents. "C'est un véritable objectif, pas un rêve."

    Le Japon projette de construire une cité-sous-marine, à l'horizon 2030. C'est le géant japonais de la construction Shimizu qui a conçu cette cité futuriste baptisée “Ocean Spiral”.

    Les villes sous-marines alimentent des fantasmes depuis la nuit des temps. Et elles ont inspiré un nombre incalculable de fictions, mangas, films, et autres productions audiovisuelles dont certaines sont désormais célèbres: l'Atlantide, Star Wars et sa ville sous-marine Naboo... Cette fois-ci, cet univers tant fantasmé pourrait bien devenir une réalité. C'est que laisse entendre le géant japonais de la construction Shimizu, qui a dévoilé les plans de ce projet incroyable.

    Le concept: créer une cité sous-marine capable d'accueillir pas moins de 5000 résidents permanents, rapporte le Guardian. Son nom: Ocean Spiral. "Nous n'exploitons pas suffisamment l'immense potentiel des profondeurs", a expliqué le groupe à l'origine du projet, composé d'un panel d'architectes, ingénieurs, et océanographes. La construction prend la forme d'une immense sphère transparente de 500 mètres de diamètre immergée juste sous la surface de la mer. On y entrera en empruntant une spirale qui serpentera sur 15 kilomètres de long, et abritera logements, commerces, bureaux, hôtels...

    Tout au fond de cette grande structure en spirale, on trouvera "l'usine terrestre", qui produira le méthane nécessaire pour alimenter toute la cité sous-marine en énergie. Avec un budget de 20 milliards d'euros, la construction du projet devrait prendre environ cinq ans. En revanche, c'est de mettre au point la technologie qui permettra la vie dans cet espace qui demandera une quinzaine d'années, estiment les initiateurs du projet. "C'est un véritable objectif, pas un rêve", a tenu à déclarer Hideo Imamura, le porte-parole de Shimizu.

    La société de construction japonaise ne compte pas s'en tenir à ce seul projet pour les années à venir. Shimizu a d'ores et déjà planifié d'autres constructions ambitieuses. Parmi elles, on peut citer notamment une base lunaire, un hôtel dans l'espace ainsi que des cités botaniques flottantes. "J'espère qu'à l'avenir, ces initiatives vont se multiplier et qu'elles vont se démocratiser afin que chaque citoyen puisse avoir un rôle actif dans leur création", explique Christian Dimmer, professeur d'urbanisme à l'Université de Tokyo, qui estime que ce qu'il appelle les "techno-utopias" pourraient résoudre les problèmes de montées des eaux provoqués par le réchauffement climatique.

     

    Histoire racontée sur mon espace youtube: nos descendants de l'an 3000

     

     

     

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