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  • VIH: plus d’un tiers des migrants infectés après leur arrivée en France

    35 à 49 % des migrants séropositifs sont infectés par le VIH après être arrivés en France. C’est la conclusion d’une étude menée auprès de 880 personnes originaires d’Afrique.

    VIH: plus d’un tiers des migrants infectés après leur arrivée en France

    L’estimation est alarmante. Plus d’un tiers des migrants qui vivent avec le VIH en France ont été infectés après leur arrivée dans le pays. C’est la fourchette basse d’une étude menée par l’Agence nationale de recherche sur le sida (ANRS) et publiée dans le Bulletin Epidémiologique Hebdomadaire (BEH) de l’Institut de Veille Sanitaire (InVS).

    888 personnes ont accepté d’être suivies dans le cadre de ces travaux. Elles sont originaires de Côte d’Ivoire, du Mali, de la République Démocratique du Congo… Si les profils se distinguent par leur variété, les participants sont relativement jeunes. Leur âge médian est de 28 ans pour les femmes, 30 ans pour les hommes.

    Malgré ces différences apparentes, 35 à 49 % des migrants qui sont infectés par le VIH l'ont été après leur arrivée sur le territoire français. Une estimation qui confirme les résultats de travaux menés auparavant. Les hommes sont davantage touchés que les femmes. " Ce résultat est cohérent avec l’épidémiologie du VIH en Afrique, qui touche davantage les femmes que les hommes et à un âge plus précoce, analysent les auteurs. Étant donné que les femmes et les hommes sont arrivés sensiblement au même âge en France (30 et 28 ans en médiane, respectivement, dans notre échantillon), les femmes ont une plus grande probabilité d’avoir été déjà infectées par le VIH lorsqu’elles arrivent en Europe“.

    Les hommes ayant des comportements plus risqués, ce décalage pourrait s’expliquer. La probabilité est d’autant plus élevée s’ils ont migré à un jeune âge ou s’ils sont présents depuis longtemps dans l’Hexagone. Cette conclusion rend d’autant plus important le développement de la prévention et du dépistage au sein de ces populations isolées. L’utilisation des TROD (tests rapides à orientation diagnostique) et des autotests en milieu communautaire et associatif doit le permettre. Une activité en progression, à en croire une autre étude publiée dans le BEH: le nombre de TROD réalisés depuis 2012 a quasiment doublé.

    Article ici

     

  • Halte aux microbilles dans les produits de beauté

    Aujourd’hui focus sur des choses que vous ne soupçonnez pas et qui sont à la mode maintenant chez tous les fabricants de cosmétiques et produits sanitaires: les microbilles de plastique, du polyéthylène ou du polypropylène. Bon appétit, mes amis!

    Sans doute, comme moi, ignoriez-vous jusqu’il y a peu que de nombreux produits cosmétiques contiennent de ces micro-billes de plastique. Du plastique! Et vous devez en avaler tous les jours….

    J'ai déjà mis une info sur ce blog avant de le changer de destination, les nano-particules, cherchez avec la boîte à outil.

    Au cours du mois de janvier 2013, Unilever, le gigantesque groupe annonçait qu’il abandonnait l’utilisation de microbilles de plastique dans certains de ses produits cosmétiques pour le corps: les gommages et les soins exfoliants. L’entreprise répondait de cette façon aux pressions de plusieurs associations environnementales britanniques qui font campagne contre l’utilisation de ces micros-plastiques… Depuis, les appels des associations n'ont cessé.

    Jusqu'à il y a peut, ce sont les illuminés des défenseurs de la nature qui pleuraient pour nous expliquer les dégâts sur l'environnement.

    Les Anglo-saxons appellent les microbilles des "larmes de sirène", un terme évocateur de leurs effets sur la faune marine.

    Dans un article du Figaro, François Galgani, chercheur à l’Ifremer et spécialiste de ce problème explique que "globalement, on sait que 70 % à 80 % des plastiques de toutes tailles que l’on retrouve dans les océans viennent de la terre". Il estime que dans les déchets plastiques flottant à la surface des océans, "la part des cosmétiques restera toujours plus faible que celle provenant des emballages", mais que c’est pourtant un véritable problème car ces micro-plastiques sont facilement ingérés par la faune aquatique…

    Les particules de plastique sont si petites qu’elles ressemblent à s’y méprendre à des grains de sable, et si nombreuses dans l’océan, que selon The Guardian, elles dépassent parfois les quantités de plancton. Les micro-plastiques entrent ainsi dans la chaîne alimentaire des petites créatures marines, et donc dans notre propre chaine alimentaire. François Galgani souligne aussi qu’au-delà du danger que représentent les micro-plastiques pour les espèces qui les mangent, ces micro-plastiques agissent aussi de manière indirecte sur l’environnement en servant de "support à d’autres espèces qui se greffent sur ces micro-déchets et vont coloniser grâce aux courants marins d’autres territoires modifiant grandement les équilibres".

    Mais, après la déclaration d'Unilever, est-ce qu’on ne trouve ces billes que dans les gommages?

    Il n’est pas facile de cerner l’étendue du problème. Comme l’explique le journaliste du Figaro qui consacre un article à ce sujet, Unilever jusqu’à présent n’a pas répondu aux questions posées concernant les quantités utilisées de ces plastiques. On sait que c’est le plus souvent du polyéthylène ou du polypropylène. Et aussi que ces micro-billes peuvent entrer dans la composition d’autres produits que les gommages et soins exfoliants: vous avez certainement vu de ces billes dans des savons, des gels, des crèmes, des shampooings, des déodorants, des eye-liners et même des dentifrices.

    Selon les estimations de la Marine Conservation Society "trois produits de gommage sur quatre contiennent ces micro-plastiques".

    L’ONG évoque aussi une étude de l’institut pour les études environnementales de l’université d’Amsterdam selon laquelle les microbilles peuvent représenter jusqu’à 10,6 % du poids d’un produit, soit 21 grammes de plastique pour 200 ml de produit. Cospheric, un fabricant de ces microbilles, explique qu’il faut plus de 147 millions de billes mesurant 0,02 mm pour obtenir un gramme, ou plus de 400.000 pour celles qui mesurent 0,15 mm. Or, dans une étude publiée dans Marine Pollution Bulletin, des chercheurs néo-zélandais estiment pour leur part que les "trois quarts des marques de nettoyants pour le visage vendus dans les supermarchés du pays utilisaient des microbilles d’une taille inférieure à 0,1 mm".

    Au final, Corinne, ce sont probablement des milliards de petites billes qui aboutissent chaque jour dans les égouts puis les rivières et les mers, puisque bien souvent, les stations d’épuration ne parviennent pas à les filtrer.

    Pourquoi sont-elles aussi présentes ?

    Selon les fabricants, ces billes industrielles sont sans danger pour notre santé et ont l’avantage de pouvoir être colorées, d’être moins irritantes selon eux que les exfoliants naturels car d’une rondeur plus régulières… Il est probable qu’il y ait tout simplement des avantages financiers et pratiques pour les fabricants de cosmétiques à utiliser ces microbilles sans doute moins chères et plus faciles à se procurer en grande quantité que les exfoliants naturels?

    Comment les éviter?

    En examinant les emballages qui parfois mentionnent que le produit "contient des microbilles". Soyez attentifs à l’aspect du produit aussi: il va de soi qu’un dentifrice dont on voit des microbilles bleues ou vertes est sans doute à base de microbilles synthétiques… Plus que jamais, cela peut être utile d’apprendre à lire la liste des ingrédients (on en a parlé dans cette chronique) car à côté de ces microbilles, les nanoparticules sont de plus en plus souvent présentes dans les cosmétiques: ce sont des produits invisibles à l’œil nu qui peuvent avoir un impact réel sur la santé des animaux marins et de la notre.

    L’Université de Wageningen aux Pays-Bas a montré en 2012 qu’en présence de nanoparticules, l’appétit des moules est moins important. L’étude a aussi confirmé que dans l’estomac des poissons se trouve 12% de débris en moyenne, dont la moitié de plastique.

    Comme alternatives à ces exfoliants de plastique, vous pouvez soit choisir des produits qui contiennent des exfoliants naturels comme la poudre de coque de noix ou vous en procurer pour réaliser votre propre produit vous-même. Certains ingrédients très courants comme le sel, le sucre, ou le marc de café forment de bonnes bases d’exfoliants. Pour le dentifrice, pensez au bicarbonate, qui a un effet légèrement abrasif et remplace ainsi les microbilles de plastique.

    Pour le corps, vous pouvez aussi utiliser un gant de loofah, réalisé à 100% à partir de restes de séchage d’un concombre exotique. Pour le visage, néanmoins, et les peaux sensibles, privilégiez des substances légèrement gommantes.

    Voici un un masque gommant très doux à base de farine de riz, une recette pratiquée par les japonaises.

    C’est très simple: mélangez une cuillère à soupe de farine de riz avec un peu de lait, ajoutez une goutte d’huile de sésame, il n’y a plus qu’à étaler sur la peau de votre visage, puis laisser poser une dizaine de minutes avant de rincer!

    Sachez voir la présence d’ingrédients polluants ou toxiques dans les produits de beauté et les parfums. Vous éviterez ainsi les phtalates et autres substances nocives encore trop souvent présentes dans les parfums et cosmétiques que l’on aime offrir.

     

  • Le patron des sapeurs pompiers de Paris raconte la nuit des attentats du 13 novembre

    les médias – hélas!

    Interrogé par Claude de Ganay (LR-Loiret), qui estime que "les médias perturbent votre action et celle de l’ensemble des forces de secours dans une intervention comme celle du 13 novembre", Philippe Boutinaud répond qu'"on ne pourra pas demander aux médias de cesser de diffuser dans les heures suivant un attentat, et c’est à nous de nous adapter à cette situation et à leur dire de ne pas nous solliciter pendant notre intervention".

    L'exemple de la Belgique, où les médias avaient accepté le 22 novembre de ne pas parler, à la demande de la police, d'une vaste opération antiterroriste en cours à Bruxelles, a été encensé par le député. "Dans la soirée du 13 novembre, des journalistes m’ont appelé, mais je leur ai répondu que je n’avais pas le temps de m’entretenir avec eux. Il y a lieu de réfléchir collectivement à une évolution de nos rapports avec les médias", répond M. Boutinaud.

    Tout l'article est là

    Comme indiqué par ce responsable, les médias français feraient mieux de fermer leur gueule et de laisser les professionnels faire leur travail!

     

  • Ainsi va la vie en gauchiasserie

    Nancy: un jeune radicalisé tabasse sa sœur pour "motif religieux"

    Quand l’intégrisme régit l’ordre familial. La semaine dernière, Kousseila Ait Mouhoub, Franco-Algérien de 22 ans au profil radicalisé, a découvert sur les réseaux sociaux que sa sœur, 17 ans, avait discuté avec un garçon. En colère, il l’a alors attrapée par les cheveux, l’a jetée au sol et lui a asséné de multiples coups de pied, rapporte l’Est républicain. Hors de lui, il s’en est également pris à son frère cadet.

    "Mon sentiment profond est que vous avez le profil type de la bonne recrue pour Dae’ch…", a déclaré le juge du tribunal lors de sa comparution. Kousseila Ait Mouhoub a été condamné à une peine de trente mois, dont douze avec sursis, avec mise à l’épreuve durant deux ans.

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    Vosges: un adolescent frappe un octogénaire

    Une violence qui se banalise. Un jeune adolescent de 14 ans, connu des services de police de Remiremont (Vosges), devra se présenter au tribunal correctionnel le 5 février pour répondre de violences aggravées sur personne vulnérable, rapporte Vosges Matin. Les faits se sont déroulés le 9 octobre dernier lorsqu’un groupe de jeunes décide de s’en prendre à plusieurs personnes âgées en leur jetant des pierres. Une des personnes âgées réprimande le groupe. L’un des jeunes, ne supportant pas ces remarques, va alors la frapper.

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    Grande-Synthe: un appel à témoins lancé à la suite d’une tentative d’enlèvement

    La police de Dunkerque a lancé un appel à témoins après ce que tout indique être une tentative d’enlèvement, révèle la Voix du Nord. Mercredi, à la sortie des cours, une élève du collège Jules-Verne de Grande-Synthe, âgée de 13 ans, aurait été empoignée par son écharpe alors qu’elle traversait la rue. Le passager et le conducteur d’un 4x4 Audi noir immatriculé dans les Bouches-du-Rhône seraient descendus du véhicule pour la forcer à monter mais des témoins sont venus en aide à la jeune fille.

     

  • Agressions sexuelles dans un train belge commises par des migrants domiciliés en France

     L’affaire n’est malheureusement pas sans rappeler celles qui secouent actuellement Cologne et Stockholm. Au moins trois jeunes femmes ont, coup sur coup, été victimes d’agressions sexuelles dans un train de la SNCB reliant Bruxelles à Tournai pas plus tard que dimanche 10 janvier dernier. Un seul et même groupe de jeunes ont commis ces faits: trois demandeurs d’asile d’origine syrienne qui sont établis en France et sont encore tous mineurs. Le plus âgé n’a que treize ans, les deux autres ont douze ans. Une information confirmée hier par le substitut du procureur du Roi de Tournai, Frédéric Bariseau.

    Le trio a pu être interpellé dans l’enceinte de la gare de Tournai grâce à l’alerte donnée en temps réel par l’une des victimes. Formellement identifiés dans le cadre d’une enquête ouverte pour attentat(s) à la pudeur avec violence, tous ont cependant été rapidement relaxés dans la foulée parce que, selon des sources biens informées, "la substitute de garde, pour qui il n’y avait pas de quoi fouetter un chat, avait déjà pris la décision que le dossier ne ferait pas l’objet de suite et qu’il fallait donc les relâcher après leurs auditions !"

    (…) LaLibre.be

    http://www.fdesouche.com/690913-agressions-sexuelles-dans-un-train-belge-commises-par-des-migrants-domicilies-en-france

     

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  • Femme attaquée en France, à Paris... aucun journal pour vous le raconter!!!

    Paris / jour de l’an : une jeune britannique agressée sexuellement par un groupe d’hommes

    Une ado britannique, Kaludia Fior, a révélé comment elle a été agressée sexuellement le jour de l’an à Paris.

    "Il y avait un tas d’hommes derrière nous qui faufilaient leurs mains entre la foule pour nous toucher".

    A un moment Mlle Fior a été poussée à terre et agressée sexuellement par un groupe d’hommes qui lui ont arraché ses vêtements.

    "En un quart de seconde, un homme m’a tripoté les fesses je me suis retournée pour voir qui c’était pour lui dire d’arrêter, c’est à ce moment que les hommes m’ont attaquée et m’ont fait tomber à terre".

    "Ils ont attrapé mes vêtements et les ont déchiré. J’étais assise les fesses nues sur le sol. J’avais un body alors quand ils en ont déchiré une partie tout le reste s’est déchiré".

    "Ensuite ils m’ont tripotée le corps, ils ont cassé mes colliers et c’est à partir de là qu’ils m’ont pénétrée avec leurs mains".

    "J’étais complètement sous le choc".

    "J’ai essayé plusieurs fois de me relever mais à chaque fois on me jetait à terre".

    "Ca a duré deux ou trois minutes au total mais c’était une éternité. Je me sentais impuissante, comme si il n’y avait rien à faire pour me sortir de là".

    "J’ai crié et mon amie Kamali a essayé de se faufiler pour m’aider mais c’était difficile. Non seulement il y avait 5 ou 6 hommes penchés sur moi, mais il y en avait une cinquantaine tout autour".

    http://www.fdesouche.com/690941-paris-jour-de-lan-une-jeune-britannique-agressee-sexuellement-par-un-groupe-dhommes#

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