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  • Ordures!

    Des sites web de plusieurs paroisses piratés par un groupe tunisien

    Les sites internet des paroisses des Martres-de-Veyre et d’Ambert ont été victimes d’un piratage, le week-end dernier. Une bannière à caractère djihadiste a remplacé la page d’accueil. L’information a été révélée par nos confrère de France Bleu Pays d’Auvergne ce mardi soir.

    Le curé d’Ambert, Pierre Tézenas, responsable de la paroisse Saint-Jean-François-Régis en Livradois-Forez, a appris le piratage du site de la communauté samedi soir.

     " Un monsieur qui se rendait à la messe m’a informé que le site de la paroisse était piraté et qu’apparaissaient des écritures islamiques, explique le curé. J’ai immédiatement prévenu le webmaster qui a fait le nécessaire pour que la page d’accueil de la paroisse soit rétablie rapidement. Dans la soirée tout était rentré dans l’ordre.

     À quelques kilomètres de là, aux Martres-de-Veyre, le même scénario se jouait sur le site de la paroisse Saint-Romain du Val d’Allier. Là encore, très vite, le gestionnaire du site web a fait en sorte de faire disparaître les écritures signées par " Tunisian fallaga team ". (…)

    lamontagne.fr

     

    Le site de la paroisse de Rethel attaqué par des pirates tunisiens.

    Une vague de cyber-attaques s’était déjà produite en janvier 2015. Cette fois, ce sont les sites des paroisses catholiques qui sont visés. On signale des attaques à Nantes, en Loire-Atlantique, et Rethel dans les Ardennes.

     Juste après les attentats de Charlie Hebdo, les membres d’un groupe de hackers baptisé " Tunisian Fallaga Team " avait déjà fait parler de lui en piratant une centaine de sites internet sur le territoire français.

    Ce week-end, ils se sont attaqués aux pages web de plusieurs paroisses nantaises. Comme le signalent ce mardi matin nos collègues de France Bleu Champagne Ardenne, ils s’en sont également pris à celle de la paroisse de Rethel dans les Ardennes. (…)

     lunion.fr

     

     

  • Médicaments non utilisés: le palmarès des régions qui recyclent le plus

    Selon Cyclamed, 8 Français sur 10 participent au recyclage des médicaments en rapportant ceux qu'ils n'utilisent pas en pharmacie. Les Limousins sont les plus vertueux. 

    Rien que pour l'année 2015, ce sont 15 477 tonnes de déchets issus de médicaments qui ont été collectées par les pharmacies françaises et regroupées par les grossistes répartiteurs avant leur valorisation à des fins énergétiques. C'est le bilan de l’association Cyclamed qui a pour mission de collecter et de valoriser les Médicaments Non Utilisés (MNU) à usage humain, périmés ou non, rapportés par les patients dans les officines.

    Plus exactement, le tonnage réel des MNU, avec le poids des cartons et des produits de parapharmacie soustraits, atteint 12 108 tonnes, en progression de + 0,4 % par rapport à 2014. La moyenne nationale s'établit donc à 185 grammes par habitant. Et pour savoir à quoi sert ce comportement civique, Cyclamed explique que " la valorisation énergétique de ces MNU permet d’éclairer et de chauffer l’équivalent de 7 000 logements ". Un acte utile donc que les Français s'approprient de plus en plus.

    80% des Français recyclent les médicaments 

    L’étude menée par l’institut BVA en février 2016 révèle que 80 % de nos concitoyens déclarent rapporter leurs MNU chez le pharmacien, dont 74 % d’entre eux le font " toujours " (contre 69 % en 2015). " Cela montre une forte fidélisation de ce réflexe auprès d’une grande partie de la population ", se félicite l'association. Ce sont surtout les plus de 50 ans (86 %), les femmes (85 %), et les personnes habitant des communes rurales qui ont adopté ce geste éco-citoyen.

    Parmi ces gens, 24 % séparent déjà les boîtes en carton et les notices en papier des médicaments. Chez ces Français, la protection de l’environnement est très bien perçue (93 %), eux qui n'ignorent pas que le dispositif permet d’éviter les rejets médicamenteux dans la nature (décharge, eaux de surface et souterraines).

    Par ailleurs, l’adhésion à la valeur de la sécurité sanitaire est en croissance cette année (90 %). Elle permet de prévenir les risques d’intoxications ou de confusions médicamenteuses au sein du foyer.

    C'est donc logiquement que pour la troisième année consécutive, le poids des MNU baisse dans chaque foyer français de manière importante (-8 % en 2012, -18 % en 2014 et -10 % en 2016), "ce qui confirme la prise de conscience des citoyens sur la nécessité de préserver son environnement et sa sécurité sanitaire domestique", écrit l'association. Le gisement en masse annuel des MNU reste tout de même de 19 000 tonnes, soit 323 grammes par foyer et par an en 2016.

    Les Limousins meilleurs recycleurs

    Et face à cet enjeu, certaines régions se distinguent plus que d'autres. Les plus vertueuses sont, comme en 2014, le Limousin (340 g de médicaments non utilisés rapportés par personne) devant la Bourgogne (243 g) et le Picardie (242).

    Les meilleures progressions sont à mettre au crédit des D.O.M (+10 %), de la Bourgogne (+6 %), et enfin de la Corse (+3 %).

    Tant de pays dans le monde dont les gens meurent parce qu'il n'y a pas de médicament dans le pays!

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  • On va devoir s'habituer à avoir peur de notre ombre...

    Chocques (62) : un groupe de 20 migrants impliqué dans une agression sur une aire de repos de l’A26

    De l’avis d’un gendarme, « c’est une agression très très rare ». Jeudi soir, vers 23 h 45, un groupe d’une vingtaine de migrants a agressé trois personnes, sur l’aire de repos de la Grande Bucaille, sur l’autoroute A 26 : le conducteur d’une camionnette, qui s’était arrêté là pour téléphoner, ainsi qu’un couple originaire de Norrent-Fontes, qui revenait d’Arras.

    D’après nos sources, le groupe s’en serait pris à la camionnette d’abord, puis aux occupants de cette Clio. Armés de pierres et de bâtons, les agresseurs ont asséné des coups et brisé les vitres du véhicule. L’un des garçons du couple s’est alors réfugié dans les toilettes de cette aire, avec le conducteur de la camionnette, pour avertir les gendarmes. Entre-temps, son compagnon, à l’extérieur, a été sérieusement blessé.

    Mauvais endroit, mauvais moment

    Les premiers éléments de l’enquête tendent à penser que les victimes « étaient au mauvais endroit, au mauvais moment ». Cette aire d’autoroute étant située à deux kilomètres du petit camp de migrants de Chocques (une vingtaine de personnes tout au plus), ceux-ci tentent souvent d’embarquer dans les camions depuis le parking.

    D’après certains témoignages, il semblerait qu’un groupe violent de passeurs ou de migrants même, terrorise les exilés de Chocques. Dans ce contexte migratoire très tendu, des luttes sont en effet observées pour la maîtrise des points de passage. « La pression monte », constate une bénévole de l’association Terre d’errance, qui vient en soutien aux exilés. Plusieurs bagarres auraient ainsi éclaté, depuis le début de l’année, ce qui n’est pas confirmé.

    Il se pourrait donc que les trois victimes de l’aire de l’A26 aient été confondues avec des membres de ce groupe violent qui sévirait dans la région, et que certains exilés aient voulu se venger, attaquer pour se défendre. C’est, pour l’heure, l’hypothèse privilégiée. Le peloton autoroutier de Béthune a ouvert une enquête.

     (…) La Voix du Nord

    11/04/16

    L’information est à prendre avec beaucoup de précautions, mais les faits sont confirmés : un jeune homme originaire de Norrent-Fontes a été agressé jeudi soir vers 23h30, sur l’aire de repos de la Grande bucaille à Chocques, entre Lillers et Béthune. Il a été sérieusement blessé à la tête. Sorti de l’hôpital vendredi, il a été à nouveau hospitalisé dimanche. La victime dit avoir été agressée par des migrants.

    Une enquête de la gendarmerie est en cours. Jeudi soir, un homme de 22 ans a été agressé sur l’aire de la Grande Bucaille à Chocques. Il aurait d’abord été témoin d’une première agression d’un homme, par un groupe d’une quinzaine de migrants selon ses déclarations, avant d’être lui-même pris à partie par les agresseurs. Il s’est alors réfugié dans sa voiture. Les vitres du véhicule ont été brisées, à coup de bâtons et de pierres, les mêmes armes qui ont été utilisées contre lui lorsqu’il a tenté de se mettre à l’abri dans un camion. Son compagnon, qui se trouvait aux toilettes, a appelé les secours. À l’arrivée de la gendarmerie, les agresseurs n’étaient plus sur place.

    L’Avenir de l’Artois

     

  • Quai d'Orsay. Un ministère où règnent fraudes et passe-droits

    Un journaliste à L'Obs raconte les coulisses du ministère des Affaires étrangères dans "La face cachée du quai d'Orsay". Au menu, fraudes, vols et passe-droits.

    Privilèges, fraudes, malversations, vols, harcèlements, affaires de pédophilie étouffées ou encore passe-droits. Tout cela en toute impunité ou presque.

    En s'appuyant sur une centaine de témoignages et certains documents confidentiels, Vincent Jauvert, journaliste à L'Obs, dresse un portrait au vitriol du ministère des Affaires étrangères dans son livre "La face cachée du Quai d'Orsay" (éditions Laffont), publié ce jeudi.

    Argent détourné, un seul blâme à l'arrivée

    Cette enquête sur ce ministère amer à la dérive commence avec l'affaire Bruno Delaye. Le diplomate est soupçonné d'avoir détourné près de 90 000 euros en louant les 18 000 m² de l'ambassade de France qu'il occupe à Madrid à de grandes sociétés, rappelle Le Parisien. À l'été 2012, un paquet de factures est envoyé anonymement à la directrice administrative du Quai d'Orsay, une enquête est menée, mais elle n'accouchera que d'un blâme de l'ambassadeur.

    Fraudes aux notes de frais, œuvres d'art subtilisées

    De là, Vincent Jauvert épingle bien d'autres affaires et évoque des diplomates fraudant leurs notes de frais, subtilisant des œuvres d'art en dépôt ou harcelant leur personnel. La liste est "longue", confie Le Parisien.

    Le journaliste de L'Obs pose alors la question des salaires et les frais alloués aux ambassadeurs (des sommes allant de 10 000 euros à 200 000 euros par an selon les postes). Des sommes assez mystérieuses. Un diplomate lui aurait d'ailleurs confié que " jusqu'en 1999, il était on ne peut plus simple de grignoter quelques milliers d'euros chaque année ".

    L'omniprésence de Marie-France Marchand-Baylet

    Autre révélation: l'omniprésence de Marie-France Marchand-Baylet, compagne de l'ancien ministre Laurent Fabius, qui aurait clairement influencé des nominations. Pour preuve, un entretien malheureux avec celle-ci aurait empêché une diplomate expérimentée d'avoir le poste qu'elle convoitait, apprend-on dans Le Parisien.

    Loin de condamner l'intervention de sa compagne, Laurent Fabius aurait simplement défini cette affaire comme une "mésentente entre femmes".

     

    DÉGAGE, ESCROC! - ndlr