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  • CV: les meilleurs? les Gaulois

    Chère Madame El Khomri,

    ou dois-je vous appeler Myriam, si vous craignez que votre nom de famille ne vous discrimine...

    J'apprends que vous vous êtes élevée récemment, contre la discrimination dont les maghrébins souffriraient à l'embauche. Vous avez financé une " étude " qui a constitué à proposer à quarante grandes entreprises 1500 paires de CV identiques en tout point, sauf au niveau du nom. L'un présentait un nom gaulois, l'autre un nom arabe. Oui je sais, pour une raison qui m'échappe, on ne dit plus aujourd'hui " arabe ", on dit musulman. Mais tant pis, je reste avec mon vocabulaire pré-novlangue et je continue à appeler un chat un chat et un arabe un arabe.

    Ainsi donc, les noms à consonance arabe étaient moins invités à se rendre à un entretien que les noms français de souche, avec une différence de 11 points (47% de CV français contre 36% de CV arabes). Cette étude vous a coûté - NOUS a coûté, devrais-je dire- plus de 200 000 euros. Bon.

    Je ne discuterai pas de l'intérêt de cette étude, ni même de son coût, encore que, à 67 euros le CV, je ne m'inquiète pas trop pour la marge du prestataire qui vous a vendu cet attrape-couillonne.

    Vous vous offusquez du résultat dévoilé. Bon. Admettons. Et vous " haussez le ton ", pour reprendre l'expression employée dans un article du site 20minutes.fr, en promettant des plans d'actions coercitives envers les entreprises fautives qui seraient prises en flagrant délit de discrimination à l'embauche.

    Je pourrais discuter de la représentativité de l'échantillon des entreprises choisies pour votre petite expérience, comme l'ont fait d'ailleurs certains observateurs, mais ce n'est pas mon propos. Et, pour le principe du débat, acceptons l'hypothèse que, oui, les maghrébins sont choisis moins volontiers que les Français de souche, à compétence et expérience (écrites...) égales.

    J'observe seulement qu'il manque un élément utile dans votre expérience. Que dis-je, utile, fondamental ! Vous ne voyez pas lequel ? Non, vraiment ? Ça ne m'étonne pas. Les politiques de petite envergure s'arrêtent toujours à l'écume des faits et ne vont jamais plus profond.

    Cet élément fondamental se résume à un seul mot : Pourquoi. Oui, Pourquoi ? Pourquoi les entreprises préfèrent-elles embaucher un Français plutôt qu'un Arabe ? Voilà une question à laquelle votre étude, pour 67 euros le CV, aurait pu essayer de répondre. Car c'est la seule question qui vaille.

    Pourquoi ? Cela aurait pu faire avancer le schmilblic si vous aviez eu la réponse.

    Ça ne vous étonne pas que douze entreprises sur quarante, de divers secteurs d'activité, n'ayant pour seuls points communs que d'être toutes dans les affaires et de partager le même souci, à savoir embaucher le meilleur profil pour un poste donné, et surtout éviter le piège coûteux en temps et en argent d'une mauvaise embauche, aient le réflexe de donner la préférence à un Gaulois ?

    D'où proviendrait, selon vous, cette défiance si bien partagée, à l'égard des candidatures arabes ?

    Il ne m'appartient pas de vous apporter la réponse. D'abord parce qu'il n'y a pas de raison pour que je vous la donne gratuitement alors que vous êtes prête à payer très cher pour une étude qui ne vous la donne pas. Ensuite parce que ma démonstration prendrait plus de place que ne le permet cette simple missive.

    Evidemment, je sais bien que vous avez votre petite idée. Une petite idée assez conforme à celles véhiculées par les pseudo associations anti-racistes et les milieux gauchistes bien pensants : les candidats gaulois sont préférés parce que les patrons gaulois sont racistes. En d'autres termes, ils ne veulent pas de gens " différents ". Et les Arabes sont " différents " donc ostracisés. C'est bien cela que vous pensez, n'est-ce pas ?

    Seulement voilà : vous avez tout faux. Et vous avez tout faux, parce que comme la quasi-totalité des politiques – particulièrement des politiques de gauche- vous ne connaissez pas l'entreprise. Vous n'avez aucune idée de comment elle fonctionne.

    Je vais vous apporter un indice : un patron se fout a priori comme d'une guigne de la couleur de peau de son employé. Il laisse ce genre de considération aux idéologues, aux rêveurs, et aux enculeurs de mouches. Aux politiques par exemple. Il cherche simplement - enfin simplement, si on peut dire - une personne compétente, sachant s'intégrer dans son entreprise, adhérer à ses valeurs et qui lui créera le moins de problème possible. Et le tout pour le meilleur rapport qualité-coût.

    Je vous fiche mon billet que si votre étude avait porté sur une comparaison CV gaulois versus CV asiatiques, vous auriez eu des résultats très différents. Si vous le voulez, je vous mène cette étude pour la moitié du prix de la première. Chiche !

    Les résultats seraient différents, et pourtant, les Asiatiques sont aussi, à maints égards, " différents " du Gaulois. Mais il se trouve que cette différence ne suscite pas la même méfiance. Bizarre, non ? Est-ce que par hasard, la communauté maghrébine n'aurait pas à se remettre en cause ? C'est sans nul doute, je vous l'accorde, moins facile que d'incriminer les entreprises... A bien y réfléchir, votre étude n'est pas seulement inutile, elle est nuisible. Car elle victimise une population déjà portée à souffrir du syndrome de Calimero. alors que celle-ci devrait au contraire être culpabilisée.

    En réalité, dans votre for intérieur, vous savez très bien pourquoi les maghrébins ne déclenchent pas l'enthousiasme des employeurs. Et vous le savez d'autant mieux que vous êtes vous-même d'une double culture, ayant un père marocain et une mère bretonne. J'observe en passant que vous avez choisi le pays gaulois pour vous épanouir. Hasard ou lucidité ?

    Vous vous permettez donc de menacer de mesures coercitives les chefs d'entreprise qui ne joueraient pas le jeu du " vivrensemble ".

    A cela, je vous répondrais trois choses. D'abord, il ne s'agit pas d'un jeu, justement. Le chef d'entreprise n'est pas là pour jouer. Il est là pour faire fonctionner son entreprise au mieux, parce que c'est sa vie, son argent, son patrimoine et son avenir, voire celui de ses enfants. Il n'est pas là, comme vous l'êtes, pour véhiculer des idéaux en étant payé par le contribuable.

    Ensuite, à quoi rimerait d'obliger un DRH à donner automatiquement un rendez-vous d'entretien après réception de CV d'un candidat arabe s'il ne veut pas d'Arabe dans son entreprise. Ce candidat se ferait bouler après entretien plutôt qu'avant. Belle affaire ! Ça sauverait les apparences ? Cela serait surtout une perte de temps pour l'employeur ET pour le candidat.

    D'une façon plus générale, il vous faudra bien vous faire à cette idée, une bonne fois pour toutes : de la même façon que vous n'obligerez jamais un chef d'entreprise à embaucher s'il n'en a pas besoin, vous n'obligerez jamais un employeur à embaucher une personne dont il ne veut pas. Il n'y a que l'Etat qui peut se permettre ce genre de fantaisie.

    Et enfin, je voudrais vous rappeler une évidence. Ce n'est pas le citoyen Français qui a demandé cette société multiculturelle. Voulez-vous me rappeler quand il a été consulté la dernière fois (ou la première...), pour savoir s'il voulait cette " diversité ", cette immigration maghrébine massive ?

    C'est vous, les politiques, qui l'avez voulue. Comme disait ma grand'mère, vous l'avez voulue, vous l'avez eue, maintenant faites avec. C'est votre problème, pas celui de l'entreprise. En un mot trivial comme en cent: démerdez-vous. Et foutez la paix aux entreprises. Elles ont juste besoin de pouvoir se gérer comme elles l'entendent, et surtout, de préférence, bien mieux que la façon dont vous autres les politiques, gérez la France.

    Je ne sais pas pourquoi je vous écris tout ça aujourd'hui, chère Myriam, alors que dans cinq mois à peine, vous ne serez plus à votre poste et que vous serez oubliée, à peine la lumière de votre bureau éteinte.

    Au moins, prenez la peine de laisser cette lettre en évidence sur la table, avant de partir, afin que votre successeur en prenne connaissance, si d'aventure il lui prenait la lubie de lancer à son tour une étude aussi contre-productive.

    D'avance, je vous en remercie.

    NB : Ne perdez pas non plus de vue que porter un nom à consonance arabe n'est pas toujours pénalisant. C'est même parfois un avantage. Regardez votre propre cas. Pensez-vous que vous êtes au poste que vous occupez pour vos compétences?

    Ça se saurait. Ne vous racontez pas d'histoire. Tous ceux qui vous entourent savent que votre patronyme vous a servi de passe-droit. Vous êtes l'alibi "vivrensemblesque" du gouvernement de Hollande Ouille.

    Si vous aviez gardé le nom de votre mère, vous seriez toujours, au mieux, petite élue anonyme du 18 e arrondissement...

    http://saucisson-pinard.blogspot.fr/

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    NB : Ne perdez pas non plus de vue que porter un nom à consonance arabe n'est pas toujours pénalisant. C'est même parfois un avantage. Regardez votre propre cas. Pensez-vous que vous êtes au poste que vous occupez pour vos compétences ? Ça se saurait. Ne vous racontez pas d'histoire. Tous ceux qui vous entourent savent que votre patronyme vous a servi de passe-droit. Vous êtes l'alibi "vivrensemblesque" du gouvernement de Hollande Ouille. Si vous aviez gardé le nom de votre mère, vous seriez toujours, au mieux, petite élue anonyme du 18 e arrondissement...

    http://saucisson-pinard.blogspot.fr/

  • Cest quoi cette France de racailles et de sacs à merde?

    Sarcelles (95): "Quel délit de faciès? Il n’y a pas de Blancs ici, à part les flics, les profs et les pompiers"

    Plongée au cœur du malaise policier. [....] Nadine, qui tient le guichet. A 60 ans, Nadine a été recasée là, après une vie de barmaid au foyer des CRS. [...] Le jour de la visite de Bernard Cazeneuve, alors ministre de l’intérieur, une jeune fonctionnaire a pourtant été installée à la place de Nadine. Des voitures neuves avaient aussi été prêtées par la préfecture de Cergy, en cache-misère des guimbardes de Sarcelles, et des agents amenés d’autres commissariats, pour faire masse. " C’est normal que les officiels ne comprennent rien: à chaque fois, on monte un décor pour faire croire que tout va bien, dit un fonctionnaire. Mais ce qu’on vit, d’autres institutions le vivront aussi. On est juste à l’avant-poste. " [...]

    Gauchiasse de merde!

    Mais qui a voté pour ces cons?

    Sylvie, major exceptionnel, évite tout signe distinctif quand elle quitte le boulot. " C’est le monde à l’envers: normalement, c’est pas à nous de nous cacher. " Devant les commissariats, les flics gardent maintenant les flics, ambiance bunker, la police contre le reste du monde. La parole aussi est barricadée, comme s’il y avait la peur et la honte de la peur. " Qu’est-ce qu’on peut dire ? On est censés représenter la force et on se fait tirer comme des lapins ", lâche le bonhomme de permanence. [...]

    "Aujourd’hui, le magistrat lui-même démonte les enquêteurs. Depuis que la procédure s’est incroyablement compliquée, le vice de forme est devenu une hantise", reprend Yann Le Poulard.

    Les appels radio se succèdent au poste, dans la pièce à côté. [...] des jeunes en bande caillassent le tram. " On va les attraper, Ils vont dire que c’est pas eux, le procureur sera encore de leur côté ", s’énerve une très jeune femme. Elle en parle comme d’une trahison. [...]

    Aujourd’hui, les vols avec violence sont devenus la priorité – arrachages de sac et de portable surtout. Sarcelles détient le record du Val-d’Oise, plus de mille par an. Un service spécifique a été crée en 2015, au sein du groupe de la repression des violences aux personnes. Déjà passée de huit fonctionnaires à trois, la brigade des mineurs y avait été dissoute dans le cadre d’une réforme nationale. " Notre spécificité a disparu, on l’a très mal pris ", estime Nadège, brigadier-chef. " Une enquête de viol, c’est long, sans intérêt statistique. Maintenant, on appelle parfois les victimes trois ans après les faits. " Un arrachage, en revanche, " ça se résout tout de suite, du résultat facile, ça brille ", explique une autre. Le nouveau service décroche les meilleurs résultats du département – " A la préfecture, la directrice connaît nos noms. "

    [...]

    Ici comme ailleurs, la drogue a tout bouffé, tout étouffé, tout acheté, y compris la paix sociale. Les " violences urbaines" ont sacrément chuté, le business aime le calme. Maintenant, les bagarres ont surtout lieu à la poste, le jour du versement des allocations. N’empêche. [...] "Mains contre le mur ", dit Ludo, dans le hall. " Tu me contrôles parce que je suis noir? Délit de faciès ", dit un petit nerveux. Il a tutoyé les flics, tout de suite. [...] Dans la voiture, un des équipiers rouspète. " Ils se sentent protégés de nous. Les associations n’arrêtent pas de monter au créneau, les médias suivent. " A l’avant, le second relance. " Toujours devoir se justifier. Eux, ils ont juste à dire qu’on a tort pour être crus. Quel délit de faciès? Il n’y a pas de Blancs ici, à part les flics, les profs et les pompiers. "Il parle de son métier, qu’il n’ose plus évoquer en famille. De sa cousine, professeure en milieu rural. " Elle ne voit pas ce qu’on vit. Pour elle je suis le diable, limite une carte FN collée sur la tronche. (NDLR Normal c'est une planquée de ponctionnaire... y'a pas pire gauchiards que les profs!!)

    "En intervention dans les quartiers, Ahmed, de police-secours, se fait régulièrement traiter de " vendu ". Il n’aurait peut-être pas choisi ce métier quand il était môme, dans les années 1980. A ses débuts à Tourcoing, dans le Nord, voila quinze ans, dit-il, il y avait encore des " commentaires ". Il complète: " de mes propres collègues ". [...]

    Garges-lès-Gonesse est à l’autre bout du district: un commissariat imposant, construit en forme de revolver. Sous les plafonds majestueux, les mots résonnent comme dans une cathédrale déserte: ils ne sont plus qu’une quinzaine depuis le rattachement à Sarcelles. La chaudière vient d’éclater. Elle ne sera pas changée: trop cher. Des radiateurs ont été apportés, certains de chez soi. Ici, on traite surtout les stupéfiants et la délinquance financière. " On nous demande de prioriser les fraudes contre la Caisse d’allocations familiales et la Sécurité sociale, dit une fonctionnaire. Il n’y en a pas tant que ça – de la survie, surtout. "

    Parfois, quelqu’un appelle pour s’inquiéter d’un autre dossier. Presque invariablement, il s’entend répondre: " Ecrivez au parquet. " Il arrive que le parquet envoie à son tour un papier bleu: où en est l’enquête ? Alors, un fonctionnaire descend à la cave. Il traverse un fouillis de plantes en plastique, rescapées d’une visite officielle, et de vélos datant de l’époque où devaient se lancer des brigades à deux-roues. Et là, tout au fond de ce cimetière des ambitions brisées, le fonctionnaire ouvre un placard. 1 846 dossiers sont alignés: escroquerie, abus de confiance, paiement frauduleux… Le fonctionnaire pose le papier bleu sur l’affaire qui lui correspond. Au hasard: l’arnaque d’un joli moustachu de Sarcelles contre une infirmière de Rodez, rencontrée sur Meetic, 2 850 euros en 2013. Puis le fonctionnaire remonte. Il faudrait dix plein-temps pendant six mois pour les écluser. "Alors on attend que les procédures meurent toutes seules. " [...]

    Entre 2012 et 2014, quatre suicides ont frappé les équipes de Sarcelles. […

    Le Monde

    Un article du Monde???????

    si eux s'y mettent!!!!

    on va peut-être arriver au bout de ces conn..... de vendus de bobos gauchiasse!

    pas trop tôt!!!

     

  • Peillon appelle à la haine contre les juifs en comparant le sort des musulmans français sous Vichy

    Je n'ai pas encore fait le portrait du zoo politique, mais, déjà, vous en avez une avance!

    Il est des leurs: il fait le con comme les autres socialopes!

    Peillon a dressé un parallèle entre l’antisémitisme et l’islamophobie, Peillon accuse le Front national d’instrumentaliser la laïcité " contre certaines catégories de population " comme " il y a 40 ans les juifs à qui on mettait des étoiles jaunes "

    Jamais la dhimmitude, le mensonge, le clientélisme, mais également l’appel à la haine n’auront atteint ces limites.

    Peillon a-t-il seulement conscience de la monstruosité de cette comparaison ?

    Monstruosité car les juifs étaient officiellement désignés comme les ennemis de la nation, là où les musulmans français sont, bien au contraire choyés par les différents partis de gauche mais aussi de droite, à tel point que toute forme de remise en question de ce favoritisme est aujourd’hui sanctionné et puni par la justice au titre de discrimination, racisme ou incitation à la haine…’

    Monstruosité car faire ce rapprochement c’est simplement nier la souffrance, la spoliation et l’extermination de masse des juifs, de manière parfaitement officielle et revendiquée dans le cadre de la collaboration, sous Pétain.

    Monstruosité car le FN, complètement débarrassé de son passé sulfureux où sévissait le négationnisme, est aujourd’hui le seul parti à défendre les juifs, sans aucune ambiguïté.

    Monstruosité car tout le monde sait que l’antisémitisme le plus virulent et assassin vient principalement de membres de la communauté arabo-musulmane, comme ont pu l’affirmer et Jakubovicz président de la Licra et Prasquier Président du Crif.

    Monstruosité enfin car en faisant ce parallèle, Peillon cherche à diaboliser davantage le FN en le comparant au régime de Vichy et en faisant passer aujourd’hui les adeptes de l’islam pour les victimes quand on sait que c’est bien l’islam qui aujourd’hui pose problème en se montrant toujours plus vindicatif, agressif, hégémonique, en cherchant à imposer la charia partout par le régime de la terreur, et que seul le FN ose le clamer haut et fort.

    Peillon réussit ici une double ignominie: faire passer les bourreaux pour des victimes mais faire passer également les résistants pour des assassins.

    L’affiche rouge est encore aujourd’hui parfaitement adaptée au contexte.

    Les méthodes de Peillon ne constituent ni plus ni moins qu’un appel à la haine envers les juifs, digne des plus sombres méthodes de la propagande allemande du troisième Reich.

    Peillon n’ignore rien des prolongement en France du conflit israélo-palestinien et de la haine historique des musulmans envers cette communauté.

    En faisant le parallèle entre les juifs et les musulmans, Peillon ne fait que victimiser davantage les musulmans. Et c’est son but.

    Comme si toutes les nombreuses associations antiracistes qui nient le racisme antiblanc et ne défendent plus, dans la plupart des cas que cette seule communauté musulmane, n’attisaient pas suffisamment le racisme de cette communauté envers les Français de souche, envers la communauté juive, envers tout ce qui n’est pas musulman.

    Même le CRIF, pourtant islamo-tolérant, c’est le moins que l’on puisse dire, demande un " correctif immédiat "

    "Le Conseil représentatif des institutions juives de France( CRIF) a publié un communiqué pour dénoncer ces propos. "Le Crif dénonce la comparaison faite hier lors de son intervention sur France 2 par Vincent Peillon entre le sort des Juifs sous l’Occupation et la situation actuelle des musulmans de France.L’histoire de la déportation de plus de 75 000 Juifs, de la spoliation des biens juifs ou des lois discriminatoires comme le port de l’étoile jaune ne saurait être dévoyée et instrumentalisée au nom d’un soi-disant équilibre des souffrances. De telles déclarations ne servent que ceux qui cherchent à réécrire l’Histoire."

    L’institution juive demande "une clarification et un correctif immédiat de la part de Vincent Peillon".

    http://www.lefigaro.fr/politique/le-scan/citations/2017/01/04/25002-20170104ARTFIG00059-peillon-compare-le-sort-des-musulmans-francais-a-celui-des-juifs-sous-vichy.php

     

    Commentaires sous ce texte, là où j'ai lu cet article:

    Pour les Français du sud, (l'Occitanie, quoi! et aussi tous les Toulousains –NDLR) une "peille" c’est un chiffon, une saleté quelconque. Pire qu'une serpillère dégueu....

    Et un "peillon", donc, rien qu’un petit chiffon, un tas informe sur lequel on n’ose même pas s’essuyer les pieds.

    Et pour tous les Français, Peillon rime avec "pauvre con". Vous me direz:que ça fait une rime pauvre, mais justement: qu’attendre de mieux d’un Peillon ?

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    C’est curieux car lorsqu’on se penche avec un minimum d’esprit critique sur la période nazi en Allemagne on s’aperçoit que dans la fin des années 20 au début des années 30 :

    – les nazis occupaient la rue et étaient à l’origine de nombreuse violences urbaines

    – les nazis se distinguaient du reste de la population par une tenue ostensiblement différente

    – tous leur programme (espace vitale, politique anti juive etc …) était écrit dans un ouvrage largement diffusé dans leurs rangs,

    – les nazis avaient un commun un salut facilement identifiable et visible de loin qui leur permettait de s’identifier immédiatement en tant que tel,

    – les nazis agressaient les juifs.

    Maintenant je vous laisse réfléchir sur qui, depuis 40 ans, sont à l’origine des violences urbaines, portent volontairement des tenues prosélytes dans l’espace publique, font référence systématiquement à un livre ou a un vieux bédouin, se salut en se frappant le cœur de la main droite, tuent des petits juifs dans les écoles ou dans les magasins cashers ?

    Donc oui, il y a bien une comparaison possible avec les années 30 mais ce n’est pas du tout celle à laquelle pense Peillon.

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    Niemöller (Martin)

    Quand ils sont venus chercher les communistes, je n’’ai rien dit, je n’’étais pas communiste.

    Quand ils sont venus chercher les syndicalistes, je n’’ai rien dit, je n’’étais pas syndicaliste.

    Quand ils sont venus chercher les juifs, je n’’ai rien dit, je n’’étais pas juif.

    Quand ils sont venus chercher les catholiques, je n’’ai rien dit, je n’’étais pas catholique.

    Quand ils sont venus chercher les francs-maçons, je n’’ai rien dit, je n’’étais pas franc-maçon.

    Quand ils sont venus me chercher, il ne restait plus personne pour protester.

     

    Lui, il vous les indique les collabos!

    Un jour, ils seront obligés de rendre des comptes au vrai peuple de France!

     

    https://youtu.be/x8NJo3_jSLs

     

  • Qui vous avait averti en juin?

    Grippe: inquiétudes après la mort d'une adolescente en Ardèche

    Trente-six heures après avoir consulté à l'hôpital, une jeune fille de 13 ans est décédée à son domicile en Ardèche. Les médecins appellent à la prévention alors que l'épidémie bat son plein.

    C'est un petit village, dans les montagnes de l'Ardèche, qui est sous le choc. A Gluiras, une adolescente de 13 ans est décédée à son domicile, dans la nuit de la Saint-Sylvestre. Trente-six heures plus tôt, la jeune fille s'était rendue aux urgences de l'hôpital de Valence (Drôme), situé à une heure de chez elle, pour consulter pour une grippe. " L'hospitalisation n'a pas été jugée nécessaire car elle ne présentait pas de signes graves ", relève l'Agence régionale de santé (ARS). Le lendemain, les pompiers et le Samu, venus à son chevet, ont tenté de la réanimer, en vain.

    L'absence d'analyses effectuées fait que l'ARS ne pouvait pas hier confirmer ou infirmer que le décès était lié au virus.

     Un flou (la grippe n'est pas une maladie à déclaration obligatoire) qui inquiète, jusqu'au député de l'Ardèche, Pascal Terrasse (PS) : " Si la mort dramatique de cette jeune fille est liée à la grippe, il est urgent de le savoir et de comprendre pour faire de la prévention. "

     Car celui qui fut longtemps chargé au Parti socialiste des questions de santé le souligne : "La grippe est un virus qui se transmet, notamment en se faisant la bise. Dans ces périodes d'embrassades de bonne année, il faut prendre des précautions. Ce n'est pas une maladie à prendre à la légère. "

    L'Institut de veille sanitaire (InVS) confirme -- sans émettre de diagnostic pour l'adolescente -- qu'un " décès à 13 ans à cause de la grippe peut arriver, mais cela est tout à fait exceptionnel ". Le dernier bulletin officiel sur le virus le montre : les 65 ans et plus sont les personnes ultra majoritairement victimes de cas graves. L'avant-dernière semaine de décembre, moins de 1 % de ces cas concernaient les 5-14 ans.

    Les consultations explosent

    En vingt-neuf ans de terrain, le docteur Serge Smadja, secrétaire général de SOS Médecins, n'a eu qu'une seule fois affaire à une " grippe maligne ". " C'est une forme de la maladie qui touche les sujets jeunes sans que l'on comprenne pourquoi. Une détresse respiratoire se crée et le système immunitaire est rapidement atteint, torpillant la personne sans que nous ayons vraiment d'explication", indique-t-il.

    A SOS Médecins, le nombre de consultations pour des grippes ne cesse d'augmenter pour toutes les tranches d'âge, et il explose pour les plus de 75 ans (+ 132 %). " Nous sommes dans une période tendue, avec une activité débordante alors que l'épidémie n'a pas atteint son pic", reprend le médecin.

    Si la grippe H3N2 qui sévit en ce moment touche particulièrement les personnes âgées, elle a pour particularité d'être très virulente. "Elle a une forme invalidante, cloue au lit de nombreuses personnes", note Serge Smadja, qui insiste: il faut se couvrir la bouche lorsque l'on tousse et se laver régulièrement les mains avec du savon.

    Le Parisien

    IMPORTANT A FAIRE

    Il faut tousser et éternuer dans sa manche.

    Il ne faut plus se faire la bise et se serrer la main

     http://demaincestaujourdhui.hautetfort.com/archive/2016/06/15/attention-grippe-de-cet-hiver-dangereuse-en-france-5815354.html

     

  • Fantômes dans votre maison? Que faire….

    Les histoires de fantômes, on les raconte partout et à toute les époques.

     Même aujourd'hui, chacun d'entre nous en connaît au moins une que ce soit l'histoire d'une jeune femme assassinée au Moyen-Âge qui retourne régulièrement sur les lieux du crime ou celle d'un vieux duc qui rôde dans son ancien palais sans pouvoir retrouver la paix.

     

     La suite dans le blog de mon site: www.josyanejoyce.com

     

     

     

  • Démentiel et triste à en pleurer!...

    Communiqué truffé de fautes : sait-on parler français à l'Elysée ?

    FIGAROVOX/HUMEUR - Christian Combaz trouvait déjà que les talents d'improvisation verbale de François Hollande étaient assez douteux. Cette fois, il s'insurge contre la pauvreté et l'incorrection des écrits élyséens même (et surtout) après transcription par son équipe.

    Christian Combaz est écrivain et essayiste, auteur des Gens de Campagnol (Flammarion). Son prochain livre, Les Ames douces, paraît ces jours-ci aux éditions Télémaque. Lire également ses chroniques sur son blog.

    François Hollande ne nous a pas habitués jusqu'ici à une expression particulièrement déliée ni toujours très correcte, mais le communiqué de presse écrit, envoyé à tous les journaux, relatif aux réfugiés de Syrie entrera certainement dans l'histoire. En tout cas je me flatte d'y contribuer. Morceaux choisis et commentés (en italique).

    “Palais de l'Elysée

    Mesdames, messieurs(sic, sans majuscule), j'ai reçu - et c'était la troisième fois - le Premier ministre d'Irlande Enda Kenny, avec lequel j'ai noué des relations d'amitié, avec des participations au Conseil européen qui nous ont rapprochés sur les grandes questions. Nos deux pays sont liés par l'histoire, et à chaque fois qu'il y a eu des épreuves, l'Irlande et la France ce sont toujours retrouvés. Irlande et France au féminin, donc retrouvées.

    [...]

    Aujourd'hui il y a une épreuve, celle du drame des réfugiés. Une image fait le tour du monde. Elle suscite une émotion, elle est partagée. Un enfant qui est retrouvé noyé sur une plage en Turquie parce que sa famille voulait rejoindre la Grèce et donc l'Europe. C'est une tragédie, mais c'est aussi une interpellation à l'égard de la conscience européenne. (Ou le Président vient de lire Christine Angot, ou il essaie d'imiter le relâchement général pour se rapprocher du peuple, ce qui est un mauvais calcul parce que même le plus obscur conseiller municipal d'un village de cent habitants aurait écrit "nous sommes témoins d'une situation qui nous serre le cœur" et non "il y a une épreuve". Quant à une "interpellation à l'égard de", c'est une autre langue que le français.)

    [...]

    Certaines [familles] ont été accueillies dans les pays voisins qui souffrent eux même.(Sic)

    [...]

    J'ai également appelé le Président turc ERDOGAN puisque c'est là que c'est passé le drame. (Sic) Ce drame, c'est aussi celui qui peut se produire, encore au moment où je parle, où des familles cherchent à traverser. (Traverser quoi? Où? "Qui peut se produire" n'appelle donc aucun complément?)

    [...]

    Et j'ai eu avec la chancelière MERKEL depuis déjà plusieurs jours, la volonté de prendre une initiative. (Observons que le président n'a pas pris une initiative, il en a eu la volonté, et depuis plusieurs jours, donc c'est du sérieux). Cette initiative consiste à saisir le Président de la Commission Européenne, le Président du Conseil européen, tous nos partenaires, pour que nous puissions mettre en œuvre une politique d'immigration et d'accueil qui soit digne de ce que nous représentons lorsqu'il s'agit de personnes qui n'ont pas vocation à venir ici et qui soit humaine pour que les réfugiés puissent être, dans la mesure du possible, lorsqu'il n'ont pas d'autre issue, accueillis en Europe. (Voilà une phrase qui restera dans les annales de la vie publique française et servira sans doute à illustrer la confusion d'esprit qui règne en ce moment à l'Elysée, et qui répond à la terreur de devoir dire quelque chose de ferme et de précis devant une situation qui vous dépasse totalement.)

    [...]

    Je ne voudrais pas que l'on en reste simplement au registre de l'émotion que nous avons d'un enfant de trois ans, son frère à peine plus âgé et puis d'autres familles, celles que nous ne voyons pas. (Au registre de l'émotion que nous avons? Encore bravo. La France de nos pères nous regarde mais, Dieu merci! elle ne nous entend pas.)

     

    [...]

    L'Irlande a montré qu'en quelques années elle était capable, alors qu'elle était ce qu'on appelait "sous programme" de connaitre maintenant une croissance et une stabilité. (Pas de tiret, pas d'explication sur ce qu'est le "sous-programme", pas d'accent à "connaître")

    [...]

    Nous avons aussi nos deux pays, sur le plan culturel, une volonté commune d'échanger des étudiants (Belle marquise, d'amour vos yeux mourir me font).

    [...]

    Enfin nous avons abordé trois sujets, je ne serais pas plus long. (Serai, au futur et non au conditionnel)

     [...]

    J'aurais (idem) l'occasion de m'en entretenir d'ailleurs avec David Cameron.

    [...]

    Il est donc tout à fait nécessaire d'avoir un mécanisme qui puisse prendre la situation de chaque pays européen et de voir ce qu'il est possible de réserver comme accueil dans ce pays-là, en fonction de ses caractéristiques. (Le président veut sans doute dire "analyser" la situation et non la "prendre", mais que vaut un discours où il est nécessaire d'imaginer, sans cesse, ce que l'orateur veut dire?)

    [...]

    Enfin, nous avons la responsabilité de régler la question syrienne, et je peux le dire d'autant plus facilement que la France a été toujours à l'initiative. Nous avons la responsabilité de faire en sorte qu'une solution politique puisse être trouvée (Outre la présomption qui consiste à vouloir régler la question syrienne, toujours le style passif de la Présidence, qui consiste à réunir les conditions de l'action sans s'y mêler vraiment. Le lecteur observera qu'il y a dans cette phrase un empilement de trois passivités façon grenouille qui veut se faire plus grosse que le bœuf: on jouit d'abord d'un état de responsabilité, en somme on est content d'être aux affaires, mais pour faire quoi? Pour "faire en sorte" qu'une solution "puisse" être trouvée.)

    [...]

    Nous n'avons pas simplement à tenir des discours, nous avons à prendre des décisions, etc.

    (Surtout, pour être franc, des discours comme ceux-là. Le Président nous dit en somme que rien ne vaut les actes, ce qui est sage quand on s'exprime comme cela, mais en politique la parole est un acte aussi, et là, il s'agit en permanence d'un acte manqué.)

    En conclusion on peut s'interroger sur la qualité (ou l'intention) de ceux qui ont à relire ce genre de prose avant de l'envoyer. Ou ils sont carrément nuls, ce qui est une éventualité, ou ils font exprès de laisser passer des bourdes pareilles sans la moindre remise en forme pour accabler leur patron. En ce sens on pourrait parler de véritable coup d'état linguistique, ce qui serait une première.

    Christian Combaz

    http://www.lefigaro.fr/vox/politique/2015/09/04/31001-20150904ARTFIG00272-communique-truffe-de-fautes-sait-on-parler-francais-a-l-elysee.php

    NDLRédactrice: j'ai mis l'url pour que vous lisiez que ce c'est pas un hoax!